HJ : J'ai bien ri au coup des nibards, pardon. Excusez moi pour le retard, je n'avais pas vu que Chapelle avait répondu. >_<


Je dégaine mon badge du GCPD, cette fois, je ne fais plus dans la dentelle. Le mec qui m'avait pris à part avait dégagé les derniers survivants tandis que Chapelle s'était occupé d'attaquer le gros musclé. Je montre mon badge bien en évidence. Le symbole de cet insigne, c'était le courage, la justice, la loyauté.

"¿ Lo qué hace entonces ?"

Chapelle avait destabilisé Chapelle. J'allais peut-être regretté ce merdier, mais le géant, je crois que c'était Bane. Un criminel échappé de BlackGate, il appartenait pas du tout à la folie ambiante qu'on trouvait chez les débiles légers d'Arkham. Non, lui il était plus dangereux, et c'était même lui qui avait brisé la chauve-souris, cette fameuse nuit pluvieuse, quand il s'était adressé à la foule sur le toit, jetant le corps du Batman dans la ruelle dégueulasse. On ne retrouva jamais le corps hospitalisé du Batman néanmoins.

L'arme !

Vite, un grand coup de pied dedans et voila qu'elle glissait au loin, hors de la portée de Bane. Je colle mon arme vers sa tête. Un léger sourire, mais pas victorieux. Il était dangereux, avec ou sans arme. Je n'étais pas faite pour la fuite, surement pas.

"Perdon senor, mais vous avez perdu votre arme. Si vous êtes réellement celui que vous êtes, un luchador en l'occurence, reconnaissez votre défaite, et rendez-vous."

Théâtral. Pas mon genre en effet. Rien ne m'empêchait de le viser et de lui coller une balle dans le crane, ce serait si simple, si facile. Mais j'étais un gardienne de Gotham, une membre du GCPD. J'étais une flic, et j'avais mon honneur. Même en étant infiltrée, j'avais mes cojones. Avec un léger regard pour Chapelle, je juge qu'il va bien, que son état n'est pas critique.

Mais c'est vrai que c'est foutrement effrayant de voir un gros minet bondir. Je comprend les souris.

(hrp: je relance le sujet rp, en espérant que ca inspireras de nouveau. hrp)

Bane voulait récupérer son arme mais la flic éjecta l'arme en question avait de répondre:

"Perdon senor, mais vous avez perdu votre arme. Si vous êtes réellement celui que vous êtes, un luchador en l'occurence, reconnaissez votre défaite, et rendez-vous."

Ben dites donc, elle tenait tant que ça à mourir cette fille ou plutôt cette flic. Elle avait sortie un discours qui ne lui allait absolument pas malheureusement car n'étant pas une catcheuse, elle n'a pas cette légitimité, c'est bien dommage.

« Tu n'est pas catcheuse, juste une flic infiltrée qui n'a même pas été capable de montrer sa « force », alors ne me fais pas rire une nouvelle fois. »

Hors de question de laisser tomber le masque, sauf lors d'un combat de gladiateur, pas avant.

« Je me demande comment tu compte m'arrêter: étant donné ma force physique, une simple paire de menottes ne m'arrêteront pas, ni un minable pistolet de la police.

Willfried pointait aussi son arme vers Bane mais se rapprocha doucement de Chappelle en lui disant:

« Tout doux.....tout doux...... »

Et il baissa doucement son arme comme pour tenté de s'occuper du lion en question.
Bane ne le quittait pas des yeux, comme pour se rappeler de cette « cible » à éliminer à l'avenir.

Le colosse fixa maintenant la jeune femme avec un regard disant tout ce qu'il allait lui arriver dans pas longtemps. Il fit un pas vers elle.....pour voir sa réaction car il avait cette sensation qu'elle était pas à l'aise, mais alors pas du tout et tout pouvait arriver.....vraiment tout et n'importe quoi.....

HJ : Je trouve le courage de répondre à notre sujet. désolée de faire tardivement ^^'


Je pointe sérieusement mon arme vers lui. Je me donne des airs de truande c'est vrai, je n'ai pas d'honneur ? Tu crois sérieusement ça mon petit gars ? Je risque ma vie pour sauver des gens et leur offrir un avenir dans cette ville pourrie jusqu'à l'os. Comme tous les autres, tu n'es qu'un pourri, une ordure, et quelque part au fond de moi, j'aimerais l'abattre pour de bon.

- "J'ai appris les rumeurs sur toi, Bane. Tu t'es libéré d'une prison injuste et tu as souffert énormément. Cependant, tu t'es battu jusqu'au bout pour t'en sortir. Ne brise pas cette image, tu es un symbole pour les gens de notre peuple. Un symnole de révolution. Pas un meurtrier, ni un assassin."

Je tiens toujours mon arme en face de lui. Un léger regard vers l'homme qui semble aider Chapelle a se sortir de ce merdier. J'espère sérieusement qu'il va bien. Il avance un pas vers moi et je tire une balle qui érafle le visage de Bane.

- "Je n'hésiterais pas, même si ça doit m'envoyer à l'hosto."

Je serrais les dents, nerveusement. J'avais peur ouais, mais j'avais fait le serment d'aller jusqu'au bout. J'avais moi aussi mon honneur, et je savais que je devais mettre fin à cette folie grâce au GCPD. Je souffle nerveusement par la bouche, sans bruit, mais je fixe l'homme droit dans les yeux.

- "Rend-toi, dernière sommation."

Léo se releva tant bien que mal, encore sonné par le choc. Il avait sous-estimé la puissance du colosse, mais ne referait plus cette erreur. Toujours dans un état second, il ne reconnut pas le policier qui s'avançait vers lui avec un signe d’apaisement. Il recula de quelques pas en montrant les dents, un lourd grondement montant de son larynx. Dans son esprit embrouillé, tout ressemblait à une agression. Il regarda autour de lui, cherchant vainement à comprendre ce qu'il se passait. C'est là qu'il vit le colosse monstrueux qui l'avait envoyé au tapis, maintenant en train d'avancer d'un pas menaçant vers Anna, sa marraine, sa tutrice, son obligée.
Si jusque-là la réaction tenait plus du réflexe défensif animal que de la colère, cela changea soudain du tout au tout. Profitant de ce que le catcheur géant ne prêtait pas attention à lui, il bondit de derrière les cartons, cette fois sans annoncer son arrivée d'un rugissement sonore. De tout le règne animal, le lion était le seul prédateur ayant une mâchoire assez puissante pour s'en prendre directement à la boîte crânienne, et c'est ce qu'il visa cette fois. Fondant sur Bane, il planta ses crocs dans la grosse tête cagoulée et mordit de toutes ses forces

Rejeté une nouvelle fois par The Bane, Léo atterrit cette fois sur ses quatre pattes, avec une souplesse féline. Il se releva et poussa un puissant rugissement de défi, prêt à revenir à la charge. Il était furieux, il voulait tuer. Mais alors qu'il allait se jeter une nouvelle fois sur le monstre, la voix de Ramirez retentit.

-Trouve un moyen de t'échapper !

La voix de sa supérieure le tira soudain de la folie bestiale où il s'était enfoncé. Reprenant ses esprit, il vit Ramirez qui lui faisait signe. Une rafale de gros calibre crépita alors, manquant de peu la flic, une rafale tirée par le monstrueux catcheur. Ramirez courut vers une proche fenêtre, mais juste avant de pouvoir plonger à travers, Léo vit distinctement une balle lui trouer le bras dans une giclure de sang.

-NON ! hurla-t-il en voyant sa chef traverser la vitre, blessée

Il s'élança vers Bane, mais il avait retrouvé son esprit rationnel et humain, et ce ne fut pas pour l'attaquer, mais pour prendre son élan. Il sauta, atterrit à pieds joints sur la grosse tête cagoulée, et fit un nouveau bond vers la fenêtre éclatée. Il profita de l'arrêt bref des tirs pour se réceptionner en souplesse et sauter à son tour par la fenêtre. Atterrissant dans la rue comme s'il n'était tombé que d'un mètre, il trouva la policière étendue sur le toit aplati d'une voiture stationnée là, blessée, hurlant sa douleur. Il resta un moment devant elle, hésitant, intimidé, n'osant pas la toucher de peur de lui faire encore plus mal. Lentement, il avança vers elle ses mains monstrueuses, passa un bras sous ses omoplates et l'autre sous ses jambes, et la souleva avec une douceur incroyable de la part de quelqu'un d'aussi baraqué.

-Il faut que je vous sorte de là, chef !