Jim rentra chez lui ce soir là, heureux et confus. D'un côté il était extrêmement heureux de la proposition de Max, et que son plan marche à merveille. D'un autre côté il y avais Maroni qui venait de doubler sa dette et lui donnais une limite de temps très serré. Mainteant c'était simple, soi il réussissait sont plan soi... il crevait. Tout ou rien comme on dit. Il monta les escalier qui menait à son petit appartement du vieux Gotham.

Un vieux batiment de brique rouge mal entretenu. Certaines briques avait tomber du coté gauche de l'immeuble et des ouvriers malhonnête avait installé des échafaudages pour les réparés, mais lorsque le premier chèque de la propriétaire avait passé plus personnes ne les avait revue. La propriétaire avait bien entendu sonné chez Corrigan car elle le savait dans la police, pour qu'il enquête sur l'affaire. Il c'était négocié le logement gratuit le temps de l'enquête... une enquêtes qui évidemment traînait en longueur.

Jim salua de la tête sa voisine. Madame Simmons, une septuagénaire très gentilles. Elle tentait encore et toujours de faire pousser un peu de verdure dans la plate bande de l'immeuble, mais plus rien n'y pousserais. La terre était depuis longtemps épuisé... épuisé comme l'immeuble, comme la ville... comme Jim.

Il entra dans son petit logement trois pièces, une télévision noir et blanc éclairant en silence la pièce qui servait de salon cuisine. Jim la laissait en permanence ouverte mais le son n'était pas ouvert durant la journée. Mais c'était la première chose qu'il faisait en arrivant. Avec la télévision qui fonctionnant il se sentait un peu moin seul. C'était un peu comme une présence.

Jim: a tien lethal Weapon 3

Un vieu film des années 90. Un de ceux que Jim écoutait plus jeunes lorsqu'il rêvait de devenir un grand policier incorruptible... il afficha un petit sourir à l'ironie de cette pensée. Il marcha tranquillement vers la cuisine qui était adjacente au salon. Il enleva son manteau et le déposa sur le dos de la chaise de cuisine. Il s'en alla dans le frigidaire, il en ressortit un morceau de sandwich sec et peu goûteux. Probablement qu'il avait été fait hier mais pas mangé au complet. Jim ouvrit une armoire et sortit une bouteille d Wisky, s'en servie un bien sec et le but d'un trait.

Jim: aaa sa fait du bien.

Il s'en servit un deuxième puis le déposa sur sa table à manger ainsi que son sandwich dans lequel il venait de prendre une deuxième bouché. Puis il se dirigea vers sa chambre à coucher. Se pencha sous son lit puis en sortit une petite boite en carton. Il l'ouvrit elle contenait certain dossier. Il y avait plusieurs dossier dans la boites des dossiers avec des noms dessus. Un civile aurait vue cela comme des documents avec le nom de plusieurs personnes toute banale, un agent du GCPD aurait vue tout ses collègues fichés et documenté dans des dossiers bien identifié. Jim sortit deux dossier de sa petite boite, celui de Lulla Brogan et celui d'Arnold Flass.

Jim fouillait dans presque tout les dossier de ses collègues et prenait des photocopies de presque tout se qu'il voyait. Avant c'était compliqué on devait sois les amener au photocopieur ou encore prendre des photos des dossiers puis les faire développer. Maintenant avec les téléphones intelligent on avait besoin que d'un ordinateur et d'un fil de raccordement. Jim alla s'asseoir à sa table avec les deux dossier dans les mains. Il pris une troisième bouché de son sandwich et une gorgé de son whisky.

Il regarda le dossier de l'agent Brogan, tout les preuves de son association avec Azrael et la participation de l'agent Carter... tout y était sans la moindre exception, même l'ordre d'arrestation et la radiation de Lulla signé de la main de Shreck, tout était conforme. Il recruta tout les documents. Son nom n'apparaissait nul part, on parlait toujours d'un informateur secret, c'était parfait.

Puis il ouvrit le dossier de Flass, de mauvais état de service, plusieurs enquêtes non résolus, des blâmes mauvaises remise de rapport. Un mauvais agent, un agent fainéant et endormi, sa serait la cible parfaite. Jim pris les papiers compromettant de Lulla et les mélangea avec quelques rapports de Flass... puis il pensa a une histoire...

Jim: apparament il aurait fait le coup pour obtenir des avantages. Il était sur la corde raide il aurait perdu son emploie... Lulla. Trop fainéant pour mener une vrai enquête il a seulement espionné ses collègues. tout pour ne pas sortir ... du commissaire. C'était pour se faire mousser... c'était pour son profit...

Jim continua... tout était prêt... Sa permettrait de convaincre Lulla du moin il le croit. Jim but d'un trait son verre et pris la dernière bouché de son sandwich. Puis il remit son manteau. Il retourna caché le dossier trafiqué dans sa boite. Puis redescendit dans la rue.

Il y avait un téléphone publique au coin de la rue. Jim y alla pris le numero de telephone puis appella et tomba sur la boite vocale : C'est moi faut qu'on se voit, j'ai les infos que tu voulais...

Il raccrocha puis retourner chez lui, boire d'autre verre après tout il l'avait mérité. Surtout que tout allais pour le mieux... du moins pour l'instant.

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