La ville "sombrait", "sombrait"! Telle était l'ignominie qu'un journaliste de Metropolis avait osé écrire dans son article concernant la ville de Gotham. Certes New Gotham avait subit un revers, mais de là à employer un tel terme! Les responsables de la communications qu'employaient Shreck avait déjà envoyé un Fax et une lettre signée par la main du Maire au Daily Mail pour se plaindre de cette calomnie qui n'allait en aucun cas aider la ville à faire face à ses difficultés. Maximilien avait tenté la voie de la raison et être raisonnable avec les criminels, ils n'avaient pas jouer le jeu, il ne le jouerait pas d'avantage. La mise en place de corps de Marshall au sein de la ville était une décision encore trop douce, mais elle permettrait de laisser au gouvernement une part de responsabilité dans les affaires de Gotham et éviter qu'il ne vienne à lui tourner le dos au dernier moment comme pendant le No Man's Land.

Shreck avait longuement réfléchit. La population se tournait vers l'Hôtel de Ville qui s'était légitimement placée comme rempart contre leurs problèmes et il comptait faire perdurer cette illusion, la démagogie serait sa meilleure stratégie et le populisme son meilleur retranchement, la population avait peur, mais mieux que quiconque Shreck pouvait commander aux médias et s'afficher comme l'individu le plus proche de leurs problèmes et de leurs préoccupations. Oui, il n'avait pas dit son dernier mot pour ses citoyens et comptait s'assurer un autre mandat si nécessaire.

La politique arrivait cependant à ses limites; pour la criminalité, les Marshalls avaient quelques réussites qui allaient en son sens, et pour le reste, il y avait encore un gros problème, le crime organisé qui échappait à la surveillance du GCPD quant aux Justiciers d'État, ils manquaient encore de consistance pour le combattre. Shreck avait donc abandonné le point du vue politique de cette question. A quoi bon s'encombrer de statistiques et d'opinions là où la finance et l'économie suffisait? Pour vaincre un adversaire, il fallait mettre le paquet et surtout trouver de bon partenaires pour effectuer une campagne agressive. Quoi de mieux pour affronter des criminels que d'autres criminels?

Sharp avait jadis fait erreur sur erreur en affrontant tous les criminels et super-criminels d'un seul coup avec une seule force de frappe, actuellement le Maire avait le GCPD pour affronter les délits et les petites frappes, les Marshall pour affronter les super-criminels qui manquaient de cohésion et les Justiciers d'État pour affronter ses adversaires directs et les organisations un peu trop clandestines, mais comment faire pour affronter les syndicats et les criminels? Max y avait réfléchit et pour cela il fallait un partenaire à mi-chemin entre l'homme d'affaire et le criminel organisé, la réponse était venue d'elle-même avec un petit carton visant à le convier à une invitation: Black Mask. Roman Sionis, criminel reconnu et incarcéré pendant une période dans Arkham City puis New Gotham City, un homme qui pouvait faire amende honorable au reste du monde, mais perdurer dans le crime avec une entreprise bidon en façade et éliminer avec la complicité de Shreck les autres criminels, les deux seraient facilement gagnants, d'un côté il aurait une criminalité en baisse, de l'autre, il aurait la main-mise sur les trafics souterrains via Sionis.

Shreck regardait la ville depuis la vitre de sa voiture personnelle, un journal froissé dans sa main posée sur la banquette. A ses côtés, son fidèle Thomas attendait que la colère de ce dernier ait disparu. Certes, le Maire ne fulminait pas et n'hurlait pas, bien au contraire, il était silencieux et regardait au loin en serrant les dents, des indices qui signifiaient une tempête intérieure. Son rendez-vous de la matinée était différent de ceux qui alimentaient quotidiennement son agenda de Maire, celui-ci n'était noté nul part, Thomas avait réservé la matinée pour ce dernier et surtout il se faisait dans les bureaux de Shreck dans les Douanes, lieu où il ne mettait plus les pieds qu'une fois par semaine pour régler quelques menus détails administratifs.

La voiture entra dans les douanes où les uniformes des miliciens vinrent les accueillir, le changement de nom de l'infrastructure l'avait obligé à faire changer les codes couleurs et les logos, frais aussi inutiles qu'importants aux vues des premières quantités nécessaires. Son chauffeur se dépêcha d'ouvrir sa porte et récupéra au passage le cadavre du journal dont il avait arrêté sa lecture aux gros titres. Sitôt sa chaussure enserrée dans ses guêtres posée sur le béton froid et inhospitalier, Shreck resserra les pans de son blazer et ferma sa boutonnière d'un geste sec, c'était censé canaliser un peu de sa colère. D'un pas habitué, il gravit, suivit par Thomas dans les escaliers métalliques qui menaient au couloir d'accès à ses bureaux.

Les miliciens qui l'avaient accueilli étaient repartis à leurs occupations et ceux qui surveillaient les couloirs se mirent à un simili garde-à-vous. L'individu avec qui Shreck allait avoir un tête à tête n'avait pas été appréhendé comme un vulgaire criminel, ou tout du moins, il avait normalement été ménagé un maximum. Le Maire entra dans son bureau, Thomas s'installa sur un fauteuil dans un coin et sortit les dossiers dont aurait besoin son supérieur durant l'entrevue. Shreck se mit derrière son bureau, ouvrit un tiroir et sortit une boîte de cigare, de très bonne qualité certes, mais qui ne valaient pas ceux qu'il avait à la Mairie ou dans Shreck's. Il soupira en voyant le sceau et l'installa près de son porte plume (un élément désuet mais qui faisait un certains charme). Thomas déposa sur le bureau le dossier de Roman Sionis au sein d'Arkham City puis New Gotham City, il y avait des affaires à faire et ça réveillait en Shreck une joie indescriptible.

Une mascarade, voilà à quoi pensait le sombre parrain depuis sa cellule emménagée comme un véritable appartement. Le Black Mask dirigeait ses opérations de bouche à oreille grâce à certains prisonniers ou d'autres agents corrompus. Son réseau est une gigantesque toile d'araignée qui s'étend dans toute la ville souterraine et malgré le projet du nouveau maire pour tenter de faire baisser le crime. Contrairement à son prédécesseur Sharp qui essaya de l'enrayer, mais tel un papillon de nuit dans les ténèbres, il se brûla les ailes en étant trop proche de la lumière; Maximillien Shrek est un homme d'affaires beaucoup plus rusé et plus prudent. Sionis regarda l'ascension de cet homme d'un oeil délicat et voyez en lui, non comme une menace, mais comme une opportunité de faire fleurir l'économie souterraine de la ville et pour cela Black Mask pense qu'il trouvera un terrain d'entente.

Le maire est un homme d'affaires avant tout et il exécutera son objectif, même s'il doit passer un pacte avec le diable. Roman Sionis sait cela et tout comme lui c'est un businessman, c'est-à-dire ouvert à toute négociation, car si le maire veut réussir son plan, il lui faudra une figure pour contrôler le crime organisé et qui de mieux que le plus puissant parrains de Gotham city qui tient presque toute la pègre dans sa poche. C'est alors qu'il contacta son secrétaire pour lui organiser un rendez-vous avec le maire en personne...

Plusieurs jours plus tard, il entendit enfin une bonne nouvelle, le maire se déplace de manière non officielle dans New Arkham Gotham city. Parfait, pensa le masque du fond de son troue à rat. Il demanda à ses gardiens de lui sortir un costume, car après tout il n'allait pas se présenter devant le maire en pyjama de prisonnier. Il exigea une tenue correcte pour se présenter et ce que fit finalement l'un de ses hommes de la tour noire qui déposa un sublime costume noir italien tout droit sorti du pressing. Tôtdans la matinée un gardien lui apporta ses biens et le laissa s'habiller convenablement. Puis sous les regards des gardes, on lui passa les menottes et on le dirigea vers les douanes... Durant ça marche en costume impeccable tous les prisonniers vont vers leurs barreaux et hurlèrent en coeur... "Sionis, Sionis, Sionis Sionis, Sionis, Sionis" Ils chantèrent en rythme le nom du gangster le plus dangereux et le plus influent de tout Gotham, comme un héros... Ce qui avait les dons d'énerver les marshalls qui redoublent de sécurité à cause de la venue du maire. Après une trentaine de minutes a erré dans les couloirs des douanes, Black Mask et son escorte arrive devant la porte du bureau du maire.

Derrière son masque noir, Sionis dessina un sourire d'excitation malsaine. Enfin, il est allé rencontrer ce fameux Maximillien Shreck. C'est alors qu'un agent de sécurité frappe à la porte et attend le signal pour entrer. Ensuite une voix ferme dit "Entrer !" donnant la permission au gardien d'ouvrir la porte et faire pénétrer le dangereux prisonnier avec ses menottes avec trois hommes de sécurité armés dans le bureau du maire. En entrant dans son bureau, Sionis remarqua une splendide décoration intérieur de bureau qui affirme les connaisseurs que c'est un homme qui a bon gout. Il remarqua la boite du cigare près de la porte donnant immédiatement une bonne impression."Bonjour Monsieur Shreck, voilà le prisonnier Roman Sionis." Dit le gardien en terminant sa phrase par le geste du salut du soldat, puis il continue sur sa lancée.

" Si je puis me permettre, Monsieur, par mesure de sécurité nous garderons le prisonnier sous surveillance avec mes gars et attaché sous menotte. Black Mask a déjà été violent à l'encontre du personnel. Monsieur, il a déjà agressé plusieurs de mes hommes et vous laissez seul avec lui et un risque que nous ne voulons pas prendre."

Black Mask réplique aussitôt. " Allons, allons messieurs, je suis sûr que Monsieur le maire a déjà étudié mon CV sur la question et puis je suis un homme d'affaires qui aime les bon cigares… Puis-je ? " Un des hommes perd patience et le frappe sur la nuque qui a pour effet de contrarier le prisonnier, car ce que les gens ne savent pas. Black Mask ressent mois la douleur physique qu'un individu normal.

Roman Sionis alias Black Mask était un individu dont le lourd passé de torture et de criminalité pouvait faire blêmir certains hommes qui étaient incarcérés à vie dans les établissements carcéraux des États-Unis et pourtant il restait avant tout un homme d'affaire avec des techniques qui le rendait indésirable au près du monde "guindé" des golden boy et des trusts. Shreck n'était pas plus à l'aise devant lui que devant Killer Croc qu'il avait un jour tenu enchaîné à sa merci. Si l'on s'intéressait de près aux criminels de Gotham, on devinait dans leurs yeux leur folie furieuse et leur penchant démoniaque, mais si l'on restait dans les caractéristiques plus rassurantes, comme le penchant pour Sionis à l'économie, l'individu devenait plus abordable.

Shreck écouta les recommandations du garde, entendit ensuite la voix caverneuse du criminel et assista à une scène de violence qu'il jugea inopportune et inutile. De toute façon, l'individu ne pouvait pas faire grand chose contre Shreck, l'estropier? Le tuer? Si cela se passait ainsi, le chances de survie du criminel dans les douanes seraient sévèrement compromises.

-Je vous demanderais de bien vouloir éviter l'utilisation abusive de la violence dans mon bureau! Monsieur Sionis ayant fait l'effort de revêtir un costume pour notre entrevue n'aurait à mon sens pas le goût de le salir, commença-t-il, vous pouvez le libérer de ses entraves et nous laisser seuls. Je suis sûr que vous trouverez de quoi vous désaltérer dans la salle de garde du secteur. Demandez-donc aux miliciens de vous y conduire.

Sitôt libéré de ses chaînes et menottes, Shreck lui indiqua un fauteuil bordeaux confortable, monté et rembourré ici, dans la belle ville de Gotham chez le fournisseur de meuble avec lequel Shreck's avait été entièrement équipé. Maximilien ne changeait ses fournisseurs que s'il trouvait meilleur ailleurs, or, cet atelier qui lui faisait maintenant des prix du fait de l'ancienneté de sa fiche client avait été mainte fois félicité par des prix d'excellences dans la qualité de ses meubles, de leurs finitions et de leur durée de vie. Le bureau lui-même, en métal certes était l'un de leur produit phare, rapide à monté, robuste, plusieurs rangements, des détails dont personne ne faisait vraiment attention, pas même le PDG qui se contentait de fournir la gestion de l'équipement de bureau au service logistique, mais qui faisaient la différence lorsque venait de le temps de déménager ou d'installer de nouveaux locaux.

-Je vous en prie, asseyez-vous, fit-il en se saisissant de la boîte de cigare. Vous m'avez l'air d'être un homme de bon goût, en voulez-vous un? Ce ne sont certes pas les meilleurs que j'ai, mais je serais un idiot de venir perdre dans ces murs où je ne viens que très rarement une boîte de collection. Vous trouverez dedans le nécessaire pour couper et allumer votre cigare.

L'homme d'affaire s'enfonça dans son fauteuil en cuir noir, impeccable et qui craquelait doucement à chacun de ses mouvements. Il commença à faire rouler entre ses doigts son cigare, première étape qui permettait de se préparer au festin toxique. Palpant les feuilles et la densité de son contenu, ce fumeur de grande date qu'était Shreck pouvait presque sentir les premières effluves envahir sa gorge.

-Gotham City est une ville qui peut se vanter de faire perdre la tête à toutes les entreprises qui n'ont pas leur siège social ici, c'est d'ailleurs pourquoi Lex Corp a longtemps échoué à venir depuis Metropolis pourtant proche et que les majors de l'industrie de la région sont localisés ici: Gotham est une ville habituée au changement et qui ne prévient pas. Deux solutions s'offrent généralement aux industriels, où ils suivent quitte à rater le coche, telle Axis qui a changé au moins dix fois d'administration ou elles provoquent et accompagnent ce changement, sans retard ni surprise, telles que Shreck's Insdustries, Wayne Entreprise et naturellement une entreprise que tout le monde pensait à une période enterrée: Sionis Industries.
"Malgré bien des revers vous êtes toujours plus ou moins en course et vos investissements flottent, parfois vous êtes présents, d'autres fois on entend plus parler d'elle en bourse et d'un seul coup vous revenez et les capitaux restent quasi constants, une belle preuve de parcimonie, ou une belle démonstration de ce qu'aujourd'hui les médias nomment l'économie souterraine de notre ville et qui laisse peu de trace face au GCPD ou les fédéraux.

Le Maire fit une petite pause et sortit de sa veste sa petite guillotine de poche pour cigare, trois lames parfaitement aiguisée qui sectionnèrent avec une parfaite précision le bout de son cigare. Le petit bruit lui rappela sa première confrontation dans le monde des affaires. Un banquier, ventripotent à la sueur grasse avec lequel il devait financer le projet d'extension de l'entreprise de son père. L'homme en question fumait une insupportable cigarette nauséabonde, qui avait énervé le jeune homme. Shreck quant à lui avait immédiatement adhéré au cigare et avait devant le financier coupé avec une guillotine de piètre qualité une vitole tout aussi peu chère. La ligada ne lui avait pas trop opposé de résistance, mais le bruit métallique avait surpris le banquier qui avait eu ensuite un rire nerveux. L'entrevue n'avait rien eu d'extraordinaire, mais le sursaut de l'homme lui était resté en mémoire, surtout avec sa physionomie.

-Ce n'est pas un reproche naturellement, bien au contraire, il paraît irréaliste de cracher sur ce penchant du monde financier, tout se négocie, tout se vend. S'il y a de la demande, pourquoi ne pas la satisfaire et s'il y a de la production mais pas de demande pourquoi ne pas la créer? Notre monde est bâti sur ces simples valeurs et en tant que businessman, je n'y trouve rien à redire et reste persuadé qu'elle est la dernière arme que nous pouvons employer pour stabiliser la situation de Gotham City.

Shreck porta à sa bouche son cigare et tira une fois ou deux dessus sans l'avoir allumé. Deuxième plaisir du dégustateur, sentir les saveurs et la force des arômes avant l'allumage relevait la dégustation du tout.

-Mais il y a un grand problème, la pègre et d'autres individus profitent des rouages du capitalismes pour s'insérer et survivre et nous n'avons pas les moyens de les attaquer, aussi faut-il revoir notre stratégie et au lieu de les attaquer, il faut les concurrencer. Ce qu'il faut maintenant, c'est un allié, un partenaire pour vaincre sur ce terrain des adversaires certes implantés, mais qui ne s'attendent pas au retour d'un nouveau concurrent. Leurs manœuvres sont habiles mais limitées car ils n'ont plus d'alliés dans le monde légal, ils ont atteint la limite de leur propre stratégie, je suis sûr que vous l'avez déjà pressenti, alors qu'il reste encore beaucoup à faire et à développer.
"Dites-moi monsieur Sionis, depuis votre cellule, combien d'ordres pouvez-vous donner? Quelle est votre réactivité face à la concurrence et aux évènements inattendus? Je ne doute pas une seule seconde que vous ayez une très bonne moyenne et que les résultats sont impressionnants si l'on considère l'irrégularité de votre situation, mais imaginez un peu ce qui pourrait être si vous étiez libre, si vous aviez accès à des locaux, des moyens et que vous ayez en plus des partenaires de poids?

Le Maire eut alors un agréable sourire et se décida à allumer son cigare. Sortant son briquet argenté de sa poche de blazer il tira une première fois sur le bout de son cigare, puis une deuxième avant de souffler un nuage à la saveur exquise.

-Imaginez maintenant qu'une telle opportunité vous soit proposée ici et maintenant, pensez-vous avoir quelque chose à y gagner?

Black s'assit et se sert un cigare. Ensuite il écoute attentivement les moindres mots de son interlocuteur surtout lorsque celui-ci parle d'argent facile à amasser. Il n'y a pas à dire Maximillien Shrek et un redoutable businessman sa réputation précède bien son talent. Au fur et à mesure que le maire dévoilait ses projets, le cigare du masque se consumer comme bougie à travers l'énorme fumé nauséabond qui se propagé dans la pièce. Sionis se mit à s'appuyer délicatement sur le dosiez de son siège et croisent ses jambes en équerre. Toutes les deux minutes Black Mask frappait légèrement son cigare pour évacuer les cendres dans ses gants en cuir noir. Une fois que le maire eu fini Black Mask continue à fumer son cigare pour évacuer doucement de sa bouche comme une cheminée, une quantité de fumer Puis il pose son autre pied à terre et se rapproche de Shreck en le regardant bien à travers les yeux.

- Monsieur le maire, je comprends parfaitement vos propos et vous avez su captiver mon attention, ce qui est plutôt rare dans le business, mis à part Mr. Cobblepot, mais restons dont à notre deal. Vous avez besoin de moi pour maintenir le contrôle de l'underworld et vous vous adressez à la bonne personne. Tout comme moi j'ai besoin de vous pour contrôler le monde en plein jour... Nous sommes donc fait pour nous entendre, comme les deux faces d'une pièce. J'accepte donc votre accord Monsieur Shreck sans condition du moment que vous fermez les yeux sur ma manière de diriger et que vous supportez mes actes en toute légalité tout en restant dans la discrétion absolue qui est ma politique et je serais pour vous, votre main noire. Je peux agir là où c'est inaccessible pour vos autorités. Ensemble, personne ne sera capable de nous arrêter.

Le masque termine son cigare en le mettant sur le cendrier, puis il se lève délicatement pour serrer la main à son nouveau partenaire et dit.

- C'est un plaisir de pouvoir faire affaire avec vous Monsieur le maire. Si cela ne vous gêne pas, je ne vais pas vous retenir plus longtemps, car un homme comme comme vous doit avoir fort à faire et vous ne pouvez rester ici très longtemps avant que quelqu'un suspecte cette réunion fantôme. En attendant donnez-moi mon droit de libération et dite simplement que je participe au programme de réinsertion afin de ne pas éveiller les soupçons. Nous nous reverrons sur Gotham city. Sur ce...

Le masque se retourne, il attache le bas de son costume noir et se dirige vers la sortir, il sort aussi rapidement qu'il est venu, puis il se fait menotter à nouveau par les gardiens et se dirige avec à ricanner à travers les longs couloirs, enchaîné comme psychopathe qu'il est.

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