Jimmy était assied au comptoir, il avait dans les mains une vielle réplique d'un camion de Coca-Cola des années 50. C'était une petite pièce de collections qu'il avait racheté dans la matinée sa ne valait pas extrêmement cher mais c'était somme toute très attrayant. Il le metterait sur une étagère derrière le comptoir sa ferais jolie avec les couleurs rouges. Mais bon elle avait besoin avant tout d'un bon nettoyage. Cette maquette devait être dans un sous-sols ou un grenier car elle était très sale et plein de poussière. Jimmy le frottait avec une petite lingette et du peroxyde. Pas trop fort pour ne pas faire lever la peinture et pas trop de peroxyde pour ne pas corrompre la couleur originel.

Depuis que l'injustice society était mis en place les moments du coté commercial du Bazar était devenu des moments de repos. C'était pas une boutique particulièrement achalandé mais elle s'auto-suffisait. Le problème était qu'il y avait beaucoup d’entrant peu de sortant, mais bon avec tout se qui c'était passé dernièrement c'était un peu normal. Les gens quittait la ville, du moins en partit, et se débarrassait de leur "surplus". Les boutiques comme le Peake Bazar profitait pour se faire un bon fond de commerce dans ses temps la. Mais bon avec l'élection du nouveau maire et la faim d'arkham city, Jimmy avait bonne espoir de revoir le commerce stimuler et ainsi les chercheurs de trésors et les collectionneurs reviendrait au Peake Bazar et sa lui permettrait de refaire de l'argent... en fait dans la partit légal du Peake.

Jimmy: Voila... toute propre.

Il se retourna trouva de la place sur la petite étagère derrière lui. Il la positionna en plein centre. A sa droite il y avait un vieux pistolet à percussion, il était dans un état excellent bien que selon Jimmy il ne fonctionnais plus. Il avait lui même reteint la cross pour aller chercher l'aspect d'origine et avant nettoyer la rouille avec de l'alcool et avait lustré le tout. Il semblait presque neuf si ce n'était pas de la moitié des armoiries manquantes sur la cross. Jimmy n'avait pas jugé bon de poussé plus loin la recherche. À la gauche du petit camion, il y avait une balle de baseball avec la signature de Jo Di Maggio. Elle valait une véritable petite fortune. C'était une balle en bonne état et la signature était très visible. Elle n'avait probablement jamais été utilisé pour jouer mais sa valeur n'en était pas moindre. C'était d'ailleurs de la peur de perdre se genre d'objet que Jimmy gardait toujours un fusil à pompe sous le comptoir, après tout c'était Gotham. Il entendit la sonnette de la port sonné et se retourna pour accueillir son client.

*cli, cling*

Jimmy: Bonjour cher client, bienvenu au Peake Bazar, comment puis-je vous aider?

Cella faisait maintenant près d’un an que je n’avais pas mis les pieds dans un bazar ou autres boutiques dans le même genre. Cette sensation si magique, si agréable de se promener et de respirer les odeurs et les doux parfums de ce type d’endroit.

Mortimer :Bonjour !

Wow, tant d’objets, tant de diversité, des sentiments que je pensais avoir oublié et refouler en moi refond maintenant surface. Pourquoi les garder en moi tant de temps, rien ne bat le fait de se promener et de visiter ce genre d’endroit, mais surtout des procédés. Maintenant, que les temps sont plus difficiles il m’est maintenant impossible de me les procurer. C’est en passant mes doigts et en touchants tous ces magnifiques objets, que soudain naquit en moi un sentiment de les emporter.

Mortimer : Vous avez vraiment de très beaux articles dans votre magasin.

Non retiens-toi Mortimer, il y a beaucoup trop de monde ici, tu ne peux pas faire cela, retiens-toi, attend le moment opportun. Ce travail est fait pour Le Cavalier, il est maintenant temps qu’il revienne. Les sensations de posséder ses objets sont tout simplement incroyables.

Mortimer :Bonjour gent dame, après-vous ! (Dis-je à une femme qui voulait à la caisse pour payer son article).

Il va falloir que je revienne à quelques reprises question de pouvoir pleinement prendre connaissance des lieux et ensuite éventuellement faire ce que je sais faire de mieux, c’est-à-dire les voler. L’idéal serait de me lier d’amitié avec le propriétaire.

Mortimer : J’aime bien ce que vous tenez en magasin j’aimerais bien en connaître un peu plus sur ce que vous avez. Je suis moi aussi un grand amateur de ce genre d’élément. J’ai moi-même déjà possédé un tel d’endroit, sauf que j’étais plus dans le domaine de l’encan.

2 clients entrèrent en même temps dans le bazar. Un dame entra suivit d'un homme. Apparament l'homme lui avait tenu la porte pour lui permettre d'entrer. Un petit geste de galanterie qui amusa Jimmy. La dame devait avoir une 30 aines d'années. Elle n'avait pas l'air bien riche. Jimmy croyais qu'elle venait lui vendre quelque chose mais non elle entra dans une allée. Jimmy fit garda le sourir tout en se frottant les mains avec le torchon qu'il avait utilisé une petite minute auparavant. L'homme aussi avait disparu dans les rangés. Un homme plus chic plus raffiné. Un chercheur de trésors sans doutes ou un collectionneur. C'est gens était toujours très payant. L'homme se promenais dans les rangés regardant avidement chaque objet. Oui Jimmy le sentait bien une grosse vente à l'horizon.

Citation :

Mortimer : Vous avez vraiment de très beaux articles dans votre magasin.

Jimmy: Merci beaucoup. Vous savez se qu'on dit, les déchets des uns sont les trésors des autres et ici j'ai les plus beau trésors de Gotham. En fait pour ceux qui savent les voir bien sûr

La Dame se rapprocha de la caisse avec une petite poupée de chiffon dans les mains. Elle était venu chercher un petit cadeau de fête pour sa petite fille apparemment. Jimmy était très sensible à se genre de personnes, elle lui rappelais sa mère. C'était une petite dame au regard enjoué mais qui semblait avoir enduré la guerre dans une vie qui normalement ne devrait pas en avoir vue autant. L'homme la laissa passer. Jazzman pris un peu de son argent mais pas au complet...

Jimmy: Je vais vous faire un prix ma petite dame. Comme sa la prochaine fois vous penserai encore moi

Jazzman faisait exprès de ne pas lui donner. Ces gens avait aussi leur fierté. Lui donné sa aurait été de la charité, mais lui faire un prix pour fidéliser sa clientèle c'était un bon plan. Il l'aidait et dans les yeux de la dame il vit qu'il avait fait la bonne chose. Elle ne semblait pas insulter mais très contente. À Gotham la vie était dure et c'était les gens pauvres qui subissait le plus les douleurs, pas les gens comme Wayne ou Daguett... ces multi-millionnaires se foutais bien des pauvres gens. Wayne donnait bien des sous à la charité mais Jimmy était persuadé qu'il le faisait pour blanchir de l'argent à l'impot. Mais ses pensées furent troublé par la petite sonnette de la sortit quand la dame franchi la porte, et surtout avec les paroles de son autre client.

Citation :

Mortimer : J’aime bien ce que vous tenez en magasin j’aimerais bien en connaître un peu plus sur ce que vous avez. Je suis moi aussi un grand amateur de ce genre d’élément. J’ai moi-même déjà possédé un tel d’endroit, sauf que j’étais plus dans le domaine de l’encan.

Jimmy: À un connaisseur, je m'en doutais bien en vous voyant entrer. Et bien j'ai un peu de tout, qu'est-ce qui vous intéresserais? Il se tourna vers son étagère qui sont ses produit les plus proches. Ce pistolet a percussion, bon d'accord il ne fonctionne plus mais C'est pour la collection. Ou encore cette balle qui.... est signé par Joe Di Maggio lui même. Ou dans le fond encore j'ai une guitare en parfait état une neuve ou un des premiers microssillion enregistré par Ray Charles ... Qu'est-ce qui vous ferais plaisir mon bon monsieur? C'est pas du neuf, mais c'est des morceau d'histoire que je vous offre là.

Citation :

Jimmy: À un connaisseur, je m'en doutais bien en vous voyant entrer. Et bien j'ai un peu de tout, qu'est-ce qui vous intéresserais? Il se tourna vers son étagère qui sont ses produit les plus proches. Ce pistolet a percussion, bon d'accord il ne fonctionne plus mais C'est pour la collection. Ou encore cette balle qui.... est signé par Joe Di Maggio lui même. Ou dans le fond encore j'ai une guitare en parfait état une neuve ou un des premiers microssillion enregistré par Ray Charles ... Qu'est-ce qui vous ferais plaisir mon bon monsieur? C'est pas du neuf, mais c'est des morceau d'histoire que je vous offre là.

[justify]Ce pistolet me semblait des plus beaux, la simple sensation de le tenir me faisait revivre en moi des émotions que je croyais perdues. Ah le bon vieux temps du Cavalier, l’action qui ne manquait jamais. Satanée Arkham, il aura fallu que tu soies construite, maintenant que ta fin approche, Le Cavalier se sent plus d’attaques que jamais.

Mortimer :Un tel pistolet doit être dispendieux? En effet les textures du bois dans le manche, la qualité des gravures dans le métal, celles-ci sont tout simplement magnifiques. Bien qu’il y ait un peu de restauration à faire pour le remettre en état de marche. Le Cavalier l’apprécierait beaucoup. Quel est le prix que vous demandez ? Si jamais il est trop cher, Le Cavalier reviendra le voler. En passant je me nomme Mortimer, lui dis-je en serrant la main du vendeur. Je vais continuer à faire le tour pour voir ce qui pourrait m’intéresser.

Faire le tour du magasin représentait le moment idéal pour Mortimer afin qu’il repère les alentours et les systèmes de sécurité. C’est à ce moment même que son regard croisa celui d’une épée. C’était la plus belle qu’il n’avait jamais vue dans sa vie. Les yeux de Mortimer se mirent à briller, c’était une lumière qui n’avait pas été présente chez ce dernier depuis de nombreuses années. Mortimer fut pris d’une si forte émotion qu’une petite larme effleura son visage. Tant de souvenirs, tant de bonheur refirent surface en même temps. Il venait de trouver l’objet de ses rêves.

Mortimer prit l’épée dans ses mains, il se mit à toucher les différentes gravures qui ornaient cette dernière, elles étaient toutes plus belles les unes que les autres. L’épée était en parfaite condition, la lame dans sa perfection reflétait le sourire enfantin qu’esquissait Mortimer sur son visage. Il avait trouvé l’épée de sa vie, l’épée parfaite pour Le Cavalier. Il serait prêt à tout pour l’avoir en sa possession.
[justify]

Il était content de voir qu'il s'adressait à un connaisseur. C'était très rare dans un bazar comme le sien de pouvoir tenir ce genre de conversation avec quelqu'un. Jimmy allait lui répondre, mais l'homme repartit dans les rangées. Ces collectionneurs ils étaient tous comme ça lorsqu'il flairait des affaires ils ne pouvaient s'empêcher de fouiner, de regardez chaque objet, de décortiquer chaque espace à la recherche de la perle rare. Mais bon Jimmy profita de l'occasion pour réexaminer ce pistolet. Il pourrait valoir beaucoup quand même. Si seulement il avait les armoiries... si ça appartenait par exemple à une riche famille britannique, il ferait beaucoup plus d'argent. Mais bon il décida d'y aller avec un tarif de base après tout cet homme pourrait bien lui rapporter une petite fortune. Il parla un peu plus fort.

Jimmy: Humm Pour le Pistolet M. Mortimer j'en demanderais 1500$ une occasion d'affaires. Si vous parvenez à découvrir à qui l'armoiries appartiennent, votre objet prendra encore plus de valeur.

Apparemment Mortimer ne l'écoutait plus du tout. Il était absorbé par un autre objet. Une vieille épée, une antiquité qui était dans son magasin depuis longtemps. Il en demandait trop cher probablement. Mais c'était une lame de grande qualité bien faute. Pas une fois il ne l'avait aiguiser et elle restait coupante comme un rasoir. La rouille ne l'avait pas atteint. C'était un bon vieux fleuret de l'époque des mousquetaires une arme comme on en voyait rarement. Elle était quand même grande un vol à l'étalage était peu probable, mais Jimmy avait appris avec le temps que rien n'était impossible. Il n'aimait pas que les clients s'éternisent dans les rangées surtout lorsqu'il restait immobile comme sa Jazzman soupçonnait toujours quelque chose.

Jimmy: Monsieur Mortimer pourriez vous remettre l'épée à sa place ou venir me la porter à l'avant pour une estimation?

La sourde oreille encore absorbée par l'arme. Jimmy n'avait qu'une vue de dos sur l'homme. Ça commençait sérieusement à le gonfler. Ce type se point dans sa boutique et l'ignore et malgré son allure plus que convenable il n'avait pas encore vu un billet. Il ne faisait que demander prix et se foutre de sa gueule. Si ça se trouvait, c'était de l'espionnage commercial. Peut-être un de ses bazars du vieux Gotham, mais merde... qu'est-ce qu'il foutait avec cette épée. Jimmy lança sur un ton autoritaire.

Jimmy: HEY! Vous pouvez remettre l'épée sur les rayons qu'on puisse revenir à nos affaires !

Citation :

Jimmy: Humm pour le Pistolet M. Mortimer j'en demanderais 1500$ une occasion d'affaires. Si vous parvenez à découvrir à qui l'armoiries appartiennent, votre objet prendra encore plus de valeur.

Le prix demander pour le pistolet était beaucoup trop cher pour mes moyens, comment pourrais-je faire pour me le procurer, la crise m’a laissé sans le sou. Il doit y avoir une solution possible. Devrais-je me remettre à voler, ici, maintenant, en plein jour.

Citation :

Jimmy: Monsieur Mortimer pourriez-vous remettre l'épée à sa place ou venir me la porter à l'avant pour une estimation?

Et cette épée c’est elle que je veux, si le pistolet est aussi cher je ne m’imagine même pas celui de celle-ci. Il faut que je quitte avec, le vendeur ne semble pas difficile à berner, il doit y avoir de quoi à faire. Voler ou ne pas voler, pourtant cette épée est parfaite, enfin avec celle-ci je pourrais être à nouveau le Cavalier. En plus, il ne reste personne dans le magasin autre que ce Jimmy, je ne crains rien, si je reste assez discret je ne devrais pas avoir de problème.

Citation :

Jimmy: HEY! Vous pouvez remettre l'épée sur les rayons qu'on puisse revenir à nos affaires !

Le jeu en vaut la chandelle, je vais discrètement la dissimuler, je pourrais toujours le distraire et détourner son attention de toute façon la porte n’est pas loin, j’ai toutes les chances de mon côté, en plus c’est un excellent moyen de ce remettre dans le bain et revivre toutes ces sensations fortes, qui n’étaient jusqu’à présent que du passé. Je pense bien avoir trouvé le bon stratagème.

Mortimert : Désolé, j’étais parti dans mes pensés sa devait être cette magnifique épée est tout simplement sublime. Je pense que je reviendrai une autre journée, je ne prendrai pas le pistolet, du moins pour le moment, il en va de même pour l’épée, je vais la replacer sur le présentoir, désolé d’avoir pris de votre temps.

Excellent la stratégie semble avoir fonctionné, il va reporter le pistolet à son endroit initial. C’est maintenant ou jamais pour partir avec l’épée, il ne reste plus qu’à agir naturellement. Plus que quelques pas avant la réussite.

Trop tard, il a vu que l’épée n’est plus là, je n’ai le fois il est armé, et il pointe son fusil droit sur moi, il est toujours possible de sauver la situation.

Mortimert : On dirait bien qu’il y a un petit problème, vous avez votre fusil pointé directement à ma personne et moi j’ai l’épée sous votre cou. Serions-nous dans une impasse ? Je pense bien que oui, je n’y vois qu’une seule solution.

Enfin il bougeait. Sortit de sa torpeur probablement pas son ton agressif le cavalier revenait vers le comptoir. Mais c'est bien se qu'il craignait il essayait de lui dérober l'épée. Peu subtil, le Cavalier s'approchait vers le comptoir et regardait toujours ver la sortie... il tenterait de filer rapidement.. Cela aurait pu marcher contre un petit magasinier de quartier, mais contre Jazzman... aucune chance. Il avait été dans le vole toute sa vie même avant d'avoir le nom de Jazzman et son commerce. Il avait été un des principaux voleurs de la famille Galente. Il rapportait beaucoup d'argent, il connaissait tous les trucs ou du moins il le croyait. Alors ce petit truc du hit-and-run ne le bernerait certainement pas.

Citation :

Désolé, j’étais parti dans mes pensés ça devait être cette magnifique épée est tout simplement sublime. Je pense que je reviendrai une autre journée, je ne prendrai pas le pistolet, du moins pour le moment, il en va de même pour l’épée, je vais la replacer sur le présentoir, désolé d’avoir pris de votre temps

Jimmy souriait toujours il se retourna pour placer le pistolet d'une seule main de l'autre il descendit une main en dessous de son comptoir. Il avait un 12 à pompe sciée. Il s'en était servi contre l'Augure. Il ne pensait pas devoir le ressortir maintenant, mais bon apparemment ce Mortimer le prenait pour un abruti. Le gérant du bazar gardait un oeil sur Mortirmer lorsqu'il se tourna pour repartir Jimmy avait eu le temps de déposé le pistolet de collection.

Tout se fit très rapidement. Jimmy posa agrippa le bras de Mortier fortement et le força à se retourner. : Hey !. Dans un même geste, il leva son fusil de chasse modifier à la hauteur du coeur de Mortimer. Mais celui-ci avait plus d'un tour dans son sac apparemment. En le retournant face à lui, il vit la lame de sa propre épée monter rapidement vers sa gorge et s'arrêter au niveau de la trachée. Les yeux dans les yeux les deux hommes se menaçaient l'un l'autre, ils étaient dans se qu'on appelle, un piège mexicain... les deux était théoriquement mort.

Citation :

On dirait bien qu’il y a un petit problème, vous avez votre fusil pointé directement à ma personne et moi j’ai l’épée sous votre cou. Serions-nous dans une impasse ? Je pense bien que oui, je n’y vois qu’une seule solution

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Jimmy sourit. Un de ses petits sourires narquois qui ne devrait pas se retrouver sur le visage d'un homme pris au piège. Un petit sourire qui veux dire: Tu crois connard?

Jimmy: En fait non... Vous êtes dans une impasse... pas moi.

Avec son bras disponible, il avait appuyé sur la petite sonnette. Normalement cette sonnette ne servait que les journées ou Jazzman recevait de gros arrivages, pour avertir les membres de l'I.S.G. qui vivait en arrière qu'il avait besoin d'aide pour décharger le camion. Mais aujourd'hui aucun arrivage n'était prévu. Il ne savait pas qui viendrait l'aider, mais il espérait qu'il comprenne que ce n’était pas normal. Surtout que Jimmy avait appuyé deux petits coups ce qui était un petit code préétabli depuis l'histoire de l'Augure. Oui là il espérait un petit coup de main.

Accroupi devant le frigo situé dans l'arrière boutique du Peake Bazar, 8-Pool regardait quelle boisson pourrait bien aller avec un sandwich au beurre de cacahuète. Bien que n'habitant pas à l'arrière du magasin, comme d'autres membres de l'I.S.G., le truand au visage peint d'une tête de mort avec un huit au milieu du front y passait de temps à autres pour manger un morceau en compagnie de certains de ces collègue ou, comme aujourd'hui, quand il n'y avait plus rien dans le réfrigérateur de son appartement. Ainsi, l'ancien sbire du Joker était planté devant un pack de bière, quelques canettes de soda et une bouteille de boisson énergisante. Cherchant à récupérer une forme athlétique et étant déjà assez énergétiquement chargé, les réflexions de 8-Pool le tournèrent rapidement vers le choix le plus logique : une bière bien fraîche.

Il se releva alors, ferma le frigo et se dirigea vers la table où l'attendait son sandwich. Durant le trajet, il porta sa boisson à sa bouche et tenta de la décapsuler avec les dents. Malgré toute la force de son émail et de sa volonté, le bouchon offrit une grosse résistance. Un combat enrager s'engagea alors entre les molaires du truand maquillé et le morceau de métal. Un duel qui dura jusqu'à l'arrivée de l'ancien homme de main du clown prince du crime à sa table. Pendant plusieurs minutes, l'affrontement était à son comble, aucun des ennemis ne voulant céder un millimètre à l'autre, du moins jusqu'à ce que 8-Pool ne décide de faire une pause. Ce dernier prit alors une bouchée de son sandwich et le mâcha avec délectation avant de revenir au face à face avec sa bouteille. Prenant une profonde respiration, le truand s'apprêta à remordre la capsule quand, tout à coup, une sonnerie retentit dans l'arrière boutique.

En fait d'une sonnerie, elles étaient plutôt deux, de la même tonalités et assez courtes dans la durée. Grattant son crâne chauve, 8-Pool se souvenait qu'il s'agissait d'un code mis en place par le Jazzman. Malheureusement, comme il avait une mémoire à peine meilleure que celle d'un poisson rouge, il ne se souvint pas de la signification du signal. Néanmoins, il se rappelait qu'une seule sonnerie signifiait qu'il y avait une grosse quantité de marchandises à la boutique. Il pensa donc qu'il y avait un rapport et décida de se rendre dans l'autre partie de la boutique discrètement. Après tout, si jamais il s'agissait d'une erreur, le truand n'avait pas envie de débarquer devant d'honnêtes clients avec un visage grimé comme le sein. Ainsi, sur la pointe des pieds, il laissa son encas et sa guerre sur la table et se dirigea vers la porte menant au Peake Bazar.

Poussant doucement la porte, 8-Pool remarqua que Jazzman avait fort à faire avec un hurluberlu richement habillé. les deux était prit dans une situation que le truand qualifiait de merdique. D'un côté, l'inconnu pointait la pointe d'une vielle épée sous la gorge du Jazzman qui le menait avec un fusil à canon scié. Profitant du fait que personne ne l'ai encore remarqué et que son recruteur n'était pas en contact physique direct avec son agresseur, le truand retira l'un de ses gants qu'il portait en permanence. Il se faufila ensuite dans le dos de l’épéiste, fit un signe de la tête au commerçant et passa à l'action. Il fit ainsi quelques petits gestes discrets pour imiter un artiste martial, puis il appliqua délicatement la paume de sa main non-gantée contre la nuque de l'inconnu. Certes le mouvement était trop peu violent pour assommer qui que ce soit, mais le courant de 50000 Volts qui parcourait en permanence le corps de l'ancien sbire du Joker aller avoir le même effet qu'un tazer.

Électrocutant donc l'inconnu pendant plusieurs secondes, assez pour l'envoyer dans le pays des rêves, 8-Pool finit son mouvement en refaisant quelques mouvements s'apparentant plus ou moins à du kung-fu. Bien que son problème de courant venait d'une expérience ratée sur lui, il faisait croire à tout le monde que sa manière d'assommer ses adversaires rien qu'en les touchant lui avait été enseigné par un maître en art-martiaux. Il trouvait que ça faisait beaucoup plus cool. Une fois l'inconnu à terre, 8-Pool remit son gant, plaqua son genou contre le dos de sa victime, le désarma et lui maintint les bras. Il regarda ensuite Jazzman et lui demanda :

"Ziva, c'est qui c'type ? Pourquoi il menace les gens comme ça ? Jazzman, t'veux qu'en fasse quoi ?"

[HRP : voilà, n'hésitez pas à me dire si y a un truc qui vous gêne dans mon post, je le modifierai^^]

Jazzman avait vu 8-Pool se faufiler derrière Mortimer puis le mettre K.O. Il était drôlement content de le voir là. Un piège comme celui-là ce n’était vraiment pas de ceux qu'il aimait. Il sourit à 8-Pool qui semblait un peu bête devant la situation... bon, aussi devant l'éternel, mais on s'en foutait. Dans la situation actuelle, c'était le héros de la journée. Jimmy pris le temps de serrer son fusil et saisit l'épée que le sale petit voleur avait essayée de lui dérobé. Il réfléchit un petit peu en déposant l'épée sur le comptoir, puis il regarda 8-Pool qui lui parla dans sa poésie habituelle.

Citation :

"Ziva, c'est qui c'type ? Pourquoi il menace les gens comme ça ? Jazzman, t'veux qu'en fasse quoi ?"

Jimmy: Je sais pas mon vieux, mais une chose est sur je vais le savoir. Amène le à l'arrière et ligote le à la chaise je vais fermer le magasin et on va lui "parler" un peu. À et merci en passant ta vraiment sauver la situation j'apprécie.

Il regarda 8-Pool agripper l'individu par le collet de sa chemise et le traîner sur le plancher vers l'arrière-boutique. Il disparut derrière la porte réservée aux employés. Jimmy lui se dirigea vers la porte. Il avait été chanceux qu'aucun client n'arrive durant l'altercation, parce qu'une attaque comme ça... ça peu nuire aux affaires. Il s'approcha donc de l'entrée/Sortie et tourna le loquet. Il tourna également la pancarte indiquant fermer. Il prit le temps de retourner à son comptoir se saisit d'un crayon noir et écrivit et en grosse lettre sur un papier blanc : De retour dans +/- 30 minutes. Désolé. Il prit un morceau de ruban adhésif et alla coller le morceau de papier dans la porte. Par la suite il se dirigea vers la porte de l'arrière-boutique en se saisissant de l'épée, objet du litige.

Une fois de l'autre côté il remarqua que 8_pool avait exécuté sa tâche et qu'il semblait boire une petite bière.

Jazzman: Très bonne idée ça mon cher ami.

Il se dirigea vers son frigidaire et prit une bière à son tour. Il se posa la question s'il enfilait son costume ou non avant de réveiller Mortimer. Puis il se dit qu'au final, ce petit truand devait voir comment on punissait son crime. Les bannières de l'I.S.G. flottaient comme toujours sur le mur du fond. En buvant une gorgée de sa bière, il s'approcha de 8-Pool.

Jazzman: bon je vais le réveiller et lui parler... et s'il m'énerve tu pourras t'amuser un peu avec lui sa te va?

Il ne prit pas la peine d'écouter la réponse puis se dirigea vers le petit lavabo. Il pris un sceau en dessous qui servait essentiellement à contenir de l'eau sale pour quand il se décidait de passer la serpillière. Il restait d'ailleurs encore un fond d'eau dégueulasse, mélangeant savon et saleté ça serait suffisant. Il prit le seau d'eau et se rapprocha du voleur. Il prit un petit élan et vida le contenu du sceau en plein visage de Mortimer.

Jazzman: Allez on se réveille ! Bonne nouvelle t'es pas à la police, mauvaise nouvelle, tu n'es PAS à la police....

[[ HRP: Dan, j'ai fait bouger un petit peu 8-Pool mais si ya un problème quelconque hésite pas à me le dire j'éditerai ]]

Citation :

Jimmy : Allez on se réveille ! Bonne nouvelle t'es pas à la police, mauvaise nouvelle, tu n'es PAS à la police....

Mortimert : Mais que venait-il de se passer, une seconde je suis debout et j’ai ce simple commerçant à la gorge avec son épée et l’autre je suis ligoté à une chaise. La seule chose à dire face à la tournure des évènements, c’est que ce fut un lamentable échec.


En effet, Mortimert qui pensait avoir bien réussi son coup se rendit compte que ce ne fit pas du tout le cas. Alors que celui-ci tenait en joue le Jimmy, il fut soudain attaqué par dernière. Celle-ci fut si soudaine et rapide qu’il n’eut jamais le temps de voir son assaillant. Le dernier souvenir qu’il lui restait de l’altercation était un énorme choc électrique qui lui parcourra le corps, ensuite plus rien, le noir total, jusqu’à son réveille.


Il était maintenant rendu dans l’arrière-boutique du magasin, ligoté à une chaise et plutôt sonner de la situation. De plus, se dressaient maintenant deux hommes devant lui, dont un lui était familier, il s’agissait de Jimmy le propriétaire de la boutique, mais l’autre lui était totalement inconnu, tout ce qu’il se disait était qu’il semblait imposant et dangereux. Pour ajouter l’insulte à l’injure, ces deux derniers buvaient tranquillement une bière froide, comme si la situation ne les avait pas du tout ébranlés.


Mortimert : Que voulez-vous dire par : tu n’es PAS à la police, cela veut-il dire que vous allez me battre et me faire mal ? Ça ne sert à rien d’essayer de me détacher je suis ligoté beaucoup trop serré. Il faut que je trouve un moyen de fuir sinon je ne donne pas cher de ma peau. Et vous qui êtes-vous, vous n’étiez pas dans le magasin tout à l’heure d’où sortez-vous, dis-je à l’imposante personne. Il faut que je négocie quelque chose c’est le seul moyen pour que je puisse me sortir indem de cette situation. Je suis convaincu messieurs que l’on peut s’arranger, nous sommes tous des gentlemans, du moins moi j’en suis un et je suis persuadé que vous aussi. La violence ne ressoudera en rien notre problème, vous ne pouvez me garder éternellement ici, je suis certain qu’un compromis est possible. J’espère que cette stratégie fonctionnera, parce que disons que pour le moment mon taux de réussite est plutôt bas, voir même nul. Il faut que je puisse sortir d’ici en seul morceau. Autres que l’armoire à glace, ils n’ont pas l’air de personnes méchantes, ce n’est qu’un coup de chance qu’ils aient réussi à m’avoir ainsi. C’est maintenant que je me rencontre que j’ai perdu de mon talent et de ma force, ce congé ne m’a vraiment pas aidé.


Mortimert devait trouver une solution, il devait se comporter en véritable gentleman peut importe la situation cela allait de soit. Ce n’est pas vrai non plus que ce dernier serait violenté ou même tué par le simple propriétaire d’un magasin de brocantes et de son fier-à-bras. Une telle situation n’est pas digne d’un homme de sa stature et qu’en serait-il du Cavalier. Celui-ci aussi ne peut mourir, il est la raison d’être de Mortimer, le Cavalier ne peut mourir dans la simple arrière-boutique d’un magasin.



En regardant autour de lui pour repérer les lieux, Mortimer se rendit compte qu’il y avait une bannière l'Injustice Society of Gotham accrocher au mur. Mais que cela voulais bien dire, c’était la première fois qu’il les voyait. Étais-ce un groupe comme Vision Mondial qui aide les enfants d'injustices, justement ils ont l'air de deux personnes victimes d'injustices, justement ils nous font vivre une injustice...celle d'avoir été mis au monde, cette petite phrase que se dit Mortimert dans sa tête lui fit esquisser un sourire en coin, comme quoi il faut parfois rire de sa situation. En même temps Mortimer ne se fiait qu’à la première apparence, car cela pouvait totalement être l’inverse qui sait, une chose est certaine c’est que pour le moment la priorité de celui-ci était que quitter au plus vite ce lieu en un seul morceau dans l’espoir de ne plus jamais revoir ces personnes, tout simplement.

(si jamais il y a quoi que ce soit qui vous dérange faite mois signe et je le modifierai)

Jimmy regarda le petit vaurien qui avait essayé de le voler. Il parlait de Gentleman, de bonnes manières, de façon de vivre... de connerie en bref. Quand on venait d'essayer de voler un petit commerçant, on ne donnait pas des leçons de conduite aux autres. Jazzman n'aurait jamais fait un truc pareil. Les petits commerçants l'avaient assez difficile comme ça on allait pas commencer à leur cassé la gueule pour des broutilles. Il regarda 8-Pool sans changer la physionomie de son visage. Il but une gorgée de sa bière puis déposa sa bouteille. Il s'approcha de l'individu ligoté sur une chaise qui venait de se débrouiller et qui essayait de se la jouer. Il plaça son pied sur le torse du cavalier et poussa. Ce dernier se retrouva par terre. On avait entendu la tête se cogner sur le plancher du QG de l'I.S.G. Jazzman le repris par sa couette et le releva par les cheveux. Puis se mit groupie pour avoir Mortimer droit dans les yeux.

Jimmy: alors Mortimer, on se permet d'entrer dans un magasin de quartier et d'essayer de volé quelque chose, et lorsque celui-ci te remarque tu le menaces de le tuer. Beau gentleman. Si au moins tu avais l'intelligence de savoir à qui tu t'étais attaqué. J'imagine que tu es trop centré sur ta petite personne pour nous connaître. Alors, je vais t'apprendre la vie un petit peu.

Il prit la couette de Mortimer et tira vers l'arrière. Il se rapprocha et lui parla à l'oreille directement.

Jimmy: alors écoute moi bien comme il faut. Depuis que la prison quartier existe, Gotham est libre. Maintenant c'est notre terrain de jeux. L'injustice Society of Gotham est l'organisation de supercriminel la plus forte de Gotham. Alors avant d'attaquer un petit commerçant, renseigne toi dont pour savoir ou tu attaques, Morti.

Il relâcha la tête de Mortimer puis se retourna et marcha tranquillement vers 8-Pool. Il sortie un petit mouchoir de sa poche en marchant il essuya ses mains pleines de graisse capillaire et de sueur. Puis il reprit sa place à côté de 8-Pool et reprit une gorgée de sa bière.

Jimmy: Ce pendant mon petit Morti tu a raison, je ne peux pas te garder ici indéfiniment. De 1. j'ai besoin de cette chaise pour les réunions du groupe de 2. Si je te laissais assis la Flamingo finirait par te bouffer le visage et tu voix j'aime pas trop son petit coté "gore". Mais en même temps malheureusement pour toi, je me suis senti bavard aujourd'hui, et tristement tu en sais trop. Tu voix mon problème?

Jimmy reprit une gorgé de bière regarda 8-Pool: Il est à toi...

En reposant sa bière il chuchota juste assez fort pour que 8-Pool l'entende: brasse moi le, mais tue le pas... je veux juste qu'il soit assez peur pour la fermer.

Une maîtrise de voleur et une séance de ligotage plus tard, 8-Pool avait enfin réussit à décapsuler sa bouteille de bière et pouvait la déguster en même temps que son sandwich. Assis sur une table en face de l'hurluberlu et à côté de Jazzman, il restait assez fier de lui. Après tout, il arrivait à paraître impressionnant physiquement alors qu'à côté de ses collègues, à l'époque où il bossait pour le Joker, il faisait petit gringalet, preuve que son utilisation des quelques engins de musculations de l'I.S.G. était plutôt bonne. Silencieux dans son coin, le chauve maquillé regarda Jimmy réveiller le voleur. Ce dernier tenta alors de négocier pour sa vie, ou du moins sa pleine santé physique. Enfin, il posa d'abord une série de questions montrant qu'il n'avait pas l'air plus malin qu'8-Pool. Après tout, même ce dernier avait compris où voulez en venir Jazzman avec ses envolés lyriques. Quoiqu'il en soit, l'homme ligoté demanda l'identité de l'ancien sbire du Joker. Et celui-ci lui répondit après une gorgée de bière :

"Je suis passé par c'te grande invention appelé la porte, gars. Hey Jazzman, il ne semble pas très malin c'gars là."

Tout en prononçant ces dernières paroles, 8-Pool tourna la tête vers Jimmy et attendit une réponse. De son côté, le gérant du Peake Bazar commencer à violenter le dénommé Mortimer tout en lui expliquant la gravité de son erreur. Fallait dire que le voleur avait bien le droit à une mise au point, histoire qu'il sache pourquoi son audace et son courage allé être récompensé à coup de poing dans les gencives. Toujours à la même place, l'ancien sbire du Joker aurait préféré que le moustachu soit éliminé avant d'avoir pu ouvrir la bouche. Le chauve connaissait ce genre d'escroc, tentant de proposer tout et n'importe quoi pour être libéré et mettant, quelques temps plus tard, ses anciens kidnapper dans la panade. Une langue de vipère en quelque sorte. Par chance, Jazzman ne semblait pas vraiment prêt à négocier.

Après s'être un peu amusé avec Mortimer, le créateur de l'I.S.G. se dirigea vers le chauve en expliquant qu'il ne pouvait garder le prisonnier indéfiniment pour des raisons pratiques et de nettoyage. Oui, car Flamingo n'était pas du genre à nettoyer après qu'il se soit défoulé sur quelqu'un et le sang ce n'était pas braiment le plus pratique à retire, même si, pour 8-Pool, une flaque de sang séché en plein milieu du QG pourrait faire bien classe. Bref, Jimmy fit décrocher un sourire malsain à l'ancien homme de main du clown prince du crime quand il déclara qu'il faudrait faire taire Morti. Il laissa ensuite le feu vert au chauve pour qu'il puisse à son tour user du nouveau punching-ball. Avec un large sourire en travers du visage, il laissa Jazzman lui causer à l'oreille et répondit à haute voix :

"T'en fais pas Jazzman, je garde justement quelques trucs sympa pour ce genre de situation. Ça va saigner."

Descendant de sa table, 8-Pool passa à côté du prisonnier, étendu par terre, et remit sa chaise debout. Il emporta ensuite sa bouteille de bière qu'il vida dans un gobelet sur un plan de travail. Il se baissa ensuite et ouvrit un placard duquel il sortit deux objets pour le moins étrange : une batte de cricket et une queue de billard. Il embarqua les deux avec sa bouteille vide et posa le tout sur la table en face de Mortimer. Il garda néanmoins la canne de billard dans les mains et commença à la faire tourner autour de ses mains avec une dextérité toute relative. Puis, une fois devant sa future victime il lui sourit en lui disant d'air malsain :

"Bien et si on vérifié la solidité de tes os ? Ne t'en fais, ce n'ai qu'un petit contrôle de routine et ça ne sera pas trop douloureux...comparé à ce qui t'attend pour la suite. Bon, j'commence par quoi ? Tiens, pourquoi pas tes bras ? Il te sera moins facile de voler comme ça."

Oui, enfin serait plus difficile pour Mortimer de voler si 8-Pool visait les poignets plutôt que les bras. Toutefois, l'ancien sbire du Joker a choisi et...BAM ! Voilà qu'il a abattu son arme improvisé contre le bras gauche du prisonnier. Tranquillement, il vérifie la canne, tourne autour du voleur et BAM ! Ce coup-ci le bras droit fut victime d'un violent coup. D'ailleurs, un craquement durant le choc laissa passé qu'il y avait eut du dégât, mais de quel côté, les os de Morti ou le bois de l'arme ? Pour en avoir le cœur net, 8-Pool se plaça devant sa victime et le frappa sur le sommet du crâne avec la canne. Cette dernière se brisa alors en deux sur le voleur. Tout en sifflotant, le chauve ramassa les morceau d'objets en bois étant tombé par terre, se dirigea vers la table où il les posa puis, il saisit la batte de cricket. Tout en se retournant et en la tapotant sur son épaule, il lança :

"Alors, Morti ? Prêt à passé au plat de résistance ?"

Les minutes qui venaient de se passer avaient paru une éternité dans la vie de Mortimert, il avait mal à des endroits de son corps dont il ignorait totalement l’existence. Une chose est certaine, c’est que cette personne qui semblait être l’homme de main du propriétaire du magasin n’en était pas à ses premières armes dans son domaine. Si le but de ces deux personnes était de faire passer un message à Mortimert et bien ils avaient réussi. Sa tentative de discussions avait été un lamentable échec. Il est vrai que Mortimert n’était pas très bien placé pour parler de gentlemen vu ce qu’il avait fait, mais qu’importe ce n’était pas du tout la première fois qu’il faisait ce genre de chose dans sa vie. Mortimert devait trouver une solution de sortie et au plus vite, vu le déroulement des choses, il savait que s’il ne faisait il ne lui en resterait plus pour très longtemps.

Citation :

8-Pool :"Alors, Morti ? Prêt à passé au plat de résistance ?"

Mortimert : Kof ! Kof ! Comme on dit il n’y en aura pas de facile me dit-je. En regardant tout autour de moi, je me rendis compte que leur organisation manquait quelque peu de ressource, je suis convaincu que peu faire quelque chose. Je sais ; je vais leur offrir mes services, pas le temps de chercher d’autres solutions, disons que c’est ce qui me manque en ce moment ; le temps. Je me souviens que ce qui me faisant le très plaisir avait c’était l’argent, et disons que mes nombreux vols me l’on bien rendu. Aaaaah, c’était le bon vieux temps, à cette époque je n’avais aucune autre préoccupation que celle de savourer la vie. Bon finit d’errer dans tes pensées Mortimert revient à toi. Propose-leur de voler de l’argent pour financer leurs activités, et comme le dit le proverbe : L’argent fait le bonheur.


Mortimert : Je peux vous dire que vous m’avez convaincu d’une chose jeune homme, c’est que vous avec une bonne paire de bras, vous n’avez jamais pensé à jouer au baseball, hahah ! J’espère qu’une seule chose c’est que cette petite blague détende un peu l’atmosphère qui était ma foi tendue. Farce à part, j’aurais quelque chose de gros à vous proposer, principalement vous Jimmy, vous me sembler être le chef de ce groupe. Tout d'abord avant de vous faire cette offre...je vous en supplie arrêter de me frapper, j'ai mal à endroit dont je ne connaissais pas l'existence sur mon corps, merci. Donc, je vous propose de l’argent, beaucoup d’argent en échange ma libération, cela vous permettrait de financer vos activités quelles qu’elles soient et je ne suis en rien en train de les jugées. Je vous dis tout de suite que me procurer cet argent ne sera en rien un problème pour moi. Je vous promets de respecter mon engagement, je suis un homme de personne, vous pouvez me faire confiance à ce niveau, et ce malgré ce qui vient de se passer. En fait, le montant que vous voudrez sera le mien, quel qu’en soit le chiffre, après tout il n’y a jamais de prix trop élevé pour sauver sa vie.


Avec une telle proposition Mortimert espérait de tout son être que Jimmy allait accepter, car il certain que si ce dernier accepter la proposition faite par celui-ci, sinon il est certain qu’il ne vivra pas les plus beaux jours de sa vie. De plus, si le chef accepte les autres accepteront sans broncher, quelque soit le nombre d’individus dans le groupe, car, Mortimert n’avait aucune idée de l’ordre de grandeur de cette association, son seul souhait était qu’elle était petite, car plus celle-ci serait grosse plus les demandes en argent de Jimmy seraient énormes bien que Le Cavalier soit l’un des meilleurs voleurs de ville sinon le meilleur. Il y a toujours des limites à ce qu’il est capable de faire, il est un humain après tout. Restait plus qu’à attendre la réponse, la balle était maintenant dans le camp de jimmy.

Jimmy ne regarda pas 8-Pool s'exécuter. Il n'aimait pas ce genre de violence gratuite. Mais nécessité est mère d'obligation. Il entendit les coups frappés et Mortimer geindre un petit peu. C'était étonnant normalement les gens se veulent plus locasse quand on les frappe. Ça démontrait une force de caractère importante. Il prit une gorgée de sa bière doucement. Il avait le regard détourné vers le drapeau de l'I.S.G. C'était plutôt inspirant. Malgré que Jazzman ne regardait pas, il entendait..

Citation :

Bla bla bla ... je vous propose de l’argent, beaucoup d’argent en échange ma libération

Il venait d'attirer l'attention de Jimmy. Les yeux balayèrent la pièce du drapeau jusqu'à l'homme qui regardait en sa direction. Les oreilles de Jimmy étaient bien ouvertes et ils avaient les yeux dans les yeux. Jimmy pouvait voir que malgré le ton contenu de l'intervention Mortimer avait les yeux dans l'eau et il saignait de la lèvre supérieure et probablement du nez. Il avait un bizarre de sourire. Un essai de charme probablement, mais dans les conditions actuelles c'était presque nul comme chance. L'ombre de 8-Pool cachait une partie du corps. Il n'y avait pas à dire comme ça au-dessus du cavalier avec sa batte de criquet taché de sang dans la main... il faisait vraiment son effet.

Jazzman écouta les paroles de Mortimer. De l'argent, beaucoup d'argent, en échange de sa vie. Jazzman ne voulait même pas le tuer. Juste l'effrayé. Il n'avait rien a perdre. Ses services, un voleur... humm c'était intéressant. S'il était aussi bon qu'il le disait il pourrait rapporter gros. Jimmy fini sa bière et se rapprocha il se pencha à la hauteur de son "invité". Il lui prit le visage et le jugea d'un oeil. Oui il y avait quelque chose dans l'oeil de ce type qui sonnait le désir de vivre. Il honorait probablement sa parole.

Jimmy: You talk about money... j'aime l'idée. Si 8-Pool est d'accord, et que tu peux rapporter un bon paquet d'oseille, je crois qu'on pourrait avoir un marché. Je tacherai de te trouver quelque chose pour après demain, t'auras qu'a te pointer ici. Tout cela bien sur si 8-Pool avait fini de jouer avec toi.

Jazzman fit un clin d'oeil à l'homme peinturé de noir.

Jimmy: Alors on prend le risque , on le détache et on le relâche? Au pire s'il ne revient pas tu iras avec Flamingo t'en occuper.

Il se retourna vers Mortimer.

Jimmy: ooo et détrompe toi Morti, si tu trouves que 8-Pool ici présent est violent, Flamingo, ça sera l'enfer sur terre.