La bibliothèque étais dans un état pitoyable, tandis que le docteur s'occupais de ranger l'étage supérieur les Frenman rangeais les rayonnages du rez de chaussée.
Le docteur après son internement dans Arkham avais convaincu le couple Frenman de rester a ses cotés afin de faire partie de sa "famille", puis étais allé voir le Joker afin qu'il lui prête de quoi se défendre et de quoi se débarrasser ce magnifique établissement des traînes savates qui l'occupais, les clown s'étais acquitté de la tache parfaitement.

Il lui fallait de puissants allié, puissants mais sérieux, il avais donc convier le fils Falcone surnommé "Holiday" dans sa bibliothèque qu'il avait renommé "Bibilothèque pourpre".
Pour un tel invité, tout devait être parfait, c'est pour cela qu'il faisait un brin de rangement.

Soudain, quelqu'un vint frapper à la porte, interrompant la torpeur du rangement.
Le docteur descendis les escaliers d'un pas vif, traversa l'aile "Science-Fiction" puis ouvrit la porte de la bibliothèque, derrière se tenait un petit homme à lunette.

-Holiday, je présume?

Le dit Holiday étais rentré dans la bibliothèque. Le mafieu étais tout sucre, tout miel... Un manipulateur comme Phyléus les aimait.

-Je vous proposerais bien un verre mais trouver de l'eau potable dans cette ville tient du miracle...
Plaisanta le docteur.

Holiday ne réagit pas.

-Mais trêve de plaisanterie, venons en à ce contrat. le docteur regarda ses chaussures, les Frenman, Holiday puis revint a ses chaussures.

Le docteur se tourna et regarda les marches de marbres qui menait au premier étage.

-J'ai la force de frappe, le conviction mais il me manque les relations...

Le docteur invita Holiday du regard.

-Mais allons dans mon bureau, nous serons plus a l'aise pour parler.

Une fois dans la pièce aménagée en bureau, le docteur déroula un plan de la ville, pointa un coin de la carte.

-Le pingouin se trouve ici, j'aimerais reprendre son empire criminel après sa mort ou son emprisonnement que j’espère... proche et rapide.

Il se tut, regarda dans un coin de la pièce, ce coin étais aussi vide que le coeur du Joker.

-Voyez vous ce coin? Il est censé être rempli d'arme, si vous me le remplissez, peut m'importe le moyen et si j'arrive a renverser le pingouin, une large part seras votre.

Le docteur regarda le mafieu droit dans les yeux.

-Qu'en dites vous?

Holiday prenait peux à peux ses aises dans la bibliothèque, le docteur l'avait arracher à des hordes de bedeaux tous plus malodorant les uns que les autres. Quand soudain l'Italien dit,

-Vous desirez que je vous procure des armes ? Vous n'avez pas les hommes pour les porter Sartre. Je vous propose de vous joindre a l'attaque Falcone sur le Pingouin

Le regard d'Alberto étais devenu dédaigneux, le docteur le remarqua vite.

-Laissez moi vous exposer mon plan. Suite à mon alliance avec Double Face , nous allons mener l'attaque sur la demeure du Pingouin. Rejoignez nous dans le commando prenant le pingouin par surprise. Qu'en dites vous ?

Quand les derniers mots de cette phrase furent prononcé, le docteur regarda Holiday avec un sourie bienveillant, le même sourire qu'avais vu des centaines de personnes aujourd'hui mortes, par balle ou dans une explosion.
Sartre se rapprocha d'Alberto d'un air menaçant, arme au poing,

-Regardez moi encore une fois comme ça et je vous jure que le néant n'auras plus rien à vous envier...

-Vous me dites que je n'ai pas d'homme de main? C'est vrai, le Frenmans sont mes amis mais ils devronts se défendre, je compte bien agrandire ma famille, avec quielques bénévoles qui travaillerons a temps plein, me comprenez vous?

Le docteur toisa ses chaussure en fronçant les sourcils.

-Malgré vos mauvaise manières j'accepte votre offre, alors je vous en prie, ne me faites pas languir, exposez moi votre génial plan...

Le docteur le menaçait de son arme. Il devait faire attention. Ce vieux fou est dangereux.

Ayez la gentillesse de lâcher votre arme mon cher docteur. Le plan est magnifiquement simple mais tout autant efficace. La moitié de nos soldats se jettent dans une attaque frontale vers le Pingouin. Pour notre part nous prendrons un chemin détourné et le vaincrons de l'intérieur.

Le plan était simple mais efficace. Et il pourrait sans nul doute abbattre des dangers potentiels en chemin.

Vous marchez ? Cher associé ...

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C'est court mais je ne sais que dire

-Vous marchez ? Cher associé ...

Telle étais la dernière phrase du dit Holiday,

-Comment ne pas marcher dans une combine qui rapporte autant? Vaincre le pingouin c'est s'approprier sa richesse et des richesse, j'en ai besoin...

Le docteur décomposa les muscles faciaux d'Holiday ceux ci étais décontracté, Holiday étais vraiment sur de lui,

-Remplissez mon armurerie et mon carnet d'adresse et mon carnet d'adresse et nous serons désormais associé