Jazzman arriva au port avec son nouveau complice Flamingo. Côté discrétion faut avouer que ce gros monsieur habillé en rose ce n’était pas super discret. Mais bon la petite brume qui flottait cette nuit-là au port Adams, devrais leur permettre de passé plus ou moins inaperçu… en fait c’est ce que Jimmy espérait.

Il avait eu vent qu’une cargaison pour le musée de Métropolis faisait était débarqué à Gotham avant d’être réexpédier par camion. Selon ses dires il y avait dans la cargaison un masque aztèque tout en or et selon le site d’enchère illégale consulté par Jazzman il valait un bon pactole… C’est pour cette raison qu’ils étaient là.

C’était la première mission que les deux hommes faisait ensemble Jimmy avait amené Flamingo car on ne savait jamais sur qui on pouvait tomber au Port Adams. Trafiquant de drogue, Flic corrompu ou garde du corps ou même d’autre dégénéré en costume… sa lui ferait de l’aide s’il devait se battre… petit problème il ne pourrait pas utilisés son saxophone pour hypnotisé ses opposants sans touché Flamingo par la même occasion il éviterait donc de se servir de son saxophone de cette façon.

Il regardait la lune se reflétait sur les eaux noir du port et la chanson blue Moon jouer par Art Blake à la trompette c’était un pur chef-d’œuvre de musique… la mélancolie, le son clair de l’instrument l’ambiance, c’était tout simplement une pièce d’anthologie…
Il se retourna vers son complice

Jazzman : Flamingo c’est la cargaison au quai #2 selon mon contact… y aura un jolie paquet pour nous si on réussit ce coup-là

Terré dans les ombres il observait le manège discret des allées et venues sur le port. De nuit, l'endroit paraissait à peu près désert pour l'oeil non exercé mais en réalité il regorgeait d'une activité fourmillante autant que clandestine.
De multiples traffics s'épanouissaient sous une lune indifférente, mais Baseball ne se concentrerait que sur l'un d'entre eux. Depuis quelques jours, les Kildares, le groupe de hooligans qui maintenait désormais un semblant de sécurité dans le quartier Irlandais lui rebattait les oreilles avec un traffic qui empoisonnait leur zone d'influence. Depuis les évenements à Arkham City, Baseball avait pu compter sur leur aide à de nombreuses reprises, leurs anciennes habitudes de violence et de vandalisme s'étaient peu à peu muées en la constitution d'une milice plutôt efficace pour régler des troubles mineurs. Paradoxalement, ces gens se sentaient plus préoccupés par le bien être de leur ville que les prétendus bienfaiteurs de Gotham.
Depuis plusieurs semaines il avait suivi la piste qui l'avait mené au Port Adams. La drogue circulait de nouveau dans le quartier, alors qu'elle avait pour ainsi dire disparu avec la montée de Kildares, et cette fois ce n'étaient plus les vulgaires "drogues douces" dont le commerce restait aussi limité que toléré dans le quartier. Baseball avait remonté à coups de batte un réseau qui distribuait un produit bien plus toxique à la mode, ils l'appelaient Private, comme dans Private Joke et tout laissait penser à un dérivé de la toxine du Joker, version light, qui provocait une euphorie et un engourdissement récréatif chez les usagers. Les types prenaient cette drogue comme un acide, on les trouvait, ô bon goût, sous la forme de petites images colorées à l'effigie du célèbre bouffon, et les gens étaient assez tarés pour s'en procurer !
Baseball se disait qu'il y avait peut-être un lien avec certains arrivages au Port Adams dont l'origine semblait tout à fait louche. Il surveillait les abords d'un conteneur particulier, perdu dans un labyrinthe d'autres similaires quand son attention fut retenue par un curieux mouvement. Il escalada rapidement un lot de caisses en bois, abrité de la lumière et la capuche de sa cape de pluie sur la tête afin d'espionner la scène plus facilement.
Deux personnages dépareillés semblaient chercher quelque chose. L'un était un gros gars en costume rose, un peu comme un animateur de supermarché sous testostérone, et l'autre ressemblait à un spectre armé d'un...saxophone ! Baseball savait qu'il fallait toujours se méfier de ce genre de types. Ce genre de costumes était soit un signe de folie pure en ce lieu, soit d'extrême dangerosité.
Il sourit en coin : lui aussi était dangereux.
Il attendit de voir de quoi il retournait, la main comme soudée au manche de sa batte.

The flamingo avais trouver un allié à Gotham, "Jazzman", mais ne vous fiez pas à ce ridicule nom (Bien que "Flamand rose" ne soit pas mieux), mais Flamingo ne se voilais pas la face, le seul intérêt pour Jazzman à prendre avec lui notre amis flamingo étais qu'il pourrais facilement faire disparaitre les gêneurs. un masque Aztèque devais être acheminé par ici, Flamingo n'avais cette nuit la, pas cette flamme, cette flamme qui d'habitude le force à dévorer le visage des gens, cette flamme qui lui donne envie de faire couler le sang des innocents, cette flamme, telle une bougie, avais été soufflée par le saxophone de Jazzman, une musique douce s’était insinuée dans sa tête qui, d'habitude, bourdonne, et lui soufflais de rester calme d'avoir une vie simple et facile. Il n'étais contre un petit peux de violence, mais ce besoin n'étais plus viscéral.

-Flamingo c’est la cargaison au quai #2 selon mon contact… y aura un jolie paquet pour nous si on réussit ce coup-là

Ainsi avais parlé l'aimable spectre bleu, Flamingo ne comprenais pas comment un tel homme pouvais avoir sombrer dans le crime, il aurais pus être homme d'affaire ou avocat... Pourquoi avoirs choisis le crime? Mais cette question n'avais pas d’intérêt, seul comptais l'argent, l'argent du masque qui pourrais offrir à flamingo une moto, qui lui permettrais de ne plus être la risée des taximen,

-Jazzman, mi corazone, vois ce bateau, lieu de notre larcin, mais dis moi plutôt, comment allons nous procéder? Car je ne vois guère d'indication de la pièce dans laquelle est enfermée notre masque...

Toujours prévoir, ne jamais laisser rien au hasard.... Car comme disais le chanteur d'ink spots, Maybe...

Jazzman scrutait le bateau du quai #2 perdu dans ses pensés.. c'était un sacré gros bateau... comment il trouverais la bonne caisse... il ne pouvais pas commencer à ouvrir chaque caisse une par une. Encore une faille dans son plan de génis. Il devait absolument arrêter de foncer tête baissé et il devait prendre le temps se bien pensez son plan... enfin pour les prochaines fois. Là il esperait que la chance lui souris...

Citation :

-Jazzman, mi corazone, vois ce bateau, lieu de notre larcin, mais dis moi plutôt, comment allons nous procéder? Car je ne vois guère d'indication de la pièce dans laquelle est enfermée notre masque...

La question qu'il ne voulait pas entendre... il aurait aimé conservé son statut de chef et de génie du crime... malheureusement il n'avait pas de réponse... du moins aucune de satisfaisante. Il en trouverais une ... il le devait il ferait patienté Flamingo le temps de trouvez quelque chose à dire.

Jazzman: Ils ont commencez à décharger se qui devait être le plus urgent... j'imagine que se que nous cherchons n'est plus sur le bateau... après tout sa doit partir vers métropolis demain matin.


Il s'approchèrent des cargaisons déchargés. Le Port Adams était une des portes d'entré d'amérique les plus populaires. Avec un aussi haut taux de criminalité les instances portuaires avaient du descendre les taxations, les frais d'amarrage et avait probablement obtenue une réduction douanière. Il faut encourager le marché après tout. Le port de Gotham était non seulement la porte pour tout les trucs illégaux de la ville mais aussi pour tout les trucs légaux des autres villes. Il y avait des cargaison en provenance de partout France, Cote d'ivoire, Qrac, United Kingdoms... des cargaison de toute sortes d'entreprise... Waynes entreprise, Shreck Entreprise, Luthor Corps... Et surtout des cargaison pour partout en amérique: East Cost City, Keystone city, Star city, Métropolis...METROPOLIS!

Jazzman: Flamingo les caisse pour Metropolis... elle sont ici, elle sont étiqueté.

Jazz enleva son saxophone de derrière son dos et s'en servie comme Pied de biche... chose à ne jamais faire avec un saxophone ordinaire... mais avec une fabrication Pied Piper... c'était vraiment différent... c'était pratiquement indestructible. Ses fabrications était technologiquement avancé mais aussi très bien construit. Ils étaient fondu par Grimer un autre rogue célèbre c'était de la qualité. Le dessus de la caisse s'enleva. Jazzman se pencha et vie le masque... Première caisse, et on à trouver le masque il était chanceux.

Jazz: Flamingo je l'ai c'est le masque t'a vue il était sur ses coussins blanc sur... attend une minute... je...

Il donna le masque à Flamingo et sortit le coussin blanc... c'était d'énorme sac de Cocaine

Jazz: Tu imagine l'argent qu'on ferait si on trouvais un revendeur?

Mais pourquoi fallait-il que les criminels de Gotham soient si excentriques ? L'espèce de spectre au saxo utilisait son instrument pour ouvrir les caisses, comme un pied de biche à musique ! Il fallait toujours que les gars de ce genre se donnent un sobriquet et se collent une étiquette pour exercer leur sale boulot ! Une fois le theme choisi c'était la fête : il devait avoir une Saxo-mobile, un Sax-boat et quand on avait besoin de lui on utilisait sans doute un Sax-appeal pour le contacter.
Baseball sourit à cette image avant de voir ce que les criminels avaient dégotté. Visiblement les deux gars bigarrés agissaient au petit bonheur la chance, ils avaient erré un moment sur les docks avant de se décider pour une cargaison en particulier ! Un fan de Coltrane avide de gain et un type qui pourrait jouer le rôle de la mauvaise bactérie dans une pub pour le dentifrice essayant de se faire un butin en ouvrant des caisses au hasard sur les quais, voilà qui l'amusait un peu.
Il saisit dans sa poche son nouveau jouet artisanal. Une paille, des allumettes, un trombonne et quelques produits chimiques volés à Mr Dobson du cours de physique lui avaient procuré un fumigène tout à fait respectable, dissimulé par une balle de baseball, il le lança non loin des deux hommes avant de se faufiler dans l'ombre, batte à la main.

Il apparut peu après, alors que les hommes découvraient un sachet de cocaïne gros comme un oreiller.

-Tss,tss... Pas touche les jeunes, dites non à la drogue ou dites oui à la batte !

Jazzman se servais de son saxophone comme d'un pied de biche, une tache bien ingrate pour un si bel instrument, mais il servais la bonne cause, il n'allais pas l'en empêcher, Flamingo voyais une ombre roder, mais ne voulais pas stresser Jazzman plus que nécessaire

-Flamingo je l'ai c'est le masque t'a vue il était sur ses coussins blanc sur... attend une minute... je..

Eduardo s’intéressa de plus près au contenu de la caisse, sous le masque se trouvais de jolis sacs de coke,

*Eduardo mon petit voila de quoi t'éclater pour un bon moment*

Pensa Flamingo, malheureusement (ou plutôt heureusement pour les neurones de flamingo, car souvenez vous les enfants la drogue c'est mal) Jazzman avais déjà une autre idée,

-Tu imagine l'argent qu'on ferait si on trouvais un revendeur?

Quel gentil petit cœur que voila, ne pas se péter sois même mais donner au autre l’occasion de se faire péter, ce type de pensée venais à l'esprit de Flamingo quand une grosse voix résonnas dans la nuit de Gotham,

-Tss,tss... Pas touche les jeunes, dites non à la drogue ou dites oui à la batte !

The Flamingo sortit un pistolet et son fouet, celui la même qui avais décrocher le masque de red hood,

-Des coups de fouet ne serais ils pas mieux? Ou des coups de feus, dit moi mon amis, vas y je t'en prie.

C'était de la provocation pur et dur, de quoi énerver ce bon samaritain, porteur d'un message de paix et d’amour et...de baseball? les thématique de personnage j’appauvrissais... Le jazz, le baseball et les flamands rose, quel combat ridicule...

-You don't wanna break free with me? Allez approche....

Jazzman regardait se qui était entrain de se passer... c'était franchement du n'importe quoi. Mais du n'importe quoi très intense, y'avait un type avec une batte qui venait de les surprendre avec un sac gros comme comme deux tête de Cocaïne et il les menaçait de frapper avec une bat... de Baseball? Et la Flamingo venait de sortir un flingue et un fouet et menaceait de tabasser tout le beau monde... ouf... et en plus il avait laisser tombé le masque pour sortir son arsenal. Il venait de se briser au sol. En tout cas s'il s'en sortait Flamingo l'entendrais gueuler... Et se morveux au bat de baseball goûterais à sa colère.

Mais bon étape numéro 1 assurer une source de revenu. Maintenant que le masque n'était plus il était inévitable que la cocaïne devrait servir à éponger l'expédition au niveau des finances. Au moins se promener avec The Flamingo avait ça de beau, avec son exubérance, son rose... et un flingue et un fouet... on oubliais presque l'ombre bleu.Jazzman profita de la diversion que le criminel aviaire apportait pour dissimuler un sac de poudre pour l'enrouler dans sa cape. Pas l'énorme trouvé en premier mais un de plus petit taille qui se trouvais dans la même caisse... mais il devait le saisir

Jazzman: Flamingo occupe le j'ai besoin d'un peu de temps...

Il voyait bien la tension entre les deux mais c'était l'avantage quand on était pas l'homme de force... on était jamais le premier à attaquer. Se qui laissa le temps à Jazzman de mener son opération. De toute façon pour se rendre à lui il devait passer Flamingo et selon les rumeurs... et l'agressivité de "la bête" il aurait du file à retordre ce joueur de Baseball nocturne.

Il ne s'occupais plus de l'ennemie, Il faisait entièrement confiance en son nouvelle alliés. Il avait les deux main ainsi que la tête dans la Cargaison... il avait vue le petit sac plus bas... mais merde c'était con comment on mettais tout les trucs dans le FOND de la caisse et qu'il y avait un espace entre le dessus et les objets ridiculement grand.... oui c'est yhea. Le sac de tout les efforts, le sac blanc de poudreuse et de renflouement d'argent... se trouvait à porté de main.

Ce rose flashy, ce bleu pétant... Baseball avait l'impression qu'il allait devoir se battre contre les années 80 ! L'idée ne lui déplaisait pas vraiment, après tout il avait détesté cette période peuplée de stars fluorescentes et de synthétiseurs envahissants. Même Batman à l'époque semblait s'être prêté au jeu, revêtu de son costume bleu auquel Baseball n'avait jamais vraiment adhéré. Il avait fallu attendre quoi, 1989 environ pour que le Chevalier Noir se mette...au noir.
Etait-ce vraiment le moment de réviser son histoire contemporaine ? Sans doute pas, néanmoins le justicier à la batta ne pouvait s'empêcher d'avoir "Purple Rain" dans la tête alors que sa prise sur la batte se raffermissait.


Un flingue. Cela le surprenait presque qu'un type si haut en couleurs se serve d'une arme si commune, quelque part cela le rassurait un peu. Le fouet par contre...

- You don't wanna break free with me? Allez approche....

Baseball n'en revenait pas. Il en avait vu pas mal depuis qu'il avait endossé sa carrière de justicier, Gotham vous surprenait tout le temps.

-Désolé d'interrompre la Gay Pride messieurs. Il dit cela de sa voix la plus grâve, marquée par une trop grosse consommation de Lucky Strike et de bière. Est-ce qu'il incarnait l'Amérique virile et conservatrice contre la folie débridée de Gotham ?
Il n'allaient pas se toiser tous les trois pendant des heures, dés que quelqu'un amorcerait le moindre mouvement, la situation se muerait en chaos total. Baseball avait l'avantage de la surprise, de plus ses adversaires n'avaient pas l'air de le connaitre... Peu se méfiaient de lui et de son apparence modeste au premier abord. Il décida de camper sur sa position, ferme et tendu comme un fauve prêt à bondir. Sa cape de pluie volait légèrement au vent léger du soir, sa mâchoire crispée ne laissait paraître la moindre émotion.
Enfin, il arma son bras, celui qui tenait la batte d'acier, prêt à toute éventualité.

C'en étais trop, la musique adoucit les meures, certes mais la voix tonitruante et alcoolisée de ce soulard mal habillé l'avais bien vite effacée. Mais si ce grossier individu se cantonnais à sa voix, mais non son vocabulaire l'accompagnais,

-Désolé d'interrompre la Gay Pride messieurs.

Gay Pride?! Ça ne se passerais pas ainsi, personne ne traitais Flamingo de Gay, et ce grossier merle l’apprendrais à ses dépends,

-Mon grand, on t’apprend rien dans la vie? Tu sais mon coco, j'en ai bouffer des type, mais des qui t'insulte alors que t'a un flingue en main ils sont rare... Alors tu préféré quoi, le 10mm ou le fouet? à toi de me le dire.

Flamingo eut une pensée pour sa famille qu'il avais tuer et dévorer, il ferais subir le même sort à baseball, pour montrer qu'il ne plaisantais pas il dirigea le canon de son arme vers l'homme et tiras dans sa batte qui ne se brisa pas.

-Du made in usa, hein mon grand?

Jazzman n'atteignais pas le sac il devrait entré un peu dans la cargaison mais la... c'était ridicule. Flamingo et Baseball ne se battais pas c'était une guerre de regard et d'insulte de vrais enfants. Ils auraient besoin d'une motivation et surtout de foutre le camp de la que Jazzman puisse faire son boulot. Il se remit droit et sortit son saxophone. Voyez vous le problème et l'avatange d'une arme comme la sienne était que c'était toujours un effet de Zone. Que ce sois les superaigue qui créait un effet incapaciteur à tout le monde... (comme un sifflet dans l’oreille interne extrêmement douloureux et agaçant), sois l'effet d’hypnose léthargique utilisé... Mais bon la il n'avait pas le choix... il allait mettre une allumette dans la poudrière.

Jazzman: Bon bin merde aller jouer ailleurs, jtravail moi... Take the A Train and Get out of here...

Il apposa ses lèvres sur son instrument les doigts appuyèrent sur quelque notes et son choix s'appuya sur une Super-grave soutenu. Sa créerais un onde de choc suffisant pour soulever de terre Flamingo et le type au bat de Baseball et les propulserais plus loin... certes sur les fesses mais bon. Sa lui laisserait un peu le champ libre pendant qu'il se batte entre-eux. Et puis sur un quaie comme sa...il avait tenté de diriger son effet pour que personne tombe à l'eau. Mais une onde musical c'était pas facile à diriger... mais il croyais y avoir arrivé.

Flamingo le pardonnerais, c'était a peine une propulsion pour les envoyer joueur quelque petit mètres plus loin histoire d'avoir le champ libre pour prendre la cocaine... AH! Oui la cocaine. Il remit le saxophone dans son dos par les aimant dans sa cape et se retourna vers la caisse. Le sac était la le narguait.Il S'appuya sur le bords de la caisse et grimpa à l'intérieur. Il se saisit du sac qu'il laissa tomber à l'extérieur... il s'ouvrit dans la chute...

Jazzman; Mais MEEEERRRRDE! Ta choisi de me faire chier aujourd'hui? I know you Know...

Il se repencha saisi un autre sac encore plus petit que le deuxième. Il le laissa tomber sur les vestiges de l'autre... se qui eu un effet de coussin pour éviter justement de se briser une nouvelle fois. Il s'appuya à nouveau sur le bord de la cargaison et sortit. Il pris le sac et entrepris de le rouler dans sa cape. Il regardait les morceau du masque et le sac ouvert au pied de la cargaison.

Jazzman: Si j'était pas aussi dans une cool attitude jazzé.... je pleurais presque pour tout cette argent perdu.

Bon.
Lorsque celui qu'il avait baptisé mentalement "Pinkie" lui avait tiré dessus, Baseball n'avait pas bronché. Sa batte en avait vu d'autres et la balle avait juste richoché.
Puis l'autre spectre avait joué de son instrument et les deux adversaires s'étaient retrouvés propulsés comme s'ils n'avaient été que de vulgaires jouets en plastiques dans les mains d'un gamin capricieux.
L'atterrisssage ne fut guère très violent et le justicier put se rétablir assez vite, il en profita pour relier la batte à son filin métallique pour la suite des évenements, la fit tournoyer violemment et la propulsa comme une fusée vers Pinkie qui se trouvait un peu plus loin. Lorsque le criminel bariolé se relèveré il prendrait la batte de plein fouet, ça lui apprendrait un peu à ne pas obéir lorsque les ordres étaient clairs. Grâce au filin il récupèrerait l'arme immédiatement après le coup porté. Cette technique lui était venue lors d'affrontements de masse et avait fait ses preuves.

Pendant ce temps le spectre se servait grassement dans la cargaison, mais Baseball ne pouvait pas être partout à la fois.

L'individu encapuchonné après la vague saxophonique (oui, j'invente des mots) se releva, attacha sa batte égratigné à un filin de fer qu'il relia à son poignet, qui envoya en direction de Flamingo, ce qui eut pour effets de lui casser le nez, l'espagnol se releva et dit,

-Mi corazone, t'a pas choisi le bon jour pour sortir de chez toi!

The Flamingo fit tournoyer son fouet et rattrapa la batte qui revenais vers son propriétaire, dans l’es poire de le faire trébucher.

La voix de son père résonnas sa tête,

Jazzman ne s'occupais plus du combat. Il laissait les deux hommes s'entre tuer. De toute facon il avait confiance en Flamingo, il ne mourrait pas allons... évidemment qu'il ne mourrait pas c'était un justicier. En fait en était-ce vraiment un? Après tout il attaquait avec une batte de baseball et était munis d'un imperméable. Effectivement on était en état de se demander s'il y avait un danger. Mais bon Flamingo s'en tirais surement bien. Il tendit l'oreille tout de même au cas ou.

Jazzman: Bon comment je transporte sa?

Jimmy pris le sac dans ses mains. Il ramena sa cape vers l'avant. Il n'y avait pas à dire elle était grande... c'était même ridicule. Mais bon c'était stylé. Ça pour l'être se l'était, elle coupait dans le vent comme si elle dansait derrière lui. Elle était inspiré de celle de Batman. Si sa lui donnait de la gueule à lui sa allait en donner à Jimmy. Mais bon après toute ses allusions à la mode Jimmy se mit à réfléchir. Il pris la partit du bas de sa cape et la ramena vers son collet. C'était si long qu'il pus la passé tout le tour de son épaule. Créant ainsi un effet de bandoulière. Un peu comme un sac de pépé. Il mis la poudre qui était maintenant devant lui dedans. C'était provisoire mais sa tiendrais le temps de retourner vers les combattants. Mais bon rien ne pressait après tout il n'y avait aucun son qui indiquait le danger. Il tendit l'oreille.

SHLACK

un coup de fouet... parfait tout était sous contrôle Flamingo venait d'agir. Un fouet, vraiment... Jazzy eu une petite pensé. Certes c'était un peu ridicule, mais surtout ridiculement efficace. Puis si Indiana Jones pouvais avoir l'air viril et puissant avec cet instrument alors Flamingo aussi pourrait.... Boff en tout cas.... c'était surtout efficace. Jazzman se retourna regardant les morceaux du masque que son acolyte avait laissé tomber.

Jazzman: Sa c'est triste...

En effet c'était une sacré somme qui s'envolait. Tout sa parce qu'il n'avait pas sur réagir de la bonne façon. Pas lui mais la panthère rose qui l'accompagnait. Il avait tout laché pour sortir ses armes. Jimmy avait remarquer que trainer avec lui avait affecter Flamingo. Il parlait plus en musique qu'avant... un peu comme lui. Mais ce n'était pas tout. L'alliée de Jazzy semblait un peu sous le "charme" de celui-ci. Il ne savait pas si c'était littéralement le charme ou non car si on l'avait interrogé vraiment il aurait eu tendance à dire un effet plus hypnotique et chaque évènement qui contrastait ou surprenait faisait sortir Flamingo de sa torpeur. Comme quand on à l'impression de tomber dans un rêve et que tout nos nerfs se crispe d'un coup. C'est se qui c'était passé, Flamingo avait passé de serein... à agressif en quelque secondes certes le combat le demandais... mais c'était plus que sa c'était presque malsain. Mais bon pour l'instant tout allais bien, il écoutait toujours Jazz.

*silence*

Jazzman: ooo pas normal j'entend plus rien...

Jazzman se retourna saisis son saxophone et courut vers les deux ennemies qui en théorie devrait se livrer bataille. Pour arriver devant une scène pas banale...

Pinkie avait du répondant, après une batte en pleine figure, peu étaient ceux qui avaient encore de quoi faire preuve d'initiative. Le fouet partit aussi rapidement que l'arme de Baseball, il claqua dans la nuit et s'enroula comme un serpent autour de la batte. Le criminel en rose entreprit alors de tirer de toutes ses forces vers lui, sans doute pour désarmer le justicier ou du moins lui faire perdre du temps.

Baseball contracta les muscles de son bras et tira à son tour pour dégager sa batte. Il savait qu'il risquait qu'une telle chose ne fonctionne pas, aussi il décida que si la batte ne venait pas à lui, il irait à la batte. Réaffirmant sa prise, il décida de surprendre son adversaire en arrêtant brusquement de tirer pour au contraire se mettre à foncer comme un boulet de canon vers le type en rose. Baseball était certes une armoire à glace, il n'avait pas été joueur professionnel pour rien, sa vitesse de pointe pouvait être aussi impressionnante que ses réflexes. La ligue de baseball avait d'ailleurs à l'époque lancé une procédure à son encontre, le joueur étant soupçonné de posséder des capacités meta-humaines tout à fait interdites sur un terrain de sport. Il avait échappé aux contrôles et lui même ne savait pas exactement ce qu'il en était.

Toujours était-il qu'à présent Flamingo aurait à gérer ce nouveau problème, sa main toujours occupée par le fouet, son nez ensanglanté, et la masse impressionnante de Baseball qui lui fonçait dessus à une vitesse olympique. Il fut sur lui en une ridicule poignée de seconde, le heurtant violemment de tout son poids, moins olympique celui-ci. Restait le problème du saxophoniste, mais Baseball ne pouvait pas être partout à la fois. Espérons que sa charge ait été suffisamment efficace pour que le flamand ne se relève pas tout de suite.

L'idée de Flamingo ne fonctionnais pas comme il falais, la brute a la batte lui fonças de su il se prit la riposte de plein fouet, et fut envoyer valser dans des caisses, d'un geste souple il se redressa en s’élançant sur ses jambes d'un geste d'un seul d'un seul il se retrouva au coté de son agresseur, et lui donna un coup de pistolet dans les gencives, fit une culbute sur le coté, cet homme étais une base, certes mais n'en restais pas moi un sacré lourdaud, flamingo cria a jazzman,

-Fuis pauvre fou!

Il fit claquer son fouet dans le dos de son adversaire ce qui déchiras le tissu de sa veste.

Ce son.... ce son qu'il avais entendu au moment ou il déchirais le visage de sa fille a coup de fouet, il lui avais aussi arracher les dents avec une pince avent de lui dévorer le visage, c'était le bon temps, la police avais mis des semaines a identifier le corps,.

Flamingo étais a porté de la terrible batte, il lui falais une diversion il tira dans une chaine qui fit tomber une caisse sur le sol the Flamingo en profitas pour reculer.

Jazzman ne s’était pas trompé. Il était arrivé et il y avait une scène pas banale. Flamingo le pointant criant Fuis pauvre fou... Il en faisait toujours des tonnes. On pourrait reprocher bien des choses à l'homme rose, mais une chose était certaine, il était théâtral. Pendant un instant Jazzman pensa à se sauver. Il mit son poids sur sa jambe droite pour partir, mais finalement décida de rester. Baseball n'avait pas le dessus, Flamingo non plus d'ailleurs c'était une bonne bagarre, c'était une bagarre.... une bagarre de Jazz...

Jazzman se mit à regarder dans le vide en se rappelant un dessin animé à la télévision ou deux personnes s'affrontaient en Jazz. Il aimait bien les dessins animés surtout les vieux qui avait de l'age. Ça lui rappelait son enfance. Quoi qu'il en soit c'était une foutue belle bagarre de Jazz. Il fixait les deux hommes en train de se battre, mais son cerveau lui vagabondait, c'était peut-être à cause de l'argent qu'il ferait avec la coke ou tout simplement qu'avec les dernières escapades nocturnes il n'avait pas bien dormis, mais la il rêvait éveiller. Rêvait à ce dessin animé qui l'avait fait rire ... cette Jazz fight



Puis le bruit du coup de fouet le fit revenir à lui. Mais qu'est-ce qui lui prenait. Son allié se battait en ce moment contre un type qui essayait de le tabasser à coup de batte. Et lui il rêvait à des dessins animés pourris. Il vérifia sa bandoulière. Pas de de problème la cocaïne était toujours en place. Il prit son saxophone dans ses mains. Mais il ne pouvait pas l'utiliser cette fois-ci. Il affecterait tout le monde. Le problème des effets de zones c'est qu’en cas de besoin de précision... ça ne valait rien. Il devrait attendre le bon moment pour l'utiliser.

Jazz se tassa machinalement pour éviter des débris de bois qui foncèrent vers lui lors de l'écrasement de la caisse. Mais il restait aux aguets. À sa grande joie, Flamingo semblait reprendre le dessus. Flamingo jeta un oeil vers Jazzman rapidement, furtivement. Il ne savait pas trop pourquoi, mais leurs regards se croisèrent...

Jazzman: Oh... ooo

Jazzman ne savait pas ce qui se passait, mais les yeux de Flamingo avaient changé. Ce n’était pas super bon signe. Il rapprocha ses lèvres du saxophone... on sait jamais.