[[[ le sujet est pas exactement au métro mais dans une rues proches]]]

Jimmy retournais chez lui il avait joué dans le métro toute la journée finalement et n’avais pas ouvert sa boutique. L’avantage quand on est propriétaire de boutique et qu’on n’a pas d’autre employés que sois même c’est qu’on peut ouvrir et fermer quand on veut. On ne dépend de personne et personne ne dépend de nous. Et puis sa rencontre avec Stéphanie dans la matinée l’avait vraiment motivé. Il n’avait pas refait d’aussi belle rencontre dans la journée mais sa avait réjoui son cœur.

Les artistes n’avaient pas beaucoup le beau rôle à Gotham. Exceptez les architectes, les autres étaient plutôt oubliés. Après tout qui a vraiment le temps de s’occuper de l’art dans une ville pourrie du crime et avec une police corrompu comme celle-là. Certes la ville faisait des efforts mais quand la sécurité devient le mot d’ordre, la liberté d’expression dans l’art devient tellement secondaire. Mais bon cette petite étudiante qui arrêtait tout pour lui parler et lui dire qu’elle appréciait sa lui faisait du bien…

Jimmy avait son costume de Jazzman dans son sac il ne s’en séparait plus maintenant. Avec le fisc qui tournais toujours autour de la boutique… normale pour un bazar, mais il ne voulait pas que ces voleurs découvrent son identité en fouillant pour leur visite surprise… Il avait toujours la guitare avec lui. Celle avec laquelle il avait joué toute la journée, mais il avait aussi amené son saxophone dans un autre étui qu’il avait apporté mais qu’il avait caché avec son manteau toute la journée. Là il avait l’air chargé comme un dromadaire…
Un étui a guitare dans une main, son sac à dos et un étui à saxophone dans l’autre. Il marchait tranquillement pour se rendre chez lui. La pénombre commençait à s’installer. Il ne pensait pas avoir joué aussi tard mais quand il jouait il arrivait qu’il perdait la notion du temps… son ventre gargouillait… il n’avait pas encore mangé il fouilla dans ses poches et sortit un billet qu’il avait gagné dans le métro. Il se dirigea vers un petit stand à hot-dog sur la rue…

Jazzman : Un hot-dog tout garnis s’il vous plait

Eduardo se baladait dans la rue, une idée en tête, une victime peut être? Je ne pourrais vous le dire, car personne ne sait ce qui se passe dans la tête d'Eduardo Flamingo, quand soudain une voix étrange, vivante, mouvante, sifflante accompagnée d'une odeur de saucisse cuite. Un homme en costume, encombrer de sacs et d'étuis il s'avança vers l’individu en costume, il sentais la peur et la fierté, un criminel? Lui? Cet homme propret et ordinaire? Cela ce peux.....

-Pardonnez moi mon cœur, est-ce à vous qu'appartient cette voix?

Dans son fin costume soie rose Eduardo se sentais intéressé, intrigué par cet homme, il dégageais un certain charisme, mais il n'avais jamais vus son visage aux infos, il étais recherché par la police, mais pas sous cette apparence, un criminel masqué dites vous? Possible, après tout pourquoi pas.... Mais revenons en aux pensées présumées de Flamingo, il comptais le prendre à part dans un endroit calme, lui poser deux trois questions.

-Pardonnez moi mon chou, j'aimerais vous parler en privé, cela serais il possible?

[si tu pouvais faire des posts un petit peu plus long sa me ferait plaisir ^^ Essaie de faire 15 lignes minimum]

Jazzman avait son petit hot-dog et il parlait avec le vendeur. Le vendeur l'avait reconnu. Il venait travailler en métro et il avait reconnu Jimmy.Comme quoi même si les gens ne lui donnais pas d'attention il le remarquait. C'était plutôt flatteur, des fois on pense qu'on a pas d'incidence sur la vie de quelqu'un et au final on en a. Il disait a Jimmy qu'il aimait bien son travail, que sa lui donnais l'occasion de rencontrer plein de monde et qu'il aimait l'odeur des saucisses sur le grill... il serait parfaitement heureux si sa payait plus. Jimmy le comprenait, certaine personne ne conçoivent pas que le plus humble des métiers puissent être une passion, et bien souvent ils étaient dénigré et on ne jugeait pas qu'il méritait un gros salaire.

Jimmy lui faisait se qu'il aimait aussi. Il rencontrait des gens différents, entrait un peu dans leurs intimités et leurs apportait des trésors duquel il devait se départir. Il adorait cette idée de trésors... c'était un chercher de trésors. Comme on dit souvent les poubelles de l'un sont les trésors de l'autre. Malheureusement le paye au total n'était pas si intéressante, une fois les impôts, l’emplacement au centre d'achat et les autres services essentielles comme l'aqueduc et l'électricité... il ne restait pas grand chose. D'ailleurs c'était la raison pourquoi il c'était laissé dans le crime, car malgré le le proverbe... le Crime paie.

Le marchant lui parlait puis il lui demanda de chanter une petit peu, pour son bon plaisir. Évidemment il chanterais il adorait se faire solicité. Il se sentait un peu star. Il commença a chanté. Rien de bien compliqué simplement pour égayer la dernière heure de travail de ce brave citoyens de Gotham qui travaillais durement pour gagner sa vie. Puis on vint l'interrompre.

Citation :

-Pardonnez moi mon cœur, est-ce à vous qu'appartient cette voix?

Un homme tout habillé de rose vint le voir. Il n'était pas si tard pourtant... qu'est-ce que les prostitué faisait déjà dans les rues? De plus avec Arkham qui menaçait de prendre tout le monde qui dérogeait le moindrement, c'était encore moins fréquent. Sa ne pouvait-être autre chose... musclé tout de rose, et les mots doux. Jimmy n'avait pas beaucoup de respect pour ce genre de personne. Par contre, il ne le dénoncerais pas et ne le coincerais pas... Arkham il ne le souhaitait pour personne.

Citation :

-Pardonnez moi mon chou, j'aimerais vous parler en privé, cela serais il possible?

Mais pourtant... cette homme lui disait quelque chose. Ou l'aurait-il déja vue? Surement avait-il déja croisé cette homme de joix avant. Mais bon il ne le remboitera pas devant le vendeur. Il serait plus polie... et surtout il lui refuserais dans les règles de l'art.

Jimmy: euh... oui! Un instant. Merci beaucoup

Il paya le vendeur puis re pris ses valises puis marcha un peu avec l'homme. Oui se visage lui disait quelque chose finalement... soudainement il s'en voulait d'avoir accepté. Et surtout d'avoir les mains pleines et de ne pas pouvoir en placer une sur le pistolet qu'il avait à sa ceinture. C'était un vieux réflexe de Gangster... un gangster vivant était un gangster armé. En tout cas si l'homme rose essayait quelque chose il recevrait un puissant coup d'étui de guitare dans le visage.

Eduardo avais mis son fin costume, son préféré, trop rose au gout du publique, un costume peux ordinaire pour un homme peux ordinaire.
La journée d'Eduardo avais été pauvre en surprise, il avais dévoré le visage d'une racaille qui le traitais de "Tarlouze" Il seras sans doute inutile de vous rappeler qu'Eduardo avais eu une femme par le passé, et des bambinos de jolis mouflets qu'il avais tué... Si il pouvais revenir en arrière... Si seulement il pouvais revivre ce moment d'extase leurs cris lui étais... Symphonique, d'une beauté rare et difficilement appréciable pour une oreille, simple et sans gout.
Mais pendant que The Flamingo pensais à ces délectables choses, l’individu au hot dog fumant avais quant à lui déjà formulé sa réponse.

euh... oui! Un instant. Merci beaucoup

Eduardo marcha, et l'homme, ce criminel présumé lui avais emboité le pas, combien de personne avait il piégé de cette façons? Vingt? Vingt cinq? Peut être trente. mais ça n'étais pas pour tuer cet homme, il voulais lui parler, entendre sa voix, cette voix, une voix semblable à celle qui l'avais libérée, douce, sombre, absurde...
The flamingo s'était arrêté, l'homme étais quand à lui visiblement stressé des gestes brusque, respiration rapide, oui, cet homme craignais pour sa personne.

-Ne vous inquiétez pas hombre, je ne vous veux aucun mal, et cessez de me dévisager, ou j'arracherais le votre.

L'homme pourrais passer pour ordinaire, mais il n'en étais rien, un criminel, rien de plus rien de moins.

-Vous vivez d'un dangereux métiers signor, votre vie est toujours en jeu mais vous savez ce que l'on dit, l'union fait la force n'est ce pas?

The Flamingo recula d'un pas.

-Mon chou, je manque de travail, je m'ennuie, j'ai une soif de sang intarissable, si vous aviez l’extrême obligeance de bien vouloir me présenter à vos "contact" je vous serais reconnaissent et peut être ne vous tuerais'je pas....

Est-ce qu'il était nerveux? Oui effectivement il ne se sentait pas en contrôle. La musique ne roulais pas pour lui en ce moment... il ne trouvait pas son groove. Ce monticule rose avait quelque chose d'inquiétant... et pourtant il avait aussi quelque chose de familier... ou avait-il déjà vue ce visage. Un gros type rose comme ça on n’oublie pas si on en à rencontré un. Il se surprit à respirer plus rapidement et à faire des gestes saccadé et à regarder de tout les coté. Puis il se calma... Allons. Il avait affronté Batman, le chevalier noir, la terreur de Gotham. Il n’avait pas gagné mais il en était sortit et comme on dit se qui ne nous tue pas nous rend plus fort... alors se gros motard rose déguisé... il pourrait le géré.

Citation :

-Ne vous inquiétez pas hombre, je ne vous veux aucun mal, et cessez de me dévisager, ou j'arracherais le votre.

Hombre? Il était espagnole... un indice de plus mais c'est lorsqu'il parla d'arracher le visage qu'il le reconnu. C'était Flamingo, il avait déjà vue cette gueule de flamant rose à la télévision dans les informations internationales. Ce type était un cinglé il avait tué une maisonnée complète et mangé leur visage. Pas qu’il serait le premier fétichiste des visages à Gotham. On aurait dit de savoir il était qui l’avait rassuré, étonnant pourtant quand on sait qu’on parle à un maniaque, tueur en série et bouffeur de visage… mais bon c’était un collègue super vilain.

Citation :

-Vous vivez d'un dangereux métier signor, votre vie est toujours en jeu mais vous savez ce que l'on dit, l'union fait la force n'est ce pas?

Jimmy compris. Il savait qu’il était Jazzman… mais comment était-ce possible. Il n’avait fait que quelques petits coups ici et la. Peut-être son coup au musé contre le Crimson « Pizza-man » Knight avait fait moussé sa carrière. Il était plutôt content, mais quand même sa le frappa… comment savait-il, son identité secrète? Pourtant, personne ne la connaissait il regarda son sac à dos ou se trouvais son costume… il était mal fermer on pouvait voir à l’intérieur si on était d’un perchoir… ou très grand comme The Flamingo. Erreur de débutant pansa t-il… mais bon a force de l’ouvrir et de le fermer pour mettre du pourboire d’artiste de la rue sa se peut qu’on oublie. Mais les prochaines fois il devrait faire plus attention. La c’était un vilain mais si sa avait été un super héros… Sa aurait pus mal virer. Imaginez que Batman aurait été le vendeur de hot-dog… oui sa aurais vraiment pus mal tourner.

Citation :

-Mon chou, je manque de travail, je m'ennuie, j'ai une soif de sang intarissable, si vous aviez l’extrême obligeance de bien vouloir me présenter à vos "contact" je vous serais reconnaissent et peut être ne vous tuerais'je pas....

Sans se rendre compte il se trouvait à un endroit plus écarté une ruelle plus isolé ou personne ne pourrait les voir. Il se demandait si c’était voulu de la part de Flamingo ou si c’était par réflexe de parler de trucs aussi secret qui les avait amenés à se cacher. Il ne sais pas pourquoi mais le fait qui l’appelais mon choux, le fait qu’il était habillé de rose ou le fait qu’il sache à qui il s’adressais il se sentait maintenant plus aptes de bien réagir à la situation. Moins intimidé plus confiant et en plus il était dans un coin plus isolé… alors il jouerait le grande jeu… et s’il s’associait à un type comme celui-là il ne devait surtout pas en avoir peur. Et puis après tout Batman… Batman…. Batman…

Jimmy : Premièrement enchanté… J’étais surpris au début mais comme le dit si bien B.B. King… The thrill is gone. Bon d’accord sa veux pas dire le même genre de frisson mais je trouvais cela quand même adapté.

Il ouvrit son sac à dos. Pour en sortir son costume. Et commença à l’enfiler tout en parlant

Jimmy : Vous me permettrez de retrouver un peu mon groove. Je vais m’habiller de circonstance après tout vous voulez parlez business… alors nous parlerons business mais nous devons nous habillé en circonstance mon cher Pink Floyd, ou plutôt mon cher Flamingo. Car oui je sais qui vous êtes. Vous savez on à la télévision câblée à Gotham, on à les chaines d’informations international et un type qui se déguise en rose pour bouffer des visages. Il prit une petit pause : Sa attire l’attention.

Une fois son costume bien enfilé et bien déguisé en Jazzman. Il entreprit d’ouvrir son étui et d’en sortir son saxophone apparemment il avait réussit a capter son attention sa se fait démolir la tête mais ne tentons pas la chance plus longtemps armé de son saxophone il se sentirait encore mieux, il le mit dans son dos grâce aux aimants cuivré intégré en fil dans sa cape puis il recommença à parler.

Jazzman : Et vous voila ici à Gotham. What a wonderful world! Vous venez me voir moi Jazzman. Pour du boulot ou du moins pour que je vous trouve du boulot. N’est-ce pas ironique que le rose veulent à se point rencontrer le blues? Pour le moins mon cher amis Flamingo une association ne me déplairait pas, par contre j’ai des disons… propositions à vous soumettre. Et avant de commencer à travailler ensemble on devrait en parler.

Jazzman gardait les sens aiguisés et ses mains prend a prendre son saxophone à tout moment. S’il se montrait le moindrement agressif il recevrait une dose de décibels tellement forte qu’il traverserait le mur qui les cachais du monde extérieur.

Jazzman : La première est simple devant moi ou tous autres alliés que nous pourrions avoir… pas de tuerie inutiles, pas de sadismes et surtout pas de cannibalisme. Votre soif intarissable de sang… n’a pas sa place dans mes bras. Certes s’il y a à tuer tu le feras… on ne salit pas ses mains de Jazz avec du sang. Deuxièmement, il faut vous trouver du linge civil plus… adéquat. Actuellement vous portez une énorme pancarte rose qui indique à Batman ou venir vous chercher… et croyez-moi vous ne voulez pas avoir affaire à la chauve-souris. Troisièmement , si vous me menacez encore une fois de mort je vous fait bouffer votre propre visage au rythme jazzer de Miles Davis…

Jazzman savait qu’il en demandait beaucoup. Mais s’il avait à travailler avec ce fou furieux il devait mettre des limites. C’est sur qu’un type comme lui dans l’équipe l’aiderais beaucoup comme lui rechignait à tuer… sa lui ferait quelqu’un pour le sale boulot.

Jazzman : Si sa vous intéresse nous avons un accord. Avec moi vous serez riche et vous vivrez au rythme suave de la mélodie du Jazzman. Et vous ferrez se que vous voudrez avec votre part que se soit drogue alcool ou prostitué pour leur bouffer je ne sais trop quoi… je m’en balance. Il y a tellement de gens honnêtes qui crève ici que trois ou 4 prostitués en moins ne devrait pas choquer personnes. La seul chose… vous ne faites pas sa chez moi ou quand je suis dans les parages… et surtout je ne veux PAS savoir que vous le faites… sa vous va?

L'homme qui plutôt s'était moqué de l’extravagance du flamant rose venais d'enfiler un costume bien pire, un costume moulant bleu, puis il avais prononcer ses termes de contrats.

-Mon amis, me voila blessé, choqué, violenté par cette image bien piètre que vous avez de moi...

Il se mit en équilibre sur ses talons.

-Mais je reconnais, a votre extravaguent costume le "grand" jazzman, je suis sur que votre douce musique peut dompter le serpent qui rode en moi...

Disant cela il passa sa langue entre ses dents acérées,

-Et sachez une dernière fois, j'ai l'habitude du crime organisé,

Ce disant il sortit une carte de visite, ou étais inscrit,

Citation :

"The Flamingo, tueur fou propriété du gant noir"

-ils ont insisté pour le "propriété du gant noir" je n'étais pas d'accord mais... C'est grâce à "Sombrero" que je suis ainsi.... Si je puis ainsi vous rassurer, je jure de ne toucher à aucun des mes collègues, je signe ou?


[HRP]: Désoler pour la taille, mais l'inspiration ne venant pas, j'ai préférer répondre quitte a faire quelques choses de mauvais et je signale accessoirement que ça se passe avant mon incarcération à Arkham...

Jazzman regarda l'homme devant lui. il n'y avais pas à dire il était étrange... mais bon dans une ville comme Gotham ce n'était pas une grosse surprise. Jazzman lui ferait-il confiance? Ses promesses serait-elle respecté. Il décida d'accepter les termes et Jimmy lui accorderais sa confiance. Après tout entre super criminel... on se devait au moins cela. Mais bon Il tiendrais toujours son saxophone proche aux cas ou...

Il regarda la carte de Flamingo... propriété du "Gant noir?" c'était quoi ce gant noir? Il se demandait si sa poserait problème éventuellement. Mais bon comme disait une vieille expression on traversera le pont rendu à la rivières... c'est à cause de sombrero? C'est à cause d'un chapeau s'il était devenu fou... surement pas... en tout cas c'était un bien drole d'oiseau avec qui il s'accoquinait... mais bon après tout lui il se promenait bien en tant qu'avatar de la Soul musique...

Jazzman: Et bien mon cher amis. Je crois que nous venons de procédé à un accord verbale ... et de plus vous m'avez donné une idée... Vous avez un endroit ou passer la nuit? On à des plans a mettre a exécutions et je crois bien que je sais exactement ou nous pourrons tout prévoir.

Jazzman se mit à marché avec Flamingo. Il lui passant la main autour des épaules comme de vieux amis... puis marchèrent doucement en direction du centre d'achat de Gotham.

Jazzman: allons prenons une petite blues march... vers notre nouveau QG... Ce Gant noir? Que vous parliez... se sont un groupe de criminelle à Gotham? Ils pourraient nous poser problèmes enfin à vous et à moi en tant que nouveau meilleurs amis? Et ce chapeau mexicain la ... euh sombrero c'est un ami à vous...

Leurs paroles se perdirent dans les ruelles en marchant doucement vers un endroit différent ou il pourrait parler plus doucement sans se faire surprendre... par on ne sais quel justicier masqué