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| Enquête forcée [sur invitation] | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Dim 1 Avr - 21:34 | |
| Son après-midi était foutu. Ce genre de nouvelles avaient le don de lui serrer le coeur et de l'empêcher de travailler tant qu'elle n'avait pas plus de détails sur ce qui se passait. Certes, l'annonce était de bonne envergure mais ce qui allait suivre ne prédisait rien de bon sinon un cas de force majeur. Les paroles d'Huntress lui revenait encore à l'esprit: «Et on va la rejoindre...à Arkham City.». Ce n'était pas un réel on. Elle voulait surement inclure toutes les nouvelles justicières qui avaient rejointes leur rang. Mais le «on» excluait la personne qui parle, ce qui l'intégrait totalement dans le plan. C'était absurde! Jamais elle ne pourrait suivre toutes ces jeunes femmes à la santé vigoureuse et à la force qui les emmenait à voler au dessus de la ville. Barbara retira ses lunettes, les déposant sur la surface de son bureau dont les papiers menaçaient de tomber un peu partout. Ses mains ranimèrent la peau de son visage et ses yeux se refermèrent devant les écrans en permanence allumés. Rejoignant le réseau central, elle diffusa le message qu'Huntress voulait, en oubliant de mentionner quelque détail. Elles savaient ainsi que quelque chose d'important se préparait, mais la mention de Black Canary allait être dévoilée plus tard.
La chaises roulante fit un écart vers l'arrière jusqu'à un bureau proche. Ce qui était utile à la survie d'une personne qui passait son temps devant des ordinateurs étaient placé près de là; une cafetières, des boîtes de craquelins, un mini réfrigérateur et autre chose vitale pour ne pas s'éloigner de son précieux système. Elle appuya sur le bouton de démarrage. Il y avait au moins cette chose qui démontrait une simplicité presque infantile dans cette pièce. L'eau se mit à bouillir puis les premières gouttes d'un café brulant tombèrent dans la carafe. Elle en huma l'odeur qui la relaxait déjà. Mais son esprit continuait d'analyser toutes les possibilités dans lesquelles son amie s'était embarquées. Aucune information ne semblait vouloir répondre à toutes ses questions ce qui l'a mettait de plus en plus mal à l'aise. Même le café prenait une éternité à couler. Elle approcha sa tasse, noire dessinée jaune, et y versa la crème et le sucre avant de pouvoir y verser le liquide chaud. Toutes les secondes étaient précieuses, se faisait-elle croire.
La tasse entre les mains, elle se surprise à fixer le symbole dessiné dessus. Un sourire nostalgique apparu sur ses lèvres pendant que son pouce traçait les contours d'une chauve-souris. Elle avait acheté cet objet à bas prix dans une vente bon marché. Les objets de tout genre à l'effigie des justiciers les faisaient rire tellement une telle admiration était presque futile. Sa tête se tourna, fixant les portes qui auraient pu contenir son costume autrefois. Elle soupira. Le café était prêt.
Barbara posa la tasse entre ses jambe et roula jusqu'à son bureau, prenant en chemin un petit kit de réparation et deux écouteurs brisés. Glissant ses lunettes sur le bout de son nez, elle ouvrit le couvercle minuscule de l'oreillette pour en changer le cryptage et la fréquence. Elle brancha deux des fils à un circuit fermé qui était aussi connecté à son ordinateur. Penchant la tête pour entendre comme il le faut, elle glissa le bout du micro tournevis dans la fente à cet effet. Ne regardant plus où elle mettait les choses, habituée de jouer avec des choses aussi minuscule, elle se concentrait sur l'écoute auditive. Tombant sur quelques signaux quelconque, elle continua la recherche de la bande radio d'Huntress. Ce n'était pas aisé, surtout qu'aucune communication n'était en cours. Pensant obtenir une bonne écoute sur le moment, elle glissa autour de sa tête un casque d'écoute muni d'un micro pour tenter une communication, tout en laissant l'oreillette ouverte. Fermer et ouvrir continuellement les coffres électroniques pouvait abimer le circuit et surtout que c'était une perte de temps en fonction où elle ne la programme qu'une seule fois. Être banchée sur ce circuit va lui permettre d'avoir un oeil juste et une communication constante avec Black Canary. Barbara lança quelque appel jusqu'à l'obtention d'une réponse de la personne désirée.
«Canary? Est-ce que tout va bien? Je...»
Elle voulait dire plus mais tout lui semblait inutile pour le moment.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mar 3 Avr - 21:32 | |
| «Babs?»
Elle fut surprise et étonnée d’entendre la voix de la première Batgirl à son oreille alors que le signal devait être celui d’Huntress. La sienne était encore rouée par le coup mais le tout revenait tranquillement. Son visage se relâcha. Avec Oracle à ses côtés, loin mais toujours présente, les choses allaient pouvoir avancer. Le message avait donc rapidement passé parmi les héros de la ville. Ses espoirs se fondaient encore sur l’intelligence qu’elles et qu’ils allaient utiliser de ce qui allait se passer. La mission dont elle venait d’investir la mauve justicière allait changer une partie de la vision de la populace, venir éteindre une partie des espoirs de l’intendant et repartir sur une base plus régulière pour séparer les criminels. Les guerres avaient éclatées, elle était mieux placé que quiconque pour s’en apercevoir présentement. Les plus petits d’entre eux se cachaient, tous étaient effrayés. La cause n’était peut-être pas que les psychotiques tels que l’épouvantail, le Joker ou Killer Croc. Elle se doutait que les forces armées y étaient pour quelque chose. Les chambres devenaient leur cellule. Ils devaient aller chercher leur nourriture auprès des grands portes. C’était misérable. Ses doigts glissèrent sur les couvertures défaites.
«Tout va bien. J’ai croisé ce bon vieux Deathstroke dans la ville et je me suis réveillée dans une salle sous les douanes. T’entendre me soulage puisqu’il y a des choses que je ne suis pas en mesure d’expliquer. À quoi penses-tu si je te dis que j’étais connectée à une sorte de machine et qu’en deux jours je n’ai plus de traces de mes blessures? Quelque chose dans notre médecine moderne est-il capable d’un tel miracle?»
Black Canary s’était levé et arpentait la chambre. Il y avait trop de chose à demander et trop de chose à voir et revoir afin d’élucider l’affaire. Elle espérait qu’Oracle puisse l’aider à mettre le doigt sur ce qui clochait et allait donner la véritable preuve contre la personne qui avait organisé tout ce problème et tout ce mystère surtout. Elle ne connaissait personne qui pouvait battre Deathstroke ainsi sans qu’il n’en est un souvenir intacte. Elle omit de parler du fait qu’il y avait des souvenirs pour Nightwing. Un seul rappel et elle pouvait perdre son amie durant quelque temps. L’amour était quelque chose de compliqué. Elle-même en avait eu quelque reflet bien que son mariage l’avait rapproché de son homme.
«Deathstroke s’est réveillé dans une chambre du Mercy Hospital dans le quartier industriel. Selon lui, elle est intacte, personne n’a rien bougé depuis son départ. Il veut savoir qui lui a fait le coup. Il est aussi affaibli de corps. Quelqu’un l’a payé cher pour m’emmener ici. Il va être primordial que vous faites attention. Je ne suis pas la seule qui est visé par son contrat. On lui a aussi enlevé son bâton et j’ignore quoi encore. Il n’est pas très apte à me faire des discours sinon me menacer. Tout reste nébuleux. Tu peux faire quelque chose?»
Trop de questions encore. Le mercenaire lui avait fait remarquer mais elle devait en poser pour avoir des réponses et cerner le problème. Le couple devait payer. Elle laisserait avec plaisir ce dernier lui régler son compte si il voulait ravoir ses forces. Comme elle lui avait mentionné, elle allait commencer les recherches mais son altesse devait continuer le reste tout seul. En aucun cas elle n’aiderait à la recherche complète de ses forces. L’avantage était trop grand pour lui permettre de recouvrer sa pleine puissance.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Sam 7 Avr - 17:36 | |
| La voix de Black Canary n'avait pas sa puissance ni sa vitalité habituel. Ce genre de problème arrivait régulièrement car trop de monde connaissait le véritable pouvoir de son don. Il pouvait tuer quelqu'un si elle ne se concentrait pas assez au contrôle de tout cela. elle se mit dans les priorité de créer une arme qui avait cette même puissance en visée pour permettre à son amie de l'utiliser même si on lui coupait la voix durant quelque temps. Ainsi elle ne serait pas démuni devant un assaut et ne pourrait plus sombrer dans le même désespoir qu'il l'avait plongé après cette terrible agression. Un miracle était survenu et lui avait rendu son don. Lui rendre toute ses possibilité même en cause perdue. Oracle regarda ses jambes. Rien ne pourrait lui redonner son agilité d'autrefois même si elle y mettait des heures. La médecine n'était pas assez avancé pour lui réparer la colonne et lui redonner la sensations de ses pieds qui volent près du sol, de l'élan donné au grappin sur les toits de la ville, de la course à travers les ruelles...de l'amour avec Richard. Elle ne sentait rien et c'était surement permanant. Elle n'osait plus croire en une réhabilitation. Ça chaise était devenu son seul moyen de déplacement et son ordinateur, la seule chose qui la gardait dans le virtuel et l'empêchait de penser au passé.
Elle fut contente d'entendre le récit des derniers jours de la principale concernée et surtout plus en détail. Sa tendance à tout savoir et à tout vouloir connaître ne se dissipait avec les années. La recherche constante d'informations et de connaissances dans plusieurs domaines était amélioré grâce à sa mémoire phénoménale et à ses rapprochements avec beaucoup de gens différents. Mais ce qu'elle disait dépassait l'entendement puisqu'une seule source pour une guérison aussi phénoménal existait en ce monde et était gardé par Ras Al Ghul et sa ligue d'assassins. Personne ne pouvait y avoir un accès ainsi sauf si ce dernier venait de prendre part à une idée dont les justiciers en ignoraient encore la teneur. Alors à ce moment là, ils devaient se surveiller. Si les mercenaires rejoignaient aussi ce concept, elle allait devoir rester des jours les yeux ouverts afin de soutenir tout le monde encore une fois. Deathstroke était un ennemi à considérer comme dangereux, plus que n'importe quel mécréant qui avait fait parti des cellules d'Arkham Asylum. Sinon on pouvait parler de régénération mais elle savait que Canary n'avait pas une telle capacité. Rares étaient ceux qui l'avait d'ailleurs malgré qu'on apercevait des pouvoirs qui dépassaient toutes logiques depuis des années. Elle en était témoin.
«On peut voir la naissance de quelque chose mais je ne suis pas en mesure d'en dire d'avantage sans échantillons de sang. Voir la machine m'aiderait aussi mais as-tu dis qu'elle se trouve aux douanes? Serais-tu en mesure de me la décrire?»
Tout était encore une fois caché et elle ne pouvait se déplacer pour en trouver tout ce qui pouvait figurer pour l'obtention de meilleurs résultats que des suppositions. En plus qu'elle était à Arkham compliquait les choses. La cueillette des souches allaient être un vrai défi car les portes des douanes ne laissaient plus passer personne depuis que le NKVdemon avait fait un ravage et monopolisé tout le monde dans les rues. Les citoyens avaient été priés de rester chez eux dans l'espérance qu'aucun mercenaires ne passent pour les trainer vers Arkham City. Cette purge avait suffit pour faire peur à tout le monde et faire courir d'autres rumeurs toutes aussi inquiétantes. Elle redoutait les meurtres qui avaient été prononcés. *Bruce...Helena...* Elle en aurait vite les confirmations mais ça ne disait rien de bon pour les justiciers. Elle ne pouvait pas changer ce qui avait été mais seulement faire un éclairage et d'en dévoiler les preuves à qui le voudrait. Mais il y avait plus urgent à s'occuper dont la sortie de Canary de ces enfers.
«Je ne peux rien faire Canary. Je suis désolé...»
Malgré, elle était dans un hôpital et il devait surement y avoir des traces. Mais comment en avoir des clichés et pouvoir les inspecter par elle-même dans un endroit aussi inaccessible? Ses doigts vinrent se poser l'un après l'autre sur la surface du bureau. Elle ouvrit une page de note vierge afin d'y rassembler ses idées mêmes si ils étaient tous contenus dans sa mémoire. Il valait mieux mettre tout sous forme de tableau afin d'en détecter ce qui manquait ou ce qui pourrait l'aider. Elle se demanda ce qu'on pouvait bien trouver dans une chambre d'hôpital déserte et surtout si on avait fait attention à ce qu'on faisait par le même coup. Des traces de doigts, des outils et peut-être une marque de soulier ou quelque chose comme ça. Il fallait commencer par la base pour trouver quelque chose de convainquant et peut-être mettre une identité sur les inconnus. Elle chercha sur internet une base de ce que pouvait contenir en bonne quantité une hôpital qui ne pourrait peut-être par servir pour des soins. Les criminels avaient dû vider les étagères des onguents, alcool à friction, bandages et autres choses pour les blessures graves. Le Mercy contenait autrefois une pouponnière, une première chose pouvait être trouvé à l'intérieur.
«...sauf si. Tu pourrais peut-être trouver de la poudre à bébé dans la nursery. Tu vas pouvoir t'en servir pour voir les traces de doigts si tu en saupoudre une fine couche sur les murs, le lit et le plancher. Fait attention, trop va en cacher les empreintes. Ensuite va voir dans les cabinets des médecins et fouillent dans leur tiroirs. Certain aurait pu en laisser un cellulaire ou appareil photo si quelqu'un d'autre avant moi en a pas eu l'idée. Prend des clichés. Si c'est un cellulaire on va peut-être pouvoir le brancher Bluetooth et y avoir accès par satellite. En cas échéant, je vais trouver une autre solution. As-tu fouillé la salle au complet? Même une graine ou un objet pourrait nous aider.»
Oracle continua de taper au clavier toutes les possibilités pour ne pas en omettre une seule et surtout garder en tête celles déjà utiliser pour compléter la liste ou revenir à une déjà utiliser. On pouvait partir d'nue nouvelle idée ainsi.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Ven 13 Avr - 14:55 | |
| Dinah attendait toujours une réponse claire de son amie. Elle pensait à voix haute mais ce genre de commentaires pouvaient les conduire jusqu'à une solution réelle. Un échantillon de sang était couteux surtout dans un endroit pareil. Aucun moyen de le faire parvenir et elle doutait de faire appel au mercenaire pour ce genre de mission. Suffit qu'il le remettre à quelqu'un d'indésirable pour leur fournir un quelconque indice sur sa propre identité. Certaine personne se mettait en tête de découvrir les identités civiles et secrètes des justiciers. Il était toujours plus simple de les faire agir selon leur bon vouloir après. Black Canary soupira en entendant Oracle dire qu'elle ne pouvait rien faire. C'était vrai que les indices étaient minces, peu dirigeantes et surtout sans être sûre du fondement de chacune. Mais rien n'était perdu car Oracle n'allait surement pas resté là. Ce n'était pas une quête aussi profonde que le Sphinx, mais quand un problème n'était pas résolu, Barbara pouvait se mettre à la recherche de quelque chose sans s'arrêter. Elle redoutait qu'il se passe quelque chose ainsi.
La jeune femme dans la chambre d'hôpital se redressa aux mots d'Oracle. Ses sourcils se froncèrent à la première idée. C'était parfois étrange ce que proposait son amie mais jusqu'à aller faire un tour dans la nursery. En finalité, c'était peut-être de bonnes idées mais ça allait lui prendre des heures à trouver un cellulaire ou un appareil photo qui marche encore. Ce genre de soin, elle le laissait à d'autre. Elle passa par la porte tout en maintenant Oracle à l'écoute. Inconsciemment, elle ne voulait pas briser le lien au risque de se retrouver seule encore une fois. Elle avait officiellement pas confiance en Deathstroke et ses manigances. Surtout si il était aux ordres de Shreck. Au moins il possédait une certaine liberté pour ses gestes personnels. On lui avait sans doute demandé de l'emmener morte ou vive. Il avait choisi en vie mais le prix était surement conséquent à la charge. Il ne l'aurait pas facile avec elle.
«Je vais tenter de te trouver ça.»
Elle suivit les indications sur les murs qui souvent disparaissaient sous une fine couche de poussière. Personne n'avait dut penser à visiter cet étage bien que certaines portes restaient ouvertes et immobiles. Les postes avaient aussi été quittés précipitamment en laissant un tapis de feuilles. Elle Commença par une commode. Les infirmières devaient surement cacher un appareil pour tous les petits bébés mignons qui passaient ici. Dinah connaissait la folie que pouvait emparer une femme à la vue d'un poupon. Elle avait toujours refusée de s'y plier malgré le vouloir de Olie. Elle n'y trouva rien d'intéressant et continua sa recherche dans les buanderie. Elle mit la main sur une bouteille qui avait été entamée à moitié. C'était déjà plus que le nécessaire. Black Canary en informa Oracle puis continua de chercher.
Après avoir fait le tour des bureaux susceptibles d'avoir encore quelque chose, elle changea d'aile en feuilletant un vieux dossier. Elle le laissa dans un porte document attaché au mur et poussa la première porte. Prenant encore les précautions avant d'y entrer, rien ne semblait y vivre. Elle entra pour y constater un bureau presque entièrement vide. Elle prit place sur la chaise en mettant ses pieds sur la surface plane du bureau. Elle prit la petite affiche où les noms des médecins étaient marqués. Celui-là ne lui disait rien. Canary vint pour ouvrir la commode mais elle résista. Elle appuya la chaise contre le mur et donna un coup de pied près du haut de celle-ci. Elle ne résista pas longtemps au choc et le bois qui s'était figé céda. Le tiroir s'ouvrit en dévoilant une série de magasine pornographique de l'année passée. Ses yeux roulèrent dans leurs orbites. Elle alla pour fermer le tiroir en question quand elle remarqua un fils sortir d'entre les pages. Elle prit les revues et les jeta sur le sol. Un appareil photo numérique gisait là entre les pages. C'était quand même un début. Elle pesa sur le haut du bouton pour allumer l'objet. Les batteries étaient faibles. Les photos étaient à éviter. Décidément, certain docteur aimait bien leurs patientes ou les infirmières. Elle vida la mémoire, redoutant de tomber sur des vues pires encore.
«J'ai l'appareil photo mais il n'a pas l'air de pouvoir se connecter. Les batteries sont faibles aussi. Je retourne à la chambre.»
Et elle y retourna en prenant son temps. On pouvait tomber sur n'importe qui dans ce genre d'endroit. Surtout qu'il n'était pas protégé par aucun clan on dirait bien. Elle reconnue le couloir en question et regarda la chambre qui était toujours déserte. Elle ouvrit de ses doigts la boîtes de poudre pour les fesses des bébés et en appliqua sur le bord de la porte, le sol, près du lit, appliquant un fine couche. Elle mit un morceau de tissu devant la bouche. Cette saleté de poudre restait en suspend dans les airs. Elle laissa le tout retomber et commença à faire le tour des places.
«Oracle. J'ai quelque chose sur le bord de la porte et les rebords du lit. Je te les prend en photo et te les fait parvenir par les filles quand elles viendront.»
Elle déplaça encore les couvertes qui touchaient mortes le sol. Elle-même prit place sur le sol en soulevant les rideaux gris. Il faisait noir et le sol était recouvert d'une couche de poussière dont les traces de pas avaient enlevé certaines parties. Un reflet attira sa main. Une petite seringue déjà utilisée restait tranquillement là. Surement un oubli après une action en vitesse.
«J'ai aussi une seringue. Je te la ferrai envoyé elle aussi. Je ne trouve rien d'autre qui pourrait nous aider. As-tu d'autres idées?»
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Jeu 19 Avr - 23:05 | |
| Oracle patientait tranquillement dans sa tour de l'horloge avec son batcafé dans les mains. La mission que s'était prodiguée Black Canary était d'une complexité dont elles auraient pu se passer à l'aube de la prochaine attaque contre Gtoham. Il y avait tellement à faire autre que régler les problème personnel d'un mercenaire qui avait mit fin à la propre vie de son fils. Oracle regardait un dossier justement sur cet homme recherché et défini comme l'un des plus dangereux au monde. Il faut dire qu'il s'était prit contre huit personnes de la ligue en les mettant tous sans défense en quelque seconde. Elle fit défiler la page en lisant en diagonal, le reste de sa mémoire retiendrait le restes des informations à son propos. C'était presque étonnant que Dinah veuille l'aider à même au minimum. Aucune femme au monde ne pardonnerait à quelqu'un d'avoir gâché la plus belle journée de sa vie. Chose qu'elle n'aura surement pas avec tout ce qui arrivait. Elle regarda ses jambes qui ne répondaient plus depuis un moment. Une simple balle et toute sa carrière de justicière était tombée. Depuis, les criminels continuaient d'envahir la ville en causant le désarroi de ceux qui la défendait. Elle-même en avait rejoins les rangs et était dans une démarche pour sortir de son état dépressif.
Les criminels et la ville de Gotham. Il fallait attendre quelque jour pour qu'un autre cataclysme déferle dans les rues encore une fois. Est-ce que l'enlèvement de Black Canary avait un lien direct avec la récente attaque qui avait conduit à une purge des citoyens visés comme criminel? Si c'était le cas, il y avait un ennemi à surveiller et surtout à découvrir le plus tôt possible. Il fallait enrayer la nouvelle menace qui mettait la vie des citoyens de Gotham en danger et surtout sans justice propre. Personne ne pouvait savoir si quelqu'un était vraiment honnête ou pas avec seulement une visite d'un lieu. Les gens qui avaient subis l'assaut n'avaient pas eu de justice, ce pourquoi les héros de la ville combattait. Ses doigts parcouraient encore le clavier, ouvrant mille pages pour tenter de découvrir l'identité des gens qui ont traversé la frontière depuis deux mois. Ce fut surement fait clandestinement moyennant une petite somme suffisante pour acheter le silence des gardes. Mais la recherche n'était pas vaine, elle pouvait réussir à mettre la main sur un fichier digne d'attention qui pouvait changé toute une série d'évènement.
Le silence radio continuait. L'hôpital contenait de nombreux couloirs et donc on pouvait ajouter de nombreuses chambres et bureaux à fouiller pour mettre en avant son idée principale. Elle espérait qu'aucun criminel n'est prit asile dans le centre hospitalier pour facilité la tâche demandée, même si la confiance dans les capacités de son amie était sans faille. Elle était une fille forte malgré son caractère parfois déroutant. Il y avait au moins quelqu'un près d'elle pour faire paraître son caractère plus superficiel, mais elle les connaissait plus que les deux ne voulait l'avouer.
De nos jours, on pouvait se débrouiller avec presque tout ce qui nous tombait sous la main, à condition d'en connaître les vertus. Il fallait seulement savoir avec quoi et comment faire afin d'obtenir un bon résultat. Internet donnait un maximum d'information gratuitement au grés des forums et des sites de ménage. Ne restait plus qu'à tester le tout afin d'arriver au résultat voulu, si quelqu'un d'autre n'avait pas fait le test avant vous pour donner son opinion sur la chose. En espérant que Canary cherche l'aile obstétrique et non un quelconque autre nom par rapport aux enfants. Sinon elle allait surement recevoir un avis, mais aucun ne viens. Au contraire, la nouvelle fut bonne et elle avait trouvé un appareil photo encore utilisable. Et si elle retournait à la chambre, c'est qu'elle avait surement en sa possession les autres objets qu'Oracle lui avait suggérés. Elle attendait les résultats avec patience, même si elle ne les aurait pas immédiatement en visuel. Mais un détail lui effleura l'esprit. Huntress avait mentionnée qu'elles allaient chercher Canary à Arkham City. Elle croyait à une idée superflu mais Dinah semblait sur la même longueur d'onde.
«Tu as dis quand les filles viendront. Huntress m'a donné autant de détails. Qu'est-ce que vous mijoté toutes les deux que j'ignore?»
Après cela, il fallait attendre d'avoir plus de détails et surtout les preuves en main. Oracle allait s'arranger pour envoyer tout le matériel afin de faire une saisie du sang de Black Canary et ravoir les résultats le plus vite possible. Des analyses et un contact. Mais la grosse question qui demeurait dans son esprit était de savoir si Dinah allait revenir avec l'escouade ou rester là-bas pour simuler sa présence. Ce genre de geste n'était pas sans conséquence et tant qu'elle n'avait pas plus d'information sur ce qui allait se passer, elle ne pouvait que faire des suppositions sur ce qui allait arriver. Peu importe, elle avait déjà une idée sur ce qu'elle allait faire et surtout comment continuer les recherches sur ce qui arrivait. Sa voie allait suivre ce que Black Canary allait faire et allait l'appuyer en arrière plan encore. Elle lui devait bien ça après le support qu'elle lui avait offert.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mar 24 Avr - 21:53 | |
| Black Canary jonglait avec ses différents indices qui allaient bientôt trouver preneur afin d'en accuser le porteur. Ce n'était pas assez pour vraiment prouver à Deathstroke que Shreck plongeait la tête baissée dans le contrôle de son être par l'argent et la menace. La mettre dans cette ville n'était pas vraiment une bonne idée. Qui serait assez imbécile pour y rester aussi longtemps que ce dernier le voulait. Et surtout une justicière de renom qui est née pour défendre la planète contre le crime. Elle était la seconde de nom et sa mère méritait une image suivit. Elle était Black Canary. Pas une vulgaire débutante mais une femme qui avait la tête de la ligue des justiciers. Celle qui pouvait négocier avec Batman d'égal à égale. Arkham n'était en fait qu'un immense mur. Ses alliées pouvaient en dépasser les hauteurs et venir jouer où ils ne voulaient pas.
La question d'Oracle était pertinente. Ce qui voulait aussi dire qu'elle n'avait pas eu beaucoup de renseignement de la part d'Huntress. Toute l'action avait été prévue autour d'une table de Poker à siroter différents alcool de sa préparation. Elle comptait sur les filles pour améliorer l'idée principale et surtout montrer que malgré la puissance des dirigeants, les justiciers ont à cœur la sécurité des gens. Et même si il croyait avoir fait un bon coup en la jetant dans sa prison de grande envergure, c'était exactement l'endroit où elle voulait se trouver. Il avait tout simplement donné le point de départ de leur petite organisation sans le savoir.
«La reprise d'Arkham Asylum Babs.»
Elle glissa le tout dans un sac qu'elle avait ramassé en chemin. Elle glissa la bande sur son épaule et quitta la pièce. Il n'y avait surement plus rien a récolter ici et ce qui était intéressant était maintenant sur le bord de sa taille. L'idée semblait superflue et même un peu folle sur le coup mais tout était organisé à quelque détail près. Il fallait intégrer les nouvelles arrivées tout en misant sur leur plus fortes caractéristiques. Elle ignorait qui elles étaient sauf pour l'une d'entre elle. Plus de membres elles rejoignaient à cette cause, mieux on allait pouvoir anticiper ce qui allait arriver et en venir à bout.
«Huntress et moi en avons parler dernièrement. Étant donné que les forces locales ne sont pas capable de mettre fin à Arkham City sans notre aide, malgré l'opinion publique, on fait un pas en avant en reprenant le contrôle de l'asile. Je vais créer une diversion demain avec l'aide de la lynx avec qui j'ai prit contact récemment. La rencontrer face à face va me permettre de mieux cerner ses intentions et surtout si elle désire réellement nous aider. Avec cette démarche, on escompte avoir les hélicoptères et le plus gros des forces de la douanes sur nous. Nous viendrons rejoindre le reste du groupe sur l'île en passant prendre Aaron Cash et ses hommes.»
Cette première exposition permettait de cerner le problème et de voir la première démarche. Le danger s'y présenterait. Mais sans danger, la vie d'un justicier serait bien morne. Cette pensée la ramena à Oracle qui restait maintenant dans son siège. La nostalgie de la première Batgirl était un chagrin porté par nombreux membres de la justice. Personne ne méritait un tel sort malgré l'aide nouvelle qu'elle apportait. Ce soutient constant à leur oreille. Mais derrière l'intonation, Black Canary savait très bien les sentiments cachés en vain.
«Après les avoir récupéré, on sécurise le périmètre pour garder l'île en dehors d'Arkham City. Pendant que nous exécuteront cette tâche, les filles vont faire le tour du périmètre des murs et se rendre au nord. Les forces étant au sud, nous ne devrions qu'avoir un minimum à affronter de ce côté là. On sait grâce aux rumeurs qu'il y a trois criminels dans les bâtisses; Scarecrow, Black Mask et Dollmaker. En outre, c'est en rejoignant les filles que j'arriverai à te faire parvenir ce que je viens de récolter. Je compte sur toi pour être nos yeux et nos oreilles. Toi et Huntress allez être les plus expérimentées du groupe. Vous saurez comment gérer toutes les justicières.»
Elle tourna soudainement la tête. Un bruit qui résonna dans le couloir vint déranger la fin de son discours. Elle regarda dans l'espace vide et rien ne semblait bouger pour le moment. Aucun ombre ni nouveau son. Pleins de choses tenaient précaires sur les étagères. Elle espérait que ce ne soit que cela.
«Soyez au rendez-vous. Je compte sur vous. Bonne chance.»
Black Canary fit le tour de son étage tranquillement. Elle ne voulait pas tomber sur une surprise qui pouvait venir gâcher tout son plan. Mais rien se présenta. Personne n'avait entendu son discours. Surtout avec Oracle sur les ondes, elle était certaine que personne n'aurait pu entrer dans le réseau sans qu'elle ne le sache. C'était une des raisons pourquoi elle avait parlé librement à son amie. Elle entra dans une autre pièce vide de ses patients. Elle poussa le rideau et fit un rond dans la fenêtre. La poussière c'était accumulée depuis un an sans que personne ne prennent soin de laver chaque centimètre. Le soleil commençait à décliner. La lynx allait bientôt la rejoindre et demain, le plan allait se mettre en marche sans que Shreck ou les douanes ne connaisse d'avance ce qui allait se passer. Tout était trop subit pour que quelqu'un puisse en connaître tous les détails. Elles étaient trois dans la confidence. Oracle pouvait aller parler à Batman, mais il ne pourrait rien faire. Huntress garderait le secret comme elle l'a fait jusqu'à ce qu'elle doit en dévoiler le plus gros.
Dinah tournait en rond. Elle était lasse de chercher des choses qui n'avaient aucun rapport avec son but principal. Se coucher et rien faire ne lui plaisait pas non plus, même si repos était la meilleure chose à faire. La prudence était aussi de mise car n'importe où on se trouvait dans Arkham, le danger nous guettait. Mais quelle heure il pouvait être, elle ignorait. Avec de la chance, le couvre-feu était tombé et elle avait la paix pour la nuit sauf si quelqu'un d'autre avait élu domicile à cette place. Et si le couvre-feu était vraiment actif en ce moment, contacter Deathstroke ne le ferrait pas venir. Au moins ses menaces ne pourrait pas être de face. Qu'il puisse mourir ce mercenaire et la terre se porterait mieux. Elle prit un respire. Il pouvait aller en enfer. On ne pouvait souhaiter la mort de quelqu'un, même si ce dernier avait gâché votre mariage.
«Le chien a-t-il retrouvé son bâton?»
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mer 25 Avr - 0:48 | |
| Deathstroke se passa une débarbouillette mouillé dans le visage avec du savon. Les journées de garde du corps était vraiment pénible. Pas difficile... pénible il n'y a rien de plus épuisant que de ne rien faire se dit-il à lui même. Il jeta son armure sur le coté du lit et son masque par dessus. Il prit l'oreillette qu'il avait donner a Black Canary puis la remit dans son oreille. Il s'assoya sur le lit et commencea à enlever ses bottes. Quand soudain l'écouteur dans l'oreille de Deathstroke émis un petit son et il entendit une voix féminine parler. - Citation :
- «Le chien a-t-il retrouvé son bâton?»
Deathstroke était de retour au douane dans les quartiers que Shreck lui avait donné. Son patron était... il s'en foutait. Il était quelque part et sa journée était fini. Il était garde du corps pas nounou. À l'endroit ou Shreck était il devait avoir une armée qui le protégeais. C'était pas aussi bon que Deathstroke mais c'était suffisamment efficace pour Gotham. Il allais se mettre au lit, mais bon il n'avait pas encore tout enlevé et son oreillette restait toujours proche de lui au cas ou. Slade: Ta un problème ou ta trouvé quelque chose?Slade n'avait pas envie de "jouer" avec Black Canary. Tout ceci l'irritait au plus au point. Obligé de jouer les employés réguliers pour un clown de l'industrie lui plaisait pas vraiment. Mais sa assurait au moins ses arrières et sa lui donnais le luxe de passer les douanes sans trop de difficulté. Mais bon si elle l'appelait il y avait quelque chose. Il se leva du lit sur lequel il était assis puis appuya le doigt sur l'oreillette pour mieux entendre. Slade: Tu m'entends bien? t'a un problème?Il prit le verre d'eau qu'il y avait sur la table de nuit et y laissa tomber un antiacide. Slade n'avait jamais utilisé ces trucs. Mais toute ces histoires le stressait et avec son facteur de régénération affaiblie il développait un ulcère. Connerie de problème. Il regarda l'antiacide se désagrégé dans l'oeil à une vitesse impressionnante et but d'un trait. Slade: Je t'écouteAllé dit moi que tu a trouvé quelque chose se dit-il à lui même. Que je quitte ce Gotham pourris. Se qu'il faut comprendre pour un homme comme Slade Wilson, se retrouver coincé dans un univers disont plus "traditionnel" c'était presque la prison. Réveille, boulot, dodo... si c'était la vie qu'il voulait il n'aurait pas choisi ce métier... sa n'avait jamais été la vie qu'il avait choisi. Sa lui avait coûté d’ailleurs toute sa famille et tout ses espoirs de bonheur. Tout ça avait passé dans le broyeur pour son désir de liberté. Alors être coincé dans une routine, affaiblie par il ne savait trop quoi, devant faire confiance à quelqu'un qui le détestait et travailler pour un homme qui s'il jugeait qu'il n'était plus une bonne relation d'affaire lui enlèverais ses autorisation, NON ce n'était pas une situation qu'il aimait. |
| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mer 25 Avr - 1:15 | |
| Comme si Black Canary avait quelque chose à craindre dans cet endroit de bandits, criminels et fou à lier. Sa voix aussi avait un ton particulièrement joueur et animé. Elle revenait presque à elle-même depuis se petit repos mérité. Mais lui, semblait dans une sorte de spirale d'épuisement. Il pouvait enfin voir ce qu'était être un vrai humain. En même temps, si ses forces diminuaient autant qu'elle guérissait presque magiquement, ils avaient plus de chance de l'expulser voir de l'attacher directement. La vengeance elle la laisserait pour d'autre. Elle s'était suffisamment calmée et l'entendre ainsi lui faisait en outre d'avantage plaisir. Il était encore pressé. Si il pensait qu'elle avait déjà des résultats convaincants, il n'allait nul part.
«Je n'ai aucun problème Deathstroke. Je vais même plutôt bien. J'ignorais qu'il y avait de si beaux endroits de ce côté du mur. J'en avais presqu'oublié après qu'on nous eut interdit de traverser. Merci de t'inquiété pour moi.»
Elle avait le sourire aux lèvres mais il ne supporterait pas autant de sarcasme surtout qu'il n'était pas assez près pour mettre ses menaces à exécution. Physiquement il était assez imposant malgré son âge. Mais il méritait ce sarcasme et encore plus qu'elle ne devrait rien lui dire. Mais moins il s'inquiétait, plus elle et les filles pourraient s'approcher de l'asile et mettre leur plan à exécution. Dinah reprit son sérieux.
«J'ai trois pistes plus ou moins sérieuses pour le moment. Tu voulais des nouvelles alors je t'en donne.»
Il allait devoir chercher un peu plus loin et supplier pour une fois. Elle ne voulait pas lâcher prise surtout qu'elle avait le dessus. Peut-être négocier les informations pourraient l'aider à sortir d'ici sans briser les règles dut à l'autorité en place. Les criminels auraient dû se révolter depuis le temps mais c'est presque si elle n'avait vu personne dans la rue. L'heure était tardive mais le couvre-feu n'était pas encore en place. C'est vrai que ce caché de la dizaine d'hélicoptère n'était pas un plaisir non plus. Ses vêtements noirs avaient été suffisant pour la camoufler dans les ombres des bâtiments et la vitesse à ne pas se faire prendre au sol. Les toits étaient à éviter même si elle avait visité la carcasse de l'avion d'Huntress.
«Mais...qu'est-ce que j'ai si je te dis mes informations Deathstroke? Ce n'est pas très équitable si je fais toutes les recherches si je reste coincée ici avec...non je n'ai absolument rien sinon mes vêtements en lambeaux et ce que je peux dénicher un peu partout en fouillant. Ni eau ni nourriture. Et selon les lois en vigueur dans ce charmant endroit, je dois me présenter aux douanes dans deux jours pour avoir eau et nourriture.»
Elle avait raison. Mais elle savait aussi que demain, ce problème serait réglé. Peut-être même avant si la Lynx se risquait à venir la rejoindre malgré l'interdiction de sortie la nuit. Elle continua de regarder vers l'extérieur, en pleine possession de ses moyens. La seule chose qu'elle désirait, était de ne pas le voir arriver ici.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mer 25 Avr - 1:44 | |
| Deathstroke était déjà à bout de nerfs. Épuisé et écoeuré et elle jouait avec lui. Oubliait-elle qui il était? Il se saisi de son verre et le balança dans le mur de toute ses forces. Il éclata au contact de la pierre. Vraiment éclaté! Deathstroke recu un éclat de verre sur la joue se qui le fit ragé encore plus. Ce n'était pas son genre de s'énervé comme ça mais la la situation l'exigeait. Il se faisait dicter des ordres par un homme d'affaire en costard qui n'avait probablement jamais tenu une arme dans les mains et la il faisait rire de lui par une gamine en bas filet, qui jouait les chanteuse d'opéra comme super pouvoir.
Slade: Tu veux rire de moi? Tu veux que je t'amène un vers d'eau pour dormir? Bieeeen sûr ... et si je te le servait dans le crane d'un de tes oiseau de proie? Tu te démerde c'est clair? Plus vite tu à trouvé et plus vite tu sors et tu bouffera dans tout les resto de Gotham je m'en fous. Pour l'instant jeune fille ... fait moi pas venir tu appréciera pas...
Voilà il avait pété un plomb. Lui qui normalement était toujours relativement calme là sa en était trop. Sa vie était dicté par les humeurs de gens qui soit le détestait sois se foutait éperdument de lui. Okay, c'était pas nouveau. Mais habituellement Slade réussissait à garder un certain contrôle sur la situation, là tout le dépassait. Peut-être ce foutu truc de maladie dégénérait... Normalement avec son 90% de cerveau actif il sais que dire des choses comme cela pouvait lui nuire mais la ... la colère l'avait emporté.
Slade: Ta trouvé quoi?
Le ton était toujours agressif, mais Deathstroke ce sentait mal de s'être énervé. C'était surement la fatigue. Cette putain de fatigue, de lassitude qui le suivait depuis son réveil à Gotham. Lassitude était le mot, il était en permanence a couteau tiré avec lui même et c'était vraiment pas le moment de l'énervé. Disons que Black Canary jouait avec le feu. Mais bon en même temps... elle travaillais pour lui.
Slade: Bon je... je suis fatigué... je... raconte je t'écoute...
Deathstroke se regarda dans le mirroir et entrepris d'enlever l'éclat de verre qu'il savait lui même envoyé dans la joue tout en écoutant Black Canary. |
| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mer 25 Avr - 2:15 | |
| Il ne voulait pas négocier et en plus il était encore en colère. C'était surprenant la voix qu'il empruntait qui faisait vibrer l'écouteur. Elle fronça les sourcils et se permis de rire. Le micro n'était pas actif de toute façon le temps qu'elle écoutait. C'était de plus plaisant de se faire traiter de jeune fille. Elle avait de plus en plus la net impression que c'était Wildcat et non Deathstroke qui était derrière l'appareil. Et dire qu'Huntress commençait à la dire vieille et expérimentée et voila qu'on disait le contraire. La fleur de l'âge peut-être.
Bien sûr qu'elle se riait de lui. Il semblait pitoyable dans son état de faiblesse de plus qu'il paniquait à la moindre remarque. Mais sa dernière remarque la fit refroidir. Il était capable d'arriver ici même si tous les hélicoptère venait qu'à le suivre. Mais en fait, il ignorait où elle était présentement. Même dans l'hôpital il aurait de la misère à suivre ses traces malgré le tapis de poussière. Elle avait marché de long en large toute la journée dans les longs couloirs dans l'espérances de trouver les objets qu'Oracle avait demandés. Mais manger dans les restaurants n'était pas une si mauvaise idée. Surtout pour parler avec une certaine personne si elle daignait leur montrer un peu de présence. C'est temps-ci il était totalement absent et sourd à leur appel.
«J'ai des traces de doigts que je ne peux identifier, une empreinte de solier mais c'est exactement dans le même état que les doigts. Tu peux me qualifier de détective aussi longtemps que tu le voudras, je ne peux rien faire avec ça. Tes traces ou les miennes, je ne peux pas le dire non plus si c'est celle de quelqu'un d'autre. Je dois les faire analyser.»
Une once de vérité dans le tout. Les faire analyser était la meilleure idée mais en théorie elle n'avait aucun support pour les prendre en image ni les tamponner afin de discerner qui les avaient laissé. Heureusement qu'elle était tombée sur cet appareil photo aux images assez louches mais dont elle n'en gardait plus de souvenir. Le bouton «delete» des appareils numériques était une petite merveille dans ces cas là. Si il revenait qu'à passer dans la chambre, il pourrait lui-même constater les efforts déployer et la poudre qui s'amassait sur le sol, dévoilant des dessins invisibles autrement. La preuve elle l'enverrait à Oracle par les appareils qu'elles allaient déployer demain.
«Avant qu'il ne soit trop tard, je devrais faire une analyse de sang dans mes propres veines mais je ne suis pas médecin et je fais encore moins confiance au matériel qui traine encore ici. La majorité des équipements médicaux nécessite soient des batteries, du courant ou même de la stérilisation. Mais rien n'est pas périmé depuis 4 ou 5 mois déjà. Et en parlant de sang, j'ai trouvé une petite seringue sous ton lit. Il n'y a plus rien dedans mais avec le code dessus tu pourrais peut-être me trouver qui l'a acheter et où. Je pourrais bien le faire mais j'ignore comment puisqu'on ne m'ouvre pas les portes pour aller à Gotham.»
Inutile de dire qu'elle avait déjà une idée comment procéder. Mais si au moins par le numéro de série il pouvait aller enquêter ailleurs que rester son admiration devant ses talents. Si il trouvait l'acheteur, le trouvait et investiguerait là-dessus. Il avait une certaine force pour la menace et l'intimidation.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mer 25 Avr - 3:57 | |
| Voila une bonne nouvelle. L'amertume de Deathstroke descendit d'une coche et il était prêt à parler raisonnablement. Elle travaillait vraiment dans son sens. C'était tout bonnement la meilleur nouvelle de la journée. Si elle pouvait rapidement boucler cet histoire il pourrait partir de la ville. Il retournerais en afrique c'était sur et certain. Il y avait vécu et la-bas il n'est pas considéré comme un criminel mais bien comme une légende vivante avec son statut de chasseur de safari. L'ivoire... c'était quand même rentable. Contrairement à se qu'on peu penser il n'abusait pas. Il collectait une partie de son du le reste il le donnait à la population, qui l'avait aidé dans sa chasse...
Slade: Okay mais comment tu...
Elle avait anticipé sa question car elle recommença à parler. Il pourrait quitter les mur gris des douanes, il pourrait quitter cette odeur d'humidité et se véritable rideau de fer. Peut importe de quel coté le mur était se qui ressemblait le plus à une prison. et le pire c'est que Deathstroke ne désirait pas sortir... bin en faite oui, mais pas à n'importe quel prix. Il devait partir en santé... ou du moins avec la solution à son problème. Son choix c'était porté sur Black Canary et apparament il ne c'était pas trombé elle avait des indices et restait plus qu'a les analysé. La question c'était comment contait-elle s'y prendre il l'a laissa parler.
Slade: Demain matin après le couvre-feu vient à l’hôpital je t'y rejoindrai avec le matériel nécessaire. Tu me donnera se que tu as a faire et... j'irai à Gotham. La première heure une fois le couvre feu levé. Est-ce que sa te convient?
Après tout il pouvait bien faire son bout. Elle l'aidait d'un coté du mur... il ferait se qu'il aurais a faire. Il espérait qu'elle le guiderais parce que oui il était venu souvent à Gotham mais ce n'était pas sa ville. Il ne saurait pas qui interrogé, qui pourrais analyser... qui, quand, quoi , où finalement ! Mais il était très content et Black Canary méritait quand même un petit quelque chose prouvant la bonne foi de Deathstroke.... il ne répondit pas toute suite. Concentré à enlevé l'éclat de verre... on entendit le verre tomber dans le lavabo en dessous du miroir.
Slade: et...je t'apporterai de la saucisse et de l'eau... je sais c'est pas un service 5 étoiles mais c'est très nourrissant, tu pourras facilement passer la journée sans trop avoir faim.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Ven 27 Avr - 22:11 | |
| Elle lâcha le rebord de la fenêtre, soucieuse. Elle savait qu'il allait proposer sa présence mais ce n'était pas d'un acolyte qu'elle voulait mais la liberté. On enferme pas un oiseau libre dans une cage. Dinah continuait d'écouter mais sans grande intension. Ses propres pensées traçaient un chemin vers une idée qui pourrait l'empêcher de venir la voir directement. Last Hope était surement la manière la plus subtile de ne pas le faire approcher des forces policières. Même avec ses mandats de Shreck, elle ne les avait pas vu mais pour passer ainsi les douanes sans se faire arrêter il n'y avait pas mille personnes susceptibles de le faire, il ne pourrait pas traverser aussi aisément les rues d'Arkham. Elle ignora tout du moins sa proposition de nourriture. Elle allait surement trouver quelque chose en échange d'autre chose. Le troc devait être monnaie courante sauf si le pingouin continuait ses distributions partout.
«Je ne serai pas à l'hôpital demain matin.»
Il fallait surtout qu'elle protège le Lynx peu importe quand est-ce qu'elle allait apparaître. Pas ce soir. Mais demain matin pouvait aussi être une option. L'édifice était quand même assez grand avec assez de portes pour la cacher au nécessaire. Si il insistait, elle allait quand même donner son accord pour cet endroit mais elle préférait qu'ils évitent de se revoir. Sa présence physique était imposante et intimidante bien qu'elle en riait en temps voulu.
«Note bien ce que je vais te dire. Le numéro de série de la seringue est le Echo Delta 0-0-6 Bravo 5-2 tiret Sierra. Je répète?»
Au moins ça lui donnait quelque chose pour s'occuper et la laisser en paix l'espace d'un cours moment. Et comme les numéros étaient réels, il ne pourrait pas lui dire qu'elle disait des mensonges ou tout du moins du bluff. Il ignorait qu'elle avait en contact deux des Birds ave qui elle avait planifié plus qu'une attaque, mais la prise d'un château.
«Tu ne pourras pas te déplacer avec un laboratoire pour faire une analyse même partielle de mon sang. Je vais rejoindre Aaron Cash demain matin et me débrouiller pour me trouver mon nécessaire pour continuer. Ils ont surement plus de matériel que je ne pourrais trouver dans toutes ses ruines. Les derniers hélicoptère de ressources matérielles et médicales ont passées il y a moins d'une semaine. Je compte sur eux pour ça. Je t'appellerai quand j'aurai plus d'information. Tu devrais faire pareil, prendre une partie de ton sang. Ta régénération y est pour quelque chose selon moi. Reste à savoir si on peut réellement se passer les effets par les veines ainsi. Cette machine me fait encore douter. Une petite visite à ce médecin pourrait peut-être t'en dire plus. Je suis prête à avancer les choses mais sans être libre de mes mouvements, tu devras faire le reste.»
Elle prit une pause pour respirer. Ses pas continuaient de résonner dans les couloirs vides. Les talons avaient la fâcheuse habitude de claquer sur les plancher. Mais elles étaient tellement classes.
«Donc va me chercher qui a acheté cette seringue. Ça pourrait déjà nous mettre sur une piste.»
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Sam 28 Avr - 16:05 | |
| Slade avait tout noté rapidement sur un papier. Il avait trouvé un crayon dans sa table de nuit et un vieux magazine sportif... il était bien dans une chambre de garde. ED006B52-S s’était bien noté... Il l'écouta parler de la prise de sang. Oui c'était une meilleure idée, de toute façon les recherches lui prendraient probablement un certain temps et d'ici là son sang aurait été "purifié" de ce qu'elle juge anormal. L'idée que son facteur de régénération soit mêlé à tout ça n'était pas bête, mais avant d'accuser quelqu'un , surtout son employeur elle devrait avoir des preuves solides.
Slade: Okay, Merci. Je fais mes recherches et je te recontacte dès que j'ai quelque chose. Terminé
Slade regarda le papier. Maintenant que le silence radio était établi, il réfléchissait. Où pourrait-il trouver l'information? Il pourrait aller tabasser chaque pharmacien de cette ville, mais le résultat était loin d'être garanti. Réfléchissons... Les douanes bien évidemment. Il y était en plus. Tout ce qui passait de Gotham à Arkham devait forcément transiter par les douanes. Slade sortie passa en vitesse un gilet des douanes mis à sa disposition et sorti de la chambre, le bout de papier dans les poches. Quand Shreck l'avait engagé il lui avait donné toutes les autorisations pour accéder aux bases de données des douanes, et si le flaire de Deathstroke était bon, il trouverait des informations sur le sujet dans ces ordinateurs. Une chose stupide par contre, il ne s'avait pas du tout ou avoir accès à un de ses ordinateurs. Il marcha dans le couloir puis il s'arrêta devant un plan des douanes.
Slade: humm... le bureau du patron est là, ma chambre est ici... sa c'est les laboratoires... et ça . Bingo!
Une salle d'archive dans une douane? C'était peu commun. Généralement dans les douanes il n'y a pas ce genre de truc, mais bon normalement il n'y a pas de laboratoire et de vieux docteur russe non plus. Slade marcha jusqu’à la salle des archives, l’immeuble était plutôt vide. Depuis l'incident Day of doom les gardes sont tous camper aux entrées et sortie. Le bâtiment comme tel était devenu un peu plus vide que la normale. Arrivé aux archives il fut accueilli par un petit homme trapu avec des lunettes qui apparemment ne servait pas seulement à corriger sa vision, mais aussi a corriger la vision de ses joues.
Archiviste: Je peux vous aider?
Slade sortit ses autorisations. L'archiviste les regarda et les scanna dans ce qui semblait être un registre électronique des visites. Il vit son nom apparaître puis l'heure de sa visite.
Slade: Je voudrais consulter les registres des entrées sorties de l'équipement médical
Archiviste: Très bien M. Wilson, tout est en règle. Vous pourrez y accéder au terminal B. Il contient toutes les informations en lien avec l'équipement médical, sanitaire et la nourriture qui entre ou sort d'Arkham. Vous n'avez que me suivre que je rentre le code d'accès.
L'archiviste marcha devant Slade jusqu'au terminal en question il s'assied sur la chaise devant l'ordinateur. Ses mains dansaient sur le clavier Deathstroke vie quelque fenêtre s'allumer, apparaître, disparaître... il y avait décidément plusieurs moyens de défense. Mais l'archiviste s'en occupait comme si de rien était. Slade comprenait mieux pourquoi le petit homme était là en permanence. Sans lui, impossible d'accéder aux registres.
Slade: Hé bin il y en a de la sécurité...
Archiviste: Vous savez aujourd'hui avec des pirates comme on en a à Gotham on doit se protéger... et croyez moi ce n'est rien d'infranchissable pour quelqu'un qui veux vraiment entrer. Il y a toujours moyen d'entrer. Parlant d'entrer. M. Wilson j'ai fini la procédure. Vous pouvez vous asseoir l'interface apparaîtra d'ici quelque seconde et vous pourrez faire vos recherches. Aviez-vous besoin d'autre chose?
Slade: Non je vous remercie.
Le petit archiviste se leva puis repartit vers son poste de travail à la porte de la salle des archives. Slade s'assied sur la chaise devant l'écran. Elle craqua un peu sous son poids, mais il ne s'en formalisa pas. Il regarda l'interface apparaître. Il se saisit de la souris et glissa le curseur sur: Matériel médical et biochimique. Une petite fenêtre de recherche s'ouvrit. Deathstroke entra le numéro de la seringue...
ED006B52-S
* aucune correspondance*
Slade regarda son papier il était pourtant bien entré tous les numéros... pourtant il ne trouvait rien... comment ça pouvait-être possible. Normalement les douanes étaient la porte d'entré d'arkham, tout se qui se passait entre les deux devait être noté quelque part, et ce, quelque part était forcément ici. Il regarda l'ordinateur essaya à nouveau... aucune correspondance... Allons ça ne se pouvait pas. Il décida de passer à un spectre plus large de recherche. Il écrivit seringue...
*10 230 correspondances*
Aaaaa comme il pouvait détester ses trucs. Soi on avait aucune correspondance sois on en avait des milliers. Il accepta quand même, la recherche. Beaucoup de seringues... c'était vraiment énormément de seringue. Slade se doutait depuis un moment que les gardes se shootais probablement à quelque chose à ce nombre inquiétant de seringues appuyait ses pensées. Julnius Laboratories... Cette entreprise revenait souvent dans les commandes d'aiguilles. Il cliqua donc dans le registre de cette entreprise...
*Un instant s.v.p.*
...
. .
*822 469 correspondances*
Slade faillit s'étouffer. Autant que ça? Ça n'avait aucun sens... les prisonniers manquaient de tout. Faite moi pas a croire que c'est toute pour la prison. Ils étaient littéralement tous malades, épuisés et mal nourris. Quelque chose clochait c'était évident. Slade cliqua sur le registre des seringues et fit descendre les numéros ED006B33-S... ED006B34-S... ED006B75-S
75????
Mais où sont les seringues de 35 à 74?
Slade: Euh... Archiviste?
L'archiviste sans quitté son siège: Oui?
Slade: Ses registres sont'-ils fiables?
Archiviste: on ne trouver plus fiable. Seulement moi, M. Shreck et le chef des laboratoires y avons un accès de compilation.
Slade: Merci.
Quelqu'un avait trafiqué les registres. Il manquait de l'information dont il avait besoin... Julnius Laboratories... Il y avait quelque chose à enquêter. Du moins il croyait. Cette piste valait mieux que pas de piste du tout. Il verrait en ce sens. Il cliqua à nouveau sur le nom de la compagnie et nota l'adresse sur son bout de papier. La compagnie louait un hangar au dock de Gotham. Il commencerait par la. Il ferma son ordinateur puis se leva en quittant il salua l'archiviste. Il marcha rapidement jusqu'à sa chambre. Puis reprit l'oreillette.
Slade: Black Canary? Tu me reçois?....
Slade se dit à lui même: allez réveille.... il regarda le petit cadran sur sa table de nuit... il s'était passé presque 2 heures depuis leur appel. Le temps de trouver les archives, s'y rendre, passer les mesures de sécurité, fouiller et revenir. Wow ça avait passé vite. Il espérait qu'elle lui répondrait quand il entendit marmonner dans l'écouteur il eu un petit coup d'espoir.
Slade: Julnius Laboratories.... ça te dit quelque chose? J'ai l'impression que c'est eux les pourvoyeurs de la seringue. J'ai trouvé ou ils étaient installé j'irai cogné à leur porte demain. Je te tiendrai au courant de mes démarches. Je sais qu'il y a quelque chose qui cloche. Les registres des entrées et sorties d'Arkham ont été trafiqués... espérons que ceux du laboratoire sont plus fiables
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Sam 28 Avr - 16:44 | |
| Elle se trouva un coin isolé dans l'hôpital où gisait encore un lit passablement utilisable. Elle en refit les couvertures en jetant la couche de poussière vers l'extérieur. Elle jeta le sac d'Huntress sur le sol et celui de ses recherches par dessus. Refermant la porte, Dinah s'assurant qu'elle était bien fermée et surtout verrouillée. Des visites en pleine nuit, même si sa ronde n'avait pas été concluante, n'étaient pas désirées. Elle prit place sur le matelas en se remémorant toutes les facettes du plan. Sa partie était simple, il ne manquait que le Lynx et tout allait fonctionner. Du moins, elle croisait les doigts.
Black Canary fini par s'assoupir profitant de ce rare silence et tranquillité. Des hélicoptères passaient des fois au dessus de son quartier mais le bruit l'endormi. Quelques minutes semblaient s'être écoulé depuis qu'elle avait fermé les yeux. Mais des heures avaient passées que son sommeil fut déranger par la voix du mercenaire.
«Oui quoi?»
Ses paroles semblaient plus un marmonnement de mécontentement que des mots clairs que Dinah prononçait habituellement. Elle n'était pas assez réveillée pour tout saisir du premier coup et dut se répéter les phrases une à une. Elle ouvrit les yeux sous peine de se rendormir sous les paroles de recherches du mercenaire. Prenant place sur ses fesses, son corps se redressa pour mieux recevoir l'information. Son sommeil était troublé pour un bon moment maintenant. Autant voir ce qu'il avait d'intéressant à dire. En fait, il n'y avait rien d'urgent à communiqué. Elle se laissa retomber dans les coussins et refermant les yeux.
«Tiens-moi au courant quand tu auras des choses réellement intéressantes à me dire. Et sache qu'il n'y a presque rien de fiable à Gotham. Ne te fit sur rien même si tout à l'air crédible. De plus, ça ne m'étonne pas vraiment qu'il te manque quelque information. Les douanes ont quand même laissé passé des prisonniers politiques, des enfants et des criminels ont réussi à sortir plusieurs fois. Si tu veux mon avis, va les voir et donne moi des nouvelles à des heures où je ne dors pas s'il-te-plaît...»
Julnius Laboratories lui était pour le moment inconnu mais Oracle devait en savoir un petit quelque chose ou du moins pouvoir trouver quelque chose à leur sujet. Bien qu'elle doutait que son amie ne dormait pas encore, si elle dormait des fois, Black Canary n'osait pas la déranger surtout qu'il n'y avait aucune urgence cette nuit. Demain, elle allait agir demain. Pour le moment elle allait dormir et c'était tout.
Elle avait été formée pour combattre le crime par sa mère. Chercher des seringues et jouer au détective ne lui plaisait pas trop surtout pour le compte d'un dangereux mercenaire qui avait détruit quelque moment de sa vie. C'était le rôle de Batman de faire ce genre d'enquête. Dinah était rendu à une phase où l'entrainement des autres étaient plus importants. Elle avait une âme de leader et pouvait faire valoir ses compétences auprès de toutes les jeunes femmes qui logeaient au Ladies.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Sam 28 Avr - 19:32 | |
| Deathstroke termina sa conversation. Black Canary ne manque aucune occasion de lui rappeler qu'elle ne l'aimait pas beaucoup. Ce n’était pas nécessairement parce qu'elle lui disait, que le ton ou les allusions qu'elle faisait. Mais bon Deathstroke s'en foutais un peu, tant qu'elle avait un bon rendement elle pouvait penser se qu'elle voulait de lui. Elle n'avait aucun commentaire supplémentaire sur Julnius Laboratories, dommage sa aurait pu aider beaucoup ses recherches. Il n'aurait peut-être pas dû lui couper les communications avec ses Birds of prey. Oracle aurait pu la renseigner et elle aurait passé le message à Slade... mais c'était un risque qu'il n'était pas prêt à prendre. Bon de toute façon, il se faisait tard. Il dormirait là-dessus et demain il irait voir.
Deathstroke ne dormit pas particulièrement bien cette nuit-là. Il faut dire que tout se stresse et ces énigmes commençaient à le déranger profondément. Il aimait les intrigues normalement, mais d'habitude c'est lui qui les créait, ou du moins il avait un certain contrôle. Ses rêves furent parsemés de seringue et de scientifique fou, où il se retrouvait torturé sur une table sans ses pouvoirs... c'était littéralement un cauchemar. Au petit matin il se réveilla c'était temps pour lui de suivre Shreck comme garde du corps. Il n'aimait pas cela, mais ça passait le temps. Il devait toujours rester en arrière-scène aux aguets. Mais il ne se passait jamais rien. Pas étonnant, il était vu comme un héros depuis Day of Doom, les gens l'admiraient et l'adulait. Quelque admirateurs a éloigné, mais pas de danger réel. Bref une journée ordinaire parsemée de sortie publique, de sourire de menteur et d'arnaque bien ficelée. Une fois M. Shreck de retour aux douanes Deathstroke se retrouva seul... son enquête pouvait reprendre.
Il sortit habiller en Deathstroke mais sans son masque. Il était dans une pochette au besoin. Il emprunta un véhicule des douanes. Avec ses autorisations il n'eut pas vraiment de misère. On lui confia un 4 x 4 aux couleurs noires avec le symbole des douanes. Ce n’était pas un véhicule discret... mais au moins ça lui permettrait de se déplacer plus rapidement. C'était mieux que les hélicoptères en tout cas. Il se dirigea vers les Docks ou Julnius Laboratories avait un hangar à son nom selon les registres des Douanes. La route se passa bien. Depuis l’évènement avec NKVDemon, les gens ne sortaient plus beaucoup une fois le soleil tombé. C'était très compréhensible, les événements traumatisants comme ceux-là laissent toujours leurs traces, même si cette ville avait presque plus de justiciers que d'habitant, personne n'était réellement à l'abri d'une balle ou d'un batarang perdu.
Il arriva au Dock et débarqua du véhicule. Il avait le numéro du Hangar le hangar #3. Il marcha tranquillement. Il aimait le bruit et l'odeur de l'océan. Si ça avait été d'une autre vie, il aurait sûrement aimé être marin. Pirate, on s'entend... pas marin d'eau douce. La vie de bohème, vivre sur un bateau, avec sa propre équipe... il les aurait appelés les Titans. Ouais les Titans, aaaa la connexion émotive était toujours présente. Il arriva devant le Hangar trois. Il mit son masque et cogna à la porte. Un vieux gardien avec un apparemment un oeil de vitre lui répondit
Gardien: ouais?
Deathstroke montra ses autorisations.: Je dois inspecter le hangar
Gardien: vos autorisations valent absolument rien ici... retourné vous couchés cher m. Wilson costumé... Puis le gardien referma la porte.
Dommage... Deathstroke aurait voulu éviter la menace, mais apparemment c'est ce qui fonctionne avec la faune locale de Gotham. Que ce soit Black Canary ou ce connard de gardien de Hangar qui venait de claquer la porte au nez de Deahtstroke. Il prit le temps de respirer un petit peu. On ne devait pas le tuer... on devait, juste le faire parler se répéta, Deathstroke. Ça l'énervait encore plus, car il n'avait jamais eu de problème de contrôle, mais cette saloperie qui le rongeait jouait vraiment sur ses nerfs. Il recognat. Le gardien cria derrière la porte.
Gardien: je vous est dit d'aller vous faire voir.
La phrase eut l'effet d'un déclencheur. Un coup d'adrénaline partit directement du cerveau de Deahtstroke, propulser par le coeur jusque dans la jambe. Il donna un grand coup de pied qui eut pour effet de faire littéralement arracher la porte du hangar. Bon d'accord ce n’était pas un super exploit parce que selon la rouille sur les pentures elle aurait pu céder avec une légère pression, mais ça créa quand même son effet. Le Gardien qui gardait le hangar qui était reparti vers l'arrière se retourna horrifié. Il eut à peine le temps de voir Deathstroke foncé sur lui l'agripper par le collet de son imperméable et l'élever dans les airs. Il se retourna vers le mur et placarda le gardien dans le mur.
Deathstroke: je crois que tu ne sais pas à qui tu parles. Je suis Deathstroke... j'ai éclaté la gueule à Batman... et je me ferai un plaisir de t'éclater la tête sur le sol de ciment de ce Hangar si tu ne réponds pas à ma question.
Le Gardien fait oui de la tête sans dire un mot. Son visage devenait un peu plus rouge, car Deathstroke serrait un petit peu à la gorge. Sa respiration était saccadée et ses yeux se remplir d'eau. De toute évidence, il urinait dans son pantalon, une trace humide marquait son pantalon. À l'haleine Slade vit tout de suite que cet homme avait but et sa barbe de trois jours et ses cheveux gras laissés entrevoir un rythme de vie pas très "esthétique".... pas le genre de personne qu'on engage pour garder un hangar de compagnie pharmaceutique.
Deathstroke: Je veux savoir à qui appartient cet endroit et qui est la personne qui fournie les douanes en matériel médical.
Le Gardien qui commençait de plus en plus à manquer de souffle pointa un livre au fond de la pièce. Éclairé par une petite lumière de chevet et avec une bouteille de Whisky à moitié vide. Deathstroke lâcha l'homme qui s'effondra en crachant et en jurant par terre. Il se dirigea vers le livre qui à première vue était un registre. Il le prit dans ses mains et se mis a tournée les pages, il fut rejoint par le gardien qui se rinçât la gorge avec son whisky.
Gardien: *cough* cough* tout le monde qui passe par ici signe le registre. D'ailleurs tu devrais le ...
Deathstroke regarda le gardien avec un air incrédule que le gardien put même remarquer à travers son masque.
Gardien: a pis fait se que tu veux. *autre gorgé*
Deathstroke feuilleta le livre et soudainement s'arrêta: il manque une page au registre.
Gardien: Impossible...
Deathstroke montra le livre au gardien.
Gardien: mais... ça se peut pas je quitte jamais ce livre des yeux je, je comprends pas.
Il regarda la page... qu'est-ce qu'il allait faire. Il toucha l'endroit où devait se trouver la page manquante, il passa sa main sur la page. C'était vraiment ennuyant qu'il manque une page. Ce n’était surtout pas normal, on voulait vraiment que quelque chose reste caché. Ça faisait drôlement beaucoup de coïncidence. Les numéros de seringue effacer et cette page détruite. Il était décidément sur une piste prometteuse. Puis soudainement il s’arrêta de toucher la page... il y avait du renfoncé sur la page suivante. Comme si, on avait gravé quelque chose.
Deathstroke: Ta un crayon vieille ivrogne?
Le gardien jura puis donna un crayon à Deathstroke. Qui commença à noircir la page et une gravure apparut. On avait appuyé fortement sur le crayon de la page d'avant. Ça laissait une gravure invisible sur le papier suivant. En noircissant la surface, ça faisait ressortir tout ce qui avait été écrit sur la page manquante. Un nom revenait plusieurs fois...Hubert Portland...
Deathstroke: C'est qui Hubert Portland ?
Gardien: aucune idée.
Deathstroke pris la bouteille de Wiskhy et la fracassa sur le coté de la table pointa la partie coupante et la pointa vers le gardien.
Gardien: aaa merde... pas la peine de s'énerver... ma bouteille. Je ne le connais pas ce type, il est venu quelquefois. C'est un gros bras pas de tête. Il ne parle que de son foutu gym et de comment il lève au bench. Je n’écoute pas quand il parle
Deathstroke: Quel Gym?
Gardien: je sais pas ... à si ça me revient, Hercule Amérique quelque chose comme sa.
Deathstroke déchira la page qu'il avait barbouillée et se dirigea vers la sortie.
Gardien: et ma bouteille?
Deathstroke: arrête de boire vieux crétin tu vivras plus longtemps
Il franchit la porte et se dirigea vers le 4 x 4. Il était environ 19 heures. Le club était peut-être encore ouvert à cette heure. Il décida de s'y rentre tout de suite. Dans la voiture il appuya sur l'oreillette pour parler à Black Canary. Il allait lui donner un peu d'information sais t'on jamais.
DEathstroke: Black Canary ici Deathstroke j'ai des nouvelles pour toi. Je suis sur une piste je rechercher un certain Hubert Portland. Apparament ils ne veulent pas qu'on trouve. Les données étaient effacées pour l'aiguille et une page du registre des visites chez Julnius Laboratories. Je crois que je suis sur une bonne piste. Mais je crois que cette histoire est plus grosse que ce qu'on pense... essaie de faire attention okay?
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Dim 29 Avr - 20:56 | |
| Tout avait commencé. Tout allait bien sauf à quelque détail. Le matin elle s'était réveillé sans être dérangée. La Lynx était finalement arrivé avec son équipement et toute la démarche avait enfin pu voir le jour. Les filles étaient elles aussi quelque part autour de Gotham. Mais une chose n'avait pas été prévue, la prise de Last Hope. Le Sphinx s'était dépêché sans qu'elle le sache vers l'église pour y mettre son quartier personnel et semer le désordre autour. Elle s'employait tant bien que mal à faire les énigmes et se dépêcher à résoudre seule le casse-tête. La bataille faisait rage au nord, les forces des douanes continuaient leur travail pour ramasser au Sud.
Puis elle reçu encore un appel dont elle aurait pu se passer à ce moment là. Rien d'intéressant en outre mais elle espérait qu'il l'oubli un moment surtout dans ce qu'elle entreprenait. Dinah n'avait pas son accord et encore moins la permission. Mais peu importe ce qu'il aurait dit sur le moment, elle aurait fait comme elle le voulait. Elle était de force ici et personne ne pouvait obstruer son chemin. Personne sauf le maître des énigmes. Passant le message à Oracle qu'elle allait être retardé, elle envoya le Lynx avec le sac contenant les preuves. La consigne était claire, une seule personne sinon il y aurait des morts.
Sa coéquipière partie, elle rassembla toute sa mémoire afin de passer les étapes une à une sans causer de problème ailleurs. Les nouvelles étaient bonnes pour la majorité et Oracle continuait d'appuyer tout le monde même si elle n'avait surement pas dormi de la nuit. De ce qu'elle savait, son amie avait rassemblé du matériel pour l'envoyer à l'asile et récupérer les gens malades et captifs de la ville. Les soigner au plus clair. Mais ils étaient tous devant elle en ce moment et faisait de son mieux pour les libérer.
Le message du mercenaire n'avait rien de très pertinent pour ses propres recherches. De toute façon, il y avait des problèmes plus graves devant elle que la perte de pouvoir de cet homme et surtout de ses recherches futiles. Des vies étaient en jeu, des gens n'ayant rien à faire avec cette histoire entre les justiciers et les dangereux criminels qui courraient les rues. C'était ironique de l'entendre dire qu'elle devait faire attention. Comment faire autrement avec le Sphinx en avant et ses pièges souvent mortels.
«Oui c'est bon mais je suis occupée là...»
Elle aurait voulu jeter cet écouteur loin d'elle pour ne plus se faire déranger à chaque fois qu'elle entreprenait quelque chose dans cette satané partie de la ville. La première fois durant son sommeil et maintenant en plein milieu d'une énigme. Elle la garda tout de même à son oreille et rapporta son attention sur les problèmes en cours.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Lun 30 Avr - 3:49 | |
| Deathstroke décrocha l'oreillette de son oreille. Puis la mis dans sa poche. Elle ne voulait plus lui parler alors il se débrouillerait sans elle. En même temps elle était à Arkham city, elle pouvait être en train de se battre contre des hommes du pingouin pour se qu'il en savait. Il comprenait un peu, mais bon elle ne l'avait pas envoyé paître c'était déja ça.
Il mit le contact et partit vers le fameux gym... l'hercule d'Amérique. Même s'il ne connaissait pas la ville le gym était assez difficile à manquer. Une salle de sport avec un énorme néon lumineux de la forme d'un demi-dieu grec qui soulève un cheval... ça ne passe pas inaperçu. Deathstroke mit 10 minutes pour atteindre le gym. Il gara son 4x4 parmi les autres autres voitures de ce type. Ça pouvait sembler un cliché, mais il ne comprenait pas pourquoi les hommes des gyms aimaient ce genre de voiture. Probablement qu'il trouvait que ça leur ressemblait. Ou c'était peut-être pour compenser, la rumeur voulait que tous ces stéroïdes aient un effet... disons réducteur, sur les organes génitaux. Deathstroke eut un petit rictus en pensant à cette éventualité. Il enleva son masque et entra dans le gym.
Une mauvaise musique techno jouait dans la salle. La basebien forte dans le tapis. Deathstroke avait entendu du dire que c'était dans le but de créer un effet sur le rythme cardiaque. Apparament la percussion qui vibrait dans le corps avait un effet d'entraînement sur le coeur qui adaptait sa pulsation à la rapidité du son... et nous faisions tout cela inconscient. Dans un endroit comme ici une augmentation du rythme cardiaque améliorait les performances physiques en permettant une meilleure oxygénation des muscles et du cerveau. Il y avait beaucoup de monde pour une soirée, mais Slade remarqua une pancarte qui était écrite 24/24. Des gyms ouverts 24 heures. Faut dire qu'avec une ville nocturne comme Gotham ce n’était finalement pas si spécial, probablement même que c'était très rentable. Deathstroke s'approcha d'un employé derrière le comptoir, probablement un entraîneur, qui notait des chiffres sur un calepin.
Slade: Excusez moi.
Entraineur: Ouais? C’est pour une inscription?
Slade: Non en fait je cherche quelqu'un.
Entraîneur: T'es un flic?
Sérieusement?Un type habillé en bleu et orange, avec l'équivalent de 50 livres d'armure sur le dos et le premier réflexe... t'es un flic? Il faut croire que même avec un ratio de 4 héros au pied carré les habitants avaient toujours le même réflexe... tu questionnes t'es un flic. Deathstroke regarda l’entraîneur incrédule.
Slade: J'ai l'air d'un flic?
Entraîneur: Bha non, mais on c'est jamais... tu marches avec Batman?
Slade: non plus.
Entraîneur: Tu veux savoir quoi?
Slade était plutôt intrigué toutes ses allusions. Il croyait pourtant que Batman était adulé dans cette ville. En fait il l'était un peu, mais pas par tous... pas par ceux qui avaient des choses à cacher. Et probablement que ce type avait des choses à cacher. Après tout ce Gym était dans un coin pas trop bien réputé de la ville et vue la musculature des super crétins costumés qui peuplait la ville, probablement que plusieurs étaient adepte de musculation.
Slade: Hubert Portland. Il est ici?
Entraîneur: Je sais pas c'est qui ce type.
Slade fouilla dans sa poche. Il voulait éviter de faire une scène ici. Après tout il y avait beaucoup de monde et il travaillait pour Shreck maintenant. Le patron n'apprécierait probablement pas une mauvaise publicité comme celle-là. Surtout qu'il parlait de plus en plus de la succession de Sharp. Il se doutait que probablement il allait très bientôt annoncer sa candidature comme maire. Il sortit donc une liasse de billet et mis un billet de 100$ sur le comptoir.
Slade: Réfléchis bien Hubert Portland...
L'entraîneur regarda l'argent puis regarda Slade. Il avança pour prendre l'argent, mais Slade agrippa sa main.
Entraîneur: Ouais il venait ici... mais ça fait presque 1 mois qu'il n’est pas venu.
1 mois??? À peu près le temps qu'il avait été dans le coma. L'étau se resserrait. Ce type était sûrement mêlé à ses affaires. D'abord la seringue et maintenant cette espèce d'inconnu. Slade lâcha la main de l'entraîneur et celui-ci s'empressa de prendre le 100$. Slade reprit sa liasse de billets et sortit 500$ et les déposa sur la table.
Slade: ou je peux le trouver?
Entraîneur: Apparament il c'est mis à la nage... à la piscine d’East End. C'est un club privé, ils sont fermés le soir.
Slade se retourna et partit vers son camion. Pendant ce temps l’entraîneur prit l'argent et la glissa dans ses poches, mais Slade s'en foutait il avait une piste... et quelque chose de solide. Enfin c'est ce qu'il croyait. Il remonta dans sa voiture et prit la route d’East End. L'avantage de rouler la nuit était qu'il y avait peu de trafic. Death arriva à East End en 20 minutes. Il prit 5 minutes pour trouver la piscine qui était quand même bien indiquée. Il laissa son véhicule plus à l'écart puis mis son masque. Il courut jusqu'au mur extérieur puis le sauta discrètement. Il tomba dans un petit buisson sans faire de bruit. Il y avait quelqu'un dans la piscine. Un petit serveur s'approcha de la piscine.
Serveur: M. Portland je dois fermer.
Hubert : Et bien vas t'en laisses les clés et je fermerai de toute façon je suis membres ici non? Je suis propriétaire comme les autres j'ai payé mon droit d'accès. Je suis pas comme ces snobinards moi je travaille la journée et je veux m'entraîner le soir j'ai le droit. Au prix que ça coûte... bordel de merde.
Serveur: Bien M. Portland, mais n'oubliez pas de fermer ou c'est moi qui aurais des problèmes
Hubert: Allez dégage... t'inquiètes pas je fermerai.
Le petit serveur disparu dans le petit commerce conjoint à la piscine. Décidément il n'arrivait pas que des merdes aujourd'hui à Deathstroke. Il cherchait un type et il était justement en train de faire des longueurs dans la piscine. Deathstroke resta caché dans les buissons. Mais se rapprocha tranquillement de la piscine. Il restait caché tranquillement dans l'ombre guettant l'homme dans la piscine qui faisait des longueurs sans sortir la tête de l'eau, sauf pour respirer. Quand Deathstroke entendit la voiture du serveur décollé et partir, il se dépêcha de se rendre au bout de la piscine. Il voyait l'homme se repousser de l'autre bout de la piscine. Il s'accroupit au bord. Il le voyait s'approcher à chaque mouvement... ne regardant pas devant lui. Puis il arriva à porter de main de Deathstroke qui l'agrippa par les cheveux et l'enfonça dans l'eau. Il le ressortit de l'eau
Slade: JULNIUS LABORATORIES JE VEUX SAVOIR
Hubert: "Grand respire" hein quoi je
Slade le renfonça dans l'eau et le tien là quelque seconde. L'homme paniquant cherchait à se déprendre de l'emprise de Slade. Mais toute la force du supersoldat tenait la tête de l'homme. De plus, se débattre dans l'eau c'était extrêmement épuisant et difficile. Même s'il avait eu la force de Deathstroke, le mercenaire sur la terre avait l'avantage... à moins d'êtres Aquaman... bien sûr. Il ressortit l'homme
Slade: JE SAIS QUE TU VA CHEZ JULNIUS LABORATORIES J'AI VUE TON NOM SUR LE REGISTRE
Hubert: Je ne fais rien je fais rien ...
Slade le renfonça et le tint un petit peu plus longtemps dans l'eau. Ce n’était pas croyable quand même ce crétin était prêt à crever noyé en dessous de l'eau. C'est fou comment, la panique était mauvaise conseillère. Il avait qu'à parler et tout s'arrêterait. Slade le releva et le monta à la hauteur de son visage , il cracha un peu d'eau et pleurait visiblement... même à travers l'eau.
Slade: PARLE
Hubert: Il me donne de l'argent dans un casier à la piscine. Le Casier 9.... je fais que l'intermédiaire je .... j'apporte du matériel aux Douanes... rien de mal je te le jure. C’est juste pas comptabilisé, il doit y en avoir en ce moment dans le casier j'attends un chargement...je t'en pris ne me tue pas. J'ai une femme et des enfants.
Slade: Voila... Ce n’était pas compliqué.
Slade lui donna un coup de poing directement sur le front. Pas de toutes ses forces, mais assez pour que l'homme perde connaissance. Il le coucha sur le côté, à côté de la piscine. Comme ça il pourrait bien respirer. Avec la fatigue et le coup, il en avait pour quelques heures avant de se réveiller. Et avec la frousse que Slade venait de lui foutre... il tiendrait sa langue sa c'était plus que certain. Slade marcha jusqu'au vestiaire. Trouva le casier 9. Il y avait un loquet. Deathstroke foutu un coup de poing dans la porte ce qui fit sauter les gonds de la porte. Et la renfonça ce qui donna à Slade un appui pour pouvoir l'arracher. Dans le casier il y avait une enveloppe pleine d'argent et une poudre bizarre. Il s'essuya les mains sur une des serviettes que le club mettait à la disposition de ses membres. Il prit l'enveloppe, peut-être y avait-il des indices sur cette enveloppe. Il l'ouvrit il n'y avait que des billets de 50$... pas une fortune, mais quand même.
Slade retourna dans la voiture par le même chemin. Il déposa l'enveloppe et la poudre sur le devant de la voiture. Merde... il n'était pas plus avancé. Si seulement il avait un indice de plus. Il se mit à réfléchir. Il pensa à Black Canary, merde elle saurait quoi faire après tout dans une chambre ou lui n'avait rien vu elle avait trouver une seringue et des empreintes digitales.
Slade: Les empreintes digitales...
Cette maladie commençait vraiment à l'emmerdé. Il y aurait pensé tout de suite normalement... mais la sa fonctionnais au ralenti. Mais bon il y aurait peut-être des empreintes sur l'enveloppe. Il fouilla dans sa ceinture et prit une petite bille en argent. Ces balles se nomment Metsubushi, ce sont se que les ninjas utilisaient pour créé un effet de nuage et leur permettait de disparaître. Elles sont remplies de farine, de poivre ou de Talc. Deathstroke les remplissait toujours avec du Talc, car ça donnait un nuage plus volatile que la farine et plus blanc que le poivre. Il en prit une et appuya doucement dessus jusqu'a ce que l'enveloppe craque. Il en prit trois et répéta le processus. Par la suite il en dispersa sur son enveloppe et souffla doucement pour les faire partir. Il répéta le processus des deux côtés.
Slade: YESS YESS YEEEES.
Le talc avait collé sur la graisse laissée par les doigts. Il avait 3 empreintes complètes plus une quatrième partiel. Il avait une piste sur qui laissait ces enveloppes. Mais maintenant qu'il avait ça... il devait découvrir à qui appartenaient ces doigts. Si Black Canary se montrait plus coopérative il s'arrangerait, pour qu'elle le mette en contact avec Oracle... elle ,elle saurait. Mais autant oublier ça. La menace marchait contre elle, mais de là à donner à Slade l'endroit de la planque d'Oracle. Ça prendrait Green Arrow accroché à une laisse. Mais il songea, Oracle n'est pas la seule à avoir des informations dans ce type. Les criminels aussi avaient leur banque d'information. Deathstroke agrippa toutes ses affaires et entra dans le 4 x 4. Il prit le téléphone de la voiture et composa un numéro. Un numéro qu'il n'avait pas fait depuis longtemps, en démarrant la voiture qu'il dirigea vers le centre ville. Le téléphone sonna quelque coup puis quelqu'un répondit.
Deathstroke: Squirrel, c'est Deathstroke, j'ai besoin de ton aide, c'est urgent.
Squirrel était le bras droit de Deathstroke, il était celui qui lui donnais les armes, les informations et les transports qu'il nécessitait. Depuis plusieurs années déjà Deathstroke l'avait réquisitionné et il travaillait exclusivement pour Slade Wilson. Le salaire que Slade lui versait était astronomique, mais le silence et le talent sa se payait. Son salaire se versait automatiquement dans son compte au caiman a tout les mois... et de la facon que sa fonctionnais même sans avoir de nouvelle de lui Squirrel devait continuer à être prêt en tout temps. Son salaire serait versé durant 5 ans après la mort de Deathstroke... on ne sais jamais quand une mort est vrai ou pas . Squirrel: Squirrel à l'écoute
Deathstroke sortit un petit scanner de poche qui était relié a un réseau privé, intranet. Il scanna les trace de doigts qui était sur l'enveloppe.
Deathstroke: Tu me trouve les doigts correspondant à ces empreintes et le nom.
Squirrel ne parlait pas pendant un moment puis il dit
Squirrel: Louis Fynch, il est fiché au GCPD pour des contraventions rien payés... rien de bien concret.
Deathstroke: Et je peux le trouvé ou?
Squirrel: Il a des dettes le petit père... Euh... je dirais dans un batiment près de la 4ième avenu. J'ai piraté le système de surveillance de Gotham et j'ai la caméra directement sur sa plaque de voiture...je t'envoie l'adresse.
Deathstroke: Parfait terminé.
On dira se qu'on voudra mais Squirrel était efficace. Il se pointa donc à l'endroit voulu. Après 4 minute de route il trouva facilement ayant entré l'adresse sur le GPS de la voiture... elles étaient bien équippé c'est 4 x 4 des douanes... et elle consommait quand même peu. Vue tout se qu'il avait fait en une soirée... c'était vraiment la bonne piste et la chance lui souriait. Un endroit il avancait dans ses recherches si c'était sa les enquêtes que Batman faisait c'était ridicule. Il débaqua et entra dans le building. Il se retrouva devant une porte fermé en acier trempé avec une trappe pour les yeux. Slade cogna.
Ouais? (La trappe s'ouvrit)
Deathstroke avait son masque: Je suis Deathstroke, je veux voir Louis Fynch.
Il entendit s'agité à l'intérieur et claqué la porte... le petit connard essayait de s'enfuir. Deathstroke sortit en vitesse et contourna le building, pour emprunté la petit ruelle sur le côté. Deathstroke fonça donc à dans l'espacement. M. Fynch n'était de toute évidence pas un sportif souffrant d'embonpoint Deathstroke n'eu aucun mal à le rattraper. Il le rattrape et l'accota dans un mur, il lui donna un coup de poing dans les cotes qui furent suivi d'un petit craquement et d'un cri de douleur.
Deathstroke: Écoute moi bien Fynch... J'ai une enveloppe avec moi que tu remettait dans un casier de la piscine du East End. Elle a tes empreinte dessus JE VEUX SAVOIR qui te les donnes... Sinon je t'arrache le coeur et je le mange devant toi avant que tu meurs.
Se qui avait de bien avec les petites frappes comme Fynch c'est qu'elle cédait facilement sous la menace. On aurait dit un petit banquier sans envergure à son look. Il devait avoir des problèmes pour accepté un truc tordu... et en même temps un peu d'argent contre transporter une enveloppe c'était plutôt facile. Mais bon il ne devait pas s'attendre à voir surgir le meilleur mercenaire du monde pour de l'information.
Fynch: Je sais rien je sais rien ne me frapper pas... je fais que bouger les enveloppe. Il y a une clés dans ma veste prenez la c'est tout se que j'ai. J'ai jamais vue personne jamais parlé à personne j'ai juste bouger des enveloppes, elles arrivent dans la boite au lettre de mon appartement. Me tuer pas M. Deathstroke s'il vous plait me tuer pas, j'ai une femme et des enfants j'ai *BANG*
Deathstroke venait de lui donner un coup assez pour l'assommer sans le tuer. Sa le faisait toujours rire comment la peur pouvait affecter la parole. Le débit était rapide et nerveux c'était très drôle tout en étant clair et précis. Il déposa Finch par terre et pris la clé dans la veste. Ce n'était pas une clé original. Elle portait le symbole d'une compagnie de serrurier ça voulait dire que quelqu'un d'autre avait cette original. Il ressortie de la ruelle et embarqua dans sa voiture. Il se dirigea vers la boite téléphonique la plus proche. Il s'y arrêta et ouvrie l'annuaire qui était attaché aux téléphone. Il ouvrit à la page des serruriers et trouva l'adresse d'un serrurier qui utilisais le symbole. Les serruriers soliotso et fils. Il ne connaissait pas du tout cette serruri mais il s'en fichait il entra l'adresse dans le GPS et se dirigea vers la serrurie.
En arrivant à l'endroit voulu il vit le commercant mettans la clé dans la porte pour fermer le commerce. Deathstroke retira son masque et se dépecha de l'interpeller.
Slade: M. Solliotso, s.v.p. j'ai besoin de vos service.
Le petit italien a moustache se retourna avec un sourire pour voir qui lui parlait. Il était grisonnait et avait le dos courbé. De grosse lunettes grossissait ses yeux marrons et cachait presque son visage. Quand il se retourna et vie l'homme massif en armure bleu et orange son sourrir disparu et ses jambes se mire a trembler. On était à Gotham après tout... c'était pas une ville rassurante. Il aurais bien crier mais il s'avairait que M. Solliotso était muet de sa condition. Il ne pouvait que faire couler des larmes dans le silence en affichant un visage apeuré.
Slade: M. Solliotso s.v.p je dois absolument savoir à qui appartient cette clés.
Le petit italien par réflexe lui répondit en langue des signes. Puis se repris comment cette énorme mastodonte coloré pouvait le comprendre il pointa donc la pancarte fermé d'un geste mal rassuré. Slade n'avait aucune raison d'être agressif avec M. Solliotso c'était une victime dans cette histoire et le fait qu'il soit muet l'attendrit un peu plus, du à la condition de son fils. Il lui commença donc à bouger les doit pour lui parler en signe.
Slade * Pourriez vous, me donner le nom de la personne pour qui vous avez tailler cette clé, j'en aie absolument besoin*
Le fait que l'homme connaissent le language des signes calma M. Sollioso, comment pouvait-on être mauvais quand on cherche à communiqué aimablement avec un handicapé? Raisonnement simpliste me direz vous mais c'était celui du petit commerçant qui soudainement se sentait rassuré.
Solliotso *Vous pourrez revenir demain monsieur, je suis fermer pour l'instant*
Slade sortit une énorme liasse de billet et les mis sous le nez du petit italien.
Solliotso *d'un autre côté quelle genre de commercant de quartier serais-je pour ne pas satisfaire ma clientèle.*
Le petit commercant réouvris son commerce. Comme tout les bon commercants italiens le serrurier gardait un registre très précis sur ses activités. Avec les préjugés sur les mafiosi le fisc pouvait venir à tout moment et si les livres n'étaient pas en ordre gare a nos fesse. Il montra donc le numéro de la clé avec le nom correspondant... Thomas Tellman, il avait fait faire des clés de sa maison en même temps que la clé "secrète" ... Un amateur. Thomas Tellman, Slade connaissait bien ce nom, c'était celui de l’assistant de Shreck qui lui avait apporter un chéquier... Black Canary avait peut-être raison après tout. C'était le moment de l'appelé.
Deathstroke: Black Canary, c'est Deathstroke, je sais que tu voulais pas trop que je te dérange mais la j'ai quelque chose qui devrait faire ton bonheur. Je vien de remonté une piste jusqu'a Thomas Tellman l'assistant personnel de Shreck, je vais l'interroger je te garde au courant de l'affaire.
Il n'avait pas besoin de tout confier cela à Black Canary mais c'était son plan B. Si les suspicions de Black Canary s’avérait exact Shreck serait l'investigateur de tout ce mal. Comme le contrat le liais à Shreck il ne pouvait pas se revirer contre lui, par contre Black Canary ne lacherait pas Shreck... elle le poursuivrait et l'étoufferait. Comme sa il aurait sa vengeance sans rompre son contrat...
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Mer 23 Mai - 18:35 | |
| Elle s'était appuyé, les fesses contre le sol, le dos bien encré dans le mur. La journée avait été épuisante pour bien des gens qui voulaient que la justice règne et non les corrompus et l'argent qui coulait à flot. Le sien aussi, ou celui d'Arrow plus précisément, alimentait certaine banque pour l'équipement de pointe et leur costume qui faisait de leur personnalité un symbole. La justice gouvernait en ce monde grâce à des hommes et des femmes comme eux qui défendaient le droit de l'homme. Elle en était fière. Pas seulement de tout ce qui se passait mais surtout de la victoire qui les emmèneraient à rencontrer Shreck face à face afin de négocier la sécurité de l'Asile d'Arkham dans son ensemble. L'écoute fit bourdonner son tympan mais ce ne fut pas la voix empressée de l'Oracle qui se fit entendre mais bien celle du mercenaire qu'elle avait envoyé baladé quelque instant plus tôt. Il avait l'art de déranger, de menacer et de faire chier quand il le voulait. Le monde ne marchait pas ainsi. Elle allait coupé son discours quand elle entendu que quelque chose ferrait son bonheur. Il semblait plus enthousiasme aussi qu'auparavant.
Et voila qu'il trouvait lui-même une piste direct vers le servant même de leur ennemi. Elle avait eu raison et il en informait celle qui lui avait rit au nez. Enfin, la piste, si elle était bonne, pourrait conduire à la chute potentiel de ce cher Monsieur Shreck et sans doute reculer son pouvoir trop présent maintenant de la gouvernance de la prison qu'est Arkham City.
«Tu m'en diras d'avantage avec ton cheminement. Je crois qu'Oracle aimerait bien en avoir un aperçu.»
Si il avait amassé des preuves, elle pouvait les mettre sous le nez de Shreck au moment propice si il ignorait tout de cette démarche. Son sang, les échantillons et les recherches de la plus douée des informaticiennes pirate de la ville et du monde peut-être. Plus elle y pensais, plus il serait génial de le faire tomber en remontant l'estime des justiciers pour la ville. Surtout après le coup d'état de Batman et celui d'Huntress. Rien n'était décidé mais personne n'allait laisser sa derrière comme si rien ne s'était passé.
Elle regarda les murs d'Arkham en souriant. Elle avait prouvé son point de vue en le laissant chercher à l'extérieur tout en saisissant une autre piste de l'intérieur. Ainsi, si les informations circulent, elle avait encore la possibilité de laisser des données cachés aux yeux des politiciens afin de démasquer les véritables coupables. La vie d'un justicier n'était pas seulement au combat physique, mais le mental devait aussi avoir une grande force afin de deviner les dangers et en éliminer la source avant que ça ne fasse trop de dommage. La ville était sous sa protection. Batman restait l'icône absolue mais jamais plus il ne serait le héro comme il l'avait été. Les Birds allaient supporter la croyance encore un moment le temps de le ramener sur le droit chemin.
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| | | | Sujet: Re: Enquête forcée [sur invitation] Lun 28 Mai - 5:29 | |
| Slade raccrocha. Pour une fois l'échange avait été aimable. Black Canary avait été son aide maintenant elle était son plan B. Si Shreck était le responsable, elle serait la justicière en mesure de le défaire. En tout cas, elle et ses filles. Maintenant il devait se rendre au domicile de Thomas Tellman... Il n'avait aucune idée comment s'y rendre. Il s'arrêta donc dans une rue. Il débarqua de la voiture et entra dans un petit magasin ouvert 24/24. Il s'acheta une bouteille d'eau et de la viande séché. Après tout il était en vadrouille depuis plusieurs heures déjà et la nuit avancait et lui il avait faim. Il retourna dans son camion et s'assoya, comment avoir. Il avait le numéro de téléphone de Tellman car le petit M. Solliotso de la serrurie lui avait donné. Il signala l'opératrice au téléphone.
Opératrice: Gotham multimédia bonjour, mon nom est Nathalie comment puis-je vous aider.
Slade: Bonjour je veux rendre visite à un ami mais je n'ai pas son adresse seulement le nom et le numéro de téléphone.
Nathalie: Oui donc quel est le numéro de téléphone Monsieur?
Slade: 555-0358
Nathalie: Il s'agit d'un numéro de téléphone de la résidence situé au [Adresse fictive vraiment pas nécessaire] est-ce que je peux faire autre chose pour vous aider Monsieur?
Slade: Non merci.
Nathalie: Accepteriez vous de répondre à un petit sondage, sur le service à la clientèle chez Gotham Multimédia
Slade: Euh... non désolé j'ai vraiment pas le temps.
Nathalie: Merci, Gotham Multimédia vous remercie de votre appelle.
Slade raccrocha. Il entra l'adresse sur le GPS et suivit le chemin jusque chez M. Tellman. Il débarqua se stationna en avant puis débarqua. Il s'agissait d'une maison plein pied de type Bungalow. Slade enleva son masque puis alla à la porte il sonna plusieurs coups à la porte. Une lumière s'alluma puis on vint se mettre derrière la porte. Deathstroke se mit de coté afin de ne pas être directement derrière la porte. D'une voix non rassuré il entendit parler derrière.
Tellman: Qui est-ce?
Slade: Tellement c'est Deathstroke ouvrez la porte.
Il tira à travers la porte. Slade s'en doutait bien c'était évident... on était aux états-unis après tout et quand un mercenaire sonnait à ta porte. Puis il connaissait bien M. Shreck jamais il n'aurait envoyé Slade chez lui sauf si c'était pour le tué. Alors il n'avait pas pris de chance. Une fois les cartouches vidés, Slade se dépechan la porte ne tenais plus que pas sa conviction après un coup comme celui-là. Il n'eu aucune misère a y entrer et a désarmé Tellman qui n'avait rien d'un guerrier.
Slade: J'imagine qu'il n'y a personne à la maison sauf vous sinon tout le monde se serait rué après le boucan que vous avez fait.
Tellman: Effectivement M. Wilson... euh vous allez me tuer?
Slade: C'est vous qui m'avez tirez dessus, moi j'ai sonné...
Tellman: Euh... je suis désolé alors? vous pouvez me lacher ... s'il vous plait
Slade lacha le collet de Tellman.Puis mit la main dans sa poche. D'un geste nerveux le secrétaire de Shreck recula, mais Slade sortie une clé de sa poche et la montra à Thomas qui ne comprenait pas trop.
Slade: Cette clé c'est vous qui l'avez faite qui vous a demandez de la faire? C'est M. Shreck?
Thomas mis la main dans la poche de la poitrine de sa chemise de nuit. Il en sortit ses lunettes puis les mit. Il pris la clé dans ses mains puis regarda.
Thomas: Euh non en fait c'est une commission qui ma été demandé par le Dr. Aleksandrovitch... pourquoi cette question?
Slade: Vous êtes vraiment certain que c'est pas Shreck?
Thomas: Pas le moins du monde M. Wilson pourquoi?
Slade: Pour rien. Merci... ooo et pour la porte je vous la rembourserais bien mais... après tout vous avez quand même essayez de me flinguer.
Thomas: Oui, il y a pas de mal bonne soirée M. Wilson.
Slade retouna dans la camionnette et partie au Douanes à toute vitesse... tout cette promenade pour revenir à son point de départ. Il devait faire vite parce que même si Thomas disait que Shreck n'avait rien avoir avec ça, il l'appelerait surement quand même. Il ne savait pas si Shreck essaierais de protéger Aleksandrovitch ou pas... mais bon il attendrait pas de le savoir il se rendait au douanes. Il débarqua du camion devant l'entré qui donnais accès au laboratoire. Il présentat ses autorisations de passage puis entra dans le batiment. Il n'avait pas les autorisations pour les laboratoires. Il croisa un garde qui sortait des labos et lui subtilisa sa carte d'accès... par subtilisé on entend. Il l'assoma et pris la carte. Il entra dans les labos et tomba rapidement sur la porte du laboratoire centrale qui était celui d'Aleksandrovitch. Il n'avait aucune idée si le vieux russe serait là ou s'il retournait chez lui ou si seulement il avait un chez lui... mais bon il ouvrit la porte.
Sans trop de surprise c'était l'odeur de vieille alcool qui réveilla les sens. Le docteur dormait la tête sur un dossier devant une bouteille de Vodka au 3/4 vide. Aucun verre à l'horizon... il devait boire à même la bouteille ce vieille ivrogne. Slade ferma la porte, tourna le loquet pour placé la barrure. Par la suite il plaça une table qu'il souleva pour ne pas faire de bruit et la mit aussi devant la table... c'était une discussion en privé qu'il voulait. Pas question que des gardes viennent le déranger,
Il réveilla donc le Docteur en le poussant en bas de sa chaise.
Slade: Bon matin Docteur... dit-il d'un ton menacant.
Aleksandrovitch leva les yeux semi endormi puis reconnu Deathstroke. Les yeux s'ouvrirent beaucoup plus grandes et en panique il recula. Slade l'aggripa par la chemise de travail et l'envoya se briser au bout de la pièce dans le mur. Ensuite il le ressaisit et le coucha sur la table en le maintenant d'une seul main. De l'autre il prit la précieuse bouteille de Vodka du docteur et la brisa sur la table d'examen. Il lui présenta la partie du haut de la bouteille et lui placa sous la gorge.
Slade: PARLE MOI VITE!!!
Aleksandrovitch en panique ne se fit pas prier plus longtemps.
Aleksandrovitch: C'est mon supérieur Marlowski, il vous a amenez ici... on a fait des expériences on voulait reproduire le sérum qui vous avait transformer en super-soldat on voulais l'implanter au Tyger One, pour la sécurité. Il vous ont fait des injections, je sais pas on a prélevé des trucs, votre sang,,, d'ailleurs c'est se qu'on a donner à la fille pour la sauver, a Black Canary oui vous vous rappeler. C'est moi qui la sauvé c'est moi vous vous rappelez hein?
Slade ressera son étreinte sur la poitrine et appuya un petit peu plus la bouteille.
Slade: QUI A COMMANDITEZ ÇA?
Aleksandrovitch: Je sais pas M. Deathstroke, c'est toujours Marlowski que je voyais jamais personne d'autre. J'imagine que c'est Shreck M. Deahtstroke mais je sais pas... je n'ai fait que suivre les ordres, s'il vous plait me tuez pas je sais rien de plus je sais rien !
Slade relacha sa prise et lança le reste de la bouteille qui alla se fracasser sur le mur. Il se laissa tomber sur une chaise et pris sa tête dans ses mains... Il ne disait pas un mot. Pendant ce temps le Dr. Alek s'assoya lui aussi fixant Deathstroke. Il ne savait pas se qu'il devait faire, il ne bougeait pas, essayait de faire le moins de bruits possibles regardant fixement Deathstroke. Celui-ci releva donc la tête et fixa le Docteur.
Slade: Donc dites moi si je me trompe. Vous avez profitez de mon inconscience suit à mon combat contre Nightwing pour me ramener ici... en fait Malowski. Ensuite vous et ce cinglé vous m'avez gardez pendant un mois sous sédatif pour découvrir le secret de ma puissance. Comme vous n'avez pas vraiment réussi vous m'avez relacher dans la nature c'est sa?
Alek qui recherchait son souffle: En fait vous vous, habituez au sédatif, les doses qu'on vous donnait était tellement énorme qu'on ne pouvait plus vous en donner plus. Il devenait évident que vous vous réveilleriez alors ils vous ont emmenez... je sais pas ou et on a récolté le plus de votre sang possible, pour les effets de regénération cellulaire.
Slade: Okay, et pourquoi je suis faible?
Alek: Je... je sais pas...
Slade: COMMENT VOUS SAVEZ PAS?
Aleksandrovitch se crispa quand le ton monta. mais il regarda Slade avec toute l'honnêteté du monde.
Aleksandrovitch: Comprenez M. Wilson théoriquement vous devriez être mort avec les doses de sédatifs donnez... mais vous combattiez on voulais trouvez se qui vous rendait fort... mais on avait aucune idée que se serait sa l'effet secondaire... rien n'explique votre condition. Je... je le sais j'y travail depuis votre retour...
Slade: Vous quoi?
Aleksandrovitch se leva et avanca vers son bureau il pris une petite clef et dévérouilla le tirroire du bas. Elle contenait un petit dossier écrit Wilson dessus.
Aleksandrovitch: J'ai pris les échantillons de votre sang que nous avions effectivement la somme de sédatifs que nous avons donner pour être la cause, mais ce n'est pas obligatoirement ça car le résultat semble aléatoire.
Slade: Et sa se guérit?
Le ton de Slade était moins faché, plus curieux, plus anxieu, peut-être trouverait-il la raison. Celui du docteur se voulait moins confiant et plus apeuré dans la réponse.
Aleksandrovitch: Je... je sais pas. Je fait des recherches, mais selon moi si les sédatifs étaient la cause, il faudrait trouvé un stimulant... mais j'ai beau tout essayer rien ne fait. Je n'ai pas la technologie n'y la science, Il faudrait des examens plus poussé et malheureusement je ne suis pas qualifié pour ce genre d'examen. Je suis désolé M. Wilson... je ne peux rien pour l'instant. Il faudrait consulter des spécialistes de... bin en fait de méta-humain.
Slade était furieux mais surtout très anxieux. Il avait relever le problème mais personne ne pouvait rien pour lui. Il aurait bien aimé trouver le coupable et le tuer de ses mains, mais Malowski était déjà mort... son corps troué de balle dans une ruelle. Il manquait un chaînon et c'était foutu pour le coupable. Il n'en voulais pas à Aleksandrovitch, il n'avait fait que son travail. Il ne pouvait pas savoir. Slade poussa la table devant la porte et enleva le loquet, il n'avait aucune raison de douter du docteur, il se retouna pour poser une dernière question avant de remonter à sa chambre.
Slade: Pourquoi toute cette chaine afin que je ne remonte pas jusqu’à vous?
Aleksandrovitch: Malowsky avait peur que si vous l'appreniez vous nous tuiez... vous avez une réputation après tout.
Slade: Ouais... je comprend.
Slade remonta dans ses quartiers au douanes. Il prit toute ses affaires et sortie de sa chambre. Il alla dans le bureau de M. Shreck et déposa une lettre. C'était pour dire qu'il ne resignerais pas le contrat pour le prochain mois. Il quittait la ville. Il avait écrit raison personnel. Mais il se doutait bien que Shreck serait au courant de tout ça bien avant de trouver sa lettre. Il aurait pus tomber sur Shreck et le tabasser jusqu'a se qu'il sache réellement son implication dans cette histoire. Mais il avait un contrat... et attendre la fin du contrat juste pour ça c'était triché. Shreck avait bien jouer ses cartes Deathstroke acceptait la défaite, mais sa réputation d'honorer tout ses contrats était sauf.
Il décrocha une dernière fois le téléphone pour Black Canary.
Slade: Black Canary. J'ai remonté jusqu'en haut... et je peux pas allez plus loin. Malowski est mort et ses secrets avec lui. Personne ne peux me guérire ici je vais allez demander au S.H.A.D.E. de m'aider... je vais quitter Gotham. Je sais que tu veux Shreck, je sais pas si mon histoire va t'aider mais je ferai envoyer un rapport complet de tout se que j'ai trouver par Squirrel à tes filles. Pour sortir d'Arkham j'ai crue comprendre qu'elle fermerais bientot tu pourra sortir fort probablement sans problème. Après tout t'es un héros... Merci et au revoir. J'espère que la prochaine fois qu'on va se voir, sa ne sera pas pour un contrat sur ta tête... Bonne chance.
Slade pris donc tout ses affaires et quitta Gotham. Il alla vers le sud vers Washington, ou il espérait le S.H.A.D.E. Spécialiste en méta-humain puisse l'aider. Il avait pris avec lui le dossier d'Aleksandrovitch sur sa conditions et avait passé la commande à Squirrel de monter un dossier avec toute les informations concernants son enquête pour les Birds of Preys... c'était le départ du mercenaire qui n'avait au final que très peu eu d'influence sur Gotham, enfin cette fois-ci. |
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