Nous arrivons à la deuxième partie consacrée à Batman! Vous aurez remarqué que progressivement, la formule Panini a changée puisque désormais, c'est UNE histoire par héros qui nous a présentée dans le mag tous les deux mois.
Retour de Paul Dini et Don Kramer aux commandes et on débute avec un incendie dans un théatre. Alors qu'un mgicien nommé Loxias faisait un tour impliquant de la pyrotechnique, les choses ont mal tourné. Batman parvient à sauver presque tout le monde sauf l'assistante qui se trouvait dans une boite.
Le Loxias en question avait déjà rencontré Batman. C'est d'ailleurs à la suite de cette rencontre qu'il a décidé de s'inspirer du genre criminel de Gotham City pour améliorer ses spectacles. Une approche qui ne lui a pas réussie puisque depuis, tous ses spectacles ont causé des blessures ou la mort.
Comme il se trouve que le Loxias est également un vieux partenaire de Zatanna (et que la victime était une de ses amies), Batman fait appel à elle. L'occasion pour Dini et Kramer de nous remémorer la rencontre des deux lorsqu'ils étaient tout petits (vous aurez droit à quelques images).
Le gros problème c'est que, depuis Crise d'Identité (saga antérieure à Infinite Crisis) Batman a du mal à être sympa avec Zatanna. C'est plutôt normal puisqu'elle lui a effacé la mémoire pour protéger le terrible secret qu'elle partageait avec Green Arrow, Black Canary, Barry Allen/Flash, Hawkman, Atom et Hal Jordan/Green Lantern.
Donc, même s'ils vont ensemble demander des explications à Loxias, ce n'est pas main dans la main. Mais très vite, il s'avère que le VRAI Loxias est mort depuis quelques mois et qu'un fou diabolique a prit sa place dans le but de profiter de ses spectacles de magie pour comettre d'horribles meurtres. L'assistante était une victime de plus.
Zatanna va se retrouver en danger et pour la sauver, Batman va devoir oublier les différents qu'il a avec elle.
Histoire sympa qui achève de renfermer les blessures d'Infinite Crisis. Toujours pas fan de la façon dont Batman est dessiné mais, les autres protagonistes ont une bonne gueule. Vous en jugerez vous-même.