Ne manquez pas les deux derniers chapitres de Darkwatch, où s'affronteront Le Chevalier Noir et l'Empereur !Clash of the Warriors & La Révolte"Lors d'une rafle de la Ligue des Ombres, la Lignée décide d'intervenir et de massacrer les hommes de Ra's Al Ghul. Les habitants, excédés par la situation, décident de se révolter, avec le support de l'Empereur et ses troupes. Le G.C.P.D est dépassé et les justiciers n'ont d'autre choix que s'en mêler, Batman en tête."(Petit aperçu des évènements en vidéo ici)
Sujet: Le mort d'un artiste. P.V: Shreck Mar 1 Mai - 13:13
Il y a des hommes qui dans la vie n'ont ni but ni envie, des homme perdu dans le néant, dans homme qui ne se remarquent pas, des hommes discret et polis et puis il y a les grands, les méconnus, les sous estimé, les légende....
Les légendes aussi vivante soient elles peuvent être méconnues certaine d'entre elles savent que c'est la fin et souhaite partir dans un cercueil d'or et de lumière, elles souhaitent laisser dernière elles un héritage, une leçon c'est le cas du docteur, un homme doux-amer manipulateur, égoïste et pourtant... pourtant cet homme au péril de sa vie a protéger un couple sans histoire, cet homme a monter une famille, pas aussi complète qu'il le souhaite mais une famille tout de même. Aujourd'hui cet homme va mourir, la mort d'un artiste de feu et de sang qui jamais ne se repentiras.
Allez, chantez dans la joie gens de bonne famille, vos économie ne sont plus en danger, allez ménagère de quarante ans, un criminel de moins ça faits plaisir non? Voyez! Voyez ce que les journaux vous fonts miroiter! Les riches contrôlent tout! Ils fonts dirent au média ce qui les arrangent et font taire les reste, voyez vous vous même! Victime de votre quotidien! Insensible impuissant! La mort d'un artiste vous apporte moins de chagrin que l'effondrement de la bourse, mais ne croyez pas que cet artiste vas rester les bras croiser en attendant la mort, non non non...
Il lui faut un chef d'œuvre, il se doit de faire valoir son nom dans l'au-delà... la panique et la mort voila ce qui marque les esprits.... Et voila ce que le docteur leur serviras!
Dans les flammes de l'enfer il trôneras sur une montagne de crane et de métal brulant, fier de son carnage, défiant des yeux l'humanité, pire que le diable, meilleur que dieu, voila ce qu'il seras, voila ce qu'il a toujours été, alors mes amis agrippez vous a vos vie, car c'est la seul chose qu'il vous reste, tout le reste est illusion car il ne seras plus! Tel un corbeau il vous toiseras, telle des faible vous lui demanderez « pitié » et telle le corbeau il vous répondras « Jamais plus.... »
Maintenant que vous avez dans vos narines pourries le doux parfum de la mort et du sang, laissez moi vous conter, la mort d'un artiste.
Minuit heure du démon,
Le docteur s'avançait sur la chaussée humide, le vent lui fouette le visage la pluie sabbats sur lui des papiers tourbillonnement autour de lui. Mais une chaleur montais en lui, la flamme meurtrière que mille terroristes avais déjà connus, il ne pouvais pas reculer, pour l'honneur et la gloire, devant lui se dressais les douanes, au porte inexorablement close cela allais changer, bientôt et la légende naitrais, Gotham connaitrais alors la peur, la peur d'une émeute imminente.
Le docteur prit une inspiration et remonta dans sa camionnette bourrée d'explosifs divers et varié, il fit tourner la clé dans le démarreur, bientôt l'essence et l'air allais provoquer une combustion qui créeras une source de chaleur qui, par l'intermédiaire d'un système bielle-manivelle sera transformé en énergie mécanique. Les roue se mettrons a tourner la camionnette fonceras vers les douanes, arrivé au portail principale la camionnette enfonceras la porte puis une grande détonation se feras entendre et chaque criminelle d'Arkham seras libre d'aller et venir.
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Sujet: Re: Le mort d'un artiste. P.V: Shreck Lun 7 Mai - 12:04
Les nuits dans les douanes étaient les nuits de n'importe quelle administration, il y a avait des effectifs relativement réduits, les bureaux sont calmes, verrouillés, les caméras sont seules à animer de leur petits bruits de rotations les couloirs, quelque fois des bruits de pas militaires, lourds et lents viennent les accompagner. Les snipers couchés sur les toits étaient présents, mais leur garde était légèrement diminuée, ils attendaient surtout l'heure de la relève. Le temps était maussade, le vent en altitude était encore plus froid que celui qui balayait les allées crasseuses de la cité pénitentiaire.
Il y avait tellement de choses que les gens ne cherchaient même pas à comprendre. Pour certains citoyens, c'était un mur avec des soldats et un peu de matériel, pour d'autres c'était uniquement un édifice juridique incohérent, enfin la dernière catégorie était contre, sans vraiment savoir pourquoi, juste pour soutenir ceux qui hurlaient assez fort. Shreck, le Conseil de la Ville et les différents administrateurs eux, savaient ce qu'il en était, c'était une machine huilée, rodée maintenant qui n'attendait pas de leçon de l'extérieur pour continuer à avancer. A l'intérieur, c'était une cantine par douane, deux par centre militaire, des machines de pointages, des armureries, des milliers de clef cryptée pour assurer les transferts et les accès dans les différentes zones, ce sont des centaines de protocoles de sécurité liés à l'entrée et la sortie du matériel, autant de serveurs pour le fichage et le suivit des criminels, la gestion des services d'incinérations, de recyclage des ordures, la maintenance des équipements, le ravitaillement en nourriture et en munition, les salles de tirs, les installations médicales, l'alimentation électrique, en eau et en gaz s'il le faut.
Naturellement, au milieu de tout ceci, il y avait les petits tracas, toilettes bouchées, ampoules ou néons à changer, câble électrique sectionnés par inadvertance et qui plonge la cantine dans le noir, l'oublie ou la perte d'un bidon d'huile, découverte d'un pantalon sale tombé du chariot dans un couloir et qui déclenche une enquête de peur d'une infiltration ennemi, mais cela ne dérangeait en rien puisqu'au fond c'était entièrement cachée dans la tâche principale de l'organisation, celle qui transparaissait aux yeux du reste de la population: défendre, servir, être inébranlable et d'une puissance à faire pâlir tous les criminels. Au final, tout ce qui était nécessaire au bon fonctionnement de l'édifice n'importait à personne et cela ne transparaissait dans aucun discours, on ne disait jamais que tout allait bien parce que tout était fonctionnel, on parlait juste des résultats les plus clinquants, des émeutes et du reste.
Dans son bureau, le responsable de nuit terminait de tamponner un comte-rendu de patrouille avec arrestation de cinq détenus mineurs tous désormais munis d'une puce RFID dont le numéro et la fréquence venaient d'être agrafé à leur compte-rendu. Toutes les entêtes avaient changé, cela le fit pouffer de rire, on avait pas les moyens de rajouter quelques garnisons autour du mur "trop de travaux qui fragiliseraient le mur d'enceinte" lui avait-on assuré, mais on perdait du temps à refaire des logos fait par des publicitaires ou des free-lance à prix d'or et pendant deux semaines ont payait des secrétaires pour refaire les documents... foutus bureaucrates.
Tout était calme, on aurait presque pu croire que la soirée se déroulerait sans encombre, c'était avant l'alarme.
Comme à chaque alarme, les choses allaient vite, lumières rouges, sonneries, les snipers se réveillaient de leur torpeur attentive et collaient leurs yeux à leurs viseur, les rayons rouges de leurs pointeurs lasers quadrillaient automatiquement la zone et les miliciens se regroupaient aux points de déploiement qui leur était réservé afin d'être opérationnel à frapper n'importe où dans leurs douanes ou à l'extérieur. L'épaisseur des murs ne laissait pas percer les bruits extérieurs, aussi personne n'entendit réellement le bruit du moteur qui s'approchait de l'enceinte. Les projecteurs balayaient les environs, certains avaient réussis à fixer le véhicule, d'autres restaient attentif à toute tentative d'infiltration. Les balles LightHammer commençaient à fuser, il n'était pas question de laisser le véhicule atteindre son but et pourtant, ce ne sont pas les munitions non-létales qui pourraient l'arrêter, mais le protocole 12.256 était encore de vigueur et il ne fallait pas recouvrir aux munitions létales sans autorisation d'une supérieur...foutus bureaucrates...
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Sujet: Re: Le mort d'un artiste. P.V: Shreck Mar 12 Juin - 13:59
Dans son van le docteur avançais vers les portes close des douanes, les balles fusais, les sirènes se faisaient entendre. La camionnette prenais de la vitesse, les balles ricochaient sur la surface vitrée, bientôt le carreau cédait le docteur était en transe, une transe macabre, tout ce que le docteur abandonnait à ce moment précis étais énorme, une vie entière, une organisation criminelle, un futur prospère, voila ce qu'il abandonnais, la vie n'avais jamais eu aussi peux d'importance a ses yeux. Il ne faisais pas que se tuer lui, il y allais aussi du sang des miliciens ces chiens en uniforme. Le vans roulais a toute vitesse, Phyléus se pris une balle dans la tête, du caoutchouc? est-ce ainsi que l'on traite un invité de marque? Il leur apprendrais la politesse... Décidément la route étais bien longue pour arriver au grillage d'entrée quand on est près de la mort, le temps diminue...
Mais il n'étais pas une grosse perte... Qui l'avais aimé? Qui l'aurais aimé? On aurais pus se croire dans un mauvais feuilletons, et pourtant il n'en est rien, derrière ses yeux de cocker se cachais une personne furieuse, ou plutôt une personne perdue, une porte pour l'inconnus, pour le vide... Un coeur vide de tout sentiment pour un monde vide de toute humanité? Est ce la le sens de la vie? Et d’ailleurs en a elle un? Ne sommes nous pas le fruit d'un hasard scientifique? Ou la descendance déchue d'un dieu fou? Le docteur lui le devenais, il l'étais, il étais milles êtres en feu dans mille noires préries.
L’idylle du Joker se réalisait à présent un monde de haine, remplie de noir, d'horreur, de sang, en pensant à cela il se disais qu'il n'aimais pas être manipulé ainsi, manipulé par une société, un noir monstre mangeur d'argent, vomisseur d'idéaux et pour ne pas être son produit, pour ne pas faire marcher le marché des antidépresseur le docteur décidas de positiver, en se tournant vers sa mort il dis a ce dieux fou, ce dieu maudit "Hello mec, appel moi mister sunshine!". Mais déjà il le rejoignais, pourquoi si cruel mascarade? Le sourire qu'il affichais a présent sur son vieux visage valais milles larmes de sangs, voila jeunes génération comment se doit de mourir un homme, avec le sourire, le sourire de la mort.