Le couvre-feu était désormais rôdé et les miliciens s'avançaient de plus en plus profondément dans Arkham City avec assurance. Après les récents évènements impliquant de fortes résistances, la composition des groupes de patrouilles s'élevaient à 10 hommes. Ils étaient devenus plus vigilants, mais aussi plus durs, les cris et les lamentations des détenus les plus faibles, malgré ce que l'on en pensait n'étaient pas l'objet de l'indifférence, et pour se protéger certains mercenaires se blindait de violence et se déchargeait sur ceux qui résistaient. Les rires et les parties de cartes étaient remplacés par des nuits froides, des entrainements imposés par Silberman et les patrouilles se faisaient au milieu des déclarations continues des hauts-parleurs, les écrans géant qui surplombaient les douanes affichaient le visage de leur supérieur, celui qui signait le chèque qui les faisait tenir, les affiches les observaient pendant leur patrouille, rien ne devait les faire dévier du but que Shreck leur avait fixé: vaincre la criminalité et faire payer à tous ces détenus leurs crimes passés.

Ils n'étaient pas désespérés, ils n'étaient pas triste de leur condition, les miliciens étaient en réalité heureux de voir de la résistance, la possibilité de se vider de leur colère et de leur haine, c'était ce qui faisaient la mince limite qu'exploitait le service de recrutement de Shreck, les miliciens ne devaient en aucun cas avoir peur de blesser, mutiler, humilier les détenus, de les traîner sur le chemin du retour, de profiter de leur faiblesse, de les défaire psychologiquement et physiquement. C'était l'ordre qu'il fallait réinjecter, la peur de l'autorité, comme dans une entreprise, le couperet de l'autorité devait toujours laissé les employés dans leur ligne de conduite exemplaire, pas de coup en douce, pas de rébellion dans les rangs, une machine qui tournait bien était une machine dont les moindres composants s'assemblaient, se coordonnaient à la perfection, l'industrie était l'exemple le plus flagrant de cette nécessité et l'Homme d'affaire avait reproduit ce qu'il connaissait au mieux.

La patrouille qui s'approchait du Mercy Hospital devait vérifier l'absence de tous sbires du Joker qui avait selon les rapports de situation attaqué le derniers propriétaire, un chirurgien méconnu qui avait lui-même fuit. Le groupe fit le tour de l'ancien édifice, qu'importait ce qu'il y avait en son sein, de toute façon le couvre-feu ne réclamait pas encore l'abandon de certaines parties de la ville pénitentiaire, des rumeurs circulaient que des travaux étaient envisagés, mais les rumeurs disaient beaucoup de chose, les détenus parlaient aussi d'une légende qui serait revenue, d'un tueur sans coeur et sans principe qui aurait été enfermé dans Arkham City, on ne sait comment cette légende urbaine était apparut, le fameux tueur n'avait fait aucune meurtre depuis des mois et personne n'avait ne serait-ce qu'entraperçue son ombre, c'était le genre de rumeur volée entre les cris des détenus capturés et qui faisaient rire les miliciens dans la salle de pose.

Tout à coup, une silhouette apparut, enfin un peu d'action. Le lieutenant de la patrouille tint en joue la silhouette, ses hommes en firent autant et commencèrent à se déployer en arc de cercle.

-Qui va là! Mettez-vous à genoux et les mains sur la tête! Ordre de la milice! hurla-t-il.

Il fit un geste de la main, autorisant deux de ses hommes à s'approcher de la silhouette noir.

-Cette sommation est la dernière avant l'usage de la force, continua-t-il en criant. Au nom d'Arkham City, rendez-vous sans opposer la moindre résistance!

L'air devint glacial et le temps se figea, les deux hommes avançaient, l'arme au poing, prêt à tirer. La silhouette se détachait de plus en plus de la pénombre.

Deathstroke était abasourdi... Arkham City. Que faisait-il à Arkham City? Il se rappelait une électrocution. Il se rappelait la silhouette de Grayson... et il se réveille dans le trou du cul du monde.

À première vue il était dans se qui devait être un vieux batiment et sa chambre a été modifier en chambre d'hôpital. Sa chambre était parcouru par des coulés d'eau qui venais du toit et la moisissure formait une véritable forêt sur le plancher. Son lit grinçait et craquait simplement à le regarder. La fenêtre extérieur donnais sur un énorme panneau d’Affichage disant: Bienvenu à Arkham city.

Slade pris le temps de s'habiller car étrangement toute son équipement était dans la chambre, la personne qui l'avait trainé jusqu'ici lui avait tout laissé. C'était extrêmement étrange. Il se dirigea vers la porte... une sensation d'étourdissement l'envahi.

Deathstroke: Mais... il y a quelque chose de pas normal

Effectivement Deathstroke ne se sentait JAMAIS étourdie. Depuis qu'il avait été "amélioré" ses réflexes et ses sens était tout simplement surhumain... comment pouvait-il se sentir si chancelant. Une fois la main sur la poignée de porte il tenta de l'ouvrir... elle était fermer a clé. Deathstroke voulu l'arraché mais ... rien ne se passa la porte ne s'ouvrit pas

Deathstroke: La force aussi ... Quelqu'un ma fait quelque chose.

Slade tira plus fort. Il restait fort mais rien a voir avec sa puissance habituelle. La porte céda et il put sortir... Il devait trouver se qui lui était arrivé. Il descendit dans le hall d'Entré et ouvris la porte principal du batiment.

Deathstroke: Par ou commencer...

Il s'engouffra dans les ruelles pourries d'Arkham city. Après quelque coin de rue il entendit hurler.

-Qui va là! Mettez-vous à genoux et les mains sur la tête! Ordre de la milice!


Comment ne les avait-il pas entendu venir... il se déplace avec du matériel lourd d'une demi-tonne et ils respirent avec une force ridicule... Définitivement il y avait un problème. Normalement jamais il ne se saurait laissé surprendre.


-Cette sommation est la dernière avant l'usage de la force, continua-t-il en criant. rendez-vous sans opposer la moindre résistance!

Deathstroke se retourna face à ses assaillant et mis ses mains derrière sa tête comme s'il se soumettais mais tranquillement il glissa sa gauche sur le manche de son épée. Lorsque deux des hommes s'approchèrent pour les mettre aux arrête il dégaina rapidement. Il trancha la gorge d'un des garde avec une précision et une vitesse étonnante. Puis il donna un coup de pied dans le genoux de l'autre, on entendis le craquement des os se briser et un cris de douleur venant du garde. Rapidement il se positionna derrière le blessé qui était maintenant à terre se tenant le genoux de douleur et lui passa la lame sous la gorge. Il regarda les autres garde qui le tenais en joue. Slade avait maintenant un bouclier. Un bouclier humain qui se tordais de douleur.

Deathstroke: Qu'est-ce que vous me voulez? Laissez moi partir ou il y passera comme l'autre dit-il d'un calme étonnant.

La situation s'envenimait et l'individu qui s'opposait à la patrouille était anormalement agile et fort. Il avait gérer l'avancé des deux miliciens avec une efficacité qui avait fait reculer le reste de la troupe. Il était hors de question de laisser un simple détenu faire la loi, d'autant plus que les supérieurs qui lisaient les rapports signifiant des pertes ou des dommages n'étaient pas tendre et les sanctions étaient à la hauteur des nouvelles règles d'Arkham City. L'individu osa leur demander ce qui lui voulaient.

-Vous avez outrepassé le couvre-feu en vigueur et vous exposez aux sanctions qui s'imposent! expliqua le Lieutenant. Vous serez conduit aux douanes pour les recevoir!

Le lieutenant eut un mouvement d'hésitation face au ton nonchalant de leur adversaire et fit un geste de la main rapide pour donner l'ordre de tirer des décharges électriques. Ses hommes prirent leurs pistolets électriques.

-Veuillez déclinez votre matricule et votre nom! Hurla le lieutenant, conscient que leur petit numéro ne portait probablement pas ses fruits. Nous tirerons si vous ne faites qu'un pas en notre direction!

L'ordre n'était pas prononcé à la légère et leur vie comptait bien plus que l'éventuel surcout qu'engendrerait l'utilisation de l'incinérateur des douanes pour le cadavre d'un pauvre criminel, d'autant plus qu'"un homme prit était un homme considéré comme mort", tel était la règle dans la milice. Le lieutenant avait toujours son arme à feu, de même que deux de ses hommes qui le flanquaient, pas question de laisser ce danger dans les rues. Le blâme qui serait indiqué à son matricule serait probablement le cadet de ses soucis, mais Shreck était procédurier et les blâmes aidaient les statisticiens qui se démenaient pour lui assurer que ses méthodes fonctionnaient et portaient leurs fruits.

-Ne nous obligez pas à faire intervenir la patrouille aérienne, cria le lieutenant, jetez vos armes devant vous et mettez vous en position de sécurité!

La tension était à son comble du côté des miliciens, on s'attendait à une nouvelle fusillade, mais ce qu'il avait fait avec ces deux hommes leurs laissaient présager le pire. Le lieutenant ne risquerait pas sa vie inutilement et serait aller jusqu'à ordonner au lance-grenade de lui régler son compte. Les hauts-parleurs vomissaient inlassablement leurs messages totalitaires tandis que la nuit noyait les deux villes dans le silence qui régnait après le cri du milicien, un silence glacial, implacable, annonciateur d'une tempête.

Deathstroke resta impassible... Puis en une fraction de seconde il évalua la situation. Certes ils étaient nombreux, normalement ça n'aurait pas posé de problèmes par contre là c'était différent. Il était plus faible et malheureusement il ne savait pas à quel point "son problème" l'affectait. Certes la démonstration de tout a l'heure prouvait qu'il avait encore de bonne capacité mais il s'était quand même laissé surprendre. Il devait donc évalué avec soins ses actions tant qu'il ne saurait pas ou son ses nouvelles limites.

Puis il se mit a se répéter se que le garde lui avait dit: Vous serez conduit aux douanes pour les recevoir!

C'était parfait Deathstroke voulait sortir et il l'escorterait jusqu'a la porte une fois rendu la bas il trouverais bien un moyen de se débarasser de sa garde rapproché et de traverser les murs. Sa évitera de se fatigué inutilement, sa lui permettra d'avancer vers la porte "librement" et sa lui donnera un peu de temps pour évaluer son état.

Il laissa tomber le garde blessé par terre le laissant à sa souffrance. Puis tira son épée vers l'avant, il enleva sa mitraillette de point et la lanca vers le garde ainsi que son couteau de mollet. Il était désormais... du moins d'arme conventionnelle. Il avait toujours de petite surprise dans les pochettes de sa ceinture si ses mains ne suffisait pas, et généralement elles suffisent. Deathstroke était une arme en soi. Il déposa les genoux au sols et mit les mains sur la tête.

Deathstroke: Je suis Deathstroke, venez me chercher je me rend

Malgré le changement d'humeur du détenu, les miliciens restaient sur leurs garde. Le lieutenant fit signe à trois de ses hommes d'aller se charger de l'individu. L'un ramassa ses armes, et les deux autres lui menottèrent les mains et les jambes, comme le voulait la procédure. Ils le soulevèrent, l'individu faisait son poids et le trainèrent vers les douanes. Un ambulance viendrait avec la relève pour récupérer le blessé et le cadavre serait ramassé par les services idoines, on récupéra malgré tout son équipement, le cadavre finit quasiment nu, on le tira dans une ruelle, pas question de pouvoir identifier un membre de la milice. Le blessé fut adossé à un mur et attendrait avec l'un ses collègue histoire de massacrer les curieux.

Le voyage de retour fut presque un soulagement. Le lieutenant indiqua par radio qu'ils rapatriaient le détenus dénommé Deathstroke dont il fallait trouver le numéro d'enregistrement. L'appel fut directement transmis au Major en faction. Il accourut dans le bureau de Shreck. Lorsqu'il ouvrit la porte, la musique emplit le couloir de l'édifice silencieux.



Il lui indiqua la nouvelle et Shreck se renfonça dans son fauteuil, laissant les dossiers qu'il examinait, soudain songeur.

-L'individu n'a pas reçu de numéro de détenu monsieur, conclut le Major.

-Oui...naturellement...bien, nous allons donc nous charger de régler son cas. Où il finira dans Arkham City avec un numéro ou il sortira libre n'est-ce pas?

-C'est le procédure monsieur.

Shreck se leva sans émettre un seul commentaire. Il rajusta son nœud papillon et saisit son manteau, il faisait froid dans les hangars de réception. Il descendit les marches alors que la musique résonnait au milieu du bâtiment de béton et d'acier. Shreck fit crisser ses gants de cuir l'un contre l'autre en attendant l'arrivée de son improbable invité.

Le groupe de milicien enclencha l'ouverture du SAS d'entrée, traînant toujours l'assassin qui les avait défié. Lorsque les portes s'ouvrirent sur le Major, Shreck et une poignée de milicien armés, ceux-ci furent surpris.

-Monsieur Shreck! Major! salua le Lieutenant.

Tandis que le lieutenant expliquait l'altercation, Shreck observait l'individu qui étaient menotté. C'était bel et bien le fameux Deathstroke. Un sourire intéressé se dessina sur son visage, l'intrigue initiale avait laissé place au calcul et les additions commençaient à s'enchaîner. L'homme d'affaire reconsidéra un instant les opportunités qui s'offraient à lui. Deathstroke était un nom qu'il connaissait bien et tout ce qu'il impliquait: contrat toujours impeccablement exécuté, pas traître pour deux sous, quelqu'un de très utiles en fin de compte, surtout après ses exploits face aux miliciens.

-Bien, il semblerait que monsieur Deathstroke ait quelques comptes à rendre à notre administration, commença Shreck. Ammenez-le dans un bureau du rez-de-chaussé.

Les miliciens tirèrent le détenu dans une salle plutôt petite dotée uniquement de deux chaises et d'une table en métal qui les séparait, ils l'assirent sans le libérer de ses étreintes. Shreck rentra à sa suite et s'assit en face de lui. Il demanda aux miliciens de le laisser seul mais de ne pas s'éloigner de la porte.

-Deathstroke, commença Shreck en le regardant. Je m'excuse de ne pas vous délier, mais avoir sous la main le plus grand mercenaire du monde, ce n'est pas rien et pourtant cela reste dangereux

Maximilien se pencha au dessus de la table et posa ses mains en arc.

-Je ne sais pas ce que vous faisiez dans Arkham City et le fait que vous n'ayez pas d'enregistrement dans nos base de donnée signifie que vous y êtes entré par une porte dérobée, mais tout ceci, je dois l'admettre m'indiffère quelques peu, déclara-t-il. Ce que je vois à dire vrai, ce sont des opportunités. Je vous est fait venir ici pour vous proposer dans choix. Le premier consiste à accepter votre sort, être enregistré et être relâché dans Arkham City où je n'en doute pas vous arriverez à vous faire une petite place agréable, la seconde quant à elle consisterait à travailler pour nos services et en quelques sorte remplacer l'homme que vous avez tué avec quelques petites relaxes.

L'homme d'affaire, un sourire aux lèvres se renfonça dans son siège.

-Le travail serait extrêmement simple pour un homme de votre envergure et consisterait essentiellement à m'ôter quelques épines du pied, à savoir quelques menus "justiciers" et peut-être même quelques criminels si ceux-ci s'avéraient être trop "gênant". J'imagine que nous nous comprenons.

Shreck n'en avait comme à son habitude pas trop dit, il laissait les avantages du poste dans sa poche au cas où son interlocuteur voudrait négocier, et se contentait d'une offre superficielle et vague. On ne laissait pas fuir un tel talent sans essayer d'en profiter après tout et il n'était pas du genre à laisser s'enfuir de telles opportunités.

Ces gardes des amateurs... comment pouvaient-ils survivre dans un endroit comme Arkham City? En se rendant au poste de douane Deathstroke vue maintes 'occasions de tous les tuer et de prendre la poudre d'escampette. Mais bon, allons-y, jouons le jeu, de toute manière maintenant il en est certain, il s'en sortira, ces gardes sont entraînés mais il ne sont vraiment pas de niveau contre lui. Voyons où tout cela nous mènera...

Il entra dans le bâtiment et on l'amena dans un couloir où la musique classique emplissait la pièce. Aaaa la musique, peu de gens savait l'apprécié à sa juste valeur, Deathstroke avait une oreille surdéveloppé, chaque notes étaient pour lui une symphonie. Après se qu'il venait de traverser le son réconfortant des violons l’enveloppait. Il laissa paraître un sourire derrière son masque. Puis on l'amena devant un homme qui de toute évidence était le patron.

Il resta impassible quand le garde pleura à son patron. Des soldats? Des gamins qui pleurent à leur père parce qu'un deux à été blesser... Bien il y en a un de mort mais ce n'est plus leur problème, il est mort.

-Bien, il semblerait que monsieur Deathstroke ait quelques comptes à rendre à notre administration Amenez-le dans un bureau du rez-de-chaussée.

Deathstroke se laissa mener... sa sentait le contrat, il avait été clairement reconnu. Sa ne l'étonnais même plus. Peut-être pourrait-il l’aider, il avait l'air puissant et Deathstroke avait besoin d'aide.

-Deathstroke. Je m'excuse de ne pas vous délier, mais avoir sous la main le plus grand mercenaire du monde, ce n'est pas rien et pourtant cela reste dangereux Je ne sais pas ce que vous faisiez dans Arkham City et le fait que vous n'ayez pas d'enregistrement dans nos base de donnée signifie que vous y êtes entré par une porte dérobée, mais tout ceci, je dois l'admettre m'indiffère quelques peu, déclara-t-il. Ce que je vois à dire vrai, ce sont des opportunités. Je vous aie fait venir ici pour vous proposer dans choix. Le premier consiste à accepter votre sort, être enregistré et être relâché dans Arkham City où je n'en doute pas vous arriverez à vous faire une petite place agréable, la seconde quant à elle consisterait à travailler pour nos services et en quelques sorte remplacer l'homme que vous avez tué avec quelques petites relaxes.

Le travail serait extrêmement simple pour un homme de votre envergure et consisterait essentiellement à m'ôter quelques épines du pied, à savoir quelques menus "justiciers" et peut-être même quelques criminels si ceux-ci s'avéraient être trop "gênant". J'imagine que nous nous comprenons.

Deathstroke regarda ses mains menottés puis donna un coup sec et brisa ses liens.

Deathstroke: Premièrement merci de m'avoir enlevé mes liens. J'aime toujours mieux négocier en plein possession de mes moyens. Deuxièmement votre gout pour la musique est d'un raffiné j'apprécie énormément. Et troisièmement vous êtes conscient que vous essayez d'engager le meilleur mercenaire du monde pour un boulot clairement en dessous de ses moyens.

Deathstroke s'arrêta pour laisser ses mots faire son chemin. Pris une grande respiration et continua.

Deathstroke: Cependant. Il se trouve que j'ai quelques petites difficultés en ce moment... et euh ce travail pourrait être satisfaisant. Je veux le triple du salaire de toute une équipe. C'est cher je le sais mai,s vous savez très bien que je vaut l'investissement. De plus vous me semblez avoir grande influence ici, je veux pouvoir entrer et sortir à ma guise, Arkham n'est pas MA prison et ne le sera jamais. A et vous garder vos boyscout en dehors de mon chemin, je travail seul.

Ce boulot tombait très bien dans le fond. Sa lui permettrait de sortir d'Arkham comme il le voulait, et sa lui donnerais une raison de rester dans le coin. Après tout il lui était arrivé quelque chose et c'est ici que la réponse se trouvais. De plus sa lui donnerais le temps de penser a comment règler son problème tout en faisant un maximum d'argent. Pour Slade c'étais la situation idéal. Et qui sais, peut-être qu'éventuellement ce vieillard, M. Schreck pourrait lui être utile...

Deathstroke: C'est à prendre ou à laisser. Et encore c'est un prix à rabais

Il tendit sa main vers l'avant pour conclure l'entente.

La petite démonstration de force de Deathstroke était plutôt satisfaisante, bien que laissant un arrière goût dans la bouche du milliardaire. Des morceaux de chaînons rebondirent avec un petit crépitement sur la table et Deathstroke se mit à faire un genre d'humour probablement destinée à assurer ses "bonnes intentions" ou tout du moins l'absence de très mauvaises à son égard. La musique classique qui résonnait toujours dans le bâtiment adoucissait ses meurs, c'était là un heureux hasard. L'individu connaissait son potentiel et se vendait en fonction, le prix était raisonnable, tout du moins il pouvait se permettre un tel "trou" et se le devait pour éviter quelques futurs inconvénients. Shreck avait tendu l'oreille lorsqu'il parla problèmes qui se posaient à lui.

C'était une offre à prendre ou à laisser...

-Le prix est effectivement raisonnable, acquiesça-t-il, et vous aurez l'autorisation d'entrer et de sortir dans Arkham City. Cependant, vous comprendrez que vous n'aurez aucun accès aux sous-sols des douanes ni des sections scientifiques. Quant à vous tenir écarter des miliciens de bases, n'ayez aucune crainte, ils ne seront que trop content d'être tenu à l'écart de vos agissements.

Un nouveau sourire naquit sur le visage de Shreck. Certains se demanderait comme cet homme faisait pour avoir autant de chance, ses proches, c'est-à-dire son fils et Thomas Tellman répondraient à coup sûr que le businessman n'avait pas de chance, mais misait toujours sur le bon cheval et pouvait précisément transformer un steak saignant en pouliche pure sang et la revendre exactement à la bonne personne pour avoir un bon contact dans l'avenir. Les échecs avaient des règles dont les affaire ne s'encombraient pas et pourtant les similitudes étaient frappantes, des pions au milieu des fous qui s'employaient à faire tenir des tours pour flanquer les roi et les reines, armes ultimes frappaient et déstabilisaient. Les sacrifices étaient importants, l'échiquier plus grand mais tout était permis et le joueur qui était face à vous n'était jamais invulnérable.

Shreck tendit son bras et serra la main de son nouvel associé. Si un photographe était venu, il aurait immortalisé le début de ce qui allait être une alliance qui ferait trembler Arkham et ses ennemis.

-J'imagine bien que cette tâche est infamante à vos yeux et pourrait vous sembler une sinécure, mais je suis persuadé que vous pourrez trouver votre compte et que si à l'avenir le cœur vous en dit et si nos premiers contrats se déroulent correctement, nous pourrons envisager des contrats de plus grandes envergures.

Oui, l'avenir serait tel que Shreck pourrait finalement le décidé. Tout jouait en sa faveur et son jeu s'étoffait. Deathstroke, Alexandrovitch, les Douanes, Sharp... Rien non, vraiment rien ne pourrait vraiment obscurcir le paysage.

-Trouvez-vous d'autres points à rajouter à notre accord?

Deahtstroke serra la main de Schreck, il venait de signer un contrat.

Deathstroke: Je n'ai aucun intérêt dans vos sous-sols, n'y dans vos laboratoire. Vous me payez pour un travail et je l'exécute. Vous devez me fournir tous les informations nécessaires d'abord.

Il prit le temps d'enlever son masque pour la suite des choses il n'était pas en train de travailler et lorsqu'il n'était pas en "fonction" il préférait respirer l'air sans l'intermédiaire de masque. Soudain un détail le frappa... il était fraichement rasé et ses cheveux était couper... sa coupe habituelle pas un poil trop long. Quelqu'un s'était occupé de son hygiène durant son "coma" et d’ailleurs combien de temps avait-il duré se "coma"?

Pensé : Essayons de se situer dans le temps...


Deathstroke: Bon si vous commenciez par m'exposer les changements de la ville. Je... en fait je viens juste d'arriver en ville. Qui dirige Gotham ? Qui dirige Arkham? Comment les territoires sont séparés, quels sont les zones d'influence? Quels sont les zones à risque? Les frontières ambiguës, les justiciers récurent, les "super-vilain" récurant? Avec qui vous faites affaires actuellement? Risque-t-il de me poser problème ou au contraire pourrait-il être des alliés? Je dois avoir tous les informations pertinente pour que mon travail sois parfait.

Il respira un bon coup et se craqua les jointures puis regarda vers le grand bureau, durant le temps de parole il avait évalué que si le besoin se faisais sentirent il pourrait sortir d'ici en moins de 3 minutes. 2 même s'il n'avait pas à tuer tout le monde en sortant. Un bon mercenaire devait toujours penser à ce genre de choses, si lui respectait toujours ses contrat ce n'était pas toujours le cas des patrons. Il n'avait jamais compris cet état de fait d'ailleurs ! La personne engage un mercenaire sur expérimenté pour une mission suicide que le patron ne pouvais de toute évidence par régler lui-même et lorsque le mercenaire reviens ils essai de le flinguer ? Complètement absurde, tu as besoin d'un curriculum vitae pour comprendre que si tu fais ça s'est toi qui va mourir?

Deathstroke: A et petit détails lorsque je ne porte pas mon masque ou mon uniforme je préférerais que vous m'appeliez Slade ou Mr. Wilson.

C'était un détail mais pour lui sa faisait la différence, sa servait a séparé le boulot de la vie privé. Ce n'était pas Slade l'assassin c'était Deathstroke... même si la limite avait été franchi plusieurs fois, il préférait quand même s'imposer cette limite.

Cette fois-ci, l'on passait du simple détenu qui acceptait un travaille au professionnel qui parlait de son contrat, il émit quelques réserves de circonstance et s'attacha à un détail, futile pour Shreck mais qui devait avoir son importance, soit, depuis qu'il avait ôté son masque il fallait le nommé Monsieur Wilson, c'était en un sens rassurant, ce mercenaire conservait son identité première malgré les talents que l'on attribuait à son alter-ego.

-Nous avons beaucoup de chose à nous dire semble-t-il, allons donc dans mon bureau où nous serons plus à l'aise, commença-t-il.

Shreck sortit le premier suivit par son hôte et indiqua d'un simple geste de la main que tout allait pour le mieux et qu'il n'y avait aucune raison de paniquer.

-Major, je vous présente l'un de nos nouveaux collaborateurs. Nous allons directement dans mon bureau. Veuillez faire le nécessaire pour activer des autorisations d'entrées et sorties pour S.W Deathstroke. Lieutenant, vous êtes dispensé de rapport et votre équipe recevra une prime exceptionnelle de rendement.

Tous saluèrent le businessman qui reprenait l'escalier pour rejoindre le couloir de son bureau. IL faisait agréablement chaud dans ce dernier et la musique continuait d'envelopper l'atmosphère ambiant. Il ferma la porte et invita son nouvel élément à s'asseoir.

-Voulez-vous un café monsieur Wilson? fit-il. Commençons donc par le commencement.
"Pour vous situez un peu les choses, Monsieur Sharp, ex-directeur de l'asile d'Arkham, ancien conseiller de monsieur le maire Waylon Jones alias Killer Croc, a prit les rênes de la mairie après que le maire ait causé une émeute s'ensuivant de violence et de victime avant de s'enfuir. Waylon avait lancé un projet de prison à l'échelle d'un quartier et ce dernier a été mené à terme par monsieur Sharp, ouvrant une partie des financement au domaine privée. Je possède donc pour le bien de l'établissement pénitentiaire d'une milice privée armée par mes soins. Je partage cette responsabilité aux côtés de l'armée régulière que commande le colonel Silberman, une sorte d'idéaliste forcené extrêmement contrariant et qui n'acceptera pas de me voir employer vos talents pour le projet d'éradication des Justicier dans cette enclave, vous devrez donc être prudent. Il y a également des sections scientifiques qui ne dépendent pas de moi mais du Docteur Simon Hurt, un homme distingué, mais très plongé dans son travail de psychiatre, mieux vaut éviter que nous lui parlions de ce petit projet.
"Dernièrement, les élections ont porté à leur tête monsieur Jim Gordon, cependant, quelques incidents au niveau des douanes et du Gotham City Police Departement ont posé quelques soucis et la loi martiale fut imposée, étendant le mandat temporaire de monsieur Sharp. Les récents évènements ont également dévoilé quelques scandales sur le commissaire de police qui a du être suspendu en ma faveur. Je m'occupe donc de l'intendance de la police avec un adjoint qui ne pose aucune résistance à mes décisions.

Shreck fit une pause en buvant une gorgée de café et en baissant légèrement le volume de la musique.

-Les derniers responsables de la section scientifique ont laissé un tel laissé allez dans les affaires d'Arkham City, que celle-ci s'est fragmentée. La zone du Bowery est entre les mains du Oswald Cobblepot alias le Pingouin tandis que la zone industrielle reste sous le contrôle du Joker. Amusement Mile est découpée entre le Arnold Wesker alias le Ventriloque et Harvey dent alias Double-Face. La zone de l'asile quant à elle esy l'objet de rumeur sur Jonathan Crane alias l'Épouvantail et une sorte de Nightmare Trinity, nous n'en savons pas grand chose car nos patrouilles restent cantonnées aux rues et nous n'entrons par dans les bâtiment, de même Blackgate reste une parfaite forteresse à nos yeux.
"Toutes ses zones vont être pacifiées dans les jours qui viennent et selon les difficultés nous pourrions négocier vos services pour quelques dératisation bien payée naturellement. Quant aux justiciers, nous ne savons quasiment rien sur eux, il y a eu des fuites à coup sûr mais ils arrivent à faire leur loi parmi quelques détenus. Ils frappent et agissent impunément de chaque côté du mur d'enceinte, j'aimerais donc que leur cas soit régler que ce soit dans Gotham (ou la police ne vous dérangera pas) ou dans Arkham (ou la milice ne vous gênera pas). Actuellement comme alliés dans ce combat nous pouvons comptre monsieur Quincy Sharp et ses forces, les autres personnes sont motivés par d'autres intérêts ou sont parfaitement contre nous tels que le colonel Silberman et quelques policiers.
"Si vous désirez obtenir des renseignements sur Arkham City dont nous ne disposons pas dans notre base de donnée, à laquelle vous aurez accès, je vous conseille d'aller fouiner du côté d'Oswald Cobblepot, arnold Wesker et de Jonathan Crane qui semblent disposer de forces redoutables comparés à leurs collègues qui se battent entre eux.

Shreck fit une pause, il avait fait le tour de la question, Deathstroke avait maintenant la plupart des cartes en main pour avoir une vue d'ensemble d'Arkham City et de Gotham City.

-Nous avons des relevés sur plusieurs justiciers, le premier étant naturellement ce Batman qui est revenu d'entre les morts, de même un dénommé Azraël ou l'ange de le mort, un adversaire qui nous a posé quelques problèmes, un autre fou en l'occurrence. Nous avons ensuite eut des soucis, certains détenus nous ont parlé d'une jeune femme en cape violette, mais nous n'en savons pas d'avantage. j'attend de vous le professionnalisme qui a fait votre gloire, je vous verserait une prime de 500.000 dollars par tête ou arrestation en plus de votre salaire mensuel, le tout vous sera versé en petites coupures par mon secrétaire de confiance, Thomas Tellman, un homme en qui vous pouvez avoir confiance, je peux également vous monter un compte en banque dans un paradis fiscal si vous préférez quelques garanties supplémentaire. Naturellement, si jamais, mais j'en doute, vous venez à subir un revers, mon anonymat sera respecté.

Deathstroke était un professionnel, ce genre de question permettait de montrer que ce genre de manœuvre n'était pas étrangère à Shreck et qu'il n'était pas du genre à prendre des risques inconsidérés.

Slade suivit son nouveau patron. Maximillian Schreck, un autre businessman qui se mèlait de politique. Ils finissent tous par tomber se dit Deathstroke. Mais il ne parla pas et continua en écoutant attentivement tout se qu'il dirait, après tout il avait un urgent besoin d'information.

Déjà il avait ses papiers, il pouvait entré et sortir sans trop de problème, se qui était un avantage non négligeable pour son enquête... parce qu'après tout il n'y avais aucune certitude que son "geolier" des dernier temps n'est pas fuit vers Gotham. Deathstroke eu un petit sourire camouflé quand Schreck dit à ses hommes qu'il recevrait une prime... après tout il y avait un cadavre et un blessé, pas étonnant que ces gardes soit aussi faible. Récompensé l'incompétence même si c'est pour le silence, engendre l'incompétence. Mais bon c'étais ces hommes après tout.

-Voulez-vous un café monsieur Wilson?

Slade fit un signe de refus polie de la tête. Il devait écouter, il pourrait se situer.

Pensée: Quincy Sharp maire... le temps d'un mandat, pour la lois des mesure de guerres, plus Arkham... Tien Gordon est devenu maire... information pertinente... avec les informations il pu estimé son coma d'un peu plus d'1 mois. Se qui confirmais la thèse d'expérimentation sur son corps car on l'avait garder volontairement végétatif, par contre aucun lésion n'apparaissait sur son corps n'y aucun signe de mauvais traitement. Pire encore on l'avait volontairement garder en santé et on avait pas négligé son hygiène... Mais pourquoi?

Il continuerais a y penser. Maintenant les informations du contrat, s'agirait de pas se faire tuer inutilement durant sa "réhabilitation".

Pensée: Bon les zones appartement à l'épouvantail, au pingouin et au Joker. Une zone était en "guerre" Double face contre le Ventriloque.

L'épouvantail ou oublie, surtout s'il est accompagné d'acolyte. Slade ne semblait pas avoir perdu de faculté mental mais décida de ne pas prendre de chance. Si l'épouvantail entre dans sa tête qui sais se qui pourrait en sortir. Normalement il y irait sans crainte mais la dans son état on c'est jamais. Le Joker?... a ce malade mérite beaucoup plus que se que Schreck paie pour l'instant. Et de toute facon si je vais à la pêche au trop gros poissons je n'aurai plus de possibilité de négociation. Le pingouin, je n'ai jamais vraiment aimé ce gros tas de lard. Mais il est plein aux as et qui c'est combien de temps j'aurais encore besoin de rester ici, si Schreck me plante j'aurai besoin d'une source de revenu. Il me reste donc le ventriloque et se psychotique de Dent. Ouais M. Le procureur, si je dois m'occuper j'irai fouiner chez lui. De toute facon j'ai 50% des chances de le capturer... l'autre 50% c'est de le tuer.

Deathstroke laissa paraitre un petit sourie qu'il effaça toute suite. Schreck commença alors a parler des héros:

Pensée : Batman, Azrael et La fille en mauve, spoiler ou the huntress selon les couleurs...

Batman on oublie pour les même raison que le Joker... et puis avec sa faiblesse récente on ne sais toujours pas se qui pourrait arrivé. Azrael, dispose aussi d'une grande force sa pourrait être risqué je n'évalue pas encore ma nouvelle condition je dois essayez d'éviter du moins pour l'instant mais entre lui et Batman vaudrait toujours mieux ce crétin d'ange de la mort. La justicière en mauve... on va se rabattre de ce coté si on doit y aller pour les héros. Okay posons les bonnes question

Deathstroke fit une bizarre de réaction quand Schreck mentionna son anonymat... a qui croyait-il qu'il parlait?

Deathstroke: Pour se qui est de votre anonymat ne vous inquiètez pas je suis un professionnel

Il eu une petite pensé pour l'histoire avec son fils mais ce n'était pas le temps. On parlait business ici.

Deathstroke: Je crois bien avoir compris la situation. Donc qu'est-ce qui est prioritaire? Les super-Héros? les Super-Vilain? Mission de reconnaissance on nettoyer le quartier des hommes de mains? Ou vous me donnez carte blanche?

La satisfaction d'avoir un nouvel As dans sa manche était réconfortante et pourtant il devait rester sur ses gardes. Shreck réfléchit un instant lorsqu'il lui demanda un ordre de priorité. Les hommes de mains pouvaient être géré efficacement par la milice, il était inutile de laisser un individu payé de la sorte se charger de cela.

-Les "Super-héros" sont votre priorité, déclara-t-il. En temps voulu les super-criminels tomberont, quant au hommes de mains, si vous en croisez qui vous gênent, n'hésitez pas à vous faire la main, mais ils ne seront pas l'objet de primes.

Tout semblait avoir été dit entre les deux individus, tout du moins pour l'instant. Slade Wilson, alias Deathstroke venait de signer un contrat, c'était une assurance en béton armé et malgré cela, Shreck se permettait des retenus. Prendre un tel individu c'était prendre un risque moindre, sa discrétion était légendaire, mais Gotham réservait de nombreuses surprises et l'homme d'affaire ne le savait que trop bien pour en provoquer certaines.

-Vous aurez votre premier versement dans trois jours, n'hésitez pas à nous laisser une adresse de dépôt lorsque vous aurez trouvé où vous loger. Je pense monsieur Wilson que nous avons fait le tour de notre arrangement. Si vous avez besoin d'équipement supplémentaire, n'hésitez pas non plus à donner votre demande à monsieur Tellman. Sur ce je pense que nous pouvons nous séparer, j'ai hélas encore des tonnes de documents administratifs à vérifier avant de pouvoir retourner chez moi. Bonne soirée.

Shreck reprit son stylo et commença à signer le dossier qu'il avait laissé en plan, réfléchissant en parti à la suite des évènements. Arkham City était une formidable institution qui lui permettait de gérer certains affaires, les codes de désactivations et de démantèlement des sous-sols avaient été transmis à tout hasard, surtout depuis les problèmes liés à l'attaque des douanes et quoi qu'en ait dit Hurt, il n'agissait pas beaucoup. Tout se jouait désormais sur le temps, il devait boucler ses affaires rapidement et s'assurer que rien ne vienne entaché la suite des évènements. Oui, Arkham City était une honte juridique, elle était une honte démocratique, mais quel merveilleux instrument d'intérêts commerciaux et privés. Chip lui disait sans cesse d'arrêter, de faire machine arrière et de retourner à l'économie plutôt que de ce perdre dans la politique. Chip...c'était sa plus grande fierté, mais il ne pensait pas encore à long terme. Un jour il découvrirait que tout ceci était nécessaire pour l'avenir et que pour voir Gotham prendre un tournant décisif il lui fallait avoir éprouvé cette terrible erreur, il fallait qu'elle subisse les revers de son monde gangréné, c'était une chute qui attendait un rebond d'exception, un rebond dont il serait l'acteur. Maximilien Shreck obtiendrait ce qu'il voudrait de la population sitôt ce cap passé, mais toute traversée comporte ses passages d'orages, celle-ci ne faisait pas exception.


[HRP]Désolé, c'est court, mais je pense que nous arrivons aux termes de nos tractations.[/HRP]

Slade se doutait bien de la réponse. Quand il l'entendit... aucune surprise. Donc Schreck était bien quelqu'un de malhonnête, s'il y avait rester un doute maintenant il était dissipé. De tout manière qui engage un mercenaire de la trempe de Deathstroke? Jamais ce n'est un honnête homme. De toute façon il avait l'habitude... aller chercher le héros, le briser et le ramener. Deathstroke n'aimait pas tuer les Héros surtout si ce n'était pas nécessaire. Mais il devait avouer que les héros donnaient beaucoup plus de défi que les super-vilains. Pas étonnant que les super-vilains perdaient presque tout le temps. Lui il n'était pas un super vilain, il était ... une arme finalement, dans les mains qui l'utilisent. Et c'était rarement des mains qui n'était pas taché de sang.

Deathstroke: Préparez l'argent je passerai la chercher périodiquement. Je ne suis pas du genre a laisser des traces comme des adresses. Merci M.Schreck et félicitation vous venez de vous offrir le meilleur mercenaire au monde.

Slade pris le temps de remettre son masque et sortit de la porte. Il descenda et recroisa les hommes qui l'avaient arreter. Il se tenais tous la avec ses armes. Probablement avaient-ils reçus des ordres durant sa petite rencontre. Il rengaina son épée dans son dos et pris le temps de remettre son couteau à sa cheville. Il pris sa mitraillette et se rendit compte qu'il n'avait plus de balle. Quelle chance ceux des gardes était de la même "pointure" que celles de son armes.

Deathstroke: Donner moi vos armes.

Il remarqua que les hommes semblaient nerveux. Ils donnèrent tous leurs armes sans exceptions. Probablement qu'ils avaient été informer de qui il était. Il enleva les chargeur de chaque arme remplis une pochette de munition de secours et remplis sa mitraillette. Puis il regarde les hommes devant lui.

Deathstroke: Désolé pour tout a l'heure. Je sais que c'est simplement votre boulot. Mais soyez plus vigilant sur qui vous arrêté. Vous avez des oreillettes informez vous avant d'attaquer quelqu'un. L'information c'est le pouvoir.

Il se retourna et se dirigea vers la porte. Il aimait bien dire ce genre de chose avant de quitter sa créait une légère confusion. La confusion, c'est toujours bon. Surtout si on doit se battre a nouveau. Pour Slade tout était calculable l'avenir et le combat. Assez de pensez... il était payé pour un travail alors il allait le faire. Slade ouvra la porte de la douane .

Deathstroke: Finalement par qui je commence ?