Début du message ici : https://gotham-city.actifforum.com/t3693p15-day-of-doom-important-gotham#52335

Deathstroke entra dans les douanes avec Black Canary dans les bras. Il laissais une trainer de sang derrière eux. Le costume de Deathstroke était rougis par le sang mais pas le sien... il absorbais celui de Black Canary. Deathstroke couru juqu'a la salle centrale et cria

Deathstroke: VITE UN DOCTEUR J'AI BESOIN D'AIDE...

Deathstroke se rappelait que Max Shreck avait mentionné des laboratoires dans les étages inférieurs mais que malheureusement les accès était limité. Il espérait faire assez de bruit pour que ces fameux rat de laboratoire sorte il se doutait bien qu'il devait avoir un médecin résident au douane. C'était presque une évidence même. Comment pourrait-il survivre sans médecins.

Il représentait la force de frappe des portes de l'enfer. Arkham City contenait les hommes les plus violent et les plus dangeureux de tout Gotham, et bien que l'effectif militaire était important pour tenir l'ordre devant des fous comme le Joker ou le pingouin on se devait d'avoir du personnel médical à proximité. Slade remarqua aussi que probablement sa avait bougé fort ici aussi. Des impacts de balles marquait les murs... il devait avoir eux bataille dans le coin. Peut-être que les mercenaires avait réussi a entrer. Dans le fond Slade n'avait aucune idée de se qui se passait. Peut-être n'était-ce que la première vague ou était-ce la troisième. Il était dans l'ignorance et il détestait ça.

Deathstroke: BORDEL AIDEZ-MOI QUELQU'UN. AU SECOURS...

Il criait à s’époumoner. Pas qu'il s'en faisait réellement pour la santé de Black Canary mais il avait besoin d'elle vivante pour la suite des choses. Il entendit des portes s'ouvrir derrière lui ... des hommes et des militaires se déployèrent dans la salle et encerclère Deathstroke en les pointant de leurs armes...

Deathstroke: Aidez la, elle va mourir ... putain c'est un héros faite quelque choses !

Deathstroke avait parler sur un ton autoritaire et militaire... un de ses tons que son ancien grade de Lieutenant Coloner de l'armée des états-unis d’Amérique commandait. Il vit un des soldats qui affichait des grades parler dans un émétteur-récepteur radio accroché à son épaule.

"une équipe médicale au rez-de-chaussé... et faite vite on a un blessé grave. C'est une super humaine je répète c'est une super humaine"

Comme sa Russie lui manquait, songeait Vladislas Aleksandrovitch en se versant un nouveau verre de Vodka. Il n'y avait plus que cela qui l'aidait à tenir le coup dans ce labyrinthe de béton. Il adorait ses premières expériences, suivre l'évolution du patient, travailler sur des hypothèses et des procédés inconnus, déployer ces sujets dans les incubateurs mais tuot cela avait été stoppé pour des raisons inconnus. Monsieur Shreck, ce capitaliste qui jouait avec les vies comme avec du bétail. L'incinérateur... et dire qu'il n'avait eu aucun scrupule à lui ordonner de jeter son dernier cobaye encore vivant dans l'incinérateur. Cul sec celui-là tient...

Il s'en verse un ordre, voyant le reflet de son matériel monter avec le niveau du liquide. Saleté de vie, il avait tout et on lui reprenait, depuis son diplôme c'était comme ça. Et maintenant il avait été relégué au rang de médecin...médecin, lui un DOCTEUR! Cul sec, brûlure, grimace, soupire de soulagement. Chienne de vie. Un milicien débarqua, brisant son cycle de perdition, le prévenant que quelqu'un demandait un médecin...quelle connerie...

Il poussa sa chaise et traîna les pieds jusqu'à atteindre l'escalier qui menait à l'étage supérieur.

-Quel est le problème? Encore une dragée dans un torse? grommela-t-il au soldat qui le suivait en gravissant l'élément de métal.

-Une justicière est blessée et monsieur Deathstroke l'a ramené.

Deathstroke! Le docteur porta la bouteille à sa bouche et en bu une gorgée pour oublier ce nom. Le miliicne la lui tira des mains, en renversant par terre.

-Arrêtez-ça docteur! Vous devez être prêt pour soigner les blessé!

Maudit Gamin, prend la moitié de ma vie et tu boirais jusqu'au coma éthylique, songea-t-il. Il vit enfin la silhouette du tueur et à ses pieds la jeune femme blessée. Il prit son temps pour y arriver et regarda de travers la forme étendue. Il soupira, relâchant un flot d'air parfumé par l'alcool. Il s'accroupie à contrecœur , prit le pouls, faible... il vérifia la coloration des bras et de la base du coup, exsangue..., il vérifia la couleur des yeux, encore en vie...

-Comme je suppose que cette jeune femme n'a pas sa carte de groupe sanguin sur elle on va le vérifier, à moins que l'on est un groupe O négatif ou un autre qui pourrait convenir. En tout cas on en avait de plus costaudes à Leningrad.

Il tenta de ne pas lever la tête vers le dénommé Deathstroke, il savait, mais pas lui...enfin c'était tout comme ou...enfin...l'un était mais pas l'autre... Le docteur posa une main au sol, l'effet salvateur de l'alcool arrivait au mouvais moment.

-Bref, en attendant on la descend dans les sous-sol, là-bas je pourrais fermer sa blessure et lui transfuser du sang, ordonna-t-il en se relevant.

Le milicien qui était avec lui le soutint alors que le plafond commençait à devenir l'équivalent d'un mur et le sol l'équivalent d'un lit.

[HRP]Je vous laisse le temps de donner vos impressions avant de la soigner, mais si vous préférez que je la soigne directe, j'édite.[/HRP]

Deathstroke était content de voir arrivé un médecin. Une chance qu'il y avait du personnel médicale. Le docteur ne semblait pas en super bonne état par contre. Il tanguait dangeureusement... Il soupira et une odeur d'alcool dégueulasse passa par les narines de Deathstroke. Il ne réagit pas, il ne pouvait pas croire que cette homme était médecin, il semblait complétement intoxiqué par l'alcool. Mais a défaut d'avoir mieux... on devrait s'en contenter.

Citation :

-Comme je suppose que cette jeune femme n'a pas sa carte de groupe sanguin sur elle on va le vérifier, à moins que l'on est un groupe O négatif ou un autre qui pourrait convenir. En tout cas on en avait de plus costaudes à Leningrad.

Évidemment l'odeur d'alcool c'était de la Vodka. Un bolchévique, et de l'alcool. Cette homme était un cliché évident par contre sa eu l'effet de rassurer un peu Slade. Les russes avait l'habitude de l'alcool, il en avait rencontré plusieurs au cours des dernières années et il pouvait dire que certain était meilleurs sous l'effet de l'alcool que sans alcool. Un vieux proverbe russe revint au pensé de Deathstroke: Les russes ils boivent pour oublier, et ils sont tellement bon pour ça qu'ils ont oubliés pourquoi ils buvaient. Slade aurait surement souris à cette pensée si la situation n'avait pas été si dramatique

Il remarqua que le Docteur l'évitait du regard. Mais quand on était Deathstroke le Terminator c'était quelque chose qui arrivait souvent. Sois les gens l'évitait de peur de le provoquer, sois parce qu'ils étaient intimidé ou encore par dégout. Il n'avait jamais compris la dernière raison... après tout il n'était pas un tueur. Oui il tuais... mais il n'était pas un tueur, c'était une arme dans les mains de quelqu'un. Est-ce qu'on pouvait accuser un fusil d'être un tueur? Bien sur que non. alors il ne l'était pas lui non plus..

Citation :

Bref, en attendant on la descend dans les sous-sol, là-bas je pourrais fermer sa blessure et lui transfuser du sang,

Il n'avais pas remarquer la première fois mais cette fois-ci quelque chose le fit réagir intérieurement. La voix, l'accent de l'homme lui était familière... mais il n'arriva pas a mettre le doigt sur le pourquoi. Mais bon c'était surement juste un autre ruse qu'il avait déja rencontré ou éliminé. Les gens lorsque vien leur dernier souffle sont très logace et certaine paroles vous restes en tête, comme certaine voix. C'était quelque chose qui arrivait souvent à Slade... une voix familière qui n'En était pas une du tout finalement...

Avant qu'il l'emmène Deathstroke leur donna une mise en garde:

Slade: Si vous croyez pouvoir la soigner, passer lui toute suite les menottes parce qu'une fois réveiller elle ne sera pas de la meilleur humeur. A et si j'était vous je ne soignerais pas sa gorge... ou du moin je la baillonnerais solidement... sinon vous aurez une mauvaise surprise. Oh et je vous rapelle qu'elle est a moi. Donc si jamais vous la perdez c'est a moi que vous aurez à rendre des comptes.

Puis il les laissa partir il n'avait pas les autorisations pour entrer dans le niveau du bas. Et il respecterais son contrat à la lettre. En attendant il se rendit à la porte du bureau de Shreck. Il avait un premier paiement à recevoir... et une idée derrière la tête.

(((HRP: Black Canary dit qu'elle ne répondra pas donc tu peux y aller )))

Plus qu'une marche...plus qu'une marche...

Son pied toucha enfin les sous-sols bénis noyés dans la faible lumière blanchâtre des néons à l'agonie. L'on aurait pu croire traverser le quartier haute sécurité d'une prison. Les portes d'acier froid se succédaient avec pour seuls signe distinctifs leur numéro, de l'autre côté les chambres d'isolements, à peine chauffées où s'entassaient quelques détenus qui attendaient la liberté ou la chambre d'expérimentation d'Aleksandrovitch. Black Canary était trimbalée par deux miliciens qui avaient mis leur armes en bandoulières. Les couloirs permettaient de faire passer deux individus de front, mais le transport de la jeune femme rendait la rencontre avec d'autres hommes délicates. Enfin l'on atteignit cette fichue salle d'opération.

Mouais...Aleksandrovitch se rappelait difficilement des dernières paroles du mercenaire...oui, l'enchaîner, voilà!

-Sanglez-là moi! ordonna-t-il en fermant sa blouse.

Il saisit une paire de gant tout en distribuant ses ordres. L'on rapprocha un chariot ainsi qu'une tringle pour y accrocher des poche de sang...Cette jeune femme était une sorte de super-héroïne s'il avait bien entendu Deth...le mercenaire - se concentrer sur autre chose que ce nom qui lui provoquait des sueurs froides. Bien, il lui fallait perfuser après les quelques points de sutures, ça ne devrait pas être dur, il avait le récipient parfait pour transfuser du sang.

-Mettez un autre lit à côté! intima-t-il. Et préparez D...Dea...Deathstroke pour une transfusion sanguine.

Oui, il fallait faire vite... Il saisit le désinfectant qu'on lui avait donner, en versa généreusement sur les quelques compresse qu'il avait dans la main et nettoya dans une once de délicatesse la blessure. Aleksandrovitch avait débuté ses expériences sur des orphelins qui hurlaient particulièrement fort, mais pas assez pour percer la concentration sourde et embuée de l'alcool, si Black Canary avait mal, de toute façon elle avait perdue trop de sang pour s'en plaindre. il siffla un temps pendant qu'il regardait les blessures et les nettoyait. Il demanda ensuite le nécessaire pour faire quelques points de sutures dont il avait le secret, de ceux qui ne laissaient quasiment pas de trace. Eh oui, malgré ses airs bourrus, son niveau éthylique et son manque de finesse, Aleksandrovitch était perfectionniste dans tous les aspects de sa spécialité, les plaies étaient impeccablement désinfectées même si l'individu en question aurait en temps normal hurlé à la mort et il allait parfaitement les refermer, mais sans une once de délicatesse, le résultat mes amis, le résultat.

Lorsqu'il lâcha l'aiguille et reposa les restes de fils, il prit la bouteille de vodka qui traînait en dessous du chariot et se prit une bonne rasade, de quoi lui donner du baume au cœur, lui qui ne pouvait pas continuer ses recherches aujourd'hui. Il soupira en regardant ce qui lui restait à faire, et dire qu'un interne aurait suffit. Il changea de gant pour une nouvelle paire et saisit un emballage stérile...il n'avait même pas d'infirmière avec lui, que des chercheurs et des miliciens... Il laissa tomber le contenu sur le champs stérile et prit les aiguilles de transfusion. Il demanda à un milicien de lever la manche de la jeune femme, un rapide passage de coton alcoolisé et il enfonça d'un geste étrangement assuré et habitué pour un alcoolique l'instrument. Il enleva l'aiguille pour ne laisser que la partie plastique et la jeta négligemment sur son plateau, il prit l'autre et demanda à Deathstroke de lever sa manche.

Sitôt qu'il se serait exécuté, il pourrait faire de même et relié les deux individus à la machine qu'un milicien terminait de brancher au secteur, cette méthode de transfusion était simple, rapide et avec le sang du mercenaire, elle devrait être rapidement remise sur pied. Encore fallait-il qu'il accepte

[HRP]Je vous laisse terminer ou faire ellipse sur la transfusion[/HRP]

Sa conscience lui jouait de vilains tours. Um moment elle voyait un rayon de lumière traverser ses paupières mais toutes ses sensations étaient engourdis. Elle connaissait ce sentiment, la fois où on l'avait attrapé et on avait mutilé son corps jusqu'à ce qu'elle n'en perdre tout droit. Ses cordes vocales avaient été si sévèrement abimées que son chant n'avait plus résonné de son pouvoir si particulier et unique. Les mêmes sons que le mercenaire, Deathstroke, avait mit fin, un combat plutôt. Mais ce n'était pas douloureux, Huntress avait fait le même coup un moment et elle s'était mise à parler comme si la grippe lui ravageait la gorge. Deathstroke, oui c'était bien lui qu'elle avait vu au devant de sa moto. Elle l'avait aperçu dans une rue sombre près des murs de la prison. Elle avait alerté les filles pour leur dire qu'elle n'en avait pas pour longtemps. Tout commençait à devenir clair mais si confus en même temps.

Son esprit fonctionnait, elle pouvait réfléchir de manière fonctionnel ou presque mais son corps restait endormi. Elle ignorait encore que c'était pour le mieux. Elle avait perdu beaucoup de sang mais les dommages causés par les balles avaient été superficiels. Elle allait vite retrouver tous ses moyens. Elle respira mais il y eut une sorte de blocage. Mais elle respirait et donc encore vivante. Ses doigts se refusaient encore à son test pourtant si simple. Une paupière laissa filtrer la lumière. La deuxième fit de même en accueillant avec joie ce réveil tardif. Elle voulu glisser sa langue sur ses lèvres mais un bâillon absorbait la moindre goutte de salive qu'il aurait pu y avoir. Ses yeux, si bleus, s'ouvrirent pour essayer de découvrir l'endroit où elle était. Ses souvenirs lui revenaient d'autant plus que son regard tomba sur le médecin qui l'observait à son tour. Elle baissa les yeux en apercevant une panoplie de fils qui se reliais jusqu'à son bras tendu. Un lien sortait du pli de son coude. Elle essaya de protester à en oublier le bâillon, mais ce fut un court baragouinage qui en sortit.

«Umhf muammmummmhhhf.»

Dinah fronça et préféra se taire pour le reste de l'expérience. Elle n'en saurait pas plus même si elle paniquait et faisait n'importe quoi. Et comme aucun criminel ne pouvait se taire non plus, l'information allait vite confirmer sa présence ici. Elle referma doucement ses yeux et tenta une relaxation pour diminuer le nombre de battement de cœur et reprendre contrôle sur sa respiration qui semblait encore lui tirailler les côtes à chaque fois. Elle commençait à sentir chaque partie blessée de son corps, mais elle tenait bon.

Ses doigts commençaient à bouger selon son bon vouloir mais quelque chose empêchait le mouvement complet de son bras. Sa peau se coinçait sous une matière qui la retenait à la table. Black Canary reposait sur la table, calme même selon les circonstances désastreuses qui l'y avait menées. Chaque visage maintenant familier des filles des Birds Of Prey lui revenait et pensait à elles qui ignorait où la leader du groupe se trouvait en ce moment. Le contact avec l'oreillette pourrait les mener jusqu'ici sauf si elle était tombée avant qu'elle n'atteigne son ennemi qui avait le fusil dans la main. Ne restait plus que la moto mais elle était resté aux douanes. Était-elle aux douanes justement? Ses yeux se rouvrirent en fusillant les hommes à ses côtés. Chaque respiration lui demandait un effort et la douleur se lisait parfois dans ses traits. Mais Dinah n'était pas une petite fille de salon et pouvait supporter beaucoup plus que deux ou trois balles dans le corps. Sa concentration était fixé sur tous les détails de la pièce. Elle ne pouvait pas faire plus.

L'administration était un travail pour beaucoup de gens ingrat et inutile. Les administrateurs étaient-ils sur le terrain? Bien sûr que non et nécessairement dans l'esprit étroit de la masse, ils ne faisaient donc rien. Les vrais héros étaient ceux qui allaient faire face aux danger sans les mesurer et arrêter les criminels, ceux qui risquaient inutilement leur vie ou leur santé pour une cause supérieure. Cette vision étroite amusait Shreck plus qu'elle ne l'énervait. Au fond, il essayait parfois d'imaginer un Batman ou un Azraël à la gestion d'une ville. Eux qui étaient habitués à frapper du criminel et casser du bandits se retrouveraient bien pantois devant l'étendu du travail de gestion qui allait derrière, les sommes à dépenser et engranger, les problèmes de ravitaillements, les planning à valider, les mandats à vérifier, les besoins de la population à arranger avec les budgets, les emplois et les taxes...allons mon cher, rendons-nous au Bat-fax! Non vraiment les justiciers n'étaient rien d'autres que des guignols qui crachaient sur ceux qui relevaient leur manche pour faire avancer les choses et se contentait d'un travail de surface pathétiquement stérile.

Shreck était arrivé aussi vite qu'il avait pu dans les douanes pour profiter de ses liaisons radio plus puissantes que celle du GCPD, la menace des bombes du NKVDémon était toujours présente et la Garde nationale restait encore à l'extérieur de la ville, l'homme d'affaire était énervé de la tournure des évènements et comprenait que la lie de cette société, à savoir Sharp et les justiciers venaient de plonger Gotham dans les débuts d'une guerre civile, plus de pitié pour eux! Le maire avait été enlevé au nez et la barbe de toutes ses sécurités, y compris son abruti de démon au nom soviétique. Il passa une main sur son visage, rencontrant au passage les trois cicatrices de sa joue qui disparaissaient lentement. Il devait s'assurer d'être mieux défendu que lui lorsqu'il sortirait en public.

Il arrivait à son bureau et découvrit que Deathstroke attendait devant. Il tombait à pic pour une fois et serait parfaitement adapté à ses besoins.

-Entrons dans mon bureau, lui fit-il en faisant glisser son badge dans le lecteur. Sa porte se déverrouilla et il la poussa.

Aussitôt le mercenaire entrée, il la referma avec violence, sortit son portable et le posa sur son bureau, histoire d'être alerte en cas de SMS ou d'appel. Il décrocha son téléphone, pianota un instant et demanda une ligne directe avec le GCPD et la reprogrammation d'une autre vers le numéro du responsable de la garde nationale qui attendait dans la campagne.

-Monsieur Slade Wilson, que puis-je pour vous? fit-il enfin.

[[[HRP: Mention spécial pour le Bat-fax... j'ai éclaté de rire :lol!: ]]]

Deathstroke attendait à l'extérieur du bureau debout, s'appuyant sur le mur les bras croisés. Il avait remis un nouveau masque, l'ancien avait subit de bon dégats et il s'apprêtait tout de même à rencontrer son patron, un peu de décorum. La musique qui baignait les couloirs des douanes c'était tue. En tant de crise comme actuellement on coupais souvent les services secondaires, et bon la musique était très secondaire lorsqu'un fusil vous pesait sur la tempe. L'image était bonne... Il vit Shreck arrivez vers son bureau il semblait énervé et contrarié. Mauvaise journée... elle semblait d'ailleurs être mauvaise pour tout le monde.

Citation :

Entrons dans mon bureau.

Une fois à l'intérieur Shreck claqua la porte violemment. Décidément un très mauvais jours... Il attendit que son patron sois près à lui parler ne brusquant pas les choses. De toute façons pour Slade rien ne pressait, Black Canary se faisait soigner, et bon le temps qu'elle sois debout il n'avais qu'a attendre son argent... et son prochain contrat. Shreck donna des ordres en lien avec le GCPD... rien d'intéressant pour Deathstroke puis son attention revint à Slade.

Citation :

-Monsieur Slade Wilson, que puis-je pour vous?

Slade: Je vien me faire payer. Black Canary est actuellement en votre possession avec votre docteur russe... Je vien aussi vous demandez de l'escorder moi même à Arkham... j'ai certaine petite choses à régler avec elle. De toute façons vous la vouliez sous les verrous dans vos murs... et j'ai respecté ma part du contract. Si vous respectez la votre, se dont je ne suis pas inquiet car vous savez avec qui vous traitez, je pourrai donc continuer a servire dans notre petit arrangement... a moins que vous ayez des changements à lui apportez.

Black Canary? Avec Aleksandrovitch? Shreck alluma son ordinateur, certes il croyait le mercenaire, mais en affaire on avait tendance à toujours vérifier les livraisons avant de payer, c'était une règle tacite. Il pianota avec la vitesse du cinquantenaire qui avait connue l'époque des machines à écrire, cette même époque où une entreprise qui disposait de dis ordinateurs était à la pointe de la technologie, il se souvenait de l'encre que Wayne Entreprise de Shreck's Industries avaient fait couler alors. L'homme d'affaire se connecta au système des caméras de sécurité, tira le lecteur d'empreinte digital qui était incorporé à son ordinateur, enleva l'un de ses gants et posa son pouce. Tout se passa correctement, heureusement d'ailleurs.

Il demanda les caméras des sous-sols, deux clics, il utilisa la molette pour chercher la silhouette caractéristique d'Aleksandrovitch et la trouva penché sur un appareil qui s'avérait être un tensiomètre. Il appuya sur la touche de zoom plusieurs fois, ignorant qu'un appui long suffisait. Il mit ses lunettes de vue et distingua mieux la silhouette allongée et il s'agissait a priori d'une de ces justicières à deux francs six sous. L'homme d'affaire s'enfonça dans son siège en regardant le mercenaire.

-Tout travail méritant salaire, je vais appeler Thomas pour qu'il m'apporte mon chéquier, expliqua-t-il en sortant son téléphone, il devrait être là dans une vingtaine de minute.

Il envoya un texto très clair à son secrétaire:"Chéquier spécial au bureau des douane". Ce genre de cas ne se rémunérait pas avec son chéquier personnel, mais celui d'un compte privé noyé dans les méandres de la finance et utilisant exactement la moindre fissure législative pour justifier son existence. Il remit son gant pendant que de son côté, Thomas se dépêchait d'ouvrir le tiroir où se cachait le chéquier de son supérieur.

-La situation de Gotham et d'Arkham City est en train de prendre un tournant décisif Deathstroke, commença-t-il, et il est de mon devoir de faire évoluer tout ce qui doit l'être pour m'adapter, il en serait de même pour votre contrat, si vous l'acceptez bien entendu. Comprenez que la sécurité de mes investissements et de ma personne sont ma priorité et j'aurais besoin d'un garde du corps de compétent, pour ne pas dire, le meilleur. Accepteriez-vous ce travail et si oui, pour combien?

Shreck n'avait pas fait de grand détour, ce n'est pas qu'il était au dos du mur car il disposait logiquement d'une armée entière et de l'intégralité des forces de l'ordre, mais il était préoccupé par la suite des évènements, il s'était ouvertement opposé à Sharp et le NKVDémon faisait encore des siennes. L'avenir se jouerait sur l'échec de ses opposants. S'ils gagnaient, il était finit, Shapr lui enlèverait ses privilèges et irait potentiellement jusqu'à l'enfermer dans Arkham City si le NKVdémon ne le tuait pas avant. Il avait besoin de protection, mais s'il ne la trouvait pas chez Deathstroke l'homme qui lui fallait, il irait le chercher ailleurs, certes aucun n'aurait ses compétences et l'avantage d'avoir cet homme comme garde du corps était double dans sa situation.

Thomas venait de monter dans son véhicule et fonçait vers les douanes aussi vite qu'il le pu au milieu de la circulation perturbée par les derniers évènements. Il devait sans cesse montrer ses papiers d'autorisation de passage à la police. Dans son bureau, Shreck alluma sa radio pour se calmer les nerfs.

De toute façon Slade devait rester à Gotham... autant prendre se contrat. Mais ce qui l'énervait était l'abscence de duré du contrat.... Slade n'allais pas jouer les garde du corps toute sa vie. Premièrement il n'en avait pas envie, deuxièmement il n'essayait certainement pas de se ranger... Il avait essayé auparavant et sa n'avais pas marché, sa lui avait couté son fils, sa fille et sa femme... mais bon il ne refuserait pas mais à ses conditions.

Deathstroke: Le contrat est intéressant. Mais j'exige une clause de réévaluation à date précise... disons à toute les deux semaines, je ne désire pas être votre garde du corps définitivement je me réserve donc le droit à toute les deux semaine de réévaluer le contrat dépendemment des enjeux vécu et à venir. Voyez cela un peu comme une police d'assurance... si vous vous en servez sa risque d'augmenter. Et puis je peux aussi décidé de rompre le contrat durant cette réévaluation. La relation employeur-employé ne m'intéresse pas on se comprend bien?

Deathstroke aimait ses conditions, il gardait une "sécurité" d'emploie et en plus il garderais sa liberté. Il pouvait se permettre de négocier, il était le meilleur et quand on veux le meilleur on doit assumer. Mais bon ses conditions n'était pas non plus extravagante c'était un peu se qu'on pouvait s'attendre de la part d'un mercenaire auquel on demandais une stabilité.

Slade: Je veux aussi être en charge du transfert de Black Canary à Arkham. Comme je l'ai mentionné plus tôt... Et si vous pouviez me fournir un logis pour la durée du contrat j'aimerais bien prendre une douche... et dormir un peu. je veux une soirée de congé par semaine... Pour le montant tracassez vous pas trop avec sa disons le même salaire qu'avant et si vous voulez réduire le prix d'un logement je n'y vois pas d'inconvénient... de toute façons vous me payez déjà bien.

Slade enleva son masque... c'était bien pour le boulôt mais la même neuf... c'était plutôt énervant pour le business.

Slade: J'aimerais aussi que vous me disiez en quoi consistera ma tâche. De quoi avez-vous ou de qui êtes vous inquiet? il prit bien attention de ne pas utiliser le mot peur. Vous pensez avoir des ennuies prochainement, Quelle sont vos projet à long terme on part hors pays ou pas? Bref tout les informations qui pourrait m'être utile. Un garde du corps préparé en vaut 2

Il se passa la main au visage. Comme il l'avait déja dit la journée avait été longue et éprouvante, une bonne nuit de sommeil et une bonne douche le replacerait

[HRP]Mille excuses pour mon retard.[/HRP]

C'est peut-être de pouvoir verser une larme sur le sort de ses semblables qui fait de nous des êtres humains, c'est probablement la souffrance qui nous définit le mieux et pourtant, combien d'hommes et de femmes ont substitué à cette forme merveilleuse de sentimentalisme et de transfert à celle, plus infamante de l'argente et du pouvoir. Combien corrompu par leur propre façon de concevoir le monde car elle n'offre pas lentille plus déformante sur ce dernier ont commis l'innommable au nom du néant de la conceptualisation. Oui, Maximilien Shreck avait des gens contre qui il devait se défendre. Argent et Pouvoir étaient dans ses mains, c'était une évidence, mais toute arme à ses faiblesses et il fallait y remédier, il n'était pas intouchable. Sharp semblait l'avoir été durant quelques semaines, mais il avait été enlevé comme l'on cueille une fleur d'un jardin publique, Batman, Azrael et bien d'autres avaient franchit, tous en même temps, la limite à partir de laquelle Shreck devait les prendre dans la vaste équations qui lui servait de guide.

L'avis du milliardaire sur les justiciers était à la base très simple, des citoyens ordinaires avec un costume bon marché, deux trois gadgets, parfois bien pensés et qui auraient mérité une commercialisation, en bref une force d'intervention brute qui ne demandait ni gala, ni donation, une force intéressante, qui ne pouvait rien dans le domaine des hautes finances, qui ne pouvait en aucun cas fournir des preuves tangibles aux institutions sans faire tomber toute les démarches dans le bon vieux vice de procédure. C'était également des petits satellites sans envergure qui pouvaient si le besoin s'en faisait sentir d'être pourchassé comme des criminels, une sorte d'appoint. Ils avaient été tout au plus des policiers améliorés, mais maintenant, ils étaient incontrôlables. Et comme mieux vaut prévenir que guérir, Shreck avait tout naturellement songé à un individu soi-disant imbattable pour le servir: Deathroke.

Ce dernier cependant profitait de son avantage sur le businessman et imposait des règles qui étaient dans leur ensemble très lourdes. Négocier était une seconde nature pour Max Shreck à partir du moment où il savait exactement où il allait et pourquoi il y allait, c'était précisément le cas aujourd'hui.

-Va pour la clause de reconsidération mais tous les mois uniquement, comprenez que si vous tenez à votre liberté, je tiens également mon temps pour précieux et comme vous le dites, je paie bien. La présence de Black Canary entre ces murs est satisfaisant, cependant, je sais que le fait de s'attaquer aux justiciers peut comporter certains risques, la situation actuelle de Gotham en est une preuve tangible. Votre travail en tant que garde du corps serait notamment de protéger ma personne contre des criminels et "justiciers" que des garde du corps normaux gèreraient difficilement. Sachant qu'en cas d'attaque avorté de leur part, je vous proposerais des contrats très juteux pour régler ce genre de difficulté.

Thomas venait de claquer la porte de sa voiture et présentait son badge au mercenaire en faction dans le sas d'entrée.

-Pour Black Canary, faites-en ce que vous voulez, ça m'est parfaitement égale tant qu'elle reste dans l'enceinte de l'établissement.

Thomas entra alors, essoufflé.

-Votre chéquier monsieur.

-Dois-je rajouter à votre chèque un salaire de garde du corps?

Deathstroke était épuisé. Ce soir il prendrait la soirée pour lui... il le méritait après tout. Et bon il devait rester ici , autant faire de l'argent en même temps. En plus il avait Black Canary. Il s'assoya sur une chaise...

Deathstoke: Bon allez je signe pour un mois... Adressez le chèque à ce numéro de compte. C'est disons... pour m'assurer une retraite doré.

Il donna un numero de compte à l'assistant de Shreck.

Deathstroke: Mon comptable ne vous contactera pas mais il est pas impossible que vous receviez une carte de noel des îles Fidji cette année. J'en suis d'avance désoléé

Deathstroke regardait ses vêtements. Il y était certe épuisé mais plus il repensait à l'idée d'aller se coucher plus il refusait d'y aller. Il venait de passer 1 mois à dormir et il avait bien envie de tester une théorie... Après tout il en aurais peut-être bientôt plus l'occasion...

Slade: Je commence demain par contre ce soir je prend ma soirée.. j'ai besoin de me remettre un peu les idées en places.

Il enleva ses gant puis les serra dans sa poche... il devait bien avoir quelque billet dans ses poches après... à sa souvenance au moins 30$ ouais sa suffirait.

Slade: Je vais prendre une douche en bas chez les miliciens et je pigerai dans leurs habits... Je m'absente ce soir du coté de Gotham... ne vous inquiétez pas je serai la demain à la première heure.

Il prit une profonde respiration en prenant le chèque de Shreck lui tendait.

Slade: Félicitation encore une fois M. Shreck... vous savez flairer les bonnes affaires.

Il décendit en bas, il se fit indiqué l'endroit ou les miliciens stockait leur linge, ou la salle de bain avec les douches communes. Il se lava. Il remarqua que ses blessures commenceait à refermer et ses hématomes à disparaitre. Son facteur de régénération bien que plus lent fonctionnait toujours. C'était rassurant. En sortant il remis son armure mais sans les manches écaillés. Il prit un gilet sans à manche courte noir à l'effigie des la milice d'Arkham et un pantalon cargo noir et sortit vers Gotham... sans bien sur oublier de mettre un petit couteau dans sa botte et ses Papier qui régularisait sa situation.