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| Sujet: Acte I : En cavale... Sam 9 Juin - 2:11 | |
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Acte I : En cavale…
"Je te voie, même dans cette obscurité" Les sirènes de police du GCPD s’affolaient un peu partout de ce vieux quartier de Gotham. Amusement Mile n’avait à présent rien d’amusant. Un policier a été abattu froidement alors que celui-ci était tout simplement en patrouille. La police ignore pourquoi un des leurs, jeune recrue qui plus est, a été exécuté dans ce quartier réputé malgré tout pour sa discrétion d’un point de vue criminologie. Ce quartier était étrangement mal éclairé et l’obscurité était impénétrable. Heureusement pour la Lady que ses lentilles lui permettent une certaine vision, sans cela sa fuite n’en serait que plus ardue.
Au-delà des sirènes de police et du vacarme des véhicules allant et venant dans tout les sens, on pouvait apercevoir une mince silhouette se déplacer de toit en toit portant une immense valise avec elle. Le bruit de la valise ne rendait pas ses mouvements silencieux, mais il était impossible pour elle de s’en séparer visiblement.
Lady Mechanika n’avait dorénavant ni passé, ni futur, seulement son présent dans cette valise. Elle n’était plus que le contenant de cette valise : ses costumes de scènes, ses accessoires et ses armes qui n’attendait qu’elle pour écrire une nouvelle pièce de théâtre encore plus sublime que celle perpétué par sa famille depuis des siècles. Son honneur lui sera rendu dans la vengeance. Seulement, pour l’heure elle était mal en point. Le GCPD a réagit instantanément à la menace et a lancé une véritable armée dans les rues d’Amusement Mile. La Lady se hissa péniblement sur le toit d’un immeuble lourdement handicapé par son immense valise avant de sa cacher derrière une épaisse cheminé. Un bruit vint percuter ses oreilles et amplifia son adrénaline déjà bien présent dans ses veines : un hélicoptère survolait la zone à plusieurs centaines de mètres de sa cachette. Son projecteur transpercé la nuit sombre et épaisse à la recherche d’un suspect éventuel. Nul doute qu’une femme bizarrement vêtue sur le toit d’un immeuble avec une grosse valise apparaîtrait comme l’évidente criminelle de cette nouvelle affaire.
Elle reprit son souffle et resta bien à l’abri, dos à la cheminée et l’hélicoptère. Jetant un coup d’œil furtif en dehors de sa cachette, elle aperçut l’appareil volant faire demi-tour et partir dans la direction opposé de sa position. C’était clairement le moment de progresser.
Elle se releva et enchaîna de grande foulé, autant que le permettait le poids de sa cargaison vitale. Arrivée au bout de l’immeuble, elle vérifia si la voie était libre et se jeta dans les poubelles pour poursuivre sa course.
L’agitation policière commença à gagner le bout de la ruelle où elle avait atterrit. Elle fit la morte en attendant le passage de la tempête. Un véhicule de police pointa le bout de son nez au ralentit. Nul doute qu’il passait la zone au peigne fin. La Lady s’enfonça un peu plus dans le gros tas de poubelle et ne bougea pas d’un iota, espérant tromper la vigilance des officiers de police. Bien blottit au fond de ce cul-de-sac, la fugitive bloqua sa respiration en attendant le verdict. La lampe torche d’une des deux policiers balaya la zone et s’arrêta un moment sur le tas de déchets ménagers…
« Allez file à la prochaine intersection. On finira bien par la trouver ! » Lança l’homme à la torche à son collègue au volant de la voiture.
A peine cette patrouille traça son chemin, qu’une autre peu de temps après, traversa le même chemin. Elle était coincée, dans cette rue dont la seule issue menait aux patrouilles de police en alerte. Sur le mur en face d’elle, il y avait bien une échelle qui menait sur le toit de l’immeuble d’en face, mais c’était sans espoir. Le temps qu’elle se hisse avec sa lourde valise, une patrouille l’aura repéré en train de gravir l’échelle.
Elle resta donc plongée dans les poubelles à attendre que le GCPD calme ses recherches, quitte à rester là toute la nuit. Elle mit la main sur l’étrange objet soigneusement dissimulé sous son gant gauche, e observa l’objet. Il ne brillait plus de cette étrange lumière et ne vibrait plus, signe évident de sa récente utilisation. Il fallait attendre plusieurs heures avant que celui-ci ne sois de nouveau opérationnel.
Elle rangea le précieux matériel sous sa manche et prêta plus attention aux sonorités de l’environnement. Le Halo de lumière de l’hélicoptère sembla se rapprocher, bien que dans son trou à rat elle était hors champs de vision. Cela bloqué toutefois toute possibilité de fuite.
Combien de temps allait t’elle restait là ? Finiront t’elle par l’attraper ?
Elle attrapa la crosse de son revolver de sa main droite, et tira le chien de celui-ci dans un petit cliquetis métallique. Si sa course devait s’arrêtais ici, elle était bien décidée à se venger sur un maximum de personne. Pour la « Dame Mecanique »…
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| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Sam 9 Juin - 4:41 | |
| Jimmy se promenait à Amusement Mile habiller dans sa tenue de "travail". Il avait mis son grand imperméable bleu, sa grande cape bleue, ses culottes cargo bleu et son gilet également bleu bleu, son éternel maquillage noir couvrait son visage. Se qui avait de bien avec Amusement Mile c'était qu'il y avait plein d'artistes en tout genre et la plupart portait des costumes. Il pouvait presque se fondre dans le paysage. Évidemment, il ne prenait pas la chance d'être trop vue, mais il aimait il se sentait semi-libre. En plus, se promener avec son saxophone comme ça, il était automatiquement étiqueté. Les acteurs de théâtres ne venaient pas le voir, les jongleurs et les adeptes des arts du cirque non plus. Il y avait bien les musiciens, mais on dirait que le saxophone séduisait moins qu'auparavant. S'il s’était promené avec une guitare ou un djembé les choses auraient été différentes. Jazzman regrettait les belles années du Jazz et du Blues. Il n'y avait pas un instrument au monde qui était plus sensuel et viscéral que le saxophone à ses yeux. La liberté qu'offraient le Jazz et le son enveloppant du saxophone s'accordait dans une valse incroyable chaude et magique. Dommage que les oreilles des nouveaux artistes musicaux étaient habituées à la froideur de la musique électronique et au son vide fait par les instruments électriques. Le strident qui s'échappait des pièces MP3 et a ce qu'ils appelaient des "beat box". Il avait même vu des joueurs jouer les basses avec un clavier électronique. Déjà la basse était un son trafiqué de la contrebasse qui perdait en qualité, mais la c'était du grand n'importe quoi. C'était dans cet état d'esprit que Jazz déambulait dans le coin sans trop se soucier de ce qui se passait au tour. Jusqu'à ce qu'il entend les sirènes de police raisonner. Par réflexe il se cacha un peu dans l'ombre. Des policiers passèrent devant lui en regardant dans les airs sans se soucier de lui le moins du monde. Jazzman par curiosité leva lui aussi la tête. Il vit alors une silhouette passée au-dessus de lui. La silhouette venait d'enjamber l'espace d'une petite ruelle où il s’était réfugié. De toute évidence la police était après elle. Ce qui voulait dire qu'il devait l'aider. Après tout si on ne se serrait pas les coudes contre les hommes de main violents, corrompus et perfides de ce connard de Gordon. Il décida donc de sortir de l'ombre de suivre dans les dédales des ruelles l'ombre de la silhouette qui courrait sur les bâtiments. Tout en courant dans les ruelles, il se mit à imaginer les policiers du GCPD qui essaierait de le suivre dans ces ruelles si jamais il le verra. Il ne tiendrait pas 2 coins de rue. Avec toutes les clôtures à enjamber, les escaliers de secours à utiliser comme tremplin et les espaces contigus qu'il fallait empruntés. Jazzman n'était pas un acrobate, mais quand on avait choisi le métier de voleur en tout genre, et entre autres de voleur d'objet rare, on se devait d'avoir une certaine "souplesse" il la perdit pendant un instant. Par contre il remarqua dans le ciel un hélicoptère qui semblait suivre la fuyarde. Il décida donc de s'engager à suivre l'hélicoptère qui le devançait. Il grimpa donc dans un escalier de secours d'un bâtiment pour se retrouver lui aussi sur le toi d'un immeuble. Il la suivit tranquillement en restant furtif pendant quelque temps. L'hélicoptère s'immobilisa la cible avait probablement arrêter de bouger. L'hélicoptère se retourna à la recherche de la fuyarde. Jazzman eut le réflexe de descendre sur un balcon afin de ne pas rester au sommet étant une proie facile pour un projecteur lumineux. Probablement que l'hélicoptère remarqua du mouvement, car elle se déplaça vers lui. Il força la porte du balcon et entra dans l'immeuble. Il entendit l'hélicoptère passé au-dessus du bâtiment stagner et repartir. Puis il baissa les yeux pour voir chez qui il avait pénétré. Drôle d'odeur, beaucoup de fumé, de la cithare, des peintures psychédéliques sur le mur. Hé mec, t'es rentré par le plafond *cough, cough* t'as l'air nerveux, relax, tu veux un joint?Ouf des hippies. Vive le quartier des spectacles [[[Hors-RP:Il est très tard et je trouve mon cliché HILARANT, je le pense pas vraiment désolé ]]]Jazzman ne réagit même pas il rouvrit la porte du balcon de l'autre sens et sortit en faisant un signe de la tête en guise de remerciement pour ses hôtes de quelques secondes. Il remonta sur le toit juste au moment ou il vit la silhouette, qui était assez proche pour qu'il distingue maintenant que c'était une femme, plongé dans une benne à ordure au bout d'un immeuble. Jazzman marcha tranquillement vers sa position. Il prit le temps de regarder en bas elle c'était foutu dans un beau merdier. Les policiers avaient apparemment bouclé le périmètre et faisait maintenant des rondes, elle était coincée. Surtout qu'elle semblait porter un truc assez lourd. Fuir avec un sac très lourd ce n’était pas l'idéal. C'est pour ça que Jazzman durant ses voles privilégiait généralement des objets menus, mais de grande valeur, entre un lingot et un diamant... prenez le diamant. Bref il marcha tranquillement sur les doigts surveillant ses mouvements afin qu'il ne soit pas trop brusque pour éviter d'attirer l'attention et qu'il ne fasse aucun bruit. Il se ramasse devant le conteneur à ordure sur l'immeuble en face où se cachait la fameuse fugitive. Il y avait une échelle, si on faisait vite elle pourrait passer entre deux patrouilles. Il ne pouvait pas crier ou jouer de son instrument ça alerterait les flics. Il devait trouver un moyen d'attirer son attention. Il mit les mains dans ses poches et sortit ce qu'on appelle une anche de saxophone. Il s'agit en fait d'un morceau de bois que l'on insère dans le bec de l'instrument afin de faciliter la production du son. Il en sortit donc une, et la lança dans vers les ordures afin d'attiré l'attention de la fugitive. Il lui fit signe avec ses mains: allez vient. Il serait la pour la valise au besoin, car elle nuirait de toute évidence à sa monté rapide il pourrait donc la saisir rapidement en descendant quelques échelons et ensemble il pourrait quitter. |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Dim 10 Juin - 3:27 | |
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La poigne de la nuit froide commença à resserrer son étreinte sur le corps élancé de la Lady. Avant même qu’elle commence à trembler de froid, un petit objet brillant et doré tomba non loin de sa cachette dans un bruit métallique. Sa réaction fut immédiate. Instinctivement, elle brandit son arme à feu vers la direction où l’objet fut balancé, visiblement en état d’alerte extrême. Elle découvrit un personnage haut en couleur, comme dans les représentations théâtrales les plus décalés. Entièrement vêtu de bleu et le visage à moitié dissimulé dans l’ombre et l’autre moitié recouverte de maquillage noir. Cela ne dérangeait aucunement Mechanika, bien au contraire. Ayant grandit dans le folklore et l’univers décalé du monde du spectacle, apercevoir un tel personnage était pour elle d’un côté rassurant. Quant à savoir si ce dernier était hostile, son invitation sur un ton neutre, rassura la Lady :
- Allez viens, avait-il annonçait.
Elle rangea donc son pistolet dans son holster et lâcha un soupir rassurant. Sans hésité plus d’une seconde, la fugitive attrapa d’une poigne de fer son illustre bagage et l’a tendit de toute ses forces à son sauveur.
- Pardonnez l’audace de ma fredaine, lança t’elle entre le murmure et la voie haute en jetant un rapide coup d’œil dans la direction des sirènes, ces pauvres scélérats ne connaissent rien à l’art.
Lorsque le mystérieux sauveur de la Lady en détresse se saisit de la valise, celle-ci se hissa sans mal à hauteur de l’homme tout de bleu vêtu. Ses longues années d’acrobaties et de gymnastique lui était fort utile. Dans son effort physique, son gant gauche avait laissé apparaître son précieux gadget au dispositif si étrange. A première vu, son gadget semble des plus barbare : de petits rouage apparents sur un petit bloc métallique, le tout solidement attaché à son avant-bras. Cela donnait une apparence de cyborg du 18e siècle à la Lady, d’où son pseudonyme. Mechanika s’empressa de vite rabaisser son gant afin de le cacher. Peut être que le mystérieux inconnu avait eu le temps de regarder brièvement l’étrange appareil dissimulé. L’hélicoptère braqua de nouveau dans leur direction. La Lady Mechanika se coucha instinctivement de manière à être caché par le muret. Elle se retourna plein d’espoir vers lui :
- Avez-vous un plan, très cher ?
Bien que la Lady était arrivé à Gotham il y a presque une année, la ville était pour elle assez étrangère, bien éloigné de l’architecture des villes de Grande-Bretagne. Alors que ce dernier répondait à l’interrogation de la Lady, celle-ci analysa un bref instant son interlocuteur. Ce dernier semblait porter des lunettes infrarouges. Un avantage que possédait la comédienne également grâce à ses lentilles qui lui permettait de voir un peu la nuit. Certes, beaucoup moins performant que des lunettes, mais tout de même un confort supplémentaire. Ce qui captait le plus le regarde était sans aucun doute sa perruque qui si on prêtait pas plus attention, donnait l’impression d'une tête enflammé. Une fois sortit de cette galère, Mechanika était bien décidée à demander quel est son domaine de prédilection...
- Spoiler:
HRP : désolé c'est court mais je préfère faire court que de pondre un pavé inintéressant... Déjà que là ça l'est xD
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| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Dim 10 Juin - 5:55 | |
| ((HRP: t'énerve pas pour la longueur moi j'ai une règle 15 lignes minimums, si tu respectes ça avec moi jamais je chialerai ^^ et puis vu l'action faut faire vite )) Jazzman prit la valise de la fugitive et la remonta. Celle-ci monta rapidement elle aussi. Il remarqua le bras étrange de la dame, mais dans un moment comment celui-ci ce genre de détail importait peu. Puis, lui il se trimballait bien avec son saxophone dans le dos, alors ils faisait tout aussi bizarre. Il prit la valise la mit de coté, une fois la fugitive monter sur le toi elle prit une pause pour le juger. Malheureusement, ce ne fut pas trop long que l'hélicoptère qui avait sans doute remarqué que plus aucun mouvement ne se faisait sur les doigts fût revenu. Il avait un angle très clair sur Jazzman et Mechanika. - Citation :
- - Avez-vous un plan, très cher ?
Jimmy réfléchit rapidement. Lança un regard de partout. Il remarqua dans la rue de l'autre côté de l’immeuble, une échappatoire. Il fit signe à Lady de le suivre et se planta devant la porte du toi qui donnais vers l'intérieur de l'immeuble. Il avait une chance elle s'ouvrait de l'extérieur et n'était pas verrouiller. Elle donnait dans une cage d'escalier qui permettait l'accès à tout les étages. Il s'engouffrait dans les marches en les dévalant à toute vitesse. Rendu, au rez-de-chaussée il sortit, dans la rue. L'hélicoptère qui avait vu la manoeuvre n'avait pas bougé. On pouvait entendre les sirènes de polices s'activer et s'approcher de leur emplacement. Jazzman couru vers le centre de la rue. Il se pencha. Il y avait une bouche d'égout. Il prit son saxophone et s'en servit comme levier pour ouvrir le passage. Jazzman chanta une chanson du Alan parson Project tout en s'exécutant, il fit un sourire à Lady: I am the eye in the sky, Looking at you... Et il descendit rapidement l'échelle pour pénétrée dans les égouts. L'air ambiant changeait drastiquement sous la terre. On sentait l'air chargé d'humidité et la lourdeur de l'athmosphère. Heureusement pour eux il s'agissait d'un égout pluvial. Donc aucune défection humaine, seulement de la pluie et des rats. Évidemment, dans un détour, ils n'étaient pas à l'abris de trouver une jonction où les deux égouts se rejoignent. L'odeur n'était pas celle des déjections mais quand même c'était pas la joie non plus. Cependant, c'était leur porte de sortie. Rendus en bas il leva la tête et dit à voix haute. Jazzman: Lancez la valise et venez me rejoindre. S'ils sont dans le ciel, alors nous serons sous terre, mais il faut faire vite. |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Dim 10 Juin - 15:31 | |
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Courant sur les talons de l’homme au saxophone, ils dévalèrent les escaliers de l’immeuble à grande vitesse avant d’ouvrir la porte qui menait à la rue animé par les forces de police. Par chance, elles n’étaient pas encore présentes, mais à en juger par le bruit et les illuminations rouge et bleu de leurs gyrophares derrières le quartier, ils se rapprochaient rapidement. L’homme à la tête enflammé se dirigea vers la plaque d’égout au centre de la route. Dégainant son saxophone pour soulever la plaque, celui se mit à chanter.
« Un musicien ? Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? » Pensa t’elle.
- Je tendrais avec joie mon autre oreille, mais celle-ci est trop préoccupée par les sirènes,ironisa t'elle.
Effectivement, la musicalité de l’homme semblait séduire la jeune femme, mais à un moment comme celui-ci, apprécier un artiste relevait de goûter un plat gastronomique la bouche entièrement anesthésiée.
L’homme s’engouffra dans les égouts le premier avant de lancer à la fugitive :
Lancez la valise et venez me rejoindre. S'ils sont dans le ciel, alors nous serons sous terre, mais il faut faire vite.
S’exécutant sans discuter, celle-ci posa un premier pas à l’échelle afin de s’enfoncer sous la terre. Saisissant la lourde plaque d’égout, elle replaça celle-ci à sa position initiale, plongeant les deux protagonistes dans une obscurité presque totale. Glissant le long de l’échelle, la Lady posa les deux pieds dans l’eau, noyant de ce fait ses pieds jusqu’aux talons. Mechanika n’avait aucun mal à discerner les formes, silhouettes devant elle. Ses lentilles remplissaient bien leurs rôles…
- Permettez, dit-elle en reprenant gentiment sa valise des mains de l’homme. Il s’agit de mon fardeau, bien à vous déjà de m’avoir sauvée. Humant l’air, Mechanika fut rassuré néanmoins de sentir uniquement une forte odeur d’humidité. L’eau ruisselait entre ses pieds et la longueur des tunnels dans lequel ils avaient atterris étaient à perte de vue. Les égouts de Gotham, autrement dit des rats dans un labyrinthe. En espérant que ce dernier ai un flaire hors du commun pour parvenir au bout.
- Nous ne sommes pas encore tirée d’affaire, hélas. Néanmoins, nous pouvons nous présenter en ces lieux. Je suis Lady Mechanika, annonça t’elle en tendant sa main à son sauveur. Et vous ? Puis-je poser un nom sur le visage de mon bienfaiteur ?
La curiosité l’emportait un peu sur la raison, en cet instant. Cependant, l’urgence avait diminué d’ampleur dans cet endroit où la police ne penserait pas à chercher. Il fallait encore rejoindre un lieu complètement sûr et un peu moins humide.
La valise commençait à peser sur les petites épaules pourtant musclé de la Lady, mais elle ne le montrait pas. Elle avait choisis sa nouvelle vie, sa nouvelle identité et peut être qui sait, ses nouveaux alliés…
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| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Dim 10 Juin - 17:10 | |
| Dès qu'il eut redonner la valise à Mechanika Jazzman se mit à fouiller dans une poche de son grand imperméable bleu. Il faisait ma foi très noir la nuit dans les égouts. Il finit par mettre la main sur ce qu'il voulait. Il sortit une lampe de poche. Ce n’était pas la grosse qualité, mais les piles étaient neuves, alors ils pourraient l'utiliser pour voir pendant un bon bout de temps. Il l'alluma et projeta la lumière vers le fond des égouts des deux côtés. - Citation :
- - Nous ne sommes pas encore tirées d’affaire, hélas. Néanmoins, nous pouvons nous présenter en ces lieux. Je suis Lady Mechanika, annonça-t-elle en tendant sa main à son sauveur. Et vous ? Puis-je poser un nom sur le visage de mon bienfaiteur ?
Jazzman: Appelez-moi Jazzman dit-il en lui serrant la main Enchanter Lady Mechanika. Je ne voudrais pas rompre les politesses, mais j'aimerais autant que possible, ne pas m'éterniser dans les égouts de Gotham.Il se mit à marcher se doutant bien que L. Mechanika le suivrait. Il n'avait pas besoin de savoir où il allait. Il savait seulement qu'il devait s'éloigner des sirènes de polices qui résonnaient en écho. Dans le dédale des égouts, on ne savait jamais vraiment où on ne tomberait, il avançait donc avec énormément de précautions. Jazzman espérait néanmoins que les policiers ne le suivent pas dans les égouts et s'il le faisait, il espérait qu'il lâcherait rapidement l'affaire. Mais se promener dans les égouts comme ça, la police n'était pas sa plus grande crainte. Jazzman: Espérons que la Prison d'Arkham City, ou New Gotham peu importe, soit aussi sur qu'on le dit. J'avoue que me promener dans les égouts me stresse un peu. Je sais que Killer Croc est à Arkham, mais on dirait que je ne suis pas rassuré. Espérons qu'il ne s'est pas évadé récemment sinon, on est vraiment dans la merde.Ironie du sort au tournant choisi, ils tombèrent sur une jonction des égouts de la ville et non pas des égouts pluviale. l'odeur était presque insupportable, mais nécessité oblige il devrait passer par là. Mais vivement le retour au Quartier Général de l'Injustice society of Gotham, pour prendre une douche... Jazzman: J'avoue que j'aurais préféré évité, mais en passant par la on s'assure que les flics nous suivent pas... Et bon je crois que vue la direction de l'égout on se rapprochera du Midtown et c'est précisément là où je veux aller. Désolé Lady, mais on à pas le choix.Il mit le premier les pieds dans l'eau brunâtre et verdâtre de l'égout. Ce n’était franchement pas agréable, une sorte de bouettes qui était essentiellement de l'humainerie, c'était complètement écoeurant. Il se demandait comment il Killer Croc pouvait vivre dans ces conditions. Beurk... Jazzman sentit son coeur lever, mais réfrénait une envie de vomir, c'était déjà assez dégueulasse comme ça on en rajouterait pas. Vivement le prochain égout pluvial parce qu'avec tout ce méthane et cette odeur dans l'air, leur périple serait des moins convivial. |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Lun 11 Juin - 1:18 | |
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Espérons que la Prison d'Arkham City, ou New Gotham peu importe, soit aussi sur qu'on le dit. J'avoue que me promener dans les égouts me stresse un peu. Je sais que Killer Croc est à Arkham, mais on dirait que je ne suis pas rassuré. Espérons qu'il ne s'est pas évadé récemment sinon, on est vraiment dans la merde.
Suite à ces mots, la Lady sortit son revolver de son holster et recula le chien de son arme à feu. On n’est jamais assez prudent. L’odeur quasi-insupportable des déchets de tout Gotham agressèrent les narines des deux protagonistes. Ne vivant pas à Gotham depuis longtemps, la jeune Anglaise avait toutefois compris que Gotham possédait un large éventail de criminelles, détraqués, psychopathes, violeurs, tueurs en tout genre, mafia, etc qu’ils valaient mieux éviter de rencontrer, surtout en ces lieux bien loin du tumulte et des regards de la Mégalopole.
D’autant plus que la Lady ne savait pas trop si Jazzman était un combattant aguerri où s’il possédait de quelconque aptitude pour se sortir de ce genre de situation, si elle devait se présenter. La Lady, elle pouvait compter sur sa dextérité hors du commun au tir à distance avec ses armes fétiches, son agilité de sa condition d’acrobate de cirque et ses nombreux petits gadgets. Son plus gros avantage étant actuellement hors service, ayant déjà était utilisé un peu plus tôt dans la soirée.
J'avoue que j'aurais préféré évité, mais en passant par la on s'assure que les flics nous suivent pas... Et bon je crois que vue la direction de l'égout on se rapprochera du Midtown et c'est précisément là où je veux aller. Désolé Lady, mais on à pas le choix.
- Oh, je comprends. A choisir entre affronter l’odeur nauséabonde des canalisations de la ville où les armes à feu de nos assaillants, mon choix est déjà tout fait, répondit elle simplement à Jazzman.
S’ajoutant à l’odeur agressive, les pieds de la Lady s’enfoncèrent dans un liquide qui jadis pouvait s’appeler communément « de l’eau ». La couleur verdâtre et les nombreux objets flottant non identifié dénaturé grandement ce que ça aurait pu être.
Leurs avancé dans l’antre du cauchemar se fit sans encombre, du moins pendants plusieurs mètres, jusqu’à ce que quelque chose mette en alerte les sens de Mechanika. Pointant en un éclair le canon de son pistolet à l’endroit où un couinement discret percuta son tympan, elle s’approcha lentement du bruit. Elle interpella de la main Jazzman, lui faisant signe de son inquiétude. Une petite forme bougeait et elle était perceptible même avec cette obscurité. La lampe de Jazzman révéla dès lors la source d’inquiétude de la Lady. Un rat. Non, des rats. Non, des dizaines et des dizaines de rats circulant dans une anarchie la plus totale de gauche à droite et de bas en haut. - Diantre ! Lâcha l’Anglaise. Cela rajoute un peu de cachet au lieu, au moins.
L’ironie de la jeune femme masquait en réalité un dégoût un peu plus prononcé qu’auparavant. Sa détente lui démangeait, comme une envie d’expédier tous ces horribles nuisibles dans un tourbillon de feu et de sang. Baissant son arme, elle ne put empêcher son visage de tirer une grimace de dégout.
« Répugnant ! » pensa-t-elle.
- Ne nous attardons pas devant cet horrible spectacle. Coupa la Lady en reprenant sa route. J’ai hâte de prendre un bain et de me changer.
Hissant un peu plus sa valise de peur de toucher l’eau polluée, elle entama une marche plus rapide, pressé de respirer de l’air frais dans un premier temps. Toujours sur ces gardes, Mechanika s’attendait à présent, à toute les surprises. Du moins, tous ce qu’un égout normal peut réserver comme surprise…
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| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Lun 11 Juin - 20:22 | |
| Billy, Billy, mon petit Billy, que me rapporte tu de beau ?
L'homme qui venait de s'exprimer tenait dans ses mains et approchait de son visage un petit rat gris. Il devait être vraiment solitaire pour s'adresser à un rat. Et le plus étonnant fut que le rat lui répondit par une série de petit couinements stridents. Et toujours plus surprenant l'homme semblait avoir compris car il venait de répondre au rat.
Des intrus ? Dans mes égouts ? Combien ?
L'homme et le rat continuèrent leur discussion encore quelque instant. Apparemment, le rat semblait simplement couiner, faire bouger sa petite queue, et se rouler sur lui même. Et ce langage semblait trouver compréhension chez le grand homme au teint blafard qui se redressa soudainement. Selon le rat, un homme et une femme se trouvaient dans la section 7-B des égouts, et descendu dedans par la plaque C.
Mes petits ! Venez voir votre maître ! Nous n'allons pas les laisser empiéter sur mon territoire ! Suivez moi mes petits !
Suite à l'ordre lancée des nuées de rats rejoignirent le soi disant maître des lieux. En un peu plus d'une minutes, une bonne centaine de rats l'avaient rejoins. Et son meilleur ami, le petit Billy, s'étaient niché sur son épaule. Il tenait particulièrement à lui. Depuis tout petit, son seul ami était Billy, cet adorable petit rat gris. Mais la minute n'était pas à la nostalgie et le chasseur de rats se mit en route, en prenant bien soin à éviter de croiser la route des deux personnes avant d'être sur qu'il ne s'agissait pas de justicier. Et caché dans un recoin, il entendit deux personnes discuter.
Espérons que la Prison d'Arkham City, ou New Gotham peu importe, soit aussi sur qu'on le dit. J'avoue que me promener dans les égouts me stresse un peu. Je sais que Killer Croc est à Arkham, mais on dirait que je ne suis pas rassuré. Espérons qu'il ne s'est pas évadé récemment sinon, on est vraiment dans la merde.J'avoue que j'aurais préféré évité, mais en passant par la on s'assure que les flics nous suivent pas... Et bon je crois que vue la direction de l'égout on se rapprochera du Midtown et c'est précisément là où je veux aller. Désolé Lady, mais on à pas le choix. "- Ne nous attardons pas devant cet horrible spectacle.. J’ai hâte de prendre un bain et de me changer."
Killer Croc ? Dans ses égouts ? Aucune chance. Même l'homme crocodile ne supporterait pas une dose de cyanure projeté par son fusil. Et tout un chacun sait qu'il se trouve à Arkham City. Quels bandes d'idiots. Aussi crétin qu'ils le soient, ils ne devaient sans doute pas représenter une grande grande menace. Et pour se montrer plus imposant qu'il ne l'était, car pour être faible et rachitique il l'était, il envoya d'abord une nué de rats passer devant.
Allez y mes petits ! Montrer leur qui est le véritable seigneur des lieux !
Des dizaines et des dizaines de rats coururent dans les égouts vers les deux individus. Ils en sortaient de l'eau, des canalisations, des conduits annexes, ils en sortaient de partout ! Et ils couraient tous dans la même directions. Et derrière eux venaient leur seigneur, leur maître, le terrifiant, le puissant Ratcatcher ! Et devant lui se trouvait une femme qui semblait sortir d'un mauvais livre de science fiction steampunk, un chapeau haut de forme, des lentilles rouges digne d'un mauvais Halloween, un monocle, des plumes, et tout ceci dissimulaient une jolie jeune femme au cheveux noirs et au teint pale. Mais depuis le temps qu'il trainait dans les égouts, Otis ne savait plus discerner une belle femme d'une laide. Son partenaire était un homme doté d'un grand costume bleu, d'un saxophone, de maquillage noir sur son visage, et surtout d'une étrange perruque semblant montrer des flammes. Malgré son habituelle paranoia, le chasseur de rat se sentait à son avantage dans les égouts.
Qui êtes vous ? |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Mar 12 Juin - 1:56 | |
| Mais qu'est-ce que c'est que...Des dizaines peut-être même des centaines de rats les encerclaient. Il regardait de tout les cotés et c'était d'une évidence flagrante ils étaient bien la cible des rats. Se qui eu effet pour le soulager un petit peu. En effet pendant quelques secondes il croyait que les rats tarifés se sauvaient de quelque chose qui les terrorisait. Ce quelque chose dans l'esprit de Jazzman ne pouvait être que Killer Croc. Dans un réflexe idiot, il avait mis sa main devant Lady Mechanica. Culture italienne oblige, protégez les femmes. Mais lorsqu'il vit que les rats n'avaient pas l'air apeurés, il comprit que ce n'était pas le gros Crocodile qui les effrayait. Ils étaient hostiles. Jazzman pris par réflexe son saxophone le porta a ses lèvres puis vint pour souffler quand on l'interrompit - Citation :
- Qui êtes-vous ?
Jazzman: ... Ratcatcher?Jimmy avait toujours cru que cet homme était une légende. Grands amis du Pied Piper celui-ci lui avait parler quelquefois de Ratcatcher sans que Jimmy n'y croie jamais vraiment. Pied Piper l'ancien mentor et ami de Jimmy avait la faculté lui aussi d’exercer un certain contrôle sur les rats grâce à sa musique. Mais quand il avait sur que Jazzman venait de Gotham la première question qui lui posa était: tu connais Ratcatcher? Effectivement, selon les histoires Ratcatcher avait sa propre petite armée de rats qui lui obéissait au doigt et à l'oeil. Sans gadgets rien, c'était un don apparemment. Il avait reçu le don de dompter les animaux de manière quasi magique, et il avait choisi les rats. Choix que Jazzman comprenait, ils était petit, passait inaperçu et était partout dans toute les villes du monde. Le Ratcatcher ne manquerait jamais de soldat pour son armée. Jazzman: Hé bin vieux je croyais pas que tu existais. J'ai toujours cru à une légende urbaine. Je m'appelle Jazzman et voici Lady Mechanica. Tu sais j'ai un ami qui adorait te rencontrer... le Pied Piper tu connais? C'est un Rogue de The Flash... lui aussi il fricote avec des rats.Oui bon, c'était un peu précipité, mais il faut avouer que dans une situation comme celle-là il faut garder son sang froid. Il faut essayer de détendre l'atmosphère et rigoler un peu. Évidemment avec une centaine de rats qui te regarde avec un oeil l'air de dire: Jte déchiquetterait bien moi... c'est pas se qu'il y a de plus facile. Mais côté attitude détendue rien ne vaux une attitude smooth de Jazzzzzzzz et à ce niveau, Jimmy était le maître. |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Mar 12 Juin - 17:06 | |
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« Quel genre d’homme peut vivre avec des rats ? » pensa la Lady.
L’homme était sortit de l’obscurité avec son armé de rats à la discipline digne des 300. Encerclé par les nuisibles, Mechanika pointa directement ses deux armes à feu droit sur ce Ratcatcher en question, laissant tomber sa précieuse valise imperméable entre ses jambes. S’il était vraiment capable de dompter des rats, le tuer mettrait fin immédiatement à cette mascarade, mais Jazzman semblait le connaître.
... Ratcatcher? Hé bin vieux je croyais pas que tu existais. J'ai toujours cru à une légende urbaine. Je m'appelle Jazzman et voici Lady Mechanica. Tu sais j'ai un ami qui adorait te rencontrer... le Pied Piper tu connais? C'est un Rogue de The Flash... lui aussi il fricote avec des rats.
- Ne me dite pas que vous connaissez ce sans-logis ? S’étonna Mechanika.
Lorsque son sauveur la présenta, elle ne prit pas la peine de déplier un muscle pour saluer l’homme des égouts. Il les menaçait clairement et une formule de politesse n’aiguaierait certainement pas la situation.
L’accoutrement de Ratcatcher était pour le moins étrange. A mi-chemin entre un SDF de grand chemin et un expert en dératisation. Le tout lui donnant une apparence pitoyablement affreuse.
L’antagoniste se tenait à bonne distance et, si confrontation il devait avoir, la Lady ne pouvait manquer son coup. Cependant, si Jazzman pouvait le rendre docile, il été préférable de choisir cette issue. L’avantage du terrain était indéniablement du côté du dresseur de rat.
D’abord sauvé par un musicien nocturne et altruiste, puis intercepté par un dompteur de rats opportuniste, la fuite de la Lady devenait de plus en plus rocambolesque. Elle commençait à croire que d’affronter la police était peut être préférable à ce spectacle qui ferait lever un sourcil à n’importe qui.
Les rats étaient tous au garde-à-vous, bien en rang le nez pointait sur les deux fugitifs. La Lady espérait sincèrement que les deux hommes se concertent et trouve un terrain d’entent. Que leur bon ami commun, ce « Pied Piper », mette un terme aux hostilités. De ce fait, la Lady préférait restait silencieuse.
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| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Mar 12 Juin - 21:23 | |
| ... Ratcatcher? Hé bin vieux je croyais pas que tu existais. J'ai toujours cru à une légende urbaine. Je m'appelle Jazzman et voici Lady Mechanica. Tu sais j'ai un ami qui adorait te rencontrer... le Pied Piper tu connais? C'est un Rogue de The Flash... lui aussi il fricote avec des rats. Pied Piper ? Oui, je vois qui c'est. Mais je ne fricote pas avec les rats. Ils sont ma seule famille. Si vous venez troubler ma quiétude quittez mes égouts. Je vous mènerais à la sortie et vous ne rentrerez plus ici.
Suite à ses quelques paroles, Ratcatcher se prépara à se remettre en route. Il n'aimait pas être dérangé. Mais soudainement, il remarqua que Lady Mechanika le tenait en joue ...
Non ... Ne me tuez pas ... Mes rats seraient sans famille sans moi ... Je ne vous ferais pas de mal ... Je vous en supplie ...
Malgré sa provocation précédente, le Ratcatcher venait de montrer son vrai visage. Celui d'un lâche, d'un ignoble et pathétique lâche.
Ne me tuez pas ... Je vais vous mener à la sortie ... Je ne vous ferais pas de mal .... je vous en supplie ...
La voix de l'étrange résident des égouts n'était plus devenu qu'un ridicule couinement aiguë tel celle d'un rat. Puis il reprit une fois de plus la parole pour montrer sa bonne foie
Partez mes petits, rentrez chez vous. Billy, restes avec moi.
L'énorme horde de rats s'étaient dispersé en une trentaine de secondes. Ratcatcher était maintenant seul ... |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... Mer 13 Juin - 1:30 | |
| Hé bien c'est vraiment décevant. Mais comment il avait fait pour survivre dans ces égouts. C'était connu c'était le repaire de Croc, Jazzman l'avait assez dit de fois pour le savoir. Mais la à la seule vue de cette arme le Ratcatcher paniquait. C'était d'un pathétisme décevant. Mais bon selon se qu'il avait entendu l'espère de dératiseur amoureux de son gagne-pain acceptait de les escorter.
Jazzman: hé bien... euh non on te tuera pas. Tu pourrais nous conduire jusqu'au midtown?
Puis il réfléchit regardant la dégaine de l'homme. Sale, puant, de la merde sous les bottes, mais au moins lui portait un masque à gaz. Il ne devait pas s'auto-sentir ou encore sentir l'endroit. Jimmy et Mechanika eux respiraient à plein nez le méthane et les particules nauséabondes qui formait ce qu'on pouvait appeler : L'air ambiant. Il regardait sa propre dégaine. Les jambes enfoncées presque jusqu'au genou dans les excréments humains, dans cette espèce de gadoue informe et nocive.
Jazzman: Et sa serait sympa si on pouvait passé que par les égouts pluviaux même si c'est un peu plus long. On n’a pas d'attirail pour se promener ici nous... et je vais t'avouer que le coeur commence à me lever.
Il n'y avait pas grand-chose d'autre à dire à part se féliciter. La police était hors d'état de nuire, ils étaient en sécurité, car si Ratcatcher était là se donnant des airs de dominance c'est qu'il n'y avait personne d'autre dans les horizons. Pour couronner le tout, il venait de se trouver un guide pour les ramener proche du quartier général de L.I.S.G. Une question vint d'ailleurs le questionner. Qu'allait-il faire de Mechanika? Son premier plan était d'aller se cacher au QG, mais maintenant qu'ils étaient sains et saufs il n'y avait plus nécessité de dévoiler l'existence du groupe criminel à la fuyarde. Hum, problématique ma foi complexe. Elle pourrait faire une bonne recrue, mais depuis quelque temps Jazzman recrutait tout le monde qu'il croisait, ça finirait par lui jouer un tour. |
| | | | Sujet: Re: Acte I : En cavale... | |
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