L'Irlandais c'était assied au coté de Carmine. De l'autre côté, c'était son consigliere vieillissant et à moitié comateux. L'irlandais avait amené un de ses frères d'armes Johnny Castello. Les gangs irlandais ne fonctionnaient pas de la même façon, il n'y avait pas de consigliere, il y avait seulement des frères d'armes. C'était donc les deux hommes qui représentaient le clan Sullivan. Paul avait mis son habit chic pour l'occasion après tout c'était pas tout les jours qu'il sortait de son quartier pour rencontrer les autres familles.

Les familles pfff, en tout cas les chefs des autres clans. Il y avait les Siciliens, il ne les aimait pas. Il n'avait jamais compris la différence avec les Italiens excepté qu'il bouffait leur spaghetti sur une île au large des cotes de la botte. Les Russes eux c'était plus délicat. Il ne comprenait pas ce qu'il faisait à suivre les autres de Falcone, c'était des durs après tout, il devrait vérifier certaines choses à leurs sujets. Paul remarqua que les Noirs du Centre-Sud et les Chinois n'avaient pas été invités à la rencontre. Pourtant ils avaient tous autant d'influence que les Russes, sur leur propre territoire. Les Juifs aussi manquaient à l'appelle du quartier est et ça c'était plus étonnant, ils entretenaient de bonnes relations avec fresques toutes les familles. En tout cas, ça ferait moins de monde dans la salle le moment venu.

Il écoutait Falcone parler et s'ennuyait. Castello se tournait de temps en temps pour regarder la porte. Il n'y avait rien de mal vu à cela, il vérifiait seulement si la sortie était toujours accessible, c'était une vieille habitude de gangster. Toujours savoir ou son les sorties et s'ils sont accessible. C'était encore une des habitudes qui étaient exercées. Une qui c'était perdu c'était de fouiller les convives lors d'une réunion comme celle-ci. Les Falcones étaient tellement certains de leurs emprisent sur petit Italie qui ne songeait jamais que quelqu'un pourrait les attaquer dans leur château fort. Mais c'était aussi une faiblesse. Surtout quand on était ici pour déclarer la guerre, et que cette réunion n'était rien d'autre que la raison.

Paul glissa la main dans sa poche, il remarqua les hommes de main de Falcone le regarder. Il prit sa montre à gousset et regarda l'heure. Bon il s'en foutait au final, il ne prit même pas le temps de retenir l'emplacement des aiguilles. Ensuite il vérifia Falcone à ses côtés. Les mains sur la table ont gesticulé comme seule une saloperie de rital faisait. Ces hommes étaient incapables de parler sans bouger c'était ridicule, surtout avec l'âge les mouvements devenaient plus lent. En allant remettre sa montre à gousset dans sa poche il, alla dans la doublure de sa poche, lâcha la montre... ensuite tout se passa très vite.

Paul sortit une lame et la planta directement dans la main de Falcone afin de clouer celle-ci à la table. Il entendit le cri de l'italien. Johnny se leva et ouvrit son manteau afin que tout le monde le voie. Il était plein de plastiques explosifs très très fins . Au touché on aurait pu penser à une forte doublure, mais a l'oeil il ne faisait aucun doute. Au moindre choc tout sautait. Dehors on entendit quelques coups de feu. Puis des cris dans le restaurant. 5 Irlandais débarquèrent dans le restaurant en gueulant

TOUT LE MONDE DEHORS !!! ON SE DÉPÊCHE (coup de feu dans les airs)

Ils débarquèrent 3 dans l'arrière pièce guider par Luigi le patron du restaurant terrifier qui avait reçu une balle dans le bras. Sullivan sourit et regarda Carmine tout en tournant légèrement le couteau dans la paume de ce dernier.

J'imagine que tu as compris que toi et tes hommes vous vous tenez tranquille ou on s'explose tous ensemble dans la joie et la bonne humeur. Maintenant on va se parler petit rital des hauts quartier.

Tu LA FERME !!! *raclement de gorge* et tu écoutes. Toi et tes saletés de rital vous êtes trop longtemps joué les maîtres dans votre tour d'Ivoire. Vous ne connaissez plus rien à la rue et à cette ville. Gotham a été construit par les bras irlandais et elle sera reprise par les bras irlandais. Toi et tes bouffeurs de pâtes vous allez dégager de mon quartier. Tu veux savoir qui a buté tes hommes? C'est nous c'est la vengeance de Micky Mcleans... Maintenant tu va te tirer et dégager de mon quartier c'est clair. Et si tu rackettes encore un commerce irlandais je viens te chercher chez toi devant ta famille, je te coupe tes couilles de vieux singes et je te les fais manger en spaghetti boulette.

Il leva vers les Siciliens et les Russes. Qui n'avait pas bougé, car ils avaient bien compris que ce règlement de compte ne les regardait pas. Mais il allait montrer qu'ils se trompaient. Cette histoire ne s'arrêtait pas aux deux clans, mais à tous. L'irlandais saignerait le vieux Falcone jusqu'au dernier cent. C'était son territoire maintenant, il le voulait. Trop longtemps on avait confiné le clan Ripley à un trou de Gotham. Les Irlandais avaient été vous trop longtemps comme les clowns et les imbéciles de service, car leur chef était une marionnette. Les temps ont changé, alors la situation devrait changer aussi. De toute façon Falcone avait profité d'Arkham pour se rependre dans son quartier, il était temps de le reprendre.

Et vous deux, j'ai les triades et les Blacks avec moi. Se qui veux dit que sans mois vous ne pourrez plus touchez les profits de la cocaïne et de l'héroïne. Vous êtes avec moi ou contre moi, pensez-y. Vous avez 1 heure, je peux protégé votre argent des mains du rital qui engendre des monstres *petit clin d'oeil à Holiday*, nous avons des comptes protégés dans les vieux pays des comptes de l'I.R.A.

Il frappa un coup supplémentaire sur le manche de son couteau afin qu'il pénètre plus loin dans la chaire et la table. Puis il le lâcha, il leva son béret.

Sur cette bonne journée, vous savez tous où me joindre.

Il prit une grenade dans ses poches la dégoupilla et courue dans le restaurant suivit par ses hommes, il la laissa tomber dans le restaurant et disparue dans un véhicule stationné à l'entrée. La rencontre avait été courte, mais déclarée la guerre, ne prenait pas beaucoup de temps.