Cet après-midi là Maroni prit une décision séche et ferme : en fouillant le cahier de ses débiteurs, il avait remarqué un petit drôle qui ne s'était pas acquitté de sa dette envers l'italien et avait accumulé un retard de plusieurs mois. Ce personnage n'était autre que le célèbre détective Jim Corrigan. L'esprit d'analyse et de déduction exceptionnels de ce personnage étaenit d'une réputation nationale, et lui avait permit d'accomplir plusieurs enquêtes mémorables. Cependant, parallèlement à la gloire, la réussite et l'habileté, depuis quelques années le parcours de Jim avait prit une autre voie : celle de la déchéance.

Le fin limier avait chuté dans l'alcoolisme, le jeu et la dépression, sa vie n'était plus qu'un chaos effrené. Quoiqu'il en soit, Maroni se devait de reprendre cet impudent qui pensait qu'un parrain aussi respectable que lui pouvait oublier son dû. peu importait la somme ridicule que lui devait cet imbécile, on ne se moque pas d'un Maroni !

Maroni s'était installé à Arkham depuis un moment avec une partie de ses hommes, mais le reste de son clan demeurait encore à l'exterieur, dans le Gotham paisible. Paulo Beni, son second bras droit, les dirigeait.

Vers le soir, quand Jim Corrigan sortit du commissariat, grande fut sa surprise. Une voiture l'attendait. Devant une portière ouverte, un homme à chapeau, un de ces trouffions de la mafia, lui faisait signe d'y entrer. Jim jeta un coup d'oeil inquiet autour de lui : ses collègues sortant de leur service ne remarquaient rien, ou faisaient semblant de ne rien remarquer. Tout le monde sait qu'il ne vaut mieux pas se mêler de ces histoires, quand on est revenu en civile. Corrigan entra dans la voiture. Avant de refermer la portière l'homme de main entra à son tour. Le détective se retrouvait seul avec un mafioso à chacun de ses côtés, à l'arrière de la voiture. Le véhicule démarra. A la place avant de droite, Jim reconnut Paulo Beni. L'homme était petit, gras, et fragilisé et ankylosé par ses soixante dix ans d'âge. Il n'en dégageait pas moins une forte impression, et peu ne surveillaient pas leur langue de peur de la perdre en discutant avec lui.

-Monsieur Corrigan, nous sommes venus vous faire part d'une chose importante, dit Paulo. Il y a longtemps que vous nous êtes redevable d'une certaine somme, et nous sommes venus vous dire qu'il est temps de vous en acquitter. Immédiatement

Jim était pile a l'endroit ou il ne voulait pas s'être. La journée s'était si bien déroulé. Il avait une bonne rencontre avec son patron et avait même déjà commencé à monter son dossier. Il allait faire un gros coup d'argent... et voila que ses créancier l'attendait. Qu'est-ce qu'il allait faire... il n'avais rien sur lui et encore moin chez lui. Il était faucher comme les blés. Mais l'argent s'en venait l'argent était presque à sa porter il le savait. Il se sentit le courage de parler.

Corrigan: AH! M. Beni, quelle belle surprise. Vous avez l'air en forme. Et comment va M. Maroni toujours en bonne santé j'espère? Je euh...

Jim voyait bien que la flatterie ne le mènera nul part... il n'avait provoqué aucune réaction. Ne serait-ce qu'un haussement de sourcils de curiosité.

Jim: Écoutez, je... euh j'allais justement vous appelez...

Paulo: Vous avez l'argent de M. Maroni ?

Jim: Euh en faites non ... je...

Jim sentit un des hommes de mains se crispé et se tourné vers lui.

Jim: non MAIS ATTENDEZ... JE JE... JE VAIS L'AVOIR TRÈS BIENTÔT ! je je...

Il sentit l’atmosphère non se calmer, mais disons stagner... il pris une bonne respiration et continua.

Jim: Écoutez M. Beni, je vais avoir l'argent d'ici la fin de la semaine je vous le promet... vous l'aurez au complet il ne manquera pas un sous. Je suis sur une grosse affaire. Et puis vous savez comme moi que je vaux beaucoup plus cher vivant que mort... ne dit-on pas que les mort ne paie pas leur dette? *rire malaisé*

Mais à qui il pensait??? Faire de blague de mort... DE SA MORT??? Jim tu es un crétin... la ferme la ferme la ferme... Qu'est-ce qu'il donnerais pour une gorgé de Scotch, sa le calmerais... Puis il eu une idée, changer le sujet vers des préoccupations plus importante.

Jim: Et puis c'est dommage car je l'avais votre argent, du moins une bonne partit.. ce sont les hommes de Falcone ils sont passé avant vous... ils ont tout pris. Je... je ne pouvais pas me défendre vous savez comment ils s'ont. Pas des hommes d'honneurs comme vous... ce sont des brutes sauvages..

Pourvut que sa suffise il voulait sortir de la voiture... Une envie pressante l'appelait. Une envie de pisser mortel et un envie de boire qui lui rendait la gorge comme le Sahara... Le stresse c'est se qu'il allait le tuer... sa c'était sur... du moins... il l'espérait.

(((Hors R-P: vue que t'avais fait bouger un peu mon persos j'ai fait un peu parler le tien on se doit plus rien maintenant )))

Paulo Beni eu un sourire, un de ces sourires dont se servent les grands criminels pour exprimer leur superiorité

-Hélas, les ordres de Maroni sont clairs. Il ne vous laisse pas plus trente-six heures pour rassembler cet argent. Et il a bien précisé que quelque soit votre réponse nous ne vous laisseront en aucun cas dépasser ce délai. Je ne peux donc rien pour vous (et de toute façon je n'aurais jamais l'intention d'aider un homme de votre genre en quoique ce soit). Ne protestez pas, ces conditions sont généreuses : réjouissez vous d'être encore de ce monde à l'heure où je vous parle ! Nous n'attendrons donc pas la fin de la semaine, trouvez un moyen d'obtenir cet argent plus tôt, quel qu'il soit ; peut nous importe la manière tant que le contrat est respecté

Mais ce n'est pas tout. Etant donné le retard extrême de votre acquittement, en compensation votre dette est doublée. Vous ne nous devez plus neuf-mille huit-cent dollars mais dix-neuf mille six-cent. Ce n'est pas négociable.

Allons, ne désespérez pas. A Gotham, avec de la volonté on trouve de l'argent n'importe où et quand on veut. Je suis sûr que même vous le pouvez, surtout étant-donné votre habileté. Volez-le, pillez une banque, endettez vous auprès de quelqu'un d'autre, mais ramenez nous cet argent. Trente-six heures mon cher Corrigan !

((( Hors RP, la couleur pour le dialogue c'est toi qui la choisi, moi j'ai choisi Cyan parce que c'est mon avatar mais je te conseille une autre couleur parce que sinon sa va faire confus )))

Citation :

Hélas, les ordres de Maroni sont clairs. Il ne vous laisse pas plus trente-six heures pour rassembler cet argent. Et il a bien précisé que quelque soit votre réponse nous ne vous laisseront en aucun cas dépasser ce délai. Je ne peux donc rien pour vous (et de toute façon je n'aurais jamais l'intention d'aider un homme de votre genre en quoique ce soit). Ne protestez pas, ces conditions sont généreuses : réjouissez vous d'être encore de ce monde à l'heure où je vous parle ! Nous n'attendrons donc pas la fin de la semaine, trouvez un moyen d'obtenir cet argent plus tôt, quel qu'il soit ; peut nous importe la manière tant que le contrat est respecté

36 heures sa raccourcissait les délais de son plan, mais s'il ne buvait pas trop il pourrait s'en charger. De toute manière la plupart de ses falsification peuvent se faire chez lui. Il pourrait peut-être y arriver. Il allait parler mais vue que Beni n'avait pas fini il le laissa continuer

Citation :

Mais ce n'est pas tout. Etant donné le retard extrême de votre acquittement, en compensation votre dette est doublée. Vous ne nous devez plus neuf-mille huit-cent dollars mais dix-neuf mille six-cent. Ce n'est pas négociable.

Jim: 20 000$ Mais je n'aurais jamais cette somme :! ... je suis pas Bruce Wayne. S'il vous plait laisser moi une chance. C'est 2/3 de mon salaire annuel ...

Citation :

Allons, ne désespérez pas. A Gotham, avec de la volonté on trouve de l'argent n'importe où et quand on veut. Je suis sûr que même vous le pouvez, surtout étant-donné votre habileté. Volez-le, pillez une banque, endettez vous auprès de quelqu'un d'autre, mais ramenez nous cet argent. Trente-six heures mon cher Corrigan !

Jim ne dit plus rien... il n'y arriverais pas. Il le savait peut-être que s'il fournissait une assez grosse somme d'ici 36 heures il pourrait gagner du temps. Il allait devoir se retrousser les manches... de toute manière on ne négociait pas avec ces gens la... surtout pas quand on avait les main vide.

Jim: je... je ferai le nécessaire...est-ce que je peux y aller maintenant?

Jim: je... je ferai le nécessaire...est-ce que je peux y aller maintenant?
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Après avoir protesté sur l'impossibilité de s'acquitter, Jim semblait être arrivé à la phase d'acceptation. Paulo Beni sourit intérieurement : assister au spectacle de l'écrasement d'un homme par la puissance de la mafia était toujours aussi agréable. Quand il serait enfin à la retraite, dont la date imprécise approchait, le vieux bras-droite de Maroni aurait à coup sûr de beau moments de nostalgie. Cependant, Paulo ressentait quelque méfiance ; il y avait peut être de l'esbrouffe dans ce changement de conduite soudain de Corrigan. Alors qu'il soutenait qu'il était impossible de rembourser Maroni il y a une minute, voilà qu'il changeait brusquement, et même si c'était prononcé avec incertitude c'était flagrant. Ses dernières paroles étaient-elles honnêtes ? Ne risquait-il pas de s'échapper ? Cette dernière hypothèse semblait pourtant peu probable : renoncer à son métier et ses ambitions ne ressemblait pas à Corrigan. Se cacher d'une organisation criminelle avec les griffes aussi longues que celle des Maroni non plus. Il restait à Gotham, devenu nid de mort et de terreur, parce qu'il avait quelque chose à y faire, comme tous les autres. Il aurait pu s'échapper il y a longtemps, mais il ne l'avait pas fait.

Paulo : Vous pouvez nous quitter, je vous dépose ici même (un endroit tout à fait aléatoire). Nous nous revoyons dans trente-six heures, et cela, que vous ayez l'argent sur vous ou pas. Je vous rappelle que si vous tentez de vous échapper votre châtiment sera... inhumain. Je ne garantis pas que vous en réchapperez si vous arrivez les mains vides, mais nous serons sans doute plus clément. Je vous laisse, à dans trente six heures.

Ah, et une dernière chose mr Corrigan ! Si vous vous acquittez de la dette que vous avez envers lui, Maroni aura aussi un "service" à vous demander. Bonne chance.

Paulo était courtois. Il en était persuadé, on gagnait bien plus le respect de ses amis comme de ses ennemis, de cette manière. Il fut soudain prit d'une pénilbe quinte de toux. Une pointe de colère desespérée s'eveilla en lui ; à son âge, on sentait déja la mort en nous. Cela ne l'empêcherait jamais de rester un homme dangereux, parce que la survie à Gotham l'exige et que les italiens ont ça dans le sang.

Jim descendit de la voiture. Il écouta les mise en garde du vieux mafieux.

Citation :

Vous pouvez nous quitter, je vous dépose ici même (un endroit tout à fait aléatoire). Nous nous revoyons dans trente-six heures, et cela, que vous ayez l'argent sur vous ou pas. Je vous rappelle que si vous tentez de vous échapper votre châtiment sera... inhumain. Je ne garantis pas que vous en réchapperez si vous arrivez les mains vides, mais nous serons sans doute plus clément. Je vous laisse, à dans trente six heures.

Évidemment il ne se sauverais pas. Il savait très bien qu'a moins d'être sous la protection constante d'un super-héros.. on échappe pas a Maroni. On échappe pas plus a Falcone mais pour l'instant de ce coté sa semble assez calme. Ils doivent avoir d'autre problème que collecter un petit policier du coin. Il s'arrangerais... du moins il ferait son possible pour avoir une somme conséquente.

Citation :

Ah, et une dernière chose mr Corrigan ! Si vous vous acquittez de la dette que vous avez envers lui, Maroni aura aussi un "service" à vous demander. Bonne chance.

Corrigan fit un signe de la tête et se mis a marcher vers chez lui...

Jim en pensé: Tu peux bien te faire foutre pour ton service... si ma dette est payé tu pourra te torcher avec ton service... sinon ... sa me fera un moyen de négocier...

alors jim, quand est ce qu'on la continu cette histoire ?