Falcone / Maroni : Rivalité de mise [PV]

Gotham City, si belle, si magnifique, si ... Sale ... Polluée par les pourritures que le Batman a engendré. Sans son intervention, jamais il n'y aurait eu de Joker, de Chapelier Fou ou de Double Face. Jamais, au grand jamais, il n'y aurait de cinglés ni même d'asile en activité, et surtout pas cette horreur que Shreck avait lancé. New Gotham ... Une ville à l'intérieure de la ville, mais de la réinsertion, un moyen pour récompenser ces criminels, de leur offrir la ville sur un plateau, de les laisser prospérer et prendre ce qui appartenait aux Falcone depuis si longtemps.

Assis devant la fenêtre qui donnait sur la ville de Gotham, dans sa propriété en dehors de la ville. Carmine observait attentivement, il y'avait la ville, le pont et les petites routes de campagnes qui emmenaient vers Métropolis ou d'autres villes moins importantes, il voyait tout. Et en tant que Parrain de Gotham, il était aussi au courant du retour d'un de ses vieux rivaux déchus : Salvatore Maroni.

Un homme bourru, intelligent, sournois, ... Sicilien ... La pire des engeances. Comme ces saloperies de Galente avec qui Falcone devait faire affaire pour faire prospérer la ville comme du temps ou les cinq familles se disputaient Gotham. Mais c'était fini. Maintenant, il fallait unifier, unifier et oublier les querelles, il fallait concevoir au lieu de s'auto-détruire. Le Clan Falcone s'était remis des frasques d'Holiday et du caractère de Sofia, seul Mario fut banni du Clan, à cause de son comportement non familiale.
Falcone savourait un bourbon, un alcool agréablement doux, et plaisant au palais. Une invitation avait été envoyé, dès l'arrivée de Maroni à Gotham City, pour qu'il rejoigne Falcone à son Manoir personnel. Il fallait discuter, il fallait mener une guerre avec les trois familles restantes contre toute cette racaille qui dominait Gotham.

Falcone reposa son verre. L'idée d'avoir été supplanté par Cobblepot, Black Mask ou même par Double Face, dans la Pègre était insoutenable. Ces minables devaient être tués. Et cela sera fait, si tout va bien ...
Milos, le garde du corps avait ses ordres, il conduirait Maroni jusqu'au salon des invités, et servirait les rafraichissements nécessaires pour mettre en condition Maroni.

Une berline noire s'arrêta devant la grille du manoir de Carmine Falcone. Salvatore Maroni était assis à l'arrière et fumait un cigare d'un air distrait, il était perdu dans ses pensées. Cela faisait quelques semaines à peine qu'il était sorti d'Arkham City et s'était rendu compte de la déchéance de sa famille depuis son incarcération. Il était en réunion avec les derniers fiidèles de sa famille quand il avait reçu un coup de fil de Falcone qui lui proposait une rencontre. Malgré son manque de jugement, Salvatore avait accepté car il savait que seule une collaboration avec Falcone lui permettrait de remettre sa famille sur un piédestal. Ses pensées furent interrompu par son chauffeur qui lui demanda:

A votre avis Boss, c'est un piège?

Maroni releva la tête et fixa l'importun d'un oeil mauvais et lui jeta:

Tu te contentes de conduire gamin et le reste je m'en occupes! Capicci!

La grille de fer forgé s'ouvrit quelques secondes après et la berline rentra dans la propriété. Un long chemin de gravier mené jusqu'au magnifique manoir de Carmine Falcone. Maroni écrasa son cigare dans le cendrier et réajusta sa cravate. La voiture s'arrêta devant un escalier de marbre ou un homme les attendait. Le chauffeur descendit de la voiture et alla ouvrir la porte à Maroni qui descendit du véhicule:

Tu restes dans la voiture! lança t-il à son chauffeur

Le chauffeur essaya de répliquer mais en vain

Mais monsieur Maroni,je....!

Tu restes dans la voiture et tu attends! Bien compris! Le coupa Maroni.Tout en disant ces mots, il avait lançé un regard noir au jeune homme qui rejoignit l'habitacle sans dire un mot.

Il gravit les marches et s'arrêta devant l'homme en faction à la porte. Ce type était Milos, un des gardes du corps de Falcone, Maroni l'avait déja vu plusieurs fois. Ce dernier lui dit:

Veuillez me suivre!

Salvatore suivi l'homme jusqu'à un salon ou Carmine Falcone dégustait un bourbon tout en regardant par la fenêtre. Le garde demanda à Salvatore si il souhaitait boire quelque chose:

Souhaitez-vous un rafraîchissement?

Je prendrais un bourbon avec de la glace. dit-il tout en se dirigeant vers un fauteuil situé en face du parrain de Gotham.

Maroni fut désormais intronisé dans le salon de Falcone. L'homme n'avait décidément pas changé, du moins, physiquement, excepté quelques cheveux blancs qui illustraient et rendaient au physique du Mafiosi un certain charme de l'Italie du Sud. Mais tous les Italiens étaient comme ça. C'était dans la génétique, il parait.
Falcone ne regarda pas Maroni pour le moment, mais il savait qu'il était la. Malgré les dissenssions, malgré les querelles, ils étaient toujours ensemble quand la Famille avait besoin d'aide et devait se refaire uen santé financière. Les Falcone et les Maroni, de grands rivaux, mais des frères quand la situation était fatale. Si une famille tombait, toutes les autres tombaient. De sa voix calme et grave, Carmine prit la parole.

- "Te souviens-tu, Salvatore ? Te souviens-tu de cette chaude soirée d'Aout, lors du mariage de mon neveu, Johnny Viti. Ce moment même qui a brisé nos familles, ce moment même qui a précipité chacun de nos empires dans la tourmente et la destruction. Qui a vu proliféré les cinglés de cet asile d'Arkham."

Il se retourna, droit, ses yeux plissés vers Maroni, un léger sourire sur le visage, plutôt distant au lieu d'être joyeux. Comme plongé dans une mélancolie bien vivace. Les regrets et les pertes, c'est ce qui arrivait trop souvent depuis ce Long, long Halloween.

- "Tu n'as pas changé Salvatore. Comment était Arkham City ? Shreck a réussi a te faire sortir ?"

Dit il en observant le parrain de la famille des Maroni. Il n'y avait plus grand monde dans les rangs de cette famille, mais Falcone n'hésiterait pas a aider Maroni pour relancer ses affaires. Le restaurant familial des Maroni avait été démoli, mais Pino et Umberto, les deux fils chéris de Salvatore avaient rejoint Double-Face. Une mauvaise nouvelle qui ne serait surement pas du gout de l'illustre parrain déchu.

- "L'important, c'est que nous puissions redevenir une puissance. Réunir la Mafia une nouvelle fois, et espérer que tout redevienne comme avant."

Dit il pour conclure. Il s'alluma un cigare et tendit la boite vers Maroni. Milos sorti de l'ombre et alluma le cigare du Don Falcone.

]Milos revint du bar avec le verre et le tendit à Maroni. Ce drernier le salua d'un signe de tête et but une gorgée de bourbon. C'est à ce moment que Falcone prit la parole:

- "Te souviens-tu, Salvatore ? Te souviens-tu de cette chaude soirée d'Aout, lors du mariage de mon neveu, Johnny Viti. Ce moment même qui a brisé nos familles, ce moment même qui a précipité chacun de nos empires dans la tourmente et la destruction. Qui a vu proliféré les cinglés de cet asile d'Arkham."

"Si je m'en souviens, nombre de tes gars se sont fait descendre et tu pensais que j'étais l'instigateur de tous ces meurtres. Nous avons eu cette conversation téléphonique assez houleuse où tu as fini par me dire que si il se reproduisait le moindre meurtre, tum'en tiendrais pour responsable et ce serait la guerre entre nos deux familles. Quelques semaines plus tard, il y a eu ce massacre dans un de tes restos et nous sommes entrés en guerre!..."

Maroni se tut un instant et examina la réaction de Falcone. Remuer le couteau dans cette plaie encore ouverte était une mauvaise idée pour pouvoir s'allier avec Carmine Falcone. Il reprit une gorgée de bourbon et continua d'un ton neutre:

"...Et puis le pot aux roses a été découvert, ni toi ni moi n'étions responsable et nous avons conclu une trêve et repris nos affaires."

Il s'arrêta à nouveau de parler et regarda à nouveau Falcone et son regard s'arrêta sur las 3 cicatrices parallèles qui barraient sa joue. Machinalement, il toucha la cicatrice qu'il avait au coup. Il allait reprendre un peu de bourbon mais Carmine intervint de nouveau:

- "Tu n'as pas changé Salvatore. Comment était Arkham City ? Shreck a réussi a te faire sortir ?"

Arkham City, salvatore eut un sale goût dans la bouche pendant un instant, sa main trembla une seconde mais il se ressaisit aussitôt.Montrer de la faiblesse serait une erreur, pensa-t-il:

"Tout ce que je peux dire , c'est que mes deux ans de taule à Blackgate, c'était une journée à la plage comparé à cet enfer!!! Quant à ma libération.... Eh bien disons que notre cher maire est loin d'être incorruptible ."

Maroni esquissa un sourire tout en prononçant cette dernière phrase. Après tout, Carmine devait déja savoir que Shrek n'était pas insensible au petit cadeau! Il vida son verre d'un trait et le posa sur la table basse placée entre les deux fauteuils. Falcone venait de prendre un cigare. c'était un robusto, un des meilleurs cigares cubains et bien entendu, il était interdit d'en importer.

-"L'important, c'est que nous puissions redevenir une puissance. Réunir la Mafia une nouvelle fois, et espérer que tout redevienne comme avant."

Maroni écouta attentivement le parrain de Gotham et répondit à son distingué interlocuteur:

"Il est primordial que nous redevenions les hommes les plus puissants de la ville, il faut que nos familles s'unissent! Nous devons remettre nos différents business sur les rails! Je sais que malgré que tu sois mieux loti que moi, tes activités et tes profits sont en baisse!

Il s'arrêta prit la boîte que son hôte lui tendait,prit un robusta, le sentit et l'alluma avec le briquet en argent qu'il sorti de la poche intérieur du complet sombre à 1000 dollars qu'il portait. Il laissa échapper la fumée de ses narines et expliqua:

"Je souhaite que nos familles soient unis par une amitié réciproque.Je dois savoir tout ce qui s'est passé pendant que j'étais dans cette jungle d'Arkham City, savoir si tu peux me prêter de l'argent et des hommes. Bien entendu dès que je serai remis sur le rail, tu toucheras un bon pourcentage de mes activités et si tu as besoin de quoi que ce soit, je t'épaulerais.Après nous sommes de la vieille école, des hommes d'honneur... Une dernière chose, je veux la peau de Harvey Dent et celle de cesPORCA PUTANA qui se disent mes fils!

Maroni avait de la haine dans ces yeux en évoquant à ce batârd schyzophrène et à ces deux petits merdeux de Pino et Umberto. Il chassa aussitôt cette vision de son esprit, se renfonça dans son fauteuil et attendit les réponses de Falcone.

Maroni avait raison sur de nombreux points. La Mafia Gothamienne avait perdu beaucoup de fonds, et beaucoup d'endroits qui lui rapportaient de l'argent, blanchi certes, mais un fond non négligeable pour améliorer l'armement et le budget de la Mafia Gothamienne. Les entrepôts d'argent blanchis avaient été saisis. Et malheureusement, James Gordon n'est pas aussi facile a corrompre que le reste du GCPD. Cependant, Shreck pouvait se révéler intéressant au niveau politique, et permettre aux Mafiosi de reprendre part à l'économie souterraine de Gotham.

- "Notre économie a été touché de plein fouet. Mes imports exports ont été saisi, mes restaurants ont été démolis par Double Face, le Joker et Mister Freeze. Nos seules activités qui restent encore rentables sont le Ritz et l'aéroport de Gotham, qui permet de faire circuler la drogue sans que le GCPD puisse s'en mêler. Néanmoins, nos activités ont tout perdu lorsque Cobblepot a racheté de nombreuses affaires que je voulais. Notamment l'Iceberg Lounge ..."

Il était bien connu que, l'Iceberg Lounge, en dépit de son mauvais alcool et de ses attractions attrape-pigeons, cachait un réseau souterrain d'esclaves, d'armes, de drogues et d'alcools incontournable dans toute la ville.

- "J'avais dans l'idée, avec de nombreuses familles de la Mafia actuelle, d'investir dans un Casino. On récolte l'argent des pigeons, on le blanchit, et on établit de la fausse monnaie, pour le plaisir et se remettre sur les rails comme tu le dis si bien. Cependant, les Galente peuvent être un problème. N'oublions pas qu'ils ont fait de nombreuses affaires enrichissantes avec les détenus d'Arkham. Et cela, je ne peux le supporter."

Falcone regarda maintenant une photo sur la table, celle d'Alberto Falcone. Ses traits jeunes, ses lunettes violettes et sa ressemblance avec Carmine en faisait le favori du Parrain de Gotham.

- "Mon fils, Alberto, est dans New Gotham. Avec une escouade de mercenaires que j'ai embauché. Bane, Ragdoll et Victor Zsasz ont pour mission de liquider Cobblepot et tous les rivaux possibles de la Mafia actuelle. Autant se débarasser des monstres, et je suis sur que tu serais d'accord pour que l'on les élimine tous."

Maroni avait besoin de se renflouer, il avait besoin d'hommes, de remettre à flots sa Mafia. Bien entendu, quand la Cosa Nostra avait un soucis, les Familles se devaient d'aider, et de faire avancer les choses. En temps normal, Carmine aurait continuer a précipiter la chute de Maroni, mais Gotham change, et le changement peut être bon, si on trouve les bons alliés. Maroni en était un.

- "Je t'accorderais des hommes, de l'argent. Dix millions de dollars pour te trouver une bonne affaire, investir et engager du personnel. Il te faudra aussi un endroit ou dormir et te protéger, je te conseille les studios huppés de Burnley, au centre de la ville. Pour cette histoire de Casino, je te rappellerais lorsque j'aurais finalisé l'accord de la vente. Tu seras un partenaire et tu percevras ta part. Tu auras trente pour cent du casino. Cela te convient il ?"

Il souffla et la fumée du cigare se dissipa dans les airs, Le Romain attendait la réponse du Parrain Sicilien de Gotham. Sous ses airs sévères, Carmine jaugeait ce qui restait de la Famille Maroni. Une relique, mais l'âme de Gotham.

Maroni écoutait religieusement Falcone tout en fumant son cigare. Il écoutait le parrain de Gotham lui faire le récit de tous ce qu'il avait perdu et notamment l' Iceberg Lounge, la boîte la plus huppé appartenant à cet enfoiré de Cobblepot. Cependant, Salvatore intervint une fois que Carmine eu fini de parler de l'Iceberg:

"Comme tu le sais pour moi, les choses sont vraiment catastrophiques. Après mon incarcération à Arkham City, plusieurs de mes façades légales ont été mis en liquidition judiciaire. Mes salles de jeux clandestines, mes labos ont été démantelés et tous les gars qui y travaillaient ont été arrêtés. Encore pire, pendant que je pourrissais dans ce cloaque, Dent et mes fils ont tués nombre de mes hommes et détruits tous ce qui me restait. Au jour d'aujourd'hui, je n'ai plus qu'un resto situé dans l'Upper East Side et cette usine d'emballages de viandes dans l'East End! Bien entendu, elles ne sont pas à mon nom sinon elles auraient toutes deux saisies ou détruites!"

Salvatore s'arrêta et demanda à Milos un autre verre. Pendant que le garde du corps de Falcone s'éxécutait, ce dernier reprit la parole et cette fois la conversation concernant la famille Galente. En entendant ce nom, Salvatore repensa à cette famille adverse. Il leur en avait fait bavé mais il lui avait rendu la pareil. En tout cas pour Salvatore, sa position sur les Galente était clair:

"Galente n'est pas un vrai homme d'honneur, il fait affaire avec n'importe qui! Néammoins, il a du poids auprès de nombreux notables de la ville. Nous pourrions lui proposer une entrevue si il se montre raisonnable, parfait! Dans le cas contraire, nous l'éliminerons lui et sa famille!"

Maroni s'arrêta pour regarder Falcone un instant, ce dernier était perdu dans la contemplation d'une photo de son fils Alberto puis il expliqua à Salvatore qu'Alberto était avec une bande de portes flingues dans New Gotham. Bane, Ragdoll est ce taré de Victor Zsasz devait liquider Cobblepot et tous ceux qui se mettraient sur le chemin de l'Honorata Societa. Sur ce point Maroni avait aussi un point de vue très claire:

"Eliminons toutes ces ordures et Cobblepot en premier et nous n'oublierons pas ce cher Dent et mes deux petits... comme j'aurais aimé qu'ils soient comme Alberto!"

Il avait prononcé cette phrase avec une pointe de nostalgie et allait reprendre son discours quand Falcone le coupa:

- "Je t'accorderais des hommes, de l'argent. Dix millions de dollars pour te trouver une bonne affaire, investir et engager du personnel. Il te faudra aussi un endroit ou dormir et te protéger, je te conseille les studios huppés de Burnley, au centre de la ville. Pour cette histoire de Casino, je te rappellerais lorsque j'aurais finalisé l'accord de la vente. Tu seras un partenaire et tu percevras ta part. Tu auras trente pour cent du casino. Cela te convient il ?"

"Cela me convient parfaitement, les dix millions que tu me prêtes sont une bénédiction! ah, Santa Madonna.... et je serais honoré d'être partenaire dans ce casino.Trente pourcents, c'est un sacré pactole... bien sûr, l'argent que tu as la bonté de me prêter te sera rendu avec les intérêts dès que je le pourrais! A présent, je pense que nous sommes liés par une amitié durable mais il faudra tout de même régler très vite le cas Galente ou il nous poseront de nombreux problèmes! Et j'aurais une dernière question, Don Falcone, qu'est-ce que Bioshin Company?"

Tout en disant ces mots, il reprit son verre que Milos avait de nouveau rempli de bourbon et leva son verre en direction du Parrain:

Salute! Cen't Anni mi amici!

Salvatore porta un toast à l'italienne. Une vieille façon de fraterniser et de renouer les relations avec les familles de Gotham. Maroni serait un bon allié, il avait le charisme pour motiver les hommes, et son visage faisait trembler la petite Italie de Gotham. Un très bon allié dans une ville hostile. Carmine songeait aux anciennes guerres, il posa sa main devant sa bouche, en pleine réflexion avant de boire son verre.

- "Tu peux partir l'esprit tranquille."

Il claqua des doigts et Milos arriva avec deux mallettes plutôt lourdes. A l'intérieur, de beaux billets verts pour une somme modique de dix millions de dollars. Une larme dans un océan pour Falcone. La famille Falcone avait de l'argent, elle en avait énormément, et ils connaissaient les bons trucs pour s'assurer une bonne condition de vie.

- "Je te souhaite tout le meilleur, Salvatore. Pour cette histoire de casinos, soit sur que tu seras le premier contacté. J'espère avoir de tes nouvelles bientôt."

Dit il en se levant et en tendant la main. Cela se terminerait en accolade entre parrains, un peu de chaleur humaine certes, mais tellement fraternelle comme en Italie. Falcone paraissait fatigué, mais revoir Maroni, dans son camps, lui permettait d'espérer énormément.

Salvatore se rassit et finit son verre de bourbon qu'il reposa sur la table basse pendant que Carmine lui expliquait qu'il pouvait partir l'esprit teranquille. Après quoi, il claqua des doigts et Milos apparu avec deux mallettes qu'il confia à Maroni. Enfin la roue a tourné, pensa ce dernier en ouvrant l'un des attaché case et de contempler les liasses bien rangées. Il se leva et Falcone souhaita à maroni prospérité et lui assura qu'il serait le premier qu'il contacterait pour les casino. Les deux hommes se serrèrent dans leurs bras et Maroni quitta la pièce escorté par Milos jusqu'à sa voiture. La pluie s'était arrêté et le ciel était constellé d'étoiles... bien que Maroni n'était pas sensible aux signes de ce type, il y vit néammoins un bon présage. Il mit les deux mallettes dans le coffre et remonta en voiture qui quitta la propriété de Falcone.

Sujet: Re: Falcone / Maroni : Rivalité de mise [PV]

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