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Ne manquez pas les deux derniers chapitres de Darkwatch, où s'affronteront Le Chevalier Noir et l'Empereur !

Clash of the Warriors & La Révolte

"Lors d'une rafle de la Ligue des Ombres, la Lignée décide d'intervenir et de massacrer les hommes de Ra's Al Ghul. Les habitants, excédés par la situation, décident de se révolter, avec le support de l'Empereur et ses troupes. Le G.C.P.D est dépassé et les justiciers n'ont d'autre choix que s'en mêler, Batman en tête."

(Petit aperçu des évènements en vidéo ici)


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 The night is full of terrors [post unique]

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Invité
MessageSujet: The night is full of terrors [post unique]   The night is full of terrors [post unique] EmptyJeu 20 Sep - 23:13

La lune brille d’un éclat malsain, diffusant sa lumière blafarde à chaque coin de rues. Je l’observe un instant, haute dans le ciel, intouchable, puis poursuis mon chemin. Je saute de toits en toits, faisant usage de mes dons d’acrobates comme jamais. Je survole les vieux immeubles brinquebalants de l’East End, passe au dessus des chaussées défoncées, parcoure les charpentes en fer rouillé de l’ancien hall de gare de Stenford, avant de me diriger vers Dixon et ses docks. Depuis longtemps investis par le crime, les quais qui autrefois grouillaient de poissons ne grouillent plus désormais que de drogues en tout genre. Les pêcheurs ont été remplacés par les dealers, les filets de pêche et les harpons, par des AK-47, les cirés jaunes, par des gilets pare-balles russes ou des plastrons aux couleurs des big boss du crime organisés : au choix, Joker, Double-face, le Pingouin ou bien encore Black Mask. Je me trouve maintenant sur le toit d’un vieil entrepôt désaffecté et, sans surprise, découvre quelques mètres plus bas tout un tas de malfrats en train de tranquillement commercer entre eux. Ils sont jeunes, entre douze et quinze ans, même pas l’âge pour se raser ou avoir connu une fille, et s’échange du crack et des amphétamines comme des gamins de leur âge s’échangeraient des cartes à jouer et des figurines de super-héros. Entre les vendeurs et leurs consommateurs, il n’y a guère de différence. Ils sont jeunes, défoncés, foutus… Je ne leur donne que quelques années à vivre, voir quelques mois. S’ils sont malins, ils deviendront des caïds. Sinon, ils mourront, et personne ne les pleurera.

Je ne vais pas abréger leurs souffrances. Pas ce soir. Je me fiche d’eux comme d’une guigne. Qu’ils se défoncent jusqu’à en crever, ce soir, je n’ai pas l’âme à les envoyer à l’hosto ou à les remettre dans le droit chemin. Si j’ai revêtu pour la seconde fois depuis quatre mois mon costume de Nightwing, ça n’est pas pour flanquer une rouste à quelques gamins. Je traque un criminel autrement plus dangereux que des camés en manque. Un pédophile du nom de Saint Samaritain. Un psychopathe originaire de Blüdhaven, qui a violé puis tué cinq petits garçons, et m’a, en plus de ça, tiré dessus et fichu dans le coma. Joli palmarès. Ce salopard a foutu ma vie en l’air il y a quatre mois. Quatre mois déjà. Quatre mois qu’il est en liberté. Quatre mois qu’il continue de respirer en toute impunité. Quatre mois qu’il se livre à ses pulsions horribles. Quatre mois qu’il se terre à Gotham. Quatre mois que Batman l’a repéré.

Bruce m’a trahi. Il m’a menti. Il m’a humilié. Alors que je me remettais peu à peu de mes blessures, qu’elles soient physiques ou psychologiques, alors que je reprenais peu à peu du poil de la bête, alors que je revenais à la vie, j’ai été trahi par mon propre père. Tout allait bien, pourtant, jusqu’à ce que j’apprenne la nouvelle. J’étais avec la plus adorable personne qui soit, Wendy, que j’avais rencontré durant ma rééducation à l’hôpital, et avec qui j’avais fini par sortir. Nous vivions une jolie histoire, Wen’ me donnait toute la force nécessaire pour que j’affronte mes vieux démons, elle me donnait le désir de me battre, le désir de vivre, quelque chose que je n’attendais plus depuis longtemps. Elle me donnait de l’espoir. J’avais la foi grâce à elle. Elle savait comment s’y prendre avec moi, comment aborder les problèmes. Normal pour une psychiatre. Elle ne m’avait jamais analysé, même du temps où nous étions simplement amis. Elle m’avait toujours considéré comme un humain à part entière, comme une personne, comme quelqu’un d’important. Elle m’avait valorisée, avait su trouver les mots justes quand j’étais au bord du gouffre pour me ramener du côté de la lumière. Et même si elle n’était ni Barbara, ni Kory, elle avait fait de son mieux pour combler le vide atroce qui régnait au creux de ma poitrine.

Avec Bruce aussi, ça allait mieux, à cette époque. Je m’étais réconcilié avec lui et nous avions entrepris de traquer ensemble Talia Al Ghul, infernale rejetone de Ra’s Al Ghul, l’un des pires ennemis de Batman. Qu’avait-elle fait au juste ? Elle s’en était prise à Tim Drake - maintenant connu sous le nom de son père adoptif : Wayne -, lui avait retourné le cerveau et en avait fait un assassin à son service. Heureusement, Tim avait réussi à se sortir de ses griffes et avait sollicité mon aide et celle de Bruce. Et nous la lui avions apporté. La Bat-family était recomposée. Les chevaliers de la nuit, les héros de Gotham, renaissaient de leurs cendres et le crime allait trembler face à cette résurrection. C’était le retour non pas simplement du Dynamic duo, mais d’une Dynamic trio. Nightwing. Robin. Et bien sûr, Batman. Tout trois s’apprêtaient à livrer une bataille sans merci contre les Al Ghul. Durant cette période, Bruce m’avait soutenu, épaulé, rassuré. Mais pour cela, il avait usé d’un subterfuge dégoûtant : il m’avait menti. Il m’avait regardé droit dans les yeux et avait prononcé une phrase que je n’oublierai jamais : « Je m’en suis occupé. »

Il parlait du Saint Samaritain, évidemment. Il m’avait fait croire que mon pire ennemi était mort et qu’il l’avait tué. Et je l’avais cru. J’avais été assez bête pour croire que Bruce avait changé, que celui qui avait été mon mentor et mon maître pendant des années m’avait, pour une fois, considéré comme son égal, comme quelqu’un digne de confiance, à qui l’on pouvait parler comme à un adulte. Je m’étais trompé lourdement. Le Batman ne faisait confiance à personne, et surtout pas à ses proches. Il était au dessus de la masse, supérieur à tous. Prisonnier de sa tour d’ivoire, persuadé qu’avec sa simple volonté, il écarterait le danger qui menaçait les gens qu’il aimait, alors qu’il faisait tout le contraire en les considérant comme de simples « victimes » et non comme des acteurs à part entières de leurs propres vies. Je suis capable de vivre ma vie sans que Batman ne la contrôle. Je ne suis pas sa putain de marionnette et il n’a pas été assez malin pour le comprendre. Tant pis pour lui. Cette fois, il n’y a pas de retour en arrière possible. Notre relation si fragile est définitivement brisé. Il a voulu me protéger, je le sais bien, mais encore une fois, il s’y est mal pris. En me mentant, il n’a fait qu’empirer la situation. En me mentant, il a brisé toute la confiance que j’avais en lui. Les dégâts sont énormes, pour moi comme pour lui. Et à l’heure qu’il est, je suis certain qu’il ne le comprend même pas.

J’ai appris la nouvelle il y a deux jours. Je venais de remettre mon costume pour la première fois. C’était ma première sortie en ville. Evidemment, Wendy n’en savait rien. Je ne lui a irien dit de mes activités de justiciers. En ce moment, avec les lois sur les vigilantes qui sont passées et la politique extrême de la mairie à notre égard, ça fait partie des choses qu’on doit garder secrète et cacher même à ses proches. C’était avec prudence que j’avais fait une descente dans Park Row. Je voulais juste faire un peu de ménage, casser quelques dents et surtout, retrouver mes sensations. Au début, c’était génial. L’entraînement intensif auquel je me livrais depuis des semaines avait porté ses fruits et mes mouvements étaient fluides, faciles. Je me sentais possédé par Nightwing, par mon identité secrète. Tel un oiseau, je volais littéralement de toit en toit et de réverbères en réverbères. Jusqu’à ce que je tombe sur deux criminels en affaire, les mains pleines de choses pas du tout légales. J’avais fondu sur eux comme un oiseau de proie et les avais méchamment corrigés. Quelques côtes cassées et un genou en sale état de leur côté, une égratignure à l’avant-bras pour moi, faute à un cran d’arrêt qu’un des deux hommes avait sorti. L’histoire aurait pu se terminer là et j’aurais pu retourné chez moi satisfait de ma nuit, si quelque chose ne m’avait pas alerté dans l’ombre d’une ruelle. Quelqu’un avait bougé alors que je venais de mettre mon dernier coup de poing. J’avais suivi le mouvement, mes bâtons chargés d’électricité en main, le pas alerte et les sens en ébullition. Je m’étais enfoncé dans la ruelle, à la poursuite d’une ombre. Ce que j’avais découvert alors avait fait manquer à mon cœur un battement. Il y avait un cadavre dans la ruelle, plié en deux contre un mur. Un cadavre d’enfant, la gorge tranchée. Et quand je l’ai vu, j’ai su. J’ai su que le Saint Samaritain était vivant. Qu’il était là, quelque part dans Gotham, à poursuivre ses horreurs. Et que Bruce m’avait menti. Quel avait été le plus difficile à avaler ? Savoir que mon pire ennemi venait de tuer un enfant de plus à cause de ma négligence ? Ou bien que mon père adoptif, mon ami, mon mentor m’avait manipulé et menti ?

Quoiqu’il en soit, j’ai décidé de débusquer le Saint Samaritain. Quoiqu’il en coûte, je vais le retrouver. Déjà, les indices contre lui s’accumulent. J’ai passé ces jours derniers à le traquer et à remonter sa piste. J’ai fais parlé un gosse de Grammercy Row qui a entendu parlé d’un pédophile réfugié dans les égouts et protégé par un gang : les Blue Mutos. Je me suis renseigné dans la base de données de la batcave en évitant de croiser Bruce et en effaçant toute trace de mon passage ensuite. Les Mutos sont des gosses qui font du trafic d’amphétamines du côté de Dixon. Un petit gang de punks ultra-violents dont le membre le plus âgé n’a pas vingt-et-un ans. Il m’a été aisé de les retrouver. Et maintenant, ils sont là, dans le hangar que je surplombe, à traficoter je ne sais quelle magouille tout en protégeant un psychopathe violeur que je souhaite éliminer de la surface de la Terre. Ils ne feront pas le poids face à ma furie.

J’entre à l’intérieur du bâtiment par un vasistas et me laisse glisser le long d’une échelle de secours, avant d’atterrir au milieu d’un fatras de machines rouillées et d’aiguilles usagées. Je me trouve dans l’ancienne chaufferie du hangar qui, il y a une trentaine d’années, permettait aux gars de la manutentions et aux dockers de ne pas se les geler les nuits d’hiver lorsqu’ils devaient stocker ici les cargaisons qu’ils recevaient et déchargeaient sur le port depuis des gros tonkers venus des quatre coins du globe. Aujourd’hui, cet endroit n’est plus qu’un repère de drogués et de dealers. Le visage même de la VRAIE Gotham. Celle que je connais et que le citoyen lambda refuse de voir. Je parcoure la pièce en silence. Mes yeux sondent l’obscurité, bien aidés par mon masque qui possède un capteur de chaleur corporelle bien utile pour repéré des ennemis dans la nuit. La technologie Wayne, y a que ça de vrai. Mes bâtons électriques sont également une invention de Wayne Industries. Lorsque j’actionne un bouton, ces simples bâtons d’escrime projettent un charge électrique capable d’assommer un être humain de cent et quelques kilos. Ma combinaison - en plus d’être faite en une matière ultra-résistante proche du kevlar et néanmoins hyper souple et légère - peut projeter également de l’électricité pure en cas d’agression directe, et envoyer deux ou trois adversaires au tapis. Un joli attirail que je ne suis pas mécontent d’avoir retrouvé.

Je passe dans la grand salle, sous couvert de l’ombre. Mon masque thermique repère les silhouettes de mes adversaires, les membres du gang. Ils sont huit. Deux sont armés d’AK-47 made in Russia tandis que les autres n’ont que de simples battes de base-ball et autres coutelas. Rien qui ne m’effraie. Je longe un mur et enjambe un drogué bourré au crack qui ne me remarque pas. Il doit être à demi-mort. Je m’approche de mes proies, qui ne savent évidemment pas ce qui va leur tomber dessus. Tout d’abord éliminer les deux types aux flingues. Ensuite, m’occuper des autres. Facile.

L’attaque et rapide. Je lance mon bâton d’escrime sur les néons qui éclaire la pièce et qui explose à son contact. Immédiatement, je m’élance contre un des gangster armé et lui assène un puissant choc électrique dans la poitrine, ce qui le projette au loin. Il laisse tombé son arme que je dégage d’un coup de pied. Le deuxième larron se met à tirer alors que je m’élance vers lui. Il ne me voit pas et vise donc l’obscurité. L’imbécile fauche deux de ses amis avant que mon poing de ne lui percute violemment le nez, qui se brise dans un craquement grossier. Je l’enchaîne avec un coup de pied retourné qui vient le mettre K.O. Pendant que je m’évertuais à mettre hors d’état de nuire les deux portes-flingues, les autres membres du gang se sont remis de leur surprise et ont sortis des torches de leurs blousons. Je n’ai plus l’avantage. Enfin, c’Est-ce qu’ils croient.

« Batman ? C’est toi, charognard ? » crie l’un d’eux.

Il est nerveux. Je crois même qu’il s’est pissé dessus. Mais rien n’est plus dangereux qu’un type qui a peur. Il tient une sorte de machete et le faisceau de sa lampe se braque dans ma direction. Pourtant je ne me laisse pas voir et, avec la rapidité de l’éclaire, l’attaque de biais, le percutant de plein fouet et lui cassant au passage deux ou trois côtes. Il hurle comme un porc et je le calme en lui donnant un bon coup de pied dans la tête.

« Plus que Trois » dis-je d’une voix d’outre-tombe.

Les trois survivants braquent immédiatement leurs lampes torches sur moi et cette fois-ci, je ne me dérobe pas. Il peuvent contempler leur adversaire de tous leurs yeux et constater que je ne suis pas Batman. Que je n’ai rien à voir avec lui. L’un des trois gamins lâche son arme et déguerpi en hurlant. Les deux autres se regardent une seconde, puis s’élancent vers moi. Ils sont plus rapides que leurs copains, mais je suis plus futé qu’eux. Je réponds à leurs attaques par une série d’esquives et de coups bien placés. Leurs battes de base-ball sont en métal et ils savent comment s’en servir.

« Tu es loin du home run » murmuré-je au creux de l’oreille de l’un d’eux alors que je lui assène un puissant coup de la paume de la main dans la cage thoracique.

Son compagnon se rue sur moi comme un beau diable, mais je l’évite et lui donne un coup de coude dans les dents. Je sens deux dents sauter à son contact. Mais mon geste a été un poil trop lent et mon adversaire en profite pour me frapper avec son bras gauche. J’ai le souffle coupé pendant un quart de seconde, ce qui suffit à l’autre gangster pour se jeter sur moi. Cette fois, je l’accueille frontalement avec un coup de pied dans le ventre. Il veut de la violence ? Il va en avoir. J’enchaîne les coups avec une précision mortelle, ne le laissant pas en placer une et le faisant reculer peu à peu dans l’ombre. J’évite une attaque par derrière de son ami à qui je flanque un coup de genou dans les parties. Il s’écroule en pleurant de douleur. Je le fais taire d’un coup de bâton d’escrime à la tempe.

« Toi et moi, mon mignon ».

Le gangster ne sait plus quoi faire. Il sait qu’il n’a aucune chance face à moi mais je sens qu’il veut s’entêter. Je profite de son indécision pour prendre l’initiative. En une seconde, son cas est réglé. Je le laisse pourtant conscient. J’ai besoin d’information. Je l’attrape à la gorge et sert. Il tente de se dégager mais ma prise est trop forte. Les images des enfants que je n’ai pas pu sauver dansent dans ma tête.

« Je ne vais pas me répéter alors écoute-moi bien. Tu veux rester en vie ? Réponds à cette simple question : où est le Saint Samaritain ? »

Je desserre ma prise et le gangster respire à grandes bouffées. Puis il me lance un regard où se mêlent des restes de fierté mal placée et une peur sincère, absolue de ce que je pourrais lui faire.

« Mec… Je… Il… je vois pas de quoi tu parles et… »

Il ferme les yeux. Je le force les rouvrir pour me regarder.

« Tu as vu ce que j’ai fais à tes petits copains ? J’ai été gentil avec eux. Très. Je voulais les éliminer au plus vite pour pouvoir te parler à toi. Tu es le chef de cette bande de guignols, pas vrai, hermano ? Si tu ne me réponds pas, je vais briser tout tes petits d’os un par un et tu vas chialer ta mère toute la nuit. Décide. »

« Les… justiciers… ils tuent pas… ils font pas ça… »

« T’as pas lu les nouvelles règles du jeu, abruti ? Tu sais pas ce que Batman a fait ? »

Je sens une odeur forte me monter au narine. De l’urine. Mon adversaire s’est pissé dessus. Il est prêt à parler.

« Il… Le type que tu… cherches. Il… on nous a payé pour le protéger… pour qu’il lui arrive quedal, tu vois… Et on a obéis… Putain, mec ! Deux-cent bâtons ! C’est la crise, ça se refuse pas ! »

« Où est-il ?! »

« Les égouts, mec… Il se planque là-dedans. La dernière fois que… je l’ai vu, c’était pas loin de l’Old Steam Tunnel… »

Je soupire. Et donne un coup de poing ravageur dans le pif de mon interlocuteur. Le coup l’envoie dans les vapes. Maintenant, je sais où aller. Je sais où se trouve le Saint Samaritain. Je vais enfin pouvoir me venger de lui.
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