Jim arriva au commissariat de bonne humeur ce matin. Il avait son plan en tête et il était confiant de sa réussite. Depuis bien longtemps il n'avait pas aussi bien dormi, il avait enfin une porte de sortit. Il n'arrivait toujours pas à croire se qui lui arrivait.

Non mais vous vous rendez compte? mener l'enquête de son propre crime. C'était l'ironie la plus délicieuse et la plus jouissive au quelle il avait gouté de sa vie. Et le plus magnifique c'est que grâce à Lulla qui lui avait confier ce mandat. Il allais peut-être même pouvoir payer ses dettes de jeux. Du moins assez pour que ses créanciers le laisse tranquille un bout de temps.

Jim était tout sourire à la machine à café ce matin. Il était la avec sa grande tasse il attendait que la dernière goutte tombe.

Policier: Bonjour Détective Corrigan

Jim: Bonjour officier, comment sa va aujourd'hui?

Policier: Bien, mais pas autant que vous apparament. Je n'ai pas vue un sourire aussi grand depuis bien longtemps

Jim: Je sais pas on dirait que ce matin je me suis levé de bonne humeur. Vous savez il y a des journées comme celle-là ou on se dit... aujourd'hui sa va bien aller j'en suis sur.

Policier: Et bien je vous le souhaite. Euh j'aurais besoin de votre signature sur le rapport de l'affaire O'Connor.

Jim: Oui je passerai vous voir tout à l'heure. Pour l'instant je vais savourer mon café.

Jim se servit une belle tasse de café, 2 lait pas de sucre. Il se sentait léger aujourd'hui il n'avait qu'a mettre son plan a exécution. Il passa devant le bureau du grand patron M. Schreck, Il avait de la chance il semblait être là ce matin. Il se dirigea vers la secrétaire

Jim: Bonjour. Mais vous êtes tout à fait ravissante ce matin.

Jim fit un petit clin d'oeil à la dame devant lui. Il savait que dans un bureau comme celui-ci tout transigeait par la secrétaire si vous elle vous détestait... vous étiez mal barré.

Jim: Croyez-vous que M. Schreck serait disposé à me recevoir ce matin ou dans la journée?

Shreck, pour une fois, n'avait pas la tête dans les papiers, mais dans les courriers électroniques. Il était à la tête d'une entreprise technologique avancée, mais il restait persuadé que les supports papiers étaient plus pratiques à court terme, certes ils prenaient de la place pouvaient se perdre, mais qui pouvait se vanter de n'avoir jamais réussit à perdre des documents électroniques, aussi légers furent-ils? Il soupira en supprimant un mail inutile, une sordide invitation à u pot de départ, avait-il le temps de s'occuper de ce genre de chose? Entre les douanes, Shreck et les affaires urgentes du GCPD, c'est à peine s'il arrivait à dormir et à rêver d'autre chose! Il archiva un mail dont il jugerait plus tard l'utilité.

L'homme d'affaire ne tapait pas au clavier comme un Dieu, loin de là, deux index étaient parfait et la patience restait le dernier ingrédient de sa méthode. D'habitude il appelait une secrétaire, Thomas ou même une assistante de direction, mais là il se débrouillait seul et soupirait de lassitude à devoir perdre son temps ainsi. De l'autre côté du mur, sa secrétaire gloussait comme l'idiote qu'elle était. Une femme sans histoire, avec pour seuls rêves ceux que la télévision lui créait de toute pièce, une femme tel que Shreck les détestait, futile, toujours à vouloir un bon mot et souriante quoi qu'il advienne. Elle n'était pas charmante et ne se faisait pas de fausses illusions à ce sujet. Lorsque Corrigan arriva vers elle avec ses manières, elle se doutait qu'il n'tait pas sérieux, mais il prenait un peu de son temps pour chercher à l'être, intérieurement elle le remerciait de lui apporter un peu d'amusement.

-Je vais demander immédiatement à monsieur Shreck, petit flatteur.

Elle se leva souriante et se rapprocha de la fameuse porte et perdit un peu de sa bonne humeur. Elle frappa àç la porte et attendit le "oui?" glacial de la part de cet homme, intransigeant, toujours pressé, jamais content, toujours à suivre avec un détachement presque effrayant les nouvelles de Gotham, des arrestations et ldes enquêtes internes qu'elle lui transmettait oralement, que Bullock lui manquait, lui qui était un être humain malgré son appétit et ses manières un peu rustre. Elle ouvrit la porte après que le mot fatidique ai été prononcé.

-Monsieur l'intendant, l'agent Corrigan voudrait s'entretenir avec vous.

Tant de manières et de formulation ampoulé jute pour éviter que cela soit mal interprété, cela faisait des années qu'elle n'avait pas dû parler de la sorte.

-Ah quoi peut bien vous servir l'interphone qui est sur votre bureau? demanda désagréablement Shreck. Est-il purement décoratif?

-Euh... non monsieur.

-La prochaine fois que quelqu'un veut me voir, à moins que ce soir capital et urgent, au lieu de m'interrompre en frappant à cette porte, appuyez sur le bouton de circonstance et je vous répondrais. Est-ce clair?

-Mais le commissaire Bullock...

-Voyez-vous Bullock dans ce bureau?

-Non.

-Faites entrer Corrigan et laissez-nous, intima-t-il sèchement.

Elle état tellement pitoyable qu'une gifle ne serait que Justice pour donner de la couleur à sa personnalité.

-Monsieur Shreck va vous recevoir, transmit-elle au policier sans un sourire ni un regard en face.

Elle se rassit silencieusement à son bureau, des larmes dans les coins des yeux.

Il regarda la sortir du bureau complètement secoué par la courte discussion avec Shreck. Il se dit qu'un bon mot ne pourrais lui faire de tort qui sais si un jour il aurais besoin d'elle.

Jim tout bas pour que seul la secrétaire l'entende : Je lui dirai un bon mot pour vous

C'était un mensonge évidemment. il se foutait bien de la secrétaire et n'allait certainement pas importuner l'intendant avec un détail aussi futile que les sentiment de sa secrétaire. Apparament il en avait rien à faire et Jim n'allais certainement pas se mettre à donner des leçons de morale à qui que ce soit. Mais bon si la secrétaire le croyais c'était tant mieux pour lui...

Il passa à coté d'elle pour se diriger vers la porte de l'intendant. La dernière fois qu'il était entré c'était pour vendre des informations sur Azrael, Lulla et Ethan. Il se sentait confiant d'être bien reçus. Après tout il avait toujours parut fidèle a Schrek et avait toujours démontré une civilité exemplaire en sa présence. Il ouvrit la porte du bureau et s'avancea.

Jim remarqua que Shreck avait les yeux fixé sur son ordinateur et ne semblait pas de la meilleur humeur possible. Sa confiance diminua tout d'un coup. Il se mit a pensé que si sont plan ne fonctionnais pas, que si quelqu'un découvrait ses magouille il ne vivrais pas encore bien longtemps. Et dans le meilleurs des cas il finirait a Arkham, se qui se soldait par la même réponse... la mort. Jim ne survivrait pas à Arkham, aucun flic ne voulais être envoyé en prison, vous voyez le scénario?

Il se tena debout a coté de la chaise regardant l'homme devant lui. Un homme beaucoup plus puissant qu'il ne le saurait jamais. Un homme riche... Riche... Si Jim pouvait avoir suffisamment d'Argent pour seulement épongé ses dettes sa serait déjà le paradis. Falcone, Maroni... il n'attendrais pas éternellement... même s'ils était a Arkham ils avait le bras long et au bout il y avait une main qui tenait un flingue. Et si Jim ne pouvais pas payé il y avait une balle a son nom dans ce flingue. Finalement il n'y avais qu'une option pour Jim. Sois sont plan réussissait, sois il crevait... en tout cas c'est se qu'il voyait...

Jim: Bonjour M. l'intendant, merci de me recevoir. J'apprécie d'autant plus que je sais que vous êtes un homme extrêmement occupé. Mais je crois que j'ai des informations que vous aimeriez savoir.

Il dit sur un ton plus bas de peur que quelqu'un l'entende

Jim: Il y aurait une taupe au GCPD qui collabore avec les héros et les anciens flics corrompus que vous avez virer. Et j'ai toute les raisons de croire qu'il comploterais contre vous et contre le maire Sharp.

Jim espérait qu'avec ces informations Shreck le prendrait au sérieux et qu'il lui offrirait un peu plus de temps pour s'expliquer.

Jim Corrigan, un homme selon le cœur de Shreck, un homme qui ne s'attardait pas dans les détours de l'intégrité. Il avait accepté l'intendance malgré l'insulte qu'elle représentait et collaborait même activement avec, de quoi lui assurer un bon avenir dans la police. La mauvaise humeur de Shreck retomba légèrement, mais il restait persuadé qu'il allait perdre son temps avec lui, temps qu'il jugeait déjà bien gaspillé à cause de cette machine diabolique. Il lui servit une politesse banale, mais que l'homme d'affaire appréciait puis le ton de son interlocuteur se fit plus délicat. Son annonce eut l'effet d'un coup de tonnerre dans l'ambiance électrique du bureau.

-Prenez un siège Agent Corrigan, fit Shreck le plus sérieusement du monde.

Maximilien se redressa dans son siège et appuya sur le bouton de son interphone pour réclamer qu'on ne vienne le déranger sous aucun prétexte. Peut-être que cette pauvre gourde suivrait ses instructions cette fois-ci. Il tira sur les pans de son blazer et s'éclaircit la gorge, l'accusation de Corrigan était sérieuse. Ce policier lui avait déjà fournir quelques renseignements sur l'agent Carter et Brogan et leur potentielle trahison avec un justicier qui avait fait des émules.

-Un café, proposa-t-il poliment en montrant la cafetière qui se trouvait sur une armoire à côté d'eux. Servez-vous si tel est le cas, je vous en prie.

Il croisa finalement les bras sur son bureau en conservant l'attitude de fierté froide qu'il se connaissait et qui signifiait qu'il allait parler de choses graves.

-Vos accusations sont graves, j'imagine que vous vous en doutez, commença-t-il rituellement, en tant qu'intendant du GCPD il est de mon devoir de vous en avertir, si vous veniez à formuler des accusations sans fondement, je devrais vous infliger un blâme. Maintenant que les choses sont claires entre nous, quels sont les éléments que vous auriez à apporter avec votre accusation?

Une taupe qui pourrait interconnecter des justiciers et d'anciens policiers corrompus, de quoi permettre un coup de filet et des arrestations relativement simples pour rassurer la population. La calculatrice qui avait élu domicile dans la méninge de l'homme d'affaire entrait en fonctionnement, qu'importait de lutter contre la corruption si au final on n'en profitait pas vraiment aux yeux des citoyens. Si ce que le policier apporterait était convainquant et menait à une action d'envergure, il gagnerait un grade proportionnellement à la satisfaction et l'intérêt que Shreck pourrait en retirer.

[HRP]Désolé pour la longueur, petite panne d'inspiration sur le coup.[/HRP]

Jim était très content. Apparamment il avait touché la ou il fallait. Il avait atteint sa cible. Il avait toute l'attention de Max. Mais comme un con il n'avait pas réfléchie à se qui se passerait après. Il devait faire vite.

Citation :

-Un café, proposa-t-il poliment en montrant la cafetière qui se trouvait sur une armoire à côté d'eux. Servez-vous si tel est le cas, je vous en prie.

Jim Corrigan: Merci ce n'est pas de refus. dit-il en marchant vers la machine à café.

Le café de Max Shreck était complètement différent de celui de la salle des policiers. Jim avait les raisons de croire qu'il s'agissait de café de très haute marque. Peut-être même du blue mountain. Un café qu'un homme comme lui ne pouvait évidemment pas gouter normalement. mais mais... Pourquoi pensait-il à ça en ce moment il avait un problème beaucoup plus grave que ça... Qu'allait-il dire a Max. Vite réfléchie Jim réfléchie...

Il pris une gorgé du café prestigieux du bureau de l'intendant... Aaaa quel merveille pour le palais d'un alcoolique comme Jim. Lorsqu'on boit trop de boisson tout a le même gout. Un gout aigre et pateux, mais un café si gouteux, un café fort et homptueux réussissait à dénicher les papilles gustatives encore active. Celle qui travaillais encore contre l'autodestruction que Jim s'auto-infligeait.

Puis Jim revint s'asseoir au bureau, pour parler avec Shreck.

Citation :

-Vos accusations sont graves, j'imagine que vous vous en doutez, commença-t-il rituellement, en tant qu'intendant du GCPD il est de mon devoir de vous en avertir, si vous veniez à formuler des accusations sans fondement, je devrais vous infliger un blâme. Maintenant que les choses sont claires entre nous, quels sont les éléments que vous auriez à apporter avec votre accusation?

Bon sa serait le gros Flass . Plusieurs rumeurs courait qu'il était corrompu et Jim se dit que s'il n'avait pas été encore placé sous le couvert d'une enquête interne c'est que cette grosse baudruche n'Avait aucune utilité dans le poste. Sa serait un motif suffisant. Il ne se sentait pas apprécié parce que personne ne lui donnais jamais rien à faire. Évidemment que personne ne lui donnais jamais rien à faire... il ne faisait jamais rien comme il faut. En plus il rendait toujours ses rapports avec des traces de moutardes. C'était un parasite... un parasite de moins. Et en plus... ce matin... il avait pris la place de Parking de Jim...

Jim: J'en suis très conscient M. L'intendant. C'est pour cela que je ne porterais pas encore d'accusation. JE vais être très honnête avec vous, les rumeurs cours dans le poste sur l'agent Arnold Flass. Apparament L'agent Flass en aurait assez d'être traité comme un minable par le GCPD. Les murs racontent qu'il aurait rejoint la cause de certains anciens agents, qui seraient alliés a divers super héros, car c'était la seul façon de refaire son boulot de policier...

Quelle éclair de génis il reprenait les mensonges qu'il avait dit à Lulla et les resortait a Max... Jim tu ne restera pas détective très longtemps.

Jim: Les rumeurs disent que selon lui, le GCPD actuel est pourri et corrompu, le seul moyen de refaire son boulot de flic c'était de travailler contre le GCPD...

Jim laissa ses paroles touchés Shreck, il se doutait bien qu'avec une attaque comme celle-la une enquête serait déclanché, maintenant il devait ramener l'enquête à lui.

Jim: Je voudrais seulement vous rappeler qu'on parle ici de "ouie-dire", dans le domaine de la rumeurs. En fait si je suis ici, c'est pour vous demandez de me donner l'enquête. J'aimerais prouver une fois de plus ma fidélité envers la nouvelle direction du GCPD. J'aime mon travail M. L'intendant, et je suis très conscient que normalement cette enquête serait pour votre nouveau services administratifs, mais j'aimerais vraiment que vous me confiez cet enquêtes. Je déteste voir des pommes pourries dans le GCPD qui nous font mauvaise presse et qui travail contre nous. Je suis un bon détective M. L'intendant et j'ai prouvé ma valeur plus d'une fois depuis la nouvelle gérance du GCPD. Évidemment connaissant votre penchant pour le travail bien fait et pour les bonus lorsque vous êtes satisfait... Je veux faire ce travail, j'en aie besoin et je suis l'homme de la situation.

Jim arrêta deux seconde pour reprendre son souffle. Il déposa sa tasse à café, se pencha vers l'avant et pris un air très sérieux.

Jim: Monsieur l'intendant, je veux cette enquête, je suis un bon détective et je ne vous décevrai pas. Laissez moi faire mon boulot de flic... Pour le GCPD et pour Gotham.

Maximilien éteignit l'écran lumineux de son ordinateur afin de se concentrer sur les dires de son interlocuteur et non l'image qui lui rappelait quu'il avait encore quelques colonnes à remplir dans son tableau... L'agent Corrigan prononça un nom. Flass...Arnold Flass... malgré sa volonté la plus farouche il ne parvint pas à mettre un visage sur ce nom qui donnait l'impression de parler d'une marque de guimauve. L'intendant se leva en considérant les propos de cet individu qui l'avait déjà aidé par le passé. Il se déplaça jusqu'à la machine à café et se servit à son tour une tasse. Il s'étira les cervicales qui craquèrent légèrement, vieillir rendait cette opération douloureuse, mais apportait une certaine relaxation à moyen terme.

Oui, ce n'était guère étonnant de voir des éléments dissidents, tout ceci était tellement peu régulier, un civil venant mettre son nez dans les affaires des forces publiques alors que leur ancien commissaire nommé Maire s'était finalement vu voler ses droits et que leur nouveau commissaire ait été relégué au rang de traître. Ses services épluchaient tant qu'ils le pouvaient les dossier des employés du commissariat, mais tout se jouait finement, sous le manteau et sur le terrain, il en savait quelque chose. Jim pouvait être à sa façon l'observateur, la taupe du GCPD lui permettant d'observer et de maintenir une pression sur ses collègues, tout ceci naturellement bien caché, pas question de titres pompeux et de grades particulièrement osés qui rendraient sa présence suspecte en tout lieu.

Le café chaud vint réveiller la gorge du businessman et reconnecta son esprit légèrement endormit par l'informatique. Ces temps-ci, il devait l'admettre, il alternait travail et sommeil erratique, le prix du pouvoir; heureusement ce dernier avait cela pour lui qu'une fois conquit il restait relativement simple à conserver. Thomas était un bon intermédiaire, le Major était bien implanté dans les douanes et Aleksandrovitch était un scientifique fiable qui se chargeait de sombre besogne, il lui manquait un appui dans ce commissariat, quelqu'un en qui il pouvait avoir confiance. Cet homme était venu offrir ses services en échange d'argent, c'était un procédé correct et honorable et si Shreck pouvait lui faire miroiter de plus belles récompenses pour son zèle? Maximilien tira une chaise qui se tenait devant son bureau et l'installa à côté de l'agent en question. Il s'assit soigneusement dessus, toujours sa tasse de café à la main et croisa les jambes, d'un air qui démontrait une certaine détente. Il maîtrisait la situation.

-Nous parlons là de rumeur Agent Corrigan, nous parlons de suspicions, rien de tangible. Vous imaginez si je prenais un tel risque : Vous laisser agir sous couvert de rumeur?

Il prit une légère gorgée de café, juste de quoi donner le change sur sa pause spécifiquement posée.

-C'est un très grand risque que je prendrais... continua-t-il. Avant d'aller plus loin, regardons dans l'avenir monsieur Corrigan. Vous avez aidé jusqu'à présent l'intendance du GCPD du mieux que vous pouviez et ne m'avez jamais déçu, c'est pourquoi aujourd'hui je donne beaucoup de crédits à vos paroles et renseignements, fussent-ils uniquement fondés sur des rumeurs et des "bruits de couloirs". Actuellement, vous le savez également, la Mairie est vacante et le poste de commissaire est plutôt bancal, il suffirait de murmurer un nom dans le conseil de notre ville (ou ce qu'il en reste) voire même à l'oreille du Maire par intérim pour faire pencher la balance vers... une radiation d'un fonctionnaire de la ville tel que le commissaire pour voir en apparaître un autre, un autre soutenu par l'intendance pour ses excellents services... Nous parlons ici en termes hypothétiques naturellement cependant il est certains que si vous parvenez à servir au mieux l'intendance certains murmures pourraient commencer à émerger dans les couloirs de la mairie.

Shreck passa une main sur les trois cicatrices de sa joue que lui avaient laissé sa dernière rencontre avec Waylon Jones. Oui, un nouveau pion sur l'échiquier de Gotham, un homme circonstanciel pour qu'il puisse partir comme un Prince de l'intendance qui devenait critiquée et devenir un chevalier blanc, laissant derrière lui une gestion indépendante complètement à sa solde. Une antenne du pouvoir de Schrek allait émerger d'une simple demande d'enquête interne.

-Considérez donc mon accord comme un test monsieur Corrigan, menez l'enquête, assurez-vous d'avoir assez d'éléments contre votre collègue et je m'assurerais du reste, vous aurez le bonus de circonstance et vos états de service n'en seront que meilleurs et qui sait, peut-être même pourraient-ils être soutenus si vous voyez ce que je veux dire.
"Seriez-vous partant pour...ce test?

Shreck tendit sa tasse comme pour trinquer, Corrigan comprendrait probablement trop tard son erreur, trinquer de la sorte demandait de bien connaître l'individu qui était en face de soit et l'homme d'affaire s'approchait en l'occasion plus d'un diable ambitieux et prêt à tout que d'un ange salvateur. Il était celui qui ne considérait même pas que l'homme potentiellement accusé n'était qu'une pauvre victime, ni que Jim Corrigan puisse avoir un autre avenir que celui qu'il lui traçait en cette occasion.

Citation :

-Nous parlons là de rumeur Agent Corrigan, nous parlons de suspicions, rien de tangible. Vous imaginez si je prenais un tel risque : Vous laisser agir sous couvert de rumeur?

A non ... Jim aurait un blame. Il aurait du monter ses preuves avant... Merde à quoi avait-il pensé? On ne se présente pas chez l'intendant, qui plus est un des hommes les plus influents de la ville avec une rumeur comme argument. Merde qu'allait-il faire... il restait toujours l'option Lulla... mais il n'aurais jamais assez pour rembourser sa dette...

Citation :

-C'est un très grand risque que je prendrais... continua-t-il. Avant d'aller plus loin, regardons dans l'avenir monsieur Corrigan. Vous avez aidé jusqu'à présent l'intendance du GCPD du mieux que vous pouviez et ne m'avez jamais déçu, c'est pourquoi aujourd'hui je donne beaucoup de crédits à vos paroles et renseignements, fussent-ils uniquement fondés sur des rumeurs et des "bruits de couloirs". Actuellement, vous le savez également, la Mairie est vacante et le poste de commissaire est plutôt bancal, il suffirait de murmurer un nom dans le conseil de notre ville (ou ce qu'il en reste) voire même à l'oreille du Maire par intérim pour faire pencher la balance vers... une radiation d'un fonctionnaire de la ville tel que le commissaire pour voir en apparaître un autre, un autre soutenu par l'intendance pour ses excellents services... Nous parlons ici en termes hypothétiques naturellement cependant il est certains que si vous parvenez à servir au mieux l'intendance certains murmures pourraient commencer à émerger dans les couloirs de la mairie.

pensée:Un instant... venait-il d'accepter l'idée de Jim ? Oui... il venait de lui donner carte blanche... puis Jim se repassa les paroles qu'il venait d'entendre dans sa tête.

QUOI? Une promotion... Lui commissaire???? Commissaire Corrigan... sa sonne drôlement bien. Mais... et ces projet de déménagé a Keystone City? Merde Jim, COMMISSAIRE... sa ne se représenterais jamais une offre comme celle-là. Il pourrait enfin faire payer les deux clans mafieux d'avoir profiter de sa faiblesse. Ils l'avait saigné à blanc, mais avec tout se qu'il savait sur eux et avec tout la police il pourrait les détruire. Ohhh la belle occasion. Suffit de pas merder dans mon enquêtes et j'aurais tout... tout réussi. Et du coup je pourrais rengager Lulla et en faire quelqu'un de confiance. Oui Jim... tu ferais un excellent commissaire. Oh Merde c'est si excitant...

Citation :

-Considérez donc mon accord comme un test monsieur Corrigan, menez l'enquête, assurez-vous d'avoir assez d'éléments contre votre collègue et je m'assurerais du reste, vous aurez le bonus de circonstance et vos états de service n'en seront que meilleurs et qui sait, peut-être même pourraient-ils être soutenus si vous voyez ce que je veux dire.
"Seriez-vous partant pour...ce test?

Bien sur que Jim était d'accord, c'était la chance de sa vie. Il épongerais ses dettes, trainerais Maroni et Falcone dans la boue (s'il ne les faisait pas noyer. il y penserais) et aurais une armée de policier.

Jim saisi sa tasse et avec un grand sourire fendu jusqu'aux oreille il trinqua. Avec Max Shreck.

Jim: Je suis votre homme M. L'intendant.

Jim se leva d'un seul bon saluat son supérieur avec toute les doléances nécessairement puis sortit du bureau le sourire le plus sublime sur son visage. Il avait beaucoup à faire quand il aurais fini sa journée il avait des choses à préparer