Jim était arrivé particulièrement tôt ce matin, il voulait intercepter Flass avant, qu'il n'arrive au bureau. Il devait le tenir occupé jusqu'a ce que Lulla appelle ou envoie une lettre bref... avant qu'elle le contact. Il se doutait que sa serait par téléphone après tout c'était comme sa qu'elle avait communiqué avec lui. Il se tenait près de la machine à café dossier à la main. Le bureau de Flass était tout près il le verrait passé a coup sur...

Il se resservit une petite tasse puis en levant les yeux pour prendre le lait il vie Flass se dirigé. Vers le doux breuvage, qui allait le réveiller ce matin.

A.Flass: Bon Matin, Jim. On est pas habitué à te voir de si bonheur.

Jim n'était pas du genre a s'en faire avec la hiérarchie mais le fait que l'homme qu'il s'appretait a faire accusé l'appelait pas son prénom le dérangeait un peu. Mais bon il devait jouer le jeu... alors il se tairait et ferait comme il se doit après tout... il avait besoin qu'il collabore.

Jim: Bonjour Arnold, je t'attendais justement...

A.Flass: Pas déjà ... aaaa je vien d'arrivé et je n'aie même pas pris mon café.

Jim pris la cafétière et un gobelet pour emporté. Il versais du café dans le gobelet, mis 1 petit contenant de lait et une cuillère de sucre. Puis mis le couvercle et le tendit à Flass... en même temps que le dossier

Jim: Hé bien tu le prendra en route.... Tu dois aller mettre la pression chez les preneur de paris de Maroni. Pas d'arrestation, pas de confrontation, juste leur faire savoir qu'on les surveille. Tu en a 3 a rencontrer, ensuite vien me voir à mon bureau pour un rapport.

Jim s'avait qu'il n'avait théoriquement aucun pouvoir sur agent. Il était simplement détective, par contre il s'avait que Flass adorait bien se faire voire et il espérait que la tactique marcherais..

A.Flass pris le dossier et le café: C'est bien parce que c'est toi Corrigan...

Puis Flass partit vers l'extérieur du commissariat tout avais bien fonctionné. Corrigan se rendit dans son bureau et ferma la porte et les rideau. Il était encore tôt et peu de monde était présent dans le poste de police. Seulement la secrétaire de l'intendant qui n'arriverais plus jamais en retard... après la crise que Shreck lui avait faites.. et quelque policier qui venait de finir leur chiffre de nuit. Et à cette heure ils en avaient plus que rien à foutre de se qui se passait au commissariat, il dormait la tête dans leur dossier en attendant la relève.

8.00 AM: Aucun signe de Lulla n'y de Flass. Certain policier commençais a arrivé c'était le calme avant la tempête tout le monde fraternisait en attendant leurs affectations de la journée. Jim ne pouvait sortir a cette heure quelqu'un le remarquerais ... et il n'avais rien trouvé encore de toute façons.

9.00AM: Toujours aucune approche de Lulla et Flass devait être en plein discussion avec un usurier de Maroni. Jim avait choisi exprès trois usuriers différents qui travaillais au trois extrémité de la ville... Flass serait occupé pour un petit bout. Dans le postes les premiers appelles et les dernières arrestation de nuit se faisait... bientot le chaos que Jim attendais pour sortir s'installerais... c'était la routine normal pour le GCPD

10: 00 AM : Le téléphone sonna. Jim ne répondit pas et attendit... le répondeur entra en jeu. Jim ne comprenais pas pourquoi mais A.Flass avait toujours un vieux répondeur à cassette. Probablement que le GCPD n'avait pas assez de fons pour payer de beau répondeur ou la boite vocale aux agents de seconde Zone...

Voix de Flass: Vous avez bien rejoint le bureau de l'agent Flass. Après le timbres sonore laissez votre message.

"BIP"

Citation :

Salut Flass c’est Lulla Brogan. J’ai des infos pour toi, ça serait bien que l’on puisse se rencontrer pour en parler. Pas besoin de te préciser que ce serait bien que tu tiennes ta langue à ce sujet. 15h devant le petit cinéma à deux rues du GCPD demain. J’espère t’y voir

Jim afficha un sourire plus que satisfait c'était plus qu'inespéré, Lulla se nommait, et lui disait qu'elle lui passerait des infos et lui demandais de se taire. C'était le cocktail parfait. Jim pris la cassette et la mis dans sa poche. Flass étiquettait toute ses cassette à son nom, probablement de peur de se les faire volés. Pas un vole plus qu'un emprunt... aller en chercher une dans le bureau du collègue voisin était beaucoup plus facile que de descendre au sous-sols et demander encore du matériel supplémentaires. Il remplacea la cassette subtilisé par une autre qu'il trouva dans le tirroir du bureau d'Arnold.

Jim entrouvrit la porte. Le chaos de 10:00AM était encore une fois à l'heure. Des mères paniqués, les premier bandit arrêté, et les agents déjà dégoutté. Jum pus sortir sans être vue, puis se dirigea vers son bureau il attendrais le rapport de Flass.

15:00PM Flass cogna à la porte du bureau de Corrigan. Cette grosse baudruche avait surement trainé sur le chemin du retour parce que sa ne prenait pas plus de 5 heures pour aller mettre la pression sur des soldatos de bas étages comme ceux qu'il était venu voir. Corrigan n'écouta qu'a moitié son rapport, trop occupé à essayez d'ignorer son haleine de souvlaki a l'ail qu'il c'était permis d'ingurgité... Quand il eu fini ... Jim enchaina.

Jim: Parfait Flass bon rapport... Écoute comme tu es déjà sur le coup on a reçus des infos anonyme sur Maroni. Notre indict nous demande de le rencontré au petit cinéma à deux rues d'ici. Ne t'inquiète pas ce n'est pas un mauvais coup de Maroni. Jamais il ne fixerais un rendez-vous en plein jour dans un endroit publique, sa ne lui ressemble pas. Surtout que d'après les rapports internes depuis qu'il est à Arkham il se tien plus tranquille... C'est une chance pour toi si tu coince le réseau de Maroni, sa pourrait signifié beaucoup pour ta carrière.

Flass: Mais pourquoi toi tu n'y va pas? pourquoi me filer le tuyaux.

Jim: J'ai déjà assez d'emmerde avec le dossier Falcone, si faut que je me mèle de Maroni en plus... Alors sa t'intéresse? Demain 15H00 le petit cinéma, je sais pas qui est l'indict mais apparament du devrais le reconnaitre

Flass: Biensûr que sa m'intéresse... je prend le dossier. Merci Jim.

Jim: Il n'y a pas de quoi "futur détective Flass"

Flass sortit du bureau de Jim content et confiant. Jim sortit lui aussi content et confiant à la fin de la journée... certaine chose à préparer mais tout serais en place pour demain

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Le lendemain matin AM: Jim avait tout préparé il serait prêt. Un appareil photo de grande qualité qu'il avait emprunté au matériel ce matin. Personne ne posa de question, il était normal pour un détective d'emprunter ce genre de chose. Et il avait demander aussi une voiture fantome, pour faire de la filature. Encore une fois rien d'anormal, pour un détective. Il était prêt éveillé. Il avait passer une bonne partit de la matiné à préparé son coup. Le dossier était presque tout monté... il ne manquerais que les photos et Flass tomberais.

15.00 Jim était stationné de l'autre coté de la rue. Assez loin pour évitez d'être vue. Il installa son zoom sur son appareil photo et regarda. Lulla était déjà présente et faisait les 100 pas.

Jim: Quand c'est lui tu n'es pas en retard hein? pfff...

Jim sourie à sa propre blague. Puis vie Flass approché. Il semblait moins confiant qu'a l'habitude nerveux et suspicieux il cherchait. Quand le cadrage était parfait Jim commença à les mitrailler de photo.Jim n'avais aucune idée de la conversation qui se déroulait. Tout se qu'il avait besoin c'était de les avoirs ensemble sur photo... une nouvelle preuves s'accumulait contre Flass. Il retourna au bureau. Lorsque les deux individus se séparèrent. Il fit imprimer les photos et pris la cassette original... termina quelque ligne sur son dossier. Puis le mis dans une chemise refermable. Il était près... à confronter Shreck. Il avait tout en poche.

Il s'approcha de la secrétaire de l'intendant : Bonjour ma chère dame. Toujours aussi radieuse à se que je vois. Pourriez vous m'annoncer à M. L'intendant?

Maximilien n'était pas au GCPD ce jour-là. Quoi qu'en pensent certains esprit chagrin, l'homme d'affaire n'était pas superman et avait d'autres préoccupation que la supervision du commissariat. On le blâmerait sûrement de l'accumulation de ces titres, mais il avait mis en place des bureaux et des structures pour gérer la plupart de ses fonctions en son absence. L'affaire de Jim Corrigan était intéressante puisqu'elle servait ses intérêts, mais elle n'était pas prioritaire par rapport à Arkham City et à Shreck's - mais mieux valait garder cela pour lui.

La secrétaire, gênée de ne pouvoir aider cet homme qui était à la fois charmant et sympathique se décida à l'accompagner auprès du service des enquêtes internes, l'une des sections du Gotham City Police Department où le silence régnait. L'on entendait que des bruits de pas, de sinistres symphonies d'imprimantes, le fatal chant des claviers et l'on ne ressentait que la froideur inhabituelle des lieux où la climatisation bravait victorieusement la chaleur apaisante des machines électronique. Le chef du nouveau service d'enquête interne était un dénommé William Perl. C'était un homme qui avait été procureur de d'une petite ville côtière avant de se reconvertir en agent des forces de l'ordre. Après quelques déboires avec la corruption qui régnait dans son ancien lieu de travail, il décida de venir à Gotham où il rejoins les anciens services de la police des polices du GCPD. La nouvelle intendance, de par sa nouvelle restructuration ne lui plaisait pas énormément, mais lorsqu'on lui avait proposé un grade supplémentaire pour combattre le crime au sein des effectifs de police, ce dernier ne refusa pas, aujourd'hui il regrettait quelques peu, voyant les dossiers qui lui parvenaient chaque semaine. Des affaires sans preuve, des accusations faciles, l'intendance faisait un travail très différent de ce qu'il avait attendu d'elle et frappait dans le domaine de la communication plutôt que dans le domaine juridique, c'était démotivant.

Lorsque la secrétaire de l'intendant vint lui présenter un agent de l'ordre, il cru d'abord à une nouvelle recrue, puis conclut autre chose lorsqu'elle termina son introduction par "il voulait voir monsieur Shreck, mais il est absent, alors j'ai suivit ses ordres et je vous l'amène directement." Cet homme n'était pas là pour un poste, ou alors c'était un foutu pistonné, mais le milliardaire n'était pas du genre à mettre des connaissances dans la police, il devait avoir trop à se reprocher pour ça.

-Vous avez bien fait, fit-il avec son sourire le plus aimable. Je vais prendre le relais.

Lorsque la jeune femme fut sortir, il observa Jim Corrigan, un détective plutôt calme dans l'ensemble si ce n'était sa fâcheuse tendance à être déprimé dans les murs du commissariat, enfin, c'est ce que ses propres détectives pensait de lui, un pauvre type sans avenir et sans passé qui noyait ses journées dans l'alcool. Si l'on pouvait vendre les idées noires d'après eux, ce type pourrait racheter Wayne Entreprise. William se leva, serra à la main de son collègue et ferma la porte de son bureau.

-Je vous en prie Jim, asseyez-vous et racontez-moi donc l'objet de ce rendez-vous.

Jim suivis la secrétaire dans la partit du commissariat réservé aux enquêtes internes. Il détestait cet endroit. Il faisait tout pour l'éviter. Un endroit comme celui-là quand on était flic comme Jim c'était un tribunal, un juge et les jurys à la fois. Mais cette fois-il devait faire bonne impression, il devait garder son calme. Il était la en tant que plaignant... et non en tant qu'accusé. Il écouta silencieusement l'introduction de la secrétaire, tout en regardant les murs c'était froid et peu invitant. Pas étonnant que les officiers du service interne semble si déprimé avec ce décor à longueur de journée.

Citation :

-Vous avez bien fait, fit-il avec son sourire le plus aimable. Je vais prendre le relais.

Jim tendit la main vers son collègue. Il se demandait comment l'enquêteur en face de lui le voyait. Après tout il serait la cible parfaite pour un département comme celui-là... Mais il savait bien jouer ses cartes on ne le coincerais jamais. Il était beaucoup trop prévoyant pour cela. La paranoia avait au moins sa de bon... sa rendait vigilant.

Citation :

-Je vous en prie Jim, asseyez-vous et racontez-moi donc l'objet de ce rendez-vous.

Jim pris le temps d'ouvrir son dossier. Il le regarda 2 secondes. Il ne pouvait plus reculer maintenant... c'était son moment il devait bien jouer ses carte ou sa serait la fin de sa carrière... et avec Shreck au commande sa serait surtout la fin de sa vie.

Jim: Euh... vous savez, je me sens plutôt mal a l'aise d'être ici. Je n'aime pas beaucoup l'idée de dénoncer un collègue. Quand j'ai choisi de devenir flic j'espérais vraiment pouvoir aider la collectivités, ce n'était vraiment pas dans mon objectif d'enquêter sur des policiers. Peut-être ma vision du monde a cet époque était-elle naive mais je voyais les bons et les méchants, la police et les criminelles mais bon avec le temps je me suis bien rendu compte quelque fois la police était du mauvais coté... Mais bon une chance qu'il y a des gens comme vous pour tenir les rennes.

Jim ne pouvait s'en empêcher, c'était naturel chez lui. La flatterie toujours la flatterie. Sa permettais d'adoucir l'interlocuteur et de mieux amener son sujet. De plus on est toujours plus intéressé à croire quelqu'un qui nous parait gentil que quelqu'un qui ne nous respecte pas.

Jim: Bon comme j'avais déjà commencé a n'en parler avec M. L'intendant et suite à notre accord, je vien vous soumettre un dossier. Je... je vien vers vous en fait parce que je n'ai plus le choix. Vous connaissez les politiques du GCPD mieux que moi et bon je suis dans l'obligation de vous informer que l'agent Arnold Flass est corrompu.

Il sortit les photos.

Jim: J'ai pus mettre la mains sur des photos prouvant que l'agent Flass a été vue en compagnie de l'ex-agent Brogan qui elle a été suspendu concernant une autre enquête interne. Selon nos information M. Flass aurait échanger de l'information du GCPD avec Mme. Brogan et vice-versa dans le but de faire tomber l'intendance.. De plus je possède en ma possession une cassette du répondeur de M. Flass qui prouve qu'effectivement il y avait échange d'information secrète entre les deux partis.

Jim sortit la cassette et un lecteur audio

Citation :

Salut Flass c’est Lulla Brogan. J’ai des infos pour toi, ça serait bien que l’on puisse se rencontrer pour en parler. Pas besoin de te préciser que ce serait bien que tu tiennes ta langue à ce sujet. 15h devant le petit cinéma à deux rues du GCPD demain. J’espère t’y voir

Jim: Je vous fournis aussi mon rapport qui explique en détail les accusations faite envers l'agent Flass et son associations avec M. Brogan. Vous trouver tout se qu'il vous faut dans le rapport en terme légale, et vous pourrez aussi y retrouver un compte-rendu détaillé de mes recherches . Un rapport propre que je vous laisse et que vous pourrez étudier dans les moindres détailles et qui vous permettra d’épingler ce flic qui pourrit notre GCPD.


Jim avait fait exprès de finir sa phrase sur une figure de style plus violente... histoire de créé une certaine émotions. Sont dossier était très bien monté. Beaucoup plus que ceux qu'ils devaient recevoir dans ce département... c'était le poste de délation par excellence. Sa pouvais aller d'un voleur de sucre à la machine a café a un contrebandier d'arme. Ils en entendaient de toute les couleurs... son dossier par contre était bluffant, tout était parfaitement en règles et officiel.

Jim: Bien que je ne le fasse pas pour l'argent... je suis au courant qu'il y a une prime pour service rendu. Je ne cherche pas a m'enrichir sur le malheure des autres mais comme elle existe... j'aimerais me prévaloir de mon droit. Et pour un dossier aussi bien boucler sur lequel vous allez sauver des heures d'Enquêtes. Et vue l'importance du dossier que je vous apporte et que j'avais une entende préalable avec M. l'intendant... j'espérais toucher une prime d'environ 15 000$

Il savait qu'il demandait beaucoup mais après tout... L’agent en avant de lui devait bien se douter de tout les "risques" qu'il y a à enquêter sur un collègue... il le sais tellement qu'il y passe sa vie...

Jim Corrigan tourna un instant autour du pot, après tout il n'était jamais agréable de dénoncer quelqu'un avec qui l'on travaillait, mais parfois la situation l'exigeait, William était bien placé pour le savoir. Le policier prenait de belles pincettes, c'était le moins que l'on puisse dire, il devait penser que William était de la même race que Shreck, c'était plutôt compréhensif lorsque l'on regardait par les fenêtres et que l'on ne voyait que les uniformes frappés du sceau de l'intendance surveillant, armes au poing, le moindre problème d'ordre dans l'institution.

L'entente de ce seul mot répugnait William "Mr l'Intendant", autant dire "le régent" qui dévorait allègrement les chaire à vif du commissariat. Puis Jim décrivit plus en avant le but de sa visite: un agent corrompu, le pauvre Arnold Flass pour être plus précis, il enchaîna les clichés photographiques liant l'agent avec l'actuelle "fugitive" Lulla Brogan, fit entendre un enregistrement audio. Pendant son cours exposé, Perl resta silencieux, très silencieux, comme toujours lorsqu'on lui apportait sur un plateau d'argent de quoi arrêter un membre du GCPD. Il passa une main dans sa barbe en réfléchissant. Jim quant à lui termina sur un ton plus dur, le ton de l'Homme déterminé dans sa quête de Justice, cela plaisait à William qui aimait les policiers intègres, c'était à coup sûr un bon élément. Puis l'on parla d'argent.

Avec ce qu'il savait du policier, cette annonce n'était pas étonnante, Jim "les poches trouées", alcoolique à ses heures perdues était à l'image de la ville, perdu. William, en d'autres circonstances aurait éclaté, jurant qu'un vrai agent de police ne se laisserait pas ainsi acheter, mais la situation était bien trop sombre pour être l'objet d'un zèle trop excessif de sa part. L'intendance séduisait les éléments par des primes liées aux délations fructueuses et suspension -voire incarcération - en cas d'affaires bidons.

L'enquêteur avait fait son travail, il avait fournit un dossier et des preuves, il restait encore quelques démarches à exécuter pour que tout soit conclus.

-Jim, j'aimerais sincèrement que nous soyons tous ainsi, prêt à tout pour la Justice et à la faire pour rien, mais Gotham vit des heures bien sombre et je comprend parfaitement tout ce qu'implique une telle enquête, enquête que vous avez dû prendre sur vous.

Il posa une main réconfortante sur l'épaule de son collègue, il compatissait avec cet acte dur qu'il avait eu le courage de faire.

-Je ne peux pas débloquer une telle somme pour vous, mais je peux en faire la demande auprès de l'intendant, mais c'est une grosse somme et je ne sais pas si par prime il l'entendait à cette hauteur. Demander ne coûte rien.
"Eh bien nous allons poursuivre la procédure "légale", en attendant son examen devant un tribunal à huis clos, Arnold Flass va être incarcéré dans les douanes d'Arkham City, expliqua-t-il en remplissant la demande de prime pour le travial d'excellence qu'a effectué Jim Corrigan. Vous ne pourrez touchez votre prime qu'après la condamnation de Arnold Flass, cela va sans dire. Vous serez entendu lors de son procès. Nous allons répertorier vos preuves et les mettre sous scellés jusqu'au moment de l'audition et allons convoqué dans les prochains jours le procureur et l'intendance pour juger de son cas.

William fit alors le geste qu'il détestait, ouvrir le dernier tiroir de son bureau, en sortir un mandat d'arrêt qu'il compléta, signa et tampona, puis saisit les menottes qui attendaient au fond.

-Veuillez m'accompagner je vous prie, lui fit-il en lui tendant les menottes, vous aurez l'honneur de mettre les menottes à ce policier vous-mêmes si vous le désirez.

Il sortit ensuite de son bureau, il interpella deux policiers pour qu'il l'accompagne, parcouru les bureaux silencieux et s'arrêta devant celui de Flass. L'homme tapait quelque chose à son clavier et leva la tête, ne comprenant pas tout de suite la situation.

-Agent Flass Arnold? commença William.

-Euh...oui... fit doucement le pauvre homme.

-Au nom de la loi je vous suspend de vos fonctions et vous met séant en état d'arrestation pour corruption, complicité de malfaiteur avec la personne de Lulla Brogan actuellement recherchée. Tout ce que vous dites pourra être retenu contre vous, vous avez le droit de réclamer une défense, si vous n'en n'avez pas les moyens, l'état vous donnera un avocat commis d'office. En attendant votre mise en examen, vous serez mis en garde-à-vue puis incarcérer dans les complexes douaniers d'Arkham City comme l'autorisent le décret 569-56 FK du 8 janvier 2012.

Pendant qu'il prononçait l'habituelle litanie qui avait glacée l'atmosphère agonisante des bureaux alentours, les menottes se refermaient sur les poignée du pauvre homme, dehors des hommes démarrèrent un fourgon menant au pénitencier...

Jim regardais la scène en silence… il voyait ses collègues le regarder. Un mélange de fierté et de peur se dessinait dans leurs yeux. Oui il avait mis la main sur un criminel mais c’était quand même un collègue peut-être était-ce lui qui paranoïas le regarde des gens… Jim aurait préféré que sa se fasse sans lui. Il aurait préféré partir avec son argent et que l’arrestation se fasse pendant qu’il buvait son troisième vers de scotch devant la télévision pendant qu’il regarderait the price is Right… Mais non, il aurait dû prévoir cette situation. Il ne pourrait pas prévenir Brogan il y aurait encore un trou dans ses finances et Maroni qui ne revenais pas le voir. Il avait encore un jour de retard mais cette fois ce n’était pas sa faute. C’était celle du vieux consigliere. S’il ne venait pas récolter l’argent il ne pouvait pas la donner. Et bon s’il venait il ne l’avait pas… mais sa il ne le savait pas…

C’était vraiment un sale coup qu’il venait de monter même lui s’en étonnait… mais il n’avait plus le choix maintenant. Il avait vendu Flass à Brogan pour de l’argent, afin de se blanchir d’un crime qu’il avait lui-même commit. Et il avait profité de Brogan pour vendre le même homme à Shreck pour obtenir de l’argent et de l’avancement. Tout étais presque parfait… un seul élément maintenant nuisait… Flass lui-même.

Jim suivis Flass jusqu’au fourgon en passant prêt d’un bureau quelconque il dissimula un coupe papier dans sa poche. Personne ne l’avait vue évidemment tous trop occupé à fixer Flass dans sa déchéance ou encore à parler au téléphone avec d’autre victime… oui vraiment le chaos du GCPD était vraiment profitable. Il entra avec Flass et un garde qui assuraient leur protection dans le fourgon. C’était la normalité. Lorsqu’un détenu était amener vers Arkham on s’assurait que rien ne vienne le libéré de l’extérieur un des hommes qui avait mené l’enquête embarquait dans le fourgon si une révélation devait être faite il pouvait l’ajouter directement dans le dossier. Après tout le tout ce que vous direz pourrait-être retenu contre vous était vrai mais sa prenait des oreilles pour l’entendre.

Le garde qui était assis dans le fourgon avec eux était un homme de race noir, plutôt jeune ça ne devait pas faire longtemps qu’il travaillait pour la milice des douanes qui s’occupait d’Arkham… et de toute évidence ce n’était pas un Tyger one. Il portait une chemise de garde de sécurité et n’avait même pas encore son nom d’affiché sur lui.

Jim : C’est ton premier transfert?
Garde : Oui M.Corrigan

Les armes étaient standard dans ce genre de transfert, un fusil classique remplis de plusieurs charges de Détomidine, c’était un sédatif courant. Une dose de Détomidine n’était pas mortelle mais la cible se retrouvait dans un état catatonique rapidement. C’était un sédatif très utilisé pour le transport des chevaux, a forte dose évidemment. Plusieurs doses par contre pouvait sois affecter le cerveau de manière permanente sois tuer un individu Jim n’avait jamais vue les effets mais c’était une chose connu dans le GCPD…

Le fourgon se mit en route. Les portes se barrait de l’extérieur et ne s’ouvrait pas de l’intérieur. C’était une mini prison. Dans quelque fourgons une petite fenêtre donner dans la cabine du conducteur mais pas dans celui-là. Quand on a des criminelles et de la force de Killer Croc ou de Bane on ne pouvait se permettre des faiblesses dans la structure des fourgons. C’était donc une lumière au plafond qui éclairait la prison mobile.

Jim regardait Flass… il avait presque pitié pour l’homme. Il avait la mine basse et les yeux plein d’eau. Il devait s’en vouloir d’avoir été vue avec Lulla, pourtant il n’avait presque rien fait. Il ne semblait pas en vouloir à Jim ce qui rendait la tache encore plus difficile pour Corrigan mais c’était inévitable c’était lui … ou Flass. Et mieux valait vivre avec des remord que des regrets se disait Jim. Le cas Flass, il s’en remettrait. Jim se dit à lui-même que le pauvre homme devait probablement préparer son procès dans sa tête… dommage il ne se rendrait jamais jusqu'à cette date.
Le fourgon pris un virage l’ampoule devait commencer à avoir de l’âge parce que le simple mouvement de virement la fit clignoter. C’était bien le GCPD, toujours à courir après la moindre économie. Changer les ampoules dans les fourgons ce n’était pas sorcier après tout, pour un super criminelle comme le Joker une seconde dans le noir c’était trop… c’était la seconde qui séparait d’un officier en vie d’un officier mort. Et Jim espérait bien en profité de la même manière. Au prochain tournant il passerait à l’action.

Il prit le coupe papier dans sa main mais garda le tout dissimulé contre sa cuisse. L’agent de sécurité trop concentré a fixé Flass semblait extrêmement nerveux il pouvait voir la veine du coup palpiter. Puis Flass regardait ses pieds sans trop comprendre et s’amenuisant dans la tristesse… Jim n’avait pas le choix… il se répétait : C’est moi ou lui, moi ou lui…

Un virage à droite… la lumière clignota. Jim agit rapidement. Il planta le coupe papier dans le cou de l’agent et se saisit de son arme. Le sang giclait… Jim avait bien visé la veine l’agent ne parlais plus les yeux grand ouvert il s’effondrait par terre se vidant de son sang, Jim avait planté le coupe papier directement dans l’Artère carotide… ce qu’il avait pris pour une veine était le conduit principale entre le cerveau et les poumons l’agent mourrait en quelque seconde. Jim avec l’arme de sédations tira 4 dose de détomidine dans le corps de Flass qui regardait la scène bouche bée de stupéfaction… Il s’effondra… Jim n’avait aucune idée de s’il était en vie ou non mais une chose était certaine s’il se réveillait… il serait sois légume sois aussi cinglé que l’épouvantail. Il prit le coupe papier et l’enleva de la gorge du garde. Il le mit dans la main de Flass et la referma sur l’outil. Puis Jim se mit debout et se mit a sauté dans sur les murs du fourgon… pour simuler une altercation.

Après trois sauts le fourgon s’arrêta. Jim se dépécha il se tira par terre pris la main de Flass qui tenais le coupe-papier. Il se l’enfonça dans le ventre au niveau de l’intestin se servant de la main de Jim comme pogné et comme appuie pour que le sang gicle de la bonne façon pour que ça donne l’impression que c’est vraiment Flass qui l’avait poignardé

Jim :aaaaaa merdre…

Il se laissa tomber dans le fond du fourgon l’arme de sédation a ses pieds il trainait dans son propre sang et celui de l’agent. Quand les portes du fourgon ouvrirent pour dévoiler la scène sanglante et déroutante Jim était couchée sur le ventre une main vers les gardes qui apparemment était abasourdi…

Jim : Aidez-nous s’il vous plait… Flass avait un couteau…

:arrow: Suite de : https://gotham-city.actifforum.com/t3801-sur-les-traces-de-flass-suite-lulla#53267

Jim avait dormi presque 12 heures... il était arrivé en retard au bureau ce matin. Mais bon avec la dose d'anti-douleurs qu'il avait prit il avait drôlement bien dormi et buzzé. C'était presque mieux que l'alcool se truc. Sans le gout évidemment. Parce que rien n'égalais le gout d'un bon whisky on the rocks pour se remettre doucement d'une dur journée. Ça lui rappelait un poème de Raphaël Hollingshead, qu'il avait lue sur une affiche dans un pub irlandais qu'il avait déja fréquenté autrefois... avant qu'un des stupides tueurs fériés l'est fait sauter...

"Being moderately taken,
it slows the age,
it cuts phlegm,
it lightens the mind,
it quickens the spirit,
it cures the dropsy,
it heals the strangulation,
it pounces the stone,
its repels gravel,
it pulls away ventositie,
it keeps and preserves the head from whirling,
the eyes from dazzling,
the tongue from lisping,
the mouth from snuffling,
the teeth from chattering,
the throat from rattling,
the weasan from stiffing,
the stomach from womblying,
the heart from swelling,
the belly from wincing,
the guts from rumbling,
the hands from shivering,
the sinews from shrinking,
the veins from crumpling,
the bones from aching,
the marrow from soaking,
and truly it is a sovereign liquor
if it be orderly taken."

Mais bon ce n'était pas le meilleur moment pour penser à l'alcool il était seulement 10h30 du matin et la prochaine bouteille serait dans plusieurs heures... et penser à tout cela lui donnais soif... Il prit un petit anti-douleur puis entra appuyez sur sa canne dans le GCPD.

À sa grande surprise on l'accueilla à bras ouvert. En entrant dans le commissariat quelqu'un criat : c'est Corrigan ! Puis tout les agents présent se mirent à applaudir. Jim resta sans voix. Mais un sourire vint égayer son visage. Le GCPD le remerciait en l'applaudissant. On saluait le fait qu'il était toujours en vie. Il passait pas pour un héro mais pour un survivant... et honnêtement sa lui réchauffait le coeur. On dira se qu'on voudra mais à Gotham la police était comme une grande famille. Certes il y avait des éléments plus trouble que d'autre, comme lui par exemple, mais n'en avait-il pas dans chaque famille?

Jim marcha tranquillement vers son bureau avec un grand sourir dans le visage. Les collègues le saluait de la tête au passage lui les remerciait. Il n'aurais pus demander meilleur fin a cette histoire. Une fois entré dans son bureau il s'assied et pris deux minutes pour décanté. Sa serait une bonne journée, il était bien content... il se sentait chez lui finalement au GCPD et il adorait. De plus l'italien n'avait pas montré le bout de son nez depuis plusieurs semaines... probablement des problèmes plus urgents que lui. Bref tout allais bien pour lui, pour le moment. Jim resta la avec son sourir heureux d'être de retour à la maison, avec sa famille qui l'accueillais chaleureusement... du moins pour le moment.

Un homme de Shreck vint dans le bureau de Jim Corrigan. Maximilien Shreck avait eut vent de l'action d'éclat et le rapport de William Perl avait été clair: l'élément en question avait fait un excellent travail. Il était temps de montrer que l'intendance n'était pas une organisation ingrate et que mieux que quiconque, elle félicitait et récompensait ses meilleurs agents. L'homme armé n'était pas réputé pour son sourire et ses bonnes manières - et n'avait de toute façon pas été engagé pour cela. Il s'adressa donc à l'agent Corrigan comme à n'importe quel autre individu de la race humaine: très sèchement.

-Agent Corrigan! L'intendant veut vous voir!

A l'entendre, c'était une sentence de mort qui attendait le détective. Dans son bureau, Maximilien terminait de relire le fameux rapport de Perl et songeait à l'éclat que ceci ferait rejaillir sur son image. Oui, cela tombait à pic et il convenait d'exploiter ce filon jusqu'à son extrême limite. Il se releva et referma son blazer. Il prit sous son bras la boîte que lui avait transmis Bock Mackenzie qui attendait dans la salle commune et plia son discours avant de le fourrer dans sa poche. La liesse du matin aurait son paroxysme dans quelques instants.

Il marcha d'un pas détendu jusqu'à la salle où son soldat avait dû conduire Jim Corrigan et lorsque ce dernier entra, l'intégralité des personnes présentes dans la salle l'applaudit de plus belle. Shreck s'installa au pupitre, déposant la petite boîte bleue sur le côté et commença son petit discours.

- Aujourd'hui nous sommes ici pour féliciter un homme de son abnégation pour la Justice et la Loi. Aujourd'hui, les premiers effets bénéfiques de nos efforts se font ressentir et l'agent Jim Corrigan, détective de son état, a réalisé un travail qui alliait qualité et détermination. Je ne dis pas que sa tâche fut facile, je ne dis pas qu'il l'a faite avec un grand plaisir, mais je suis prêt à parier qu'il l'a faite par amour pour l'ordre qu'incarne le Gotham City Police Department! Ce n'est pas un homme qui en accuse un autre qui est aujourd'hui applaudit, c'est un agent intègre et soucieux de son travail qui est intervenu au cœur même de la corruption pour frapper et ouvrir le chemin de la rédemption pour tous les semblables de l'accusé! Nous sommes à l'aube du renouveau de cette institution et je suis fier d'avoir pu voir les premiers pas du progrès entre ces murs!

Les policiers applaudirent, galvanisés à la vue de Jim Corrigan et par ce petit discours qui les félicitait pour la première fois depuis bien des mois.

-Aujourd'hui cependant, nous allons devoir dire au revoir à l'un de nos meilleurs détectives, je parle bien entendu de Jim Corrigan.

La nouvelle fit l'effet d'une bombe. Allait-il le licencier? Après tout ces services rendus? L'annonce eut l'effet escomptée, l'ascenseur émotionnel était un bon moyen de communication, un moyen infaillible pour faire imprégner une situation dans l'esprit des gens.

-Mais j'accueille avec grand plaisir un nouveau lieutenant de police au sein du Gotham City Police Department, veuillez je vous pris accueillir parmi vous le Lieutenant Jim Corrigan qui se verra attribuer une équipe de lutte contre la corruption!

Cette fois-ci, tout le monde applaudit de plus belle et tout le monde était fier de cet homme intègre qui avait vaillamment lutté, Shreck profitait indirectement de cette gloire et fit monter Jim Corrigan. Il ouvrit la fameuse boîte bleue dans laquelle reposaient deux barrettes argentées. Les quelques photographes qui avaient été conviés commencèrent à photographier énergiquement la scène.

-Par les pouvoirs d'intendant qui m'ont été attribués et avec l'accord du chef de la Police Bock Mackenzie, j'ai l'insigne honneur de vous nommer Lieutenant Jim Corrigan, fit-il avec emphase tout en lui mettant ses barrettes. Montrez-vous digne de ce grade que vos efforts méritoires vous ont permit d'atteindre.

Jim sortit de son bureau suivant son interlocuteur. Il s'appuyait sur sa canne tout en s'imaginant le pire. Quelle erreur avait-il fait. Tout son plan avait été calculé à la virgule près. Tout ses pions avait bouger parfaitement il n'avait pas pus mieux faire... Mais le service administratif et l'intendance était de fin limier peut-être avait-il découvert quelque chose que lui n'avais pas vue... ouf il espérant que non. La journée avait si bien commencé, le respect de ses collègue, les applaudissement, espérons que tout finirais bien pour Jim.

Il s'assoya ou on lui avait indiquer puis Shreck entra, comme à l'habitude c'était cérémoniel... sois il le glorifiait sois sa serait une flagellation publique. Shreck était de ces hommes qui aimait provoquer l'événement que sa sois pour le bien ou pour le mal... mais toujours pour se mettre en valeur. Jim nerveux serrais sa canne pour évacuer un peu de stresse mais bon rien n'y faisait vraiment.

Citation :

- Aujourd'hui nous sommes ici pour féliciter un homme ...

Le stress tomba... ce n'était pas une humiliation publique c'était un hommage. Oh mon dieu! tout ce stress accumulé c'était la finalité son plan avait fonctionné. Tout avait été parfaitement monté et maintenant le rapport se retrouverais dans un dossier bouclé... un de ses dossier que personnes n'ouvre jamais car il à été bien mené, et la seul personne qui aurait pus s'en plaindre était morte... n'est-ce pas merveilleux. Une fois que Shreck fini de parler il y eu une salve d'applaudissement Jim put voir la fierté dans les yeux de son collègue, la fierté d'être du GCPD. Les occassions de se sentir fière dans ce corps de police était si rare quand l'un deux gagnait [même si c'était en trichant] c'était comme si tout le monde gagnait.

Citation :

-Aujourd'hui cependant, nous allons devoir dire au revoir à l'un de nos meilleurs détectives, je parle bien entendu de Jim Corrigan.

QUOI? ooo non c'était un piège. Il allait l'envoyer à Arkham ou le suspendrais c'était vraiment la fin. Vue qu'il avait transigé il l'éliminerais. C'était bien cela, tout ces hommes riches... il ne supportait pas les petits travers ils...

Citation :

-Mais j'accueille avec grand plaisir un nouveau lieutenant de police au sein du Gotham City Police Department, veuillez je vous pris accueillir parmi vous le Lieutenant Jim Corrigan qui se verra attribuer une équipe de lutte contre la corruption!

Lieutenant? c'était une promotion on le nommait lieutenant... on lui avait laisser miroité le commissaire mais il se doutait bien qu'avec les rumeurs comme quoi Gordon avait réapparu il ne l'aurait pas... il croyait même qu'il serait oublié... il était très content TRÈS content. C'était inespéré leiutenant Corrigan... sa sonnait drôlement bien... En plus on lui confiait une unité anti-corruption. Incroyable! Sa lui permettrait d'avancer... de faire ses preuves et surtout de régler ses comptes avec ceux qui l'avait trainé dans la boue.

Il se leva au signal et se tena de bout bien appuyer sur sa canne. On lui remit les barettes, les grades... son nouveau statut. Corrigan vint les yeux dans l'eau. Ce n'était vraiment pas son genre, d'être émotif mais avec tout se qui c'était passé dans sa vie dernièrement c'était une de ses nouvelles qui vous réchauffait le coeur... Il remercia Shreck. Et fit un signe de tête a ses collègues qui l'applaudissais encore une fois chaleureusement.

*merci... je... merci beaucoup, je ferai de mon mieux, je vous rendrai fière*

Puis le protocolaire continua un peu mais il n'entendait plus rien, il savourait le moment... peut-être était-ce le début d'un changement dans sa vie. Peut-être s'améliorait-il... ou était ce une opportunité de plus pour s'enrichir et se venger... l'Avenir nous le dirais

Le lieutenant Corrigan se dirigea vers son bureau une fois la cérémonie officielle terminé. Il sortit une petit bouteille de Scotch qu'il avait de caché dans le tirroir du fond de son bureau. Il s'en servit un petit verre, il célébra... Puis il trinqua seul à demi-voix

Jim: À l'avenir, qui sais se que sa apportera..

*cul-sec*