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Ne manquez pas les deux derniers chapitres de Darkwatch, où s'affronteront Le Chevalier Noir et l'Empereur !

Clash of the Warriors & La Révolte

"Lors d'une rafle de la Ligue des Ombres, la Lignée décide d'intervenir et de massacrer les hommes de Ra's Al Ghul. Les habitants, excédés par la situation, décident de se révolter, avec le support de l'Empereur et ses troupes. Le G.C.P.D est dépassé et les justiciers n'ont d'autre choix que s'en mêler, Batman en tête."

(Petit aperçu des évènements en vidéo ici)


CREDITS

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©Les images utilisées appartiennent à leurs auteurs
©Les bannières ont été crées spécialement pour le forum Gotham City Rpg par Deimos Hellhammer
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 Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)

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MessageSujet: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyMar 7 Fév - 21:54

Vous savez ce qu’est un post-apo ? Non, c’est le temps qui précède une apocalypse. Avec les villes en ruine, les gens ce regroupant en bande pour survive et cette espèce de crainte constante qui règne partout. A Gotham aujourd’hui, c’était ce genre de climat que l’on pouvait sentir. Partout les gens étaient sur les nerfs. Je crois que voir quelqu’un marché normalement dans la rue aurait paru presque drôle a telle point la ville était en pagaille. Du moins c’est en passant près du mur. Cette semaine le repère de la bande avait été de vieil appartement sur le point d’être démoli. Sa nous a permis de rapproché un peu nos opération de la ville. La police nous surveillait de plus en plus et ce tenais près a réagir dans les banlieues, faire un cou a un endroit éloigné semblait être la meilleur idée pour ce faire un max avant de disparaître a nouveau.

La cible cette nuit était un super marché. Au vue de la réussite de nos dernier projets, on avait eu envi de tenté sur quelque chose de plus gros. On était déjà passé une ou deux fois a quelque jour d’intervalle pour vérifié comment le magasin était fait. L’idée c’était de passé en vitesse un peu avant la fermeture, lorsqu’il compte les caisses, prendre l’argent et partir aussi vite que l’on est arrivé. L’effet de surprise était crucial, sans cela c’était Arkham qui nous attendait. Je doute que quiconque a par moi dans la voiture l’avait réalisé.
A oui moi, j’allais presque oublier de vous parlez de ce que je faisais la. Vous savez que je suis une voleuse, braquer des trucs c’est devenu mon métier… depuis quelques jours déjà. C’est assez drôle de dire que depuis le début de ma fugue j’ai déjà beaucoup changé. Pointé une arme sur quelque ne me dérange plus autant que la première fois, on dirait que c’est juste devenue un jeu… En faites c’est l’image que j’aime me faire de tout ça. Une sorte de grand jeu qui ne prendra jamais fin. La poussé d’adrénaline est tellement bonne que j’en veux toujours… mais je crois que je devrais arrêter sous peu… avant de me rendre trop loin.

Comme je vous ai déjà dit nous étions sept, répartit dans une vielle impala noir et un grand jeep. Pour ma par j’avais pris place dans l’impala, plus confortable. Pour me donner un peu d’importance j’avais mis mon attirail spécial pinky. Mais j’avais troqué le masque pour un bandeau, sa cachait mieux le visage. Pour me défendre, je comptais sur un pistolet sans balle qui servait en faites de matériel d’intimidation. Il n’y a pas beaucoup de monde qui veulent jouer au héros lorsque ce n’est pas leur argent que l’on vole en fait normalement. Est-ce que l’on pensait au justicier… oui tout le temps. A chaque instant pendant le trajet d’aller, on avait l’impression qu’un Batman allait sauté sur le l'avant d’une des voitures pour en extraire les occupants et les mettre au arrêt, mais que voulez-vous l’argent permet de passer a travers bien des peurs.

Les deux bagnoles se sont arrêté presque au même moment devant le commerce. Nos réaction on presque été robotique. Même si l’on voulait le cacher, c’était quelque chose d’assez nouveau pour nous. La simple idée de menacer des gens a l’aide d’arme nous rendait inconfortable. En passant les portes en vitre automatisé, mon sang c’est mis a coulé plus vite dans mon corps. Nous sommes restés grouper. Il y avait deux personnes à l’extérieur qui était resté dans le véhicule pour que nous puissions partir plus rapidement. Deux qui restaient a l’entré pour empêché les gens de sortir et trois qui allait prendre l’argent. L’endroit était assez vide en faite. Aux caisses il y avait les employés et trois clients. Sans doute que ailleurs dans le magasin il devait en avoir d’autre, mais pour le moment notre premier problème était d’effrayé le plus de gens possible pour qu’il accepte de payer sans opposé de résistance.
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyMar 7 Fév - 23:12

Ah enfin, les choses commençaient à bouger un petit peu. Deux voitures venaient de se garer juste devant un vieux commerce de quartier, le genre tenue par un vieil immigré indien qui trafiquait la date de péremption de ses boites de lait ou un vieux latino qui regarde continuellement la télé. Je pris mes petite jumelle, regardant ce que faisait les nouveaux arrivant. Cinq hommes et femmes armées descendirent des voiture et bien évidement un autre était resté dans les deux véhicules. Classique, enfin je croyais, j’avais jamais essayé d’arrêter un braquage, une grande première pour moi aussi.

- Avec un fusil de précision ce serait tellement facile.

Une idée à creuser d’ailleurs, cela pourrait m’aider à préparer le terrain et m’éviter de foncer tête baissé dans les pièges et les groupes d’ennemis. Deux trois fléchettes tranquillisantes et aussi pour crever les pneus des véhicules pour empêcher les fuites des criminelles. C’était ce qu’on apprenait dans les écoles de l’air force, détruire les moyens de transports de l’ennemies au premier passage et l’ennemie au suivant si on ne pouvait pas faire les deux en même temps. Je me redressais d’un bon, me massant les fesses pour retrouver des sensations autres que le froid dans cette partie si attirante de mon anatomie. Après le fusil à précision, je devrais penser à prendre un coussin pour que je puisse m’asseoir sur le béton froid sans me geler les miches.

- Allez ma fille, on entre dans la danse et on marque le coup.

Je pris rapidement deux de mes pistoles, chargé de balles en caoutchouc au fort pouvoir d’arrêt, sans équipement de protection, l’impact était presque comparable à celle d’une balle, le coté létal en moins. Un couteau et ma matraque rétractable. Je me laisser glisser le long d’une gouttière atterrissant en faisant le moins de bruit possible dans l’ombre. Aussi silencieuse qu’un aigle qui plane, je me dirigeais vers les véhicule restant bien dans l’ombre et faisant attention à ne pas être repéré de suite. Un coup de lame dans les deux roues arrières du premier, la grande jeep et le sifflement très discret de l’air s’échappant me remplissait les oreilles comme s’il était aussi fort que le moteur à réaction, je réservais le même sort à la seconde. Le temps semblait passer si vite, mais je savais que ce n’était qu’une illusion, il ne s’était passé que quelques secondes, même pas une minute depuis qu’il était arrivé et que j’étais descendu.

- Bon maintenant m’occuper de l’intérieur.


Je ne pouvais rien faire vraiment pour les deux pilotes et l’homme de garde, mais j’avais repéré une autre entré possible sur le coté du bâtiment, une vieille fenêtre. Essayant de me pencher le plus possible, je me retrouvais de l’autre coté, me hissant à l’intérieur du bâtiment. Luttant un peu pour passer à travers la vieille vitre.

-Je crois que j’ai pris un peu sur les hanches, va falloir que je me calme sur les pizzas pendant que je répare les avions.


Je me retrouvais dans une sorte de petit débarra, sans aucune doute l’une des réserves du magasin. J’entrouvris doucement la porte avant d’aller me plaquer contre le rayonnage et d’observer ce qui ce passait. Trois étaient là menaçant les clients de leurs armes. Je sorties mes deux pistolets de leurs holsters, c’était deux glock argenté, d’une capacité de douze balles chacun, soit vingt-quatre en caoutchoucs, soit huit pour chacun d’entre eux. A moins de dix mètres, il m’en resterait assez pour m’occuper des trois à l’extérieurs sans avoir même besoin de recharger. Il me maquait qu’une chose pour que ce soit parfait, un air de samba entrainant.

- Et Un et Dos et Tres. Murmurais je.

Je sautais à découvert, le temps semblait ralentir alors que je pivotais avant de tirer une première fois, envoyant deux balles s’écraser dans le genoux et la cuisse du premier malfaiteur, mes talons claquaient comme si je dansais, marquant le rythme d’une chanson que j’étais là seule à entendre. Je ne devais pas leurs laisser le temps de réagir, deux autres balles volèrent à leurs tours allant cette fois ci percuter le dos du deuxième braqueur et je terminais mon mouvement presque agenouiller sur le sol, un genoux à terre et l’autre tendu, mes deux armes pointés vers le troisième braqueur, une femme avec un gout vestimentaire douteux qui pointait son arme sur le caissier, un vieux coréen qui tremblait de peur.

- Alors la noiraude, on lâche son arme et on se rend.
Dis je un sourire sur les lèvres, mon cœur battant dans ma poitrine.
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyMer 8 Fév - 22:19

Je sais ce que vous vous dites, ah ! Ah ! Tu t’es fait prendre. Oui je savais qu’un jour ce genre de chose allait arriver, mais qu’elle était les chances madame Je-Fais-La-Loi soit caché dans la réserve d’un dépanneur chinois ? Pardon, mais selon moi personne au monde n’onde n’aurait pu prévoir un tel revirement de situation! Je suis sur que si je vie jusque la ce serais une super histoire a raconté a mes enfants : Vous savez le jour ou maman a été arrêté pour la première fois… bon peut être que je vais garder cette histoire pour moi finalement. De toute façon j’étais loin d’être attraper encore, je pouvais encore trouver un ou deux moyens de m’enfuir.

Résumons la situation d’accord ? Je crois que ce sera aussi utile pour vous que pour moi. Alors le caissier est ici, la charmante fille devant c’est moi, je lui pointe toujours une arme sans munition dans la figure. En ce retournant, là on aperçoit Louis qui est en train de tomber, derrière c’est Marco. Un peu plus loin sur la droite a côté de la porte il y a Daisy et Will, c’est un couple. Ils vont vraiment bien ensemble sérieusement… mais bon ce n’est pas le sujet. Voila ce qui nous intéresse. La fameuse dame je mets mon nez dans quelque chose qui ne me regarde pas. En plus maintenant que je la vois comme sa elle est exactement ce que je déteste. Je suis sur qu’elle était la première de classe, que tout les garçons passe leur temps à baver en pensant a elle. Je crois que je vais aller lui foutre une de ces baffes au visage ! Bon je le ferais, c’est juste qu’elle est a au moins six mètre… et que elle a deux vrais pistolet pointé sur moi.

Je n’ai pas bougé lorsqu’elle a tiré, non pas que je n’ai pas eu peur, mais a la place de sursauté ou de crié mon corps c’est juste paralysé. Résultat j’ai eu l’air parfaitement zen en voyant mes deux compatriotes tomber. Intérieurement, j’étais terrifier, mon corps battait a plus de deux cent a l’heure et mes mains commençais à devenir moite. Hors le dernier détail était assez peu apparent comme je portais des gants. Comme n’importe qu’elle fille de seize ans impliqué dans une fusillade ma première idée fut de partir en courant, mais j’ai rapidement écarté cette idée. Avec des bottes militaire a talon, courir un cent mètre équivalait a une course a obstacle. Ma seconde idée fut de m’accroupir auprès des garçons pour voir s’ils allaient bien. J’ai aussi laissé tomber cet idée, après tout si quelqu’un pouvait nous sortir de la pour le moment c’était moi. Je devais assurer. Je finis par me résigner a mon plan C.

Je fis un tout petit pas de côté qui dans mon esprit avait été fait de manière totalement théâtral et au combien crédible… c’était un peu moins le cas dans la réalité. Je fis reculer le marteau de mon arme et d’une voix qui cette fois semblait beau plus assuré je lancé a ma… comment dire… rival pour la situation.

- Laisse tomber tes armes Barbie ou je fais sauter la tête du chintoc.


J’avoue que j’étais assez fier de moi. D’une par pour avoir lancé une insulte a la première de classe, de l’autre parce que je pensais avoir été assez convainquant dans mon rôle. D’un autre côté c’était elle la gentille qui devait protéger les innocents… elle n’allait quand même pas tirer si la vie d’une personne était en danger… non…dites moi que j’ai raison quelqu’un !
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyMer 8 Fév - 23:54

-Barbie?…

Comment ça Barbie? C’est parce que j’étais blonde et que j’avais les yeux bleu. Super-génial, vive les stéréotype. Bon c’est sur la mini-jupe, n’aidait certainement pas? Mais avait elle simplement vue une seule poupée Barbie avec une tenue aussi sympa que la mienne, avec le logo de l’escadron Blackhawk et juste du noir.

- Je te signale quand même gamine que celle de nous deux qui est habillé de rose c’est toi.

Oui je sais ce que vous vous dites là tout de suite, je n’avais pas mieux à faire que de soigner ma fierté un peu attaqué? Après tout un homme avait une arme à feu braqué sur lui et cette petite braqueuse pouvait le tuer en quelques instants. Dites vous simplement que d’une je la distrayais, si seulement cette idiot pouvait se décider à plonger à couvert, de deux je gagnais du temps pour réfléchir et faire un monologue interne et de trois, je n’ai de leçon à recevoir d’un lecteur confortablement assis sur son fauteuil.

- Tu as réfléchis un peu à ce que tu fais là? Commençais je, si je pouvais éviter le bain de sang en la raisonnant ce serait aussi bien.

- Pour le moment ce n’est qu’un petit braquage et tu n’as que deux de tes potes de chaos, mais si tu le tue, là sa deviendra bien plus grave autant pour ta punition que pour ta conscience. Je parlais d’une voix douce et ferme, détachant bien chaque syllabe pour qu’elle me comprenne sans problème. Je devais paraitre le plus assuré possible, maitre de moi-même.

Pourtant j’étais inquiète, je n’étais pas certaine qu’elle ne décide pas d’un coup de tête de tirer et de tuer ce pauvre petit vieux dont le seul crimes que je pouvais constater était contre le bon gout vestimentaire. Je devais être à l’affut, le moindre changement dans sa posture, dans l’environnement pouvait être le déclencheur d’une tragédie que je préférais éviter.

- Allez pose ton arme et rends toi c’est la meilleur solution, de toute façon, si tu le tue, tu n’auras rien pour m’empêcher de te tomber dessus et te trainer de force par tes rajouts devant la police.

Ouai bon, je n’étais pas la reine de la négociation c’est sur, cela n’avait pas fait partie de mon entrainement à l’armée, par contre on nous apprenait ce qui s’appelait le risque et les pertes acceptables. L’équation était simple, que je risque ma propre vie était acceptable, que je risque celle du commerçant non, je devais rediriger son envie de tirer vers moi ou mettre à l’abris le vieil homme sans défense. J’avais des balles non létal, c’était … Acceptable.

Je tirais avec le pistolet de ma main gauche alors que je me redressais vivement. La balle siffla en traversant l’air et en allant s’écraser dans un craquement sinistre dans l’épaulerai du vieil homme qui pivota sur lui-même avant de s’effondrer comme un mannequin dont on aurait coupé les fils qui lui donnaient la vie. J’étais certaine de ne pas l’avoir tué, il aurait au pire un os de cassé ou deux, mais il aurait la vie sauve. Je finissais mon mouvement dans un pivot, mon arme s’arrêtant à quelques centimètres du front de mon adversaire.

- Bon douce ou brutale?
Demandais je un sourire sur les lèvres.
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyJeu 9 Fév - 0:58

Vous savez quant on doit accepter la défaite ? Ce moment au combien humiliant qui vous le savez bien, va vous suivre toute votre vie et qui risque de mettre à terre votre estime de vous pour des jours et des jours. Bien c’était ce moment que je vivais. Je ne pourrais pas vous dire si ce que je ressentais le plus, la honte ou la peur. J’avais devant mes yeux un magnifique canon de pistolet qui me chatouillait le nez. En temps normal je serais paniquer, j’aurais les jambes mole, les sueurs froide. En gros je serais au bord de la crise cardiaque… et bien nous sommes en temps normal croyez moi. La méchante braqueuse était redevenue ce qu’elle était vraiment. Une fois la distance entre moi et la justicière exhibitionniste, réduite a quelque mètre, je réalisais mieux ce qu’elle avait d’impressionnant. Ses vêtements étaient pour le moins peu conventionnel, je dirais presque qu’elle pouvait rivaliser avec moi côté tenu… non pas tant que ça. Je ne comprenais pas vraiment l’idée de la mini-jupe… En y réfléchissant c’était logique en faites, la majorité des crimes sont commis par des hommes… et s’ils on quelques chose a regardé cela va les déconcentré ! C’est très astucieux en faites… moi c’est juste parce que sa fait partit d’un style que j’aime bien… Au delà de ses fringues, il y avait une énergie assez terrifiante qui ce dégageait de cette femme. Dans tous les déplacements qu’elle a faits, j’étais comme hypnotisé par cet vitesse d’exécution, cette agilité. Si j’avais voulu tiré je crois que cela m’aurais été impossible.

Mais pour en revenir a la situation présente, j’étais dans un état presque second. Ce n’étais pas une transe, j’aurais aimé être en transe… ou encore folle… folle ce serait bien, ne pas avoir conscience de la suite inévitable des choses. Vous savez ce cadeau que dieu fait aux gens qui ne sont pas douer de logique et qui n’arrive pas à comprendre que ce qu’ils font est bien ou mal. Pour ma par je savais parfaitement ce que j’avais fait et toute les choses que sa impliquait.

- Bon douce ou brutale?

Cette phrase a résonné dans ma tête pendant au moins un douzaine de seconde avant que je réalise son sens. Pour moi c’était plus un : << Échec et math, je te cogne ou tu te couche ?>> J’ai eu l’idée comme tout le monde a ma place de prendre l’option ‘’je te cogne’’, mais je n’avais pas envi que mon visage serve de punching-bag a la justicière. J’ai aussi eu voulu chargé ma dernière sauvegarde… mais la fonction semble être défectueuse dans ce jeu… Vive les jeux de plus en plus réaliste hein ? Finalement j’ai opté pour la solution la plus sage… si on peu dire. Lâcher mon arme n’étais pas vraiment volontaire. Me mettre a pleuré non plus d’ailleurs. J’avais l’impression qu’un barrage avait simplement décidé de ce rompre derrière mes yeux. L’eau salé a commencé par faire couler mon maquillage noir autour de mes yeux… avant de s’attaquer au blanc… J’avais l’air horrible avec mon bandeau sous mes yeux mouillé. J’avais envi de me recroqueviller sur moi-même, mais le canon devant mes yeux était trop… intimidant pour que je me permette le moindre mouvement. Si j’avais pu parler j’aurais sans doute dit quelque chose du genre : <<Désolé madame de vous avoir causé autant de problème je vous jure que je ne recommencerais plus, nous allons être sage et allons tout remplacer ce que nous avons brisé, mais pitié le dites pas a ma mère. >> Mais tout ce que j’ai réussis a articuler c’est : <<Je…j’ai…he..je..>> Je sais Molière aurais pas fait mieux.
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyJeu 9 Fév - 10:33

Je m’attendais à beaucoup de chose, mais certainement pas à ce que la braqueuse qui avait menacé de tuer l’épicier se mette à pleurer face à moi. C’était déroutant et je ne savais pas trop quoi faire. Maintenant que je pouvais la voir de plus prêt je pus véritablement me rendre compte quel point elle était jeune, elle ne devait pas avoir seize ans peut être à peine plus. C’était sans doute normal qu’elle réagisse de cette façon. Je jetais un rapide coup d’œil au deux autres jeunes que j’avais mis à terre et qui gémissait. Des gamins eux aussi. Je rangeais doucement mon deuxième pistolet, j’allais avoir besoin d’une main de libre.

Je rattrapais son arme alors qu’elle tombait vers le sol et en retirant le chargeur j’eux la mauvais surprise de découvrir qu’il était totalement vide, merde si j’avais su c’est sur elle que j’aurais tiré directement, mais comment j’aurais pus le deviner. Je laissais retomber mon bras, arrêtant de pointer le canon de mon arme entre ses deux yeux, elle n’était pas dangereuse, j’en étais certaine.

Je regardais les deux autres otages, une mère et sans doute sa fille qui étaient recroquevillé dans un coin du magasin essayant de se faire les plus discrètes possible.

- Si tu fais ce que je te demande, vous vous en sortirez toi et tes potes sans trop de casse et de problème.

Je n’allais quand même pas les trainer à Arkham City, merde, ce n’était qu’une enfant, elle se ferait totalement dévoré là bas et sans doute même pire et si je pouvais l’éviter.

- Tu dois avoir un téléphone, tu appelle tes potes à l’extérieur et tu leurs dis que vous êtes tombé sur plus gros que vous. Je veux voir les quatre à genoux devant le magasin, les chargeurs retirés des armes. Tu leurs précise bien que s’il font les malins, je vous trainerais tout les trois moi-même à Arkham. Sinon tu va ouvrir cette porte et tu leurs donnes mes ordres et rappelle toi, tu ne courras jamais assez vite pour éviter une balle ou pour m’échapper.


Une petite menace pour faire passer la pilule. Ces gamins allaient avoir besoin d’une bonne leçon, mais qui n’allait pas détruire totalement leurs vies et si quelqu’un les contrôlait de loin, ce qui était une possibilité, j’avais bien l’intention de le découvrir.

Je remis mon arme à ma ceinture, gardant la sécurité du holster encore ouverte, faisant bien attention à ce que mon arme reste hors de porté de la gamine rose Bonbon. Attendant qu’elle fasse ce que je demande, je menottais, les bras attachés dans le dos, les deux adolescents que j’avais mis à terre. Ils étaient conscients, mais ils souffraient ça ce voyait sur leur visage.

- Vous savez les gosses, je n’avais jamais utilisé ses munitions avant, j’espère que ça vous plait. Dis je dans un sourire.

Allez un peu d’humour, on est pas des bêtes, si? J'espérais qu'ils obéiraient tous, qu'ils ne me forcent pas à sévir, je dois avouer que je n'avais pas spécialement envie de botter le cul de gamin qui pleurait en face de moi.
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyVen 10 Fév - 23:09

J’ai vraiment cherché mon téléphone… sincèrement. J’étais tellement sous le choc que je n’ai pas pensé que je n’en avais aucun. En effet mes vêtements n’avaient aucun endroit ou j’aurais pu le ranger sans avoir peur qu’il tombe, laissant derrière moi un chemin très simple pour me retracer. J’ai alors voulu me rendre a la porte pour leur dire de vive voix, mais au premier pas, je me suis ravisé. La femme en noir étais dans cette direction, alors elle prendrait ça pour une menace… je crois. Le problème c’est que mon cerveau qui marchait déjà a plein régime, à eu un peu de mal a assumé ce soudain test d’équilibre. Avec mes échasses, la suite était inévitable. La chute n’as pas fait trop mal, mais une fois rendu au sol, j’ai eu le temps de voir la tête de Daisy qui me regardait a travers la porte vitré. Elle était à l’arrière de l’impala avec un visage qui semblait tellement désolé… du moins a travers son masque. En faites je ne suis pas trop sur si elle était désolé ou pas… Faut me comprendre c’est dure de repéré l’émotion chez les gens quand ils s’enfuient en voiture… s’enfuient en voiture !

Et oui, mes gentils ‘’amis’’ avaient bien entendu les coups de feu à l’intérieur et eux il n’avait pas d’arme pointé sur la figure qui les obligeaient a resté. En gros il pouvait toujours choisir l’option un, la fuite. Nous laissant moi et les autres dans le pétrin. Le pire la dedans c’est qu’en s’éloignant on dirait qu’il avait fait exprès de faire le plus de bruit possible pour être sur que miss Force-de-l-ordre entende tout. Je me suis mise a les maudirent dans ma tête, mais je me suis vite ravisé. Si on devait être envoyé de l’autre côté du mur, j’aimais mieux me dire que certain de mes amis c’en son sortit. De toute façon comment en vouloir a des gens que l’on connaît depuis si longtemps. Je n’avais pas vraiment envi de me retourné, vous savez lorsque vos parent veulent vous punir et que votre seul méthode de protestation c’est de ne pas les regarder, je ressemblais un peu a ça. Les gémissements en moins. Hors j’ai quand même pris le temps de rapprocher mes jambes de mon corps pour être le plus fermé possible. Après tout ce n’est pas parce que je suis vaincu que je ne reste pas pour autant une rebelle.

Ce qui ma un peu troubler c’est le bruit de recharge qui c’est levé dans mon dos. D’accord je crois que c’est un peu flou pour vous. Laisser moi vous expliqué la situation. Voyons la scène sous un autre angle. Alors ici nous avons la justicière miss buste 36D occupé a faire des blagues qu’elle est la seul a rire. Par terre devant elle on peu voir mes deux amis, je dois avoué que je suis assez contente de voir qu’ils ont mal… je veux dire qu’ils on seulement mal… je veux dire que leur vie ne sont pas en danger ! Dans le coin droit au fond près de la ranger des crèmes glacer la mère et sa fille. La pauvre petite si j’avais su qu’elle était la j’aurais remis le casse à plus tard. Par terre devant le comptoir c’est moi dans toute ma splendeur A non j’ai perdu l’un de mes tubes rose par terre ! Faites moi pensé tout a l’heure de le reprendre d’accord ? Voila c’est ce qui nous intéresse pour le moment. Vous voyez ce vieux propriétaire avec son air d’ancien dans u temple bouddhiste. Moi aussi je trouve qu’il a l’air du genre d’homme a vous accueillir en souriant avec toujours le petit mouvement de tête vers le bas pour vous souhaitez la bienvenu. Un homme bon en gros. Le problème c’est que prenez le portrait que je viens de vous faire et ajouté un fusil a pompe entre s’est main et un rictus de colère très prononcé dans on visage. Je crois que notre petite vole ne lui a pas plus… et que de recevoir une balle de la part de celle qui est venu le sauver à un peu fait travailler son humeur de la journée. Finalement il y a une autre chose qui a du le mettre un peu hors de lui.

- 스트립 성게 당장 여기서 나가

Le fait qu’il ne parlait pas notre langue et qu’il ne comprenait strictement rien a ce qui était en train de ce passer…
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MessageSujet: Re: Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre)   Qui a dit que le crime ne payait pas? (Libre) EmptyMar 14 Fév - 23:10

J'hésitais entre rire et pleurer en voyant l'attitude de la gamine, mon intervention semblait l'avoir totalement bouleversé, que croyait elle que personne n'interviendrait, qu'il n'y avait aucune chance pour qu'ils se fassent attaquer par un justicier ou la police? Elle s’étala sur le sol, avant de se replier en position fœtal, alors que j'entendais une de leurs voitures démarrer en trombes. Devais je leurs courir après? Les laisser s'échapper? De toute façon qu'elle chance j'avais de rattraper à pied une voiture? Je n'étais pas aussi rapide qu'un avion, si encore j'étais dans les airs au commande du Nighthawk.

- Bon et bien on dirait que pour le moment c'est loupé.

J'allais devoir me contenter de ces trois là, ce qui serait largement suffisant, avec un peu de chance je pourrais même leurs faire cracher le morceau sur leurs planques et leurs collègues en fuite. Je passais une main dans mes cheveux, regardant distraitement la femme et sa fille qui restait prostré dans le fond du magasin. Je leurs décochais un sourire.

- Vous pouvez partir, je ne vous ferais aucun mal, vous ne risquez plus rien.

Je vis une lueur de compréhension passer à travers le voile de terreur qui recouvrait les yeux de la mère qui se redressa tremblant de tous ses membres en serrant dans ses bras sa petite fille qui pleurait toujours. Elle était mignonne, une petite blonde avec le visage encore poupin. Je n'avais pas vraiment la fibre maternelle, d'une manière général, je n'aimais pas vraiment les enfants ça pleurs, ça pue et ça court partout, mais j'étais vraiment heureuse que rien ne lui était arrivé de mal, mais cela pouvait encore arriver.

C'est les yeux bleus de la petite fille qui m'indiquèrent le danger, une fraction de seconde avant que j'entende le bruit caractéristique d'un fusil à pompe qui était armée et là j'étais certaine qu'il y avait des munitions à l'intérieur. Le vieil homme s'était redressé, le visage rouge de douleur et de colère qui hurlait dans une langue que je ne comprenais pas. Peut être du Chinois ou du japonais, enfin pour ce que j'en savais saurait tous aussi bien pus être du vénusien. Immédiatement je me plaçais entre la femme et la petite, les forçant à reculer.

- Du calme, du calme. J'essayais de parler assez fort pour qu'il m'entende, qu'il essai de me comprendre. J'avais levé les mains bien haut, paume vers lui signe de rédition.

J'allais devoir faire sacrément preuve de finesse, la situation avait bien changé et je me retrouvais avec un commerçant armé et fou furieux d'un coté et de l'autre cinq personnes qui ne méritaient certainement pas un coup de fusil. Au centre, moi et je dois bien avouer que je commençais à avoir légèrement peur.

- Ca commence à sentir le vieux Sushi.

La mère continuait de reculer doucement, allant se cacher derrière un rayonnage qui serait à peine suffisant si jamais il décidait de tirer. Il regardait de tout les cotés, ses yeux étaient fous, le moindre mouvement ou bruit pourrait le faire tirer. Il devait se concentrer sur quelques choses, je devais le faire se concentrer sur quelques choses ou quelqu'un. Sans vraiment réfléchir je sifflais comme un aigle et immédiatement je vis le canon tremblant de l'arme se pointer vers moi et je déglutis.

- Écoute je ne te comprends pas et vous non plus surement. Je devais maintenir se concentration sur moi alors je parlais et parlais. Cela me permettrait aussi de rester calme, enfin autant que je le pouvais avec une arme à feu capable de recouvrir le magasin de mes tripes en face de moi.

- Je suis désolé, je ne voulais pas te faire du mal, mais je croyais que ces gamins pouvaient te tuer. Je m’appelle Lady Blackhawk, je suis nouvelle dans la profession. C'est mon premier braquage et j'espère que ce sera pas le dernier.


J'avançais doucement, glissant sur le sol, essayant d'être aussi silencieuse que possible ce qui n'étais pas facile.

- Ce ne sont que des gamins, je suis sur qu'ils ne voulaient pas te faire du mal et ils ne méritent pas que tu leurs tires dessus. Regarde, ce n'est qu'une GAMINE, elle ne peut presque plus BOUGER tellement qu'elle à peur de ton arme. Ils ne viendront plus.

Là où elle était placé, elle me gênait, il fallait à tout prix qu'elle rampe ou s'écarte de mon passage, j'espérais qu'elle m'écoutait et qu'elle comprenait ce que je voulais lui dire. Je sais ce que vous vous dites, s'il me parlait dans une langue étrangère, peut être ne comprenait il pas l'anglais. Vous n'allez pas me faire croire qu'il serait capable de tenir un magasin sans même comprendre ce qu'on lui disait.
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