La nuit tombait sur Gotham et Ketsueki décidait de passer la nuit dehors. Il avait dû supporté encore une fois les dernières recommandations de Kagi pour ne pas se faire attraper et subir les moqueries de Juzo qui avait pris quelques coups de talon bien mérité.
Ketsueki avait encore emmené son arme favorite avec lui, sa tronçonneuse. Cette tronçonneuse lui avait permis de découper en morceaux une chinoise de 20 ans il y a deux jours. Ketsueki portait toujours sa longue veste rouge qui flottait au vent. Il observait la rue depuis un toit.

Son attention fût soudainement attiré par un bruit de talon. Une jeune femme marchait, apparemment sûre d'elle, et empruntait la rue pour aller on ne sait où. Ketsueki sauta et se réceptionna sur une pile de sacs poubelles. Il suivit discrètement la jeune femme blonde et commença à parler pour attirer son attention.

" Que vous êtes ravissante. Pas aussi ravissante que moi mais je vous trouve hélas un défaut qui vous rendrait magnifique si vous y remédiez. "
Le taré se prenant pour une femme avait une voix un peu aiguë et légèrement chantante. Il était arrivé que certains croient que c'est une femme. La jeune femme blonde avait dû remarquer la tronçonneuse que tenait Ketsueki et cet élément pouvait réellement la terrifier.
" J'ai juste une question. Aimez-vous le rouge ? "

Ketsueki tenait toujours sa tronçonneuse, il remonta légèrement ses lunettes et se rapprocha de la jeune femme.

Le rouge est la plus belle couleur qui soit...

Je marchais dans les rues de Gotham pour retourner a mon hôtel , j'étais stresser car la dernière fois ou j'ai pris ces rues , il met arriver un malheur mais je marchais quand même sur de moi . Il y avait un peu de vent qui faisait voler mes cheveux blonds. J'étais dans une rue assez sombre , ou on entendait le bruit de mes talons réguliers . J'entendis un bruit soudain de sac a poubelle , je me retourne vite fais pour voir ce qu'il se passait . Et la je commençais a trembler , mes mains devenez moite . Cette dame ou cette homme je n'arrivais pas a savoir commença a parler pour me distraire .

-Que vous êtes ravissante. Pas aussi ravissante que moi mais je vous trouve hélas un défaut qui vous rendrait magnifique si vous y remédiez.

Je ne voulais pas répondre , il valait mieux que je me la boucle sinon j'aurais dit des choses que j'allais regretter , je sentais la peur m'envahir d'un seul coup j'essayais temps bien que mal de cacher cette peur en moi pour me montrer forte . Je remarqua soudainement la tronçonneuse qu'il ou elle avait dans la main .. Cela me pétrifia .

-J'ai juste une question. Aimez-vous le rouge ?

Il ou elle remonta ses lunettes et se rapprocha de moi , je ne savait plus quoi répondre .Mais comme il ou elle avait un manteau rouge je me suis dit qu'il fallait que je réponde sa .

-O..Oui..

Cette nuit était spéciale pour Marc. Il était glacé à la pensée de ce qu'il allait faire. Quelques jours s'étaient éculés depuis sa soirée au restaurant avec Jessica, et il en avait tiré une grande frustration. Pads qu'il aurait voulu tout de suite lui avouer ses sentiments. Mais il aurait aimé plus d'allusions, plus d'ambiguité, plus de complicité, vous voyez ? Et un message subliminal de réciprcité des sentiments, pourquoi pas... mais rien de tout ça n'était arrivé. Ca l'avait rongé longtemps, et aujourd'hui, pendant la sieste, il s'était réveillé plein de sueurs froides. Un cauchemar l'avait décidé : il ferait une déclaration à la jeune infirmière, quelqu'en soit le prix. Il en ressentait le besoin, énorme et douloureux.

Ainsi, il l'avait attendu à la sortie de l'hopital, attendu qu'elle sorte. Sans ses hommes, c'était peu romantique et ilavait besoin d'intimité avec elle. Il pensait qu'il pourrait la saluer, la raccompagner chez elle, et là lui avouer. Mais un problème était arrivé... Au dernier moment il s'était dégonflé. Non, il ne trouverait pas le courage... Alors il s'était caché. Elle était sortie. En la voyant, il avait voulu venir vers elle, lui dire... mais à nouveau, au dernier moment le courage l'avait quité. Alors il avait suivi Jessica durant son chemin de retour. Il espérait pouvoir trouver le courage à travers le chemin pour la rattraper et engager la conversation. C'était venu plusieurs, mais chaque fois par courtes secondes, et il se désistait. Alors tant pis, il continuait à la suivre. Il faisait noir, à cette heure les rues de Gotham étaient la gueule béante d'une créture monstrueuse couleur de nuit. Marc regretta soudain d'être seul, il craignait pour sa vie, et celle de la jeune femme. Oui, à Gotham du moment qu'on est seul on risque sa vie, plus ou moins. C'est la règle.

Et les problèmes, bien sûr, arrivèrent. Rapidement, devant lui, une autre personne commenca à suivre Jessica. Une femme ou un homme, il l'ignorait, il aurait plutot dit une femme à sa tenue vestimentaire, mais dans le noir il était dur de se faire une idée. Il tenait un objet étrange dans ses bras, qui prenait une grande place.

-Que vous êtes ravissante. Pas aussi ravissante que moi mais je vous trouve hélas un défaut qui vous rendrait magnifique si vous y remédiez.

Qu'est ce qu'il lui voulait ? Oh non, encore un fou ! (ou une folle) Le rentier comprit ce qu'il/elle tenait dans ses bras : une tronçonneuse ! Marc se sentit plus faible que jamais : il n'était qu'un petit homme minable, qui n'avait pas du tout la carure pour protéger l'infirmière. Cette créature devant lui en avait sûrement tué bien d'autres. Lui n'avait aucune expérience du combat. Mais tant pis... Il la défendrait. Il la défendrait parce qu'une partie de lui était en elle, et que sa mort à elle serait sa mort à lui. Il la défendrait parce qu'il l'aimait. Même s'il mourrait pour elle -et pourtant, la mort effrayait plus que tout autre chose Marc.

Heureusement il avait sur lui un revolver, dans un étui dans sa chemise. Il le sortit aussitôt, et s'approcha discrètement du tueur au sexe ambigue, le flingue braqué sur lui.


-J'ai juste une question. Aimez-vous le rouge ?

-Ou... Oui

Seigneur, si tu existes viens moi en aide.

Ketsueki jubilait comme toujours devant tant d'hésitation. La réponse de la jeune femme était tous sauf assurée. Le jeu en serait encore plus amusant.
-Ou... Oui
- Vous avez bien raison. Cette couleur est celle des amaryllis qui flamboient dans les champs et plus personne n'a assez de bon goût pour en porter aujourd'hui. Il n'y a que la ravissante demoiselle que je suis qui ose encore en porter.

Ketsueki sourit à la jeune femme.

- Ne vous en faites pas. Je peux arranger ce problème et ainsi, vous serez au goût de tout le monde. La beauté dans la mort. Qu'en pensez-vous ?

Le taré rouge avait un sourire malsain aux lèvres. Ses lunettes rouges vulgaires envoyaient comme un reflet d'un regard malveillant.

Il commença à s'avancer, tronçonneuse en main, quand il entendit un bruit derrière lui.

[Si vous ne l'avez pas remarqué, Ketsueki parle de lui au féminin ce qui ajoute encore plus d’ambiguïté. A vous de voir si vous croyez que c'est une femme où non.]

- Vous avez bien raison. Cette couleur est celle des amaryllis qui flamboient dans les champs et plus personne n'a assez de bon goût pour en porter aujourd'hui. Il n'y a que la ravissante demoiselle que je suis qui ose encore en porter.


J'étais terrifié c'est vrai . Je n’arrêtais pas de me dire que je suis une fille forte mais j'avais toujours aussi peur , mes jambes continuèrent de trembler , mon regard était vide . Elle me sourit ce qui me rassurais pas du tout .

_ Ne vous en faites pas. Je peux arranger ce problème et ainsi, vous serez au goût de tout le monde. La beauté dans la mort. Qu'en pensez-vous ?

Alors la c'était la phrase qui me pétrifia sur place . Allez Jessica ce n'est qu'un cauchemar , c'est ce que je me répéter sans cesse pour un minimum me rassurer mais cela ne marchais pas . Elle avait un sourire malsain , mais quesqu'elle me veut ?

Elle commença a s'avancer avec sa tronçonneuse en main , j'allais reculer partir en courant quand j'entendis un bruit qui provenait derriére la femme rouge ..

-LACHEZ VOTRE ARME !

Son Glock braqué sur la tueuse, Marc se retenait de trembler, et n'y arrivait qu'à demi. En tout cas il était prêt à parier qu'il était blanc comme un linge, il sentait tout son corps glacé et des douleurs au ventre. Non, il n'était pas fait pour ce type de choses... Mais plus fort que sa peur de l'affront, sa peur de la souffrance et la mort, une autre, oui, bien plus forte : celle que Jessica meurt. Toute sa vie il s'était cru incapable de sacrifier sa vie pour quelqu'un, mais ces derniers jours deux de ses actions lui avaient prouvé qu'il était finalement quelqu'un de bien : sa décision de mettre en place un plan à Gotham qui ferait de tous les criminels de la ville ses ennemis... et son désir, cette nuit, de sauver Jessica. Tant pis s'il mourrait, il préférait ça à la souffrance éternelle de la savoir dans un monde dont il ne pourrait jamais la faire revenir. Finalement t'es un gars bien, se dit-il. Ou pas, il lui arrivait quelque chose d'humain, de naturel.

-Ecoutez, la tuer ne vous apportera rien ! Discutez, je suis sur qu'on peut négocier.

Toujours aussi terrifié, il gardait son viseur pointé sur le ventre de l'ordure. Au moindre geste suspect il tirerait. Qu'allait faire l'autre !

-LACHEZ VOTRE ARME !$
Ketsueki se retourna pour voir le visage de celui qui le menaçait. Il était vraiment séduisant mais la peur se lisait sur son visage. Ketsueki lâcha son arme au sol mais ne laisse ni la jeune femme ni l'autre approcher de sa tronçonneuse.
- Konbawa san. Vous voulez que je vous prête un mouchoir pour essuyer la sueur sur votre front ?
En un geste éclair, Ketsueki tenait le morceau de soie destiné à nettoyer cette sueur.

-Ecoutez, la tuer ne vous apportera rien ! Discutez, je suis sur qu'on peut négocier.
- Rien ? Vous en êtes vraiment sûr ? Je pourrais en retirer du plaisir et de la satisfaction personnelle. Je hais ces femmes qui se pavanent et qui ont toutes un avantage sur moi. Elles m'ont toujours refusées car je n'étais pas une vraie femme selon elles. Je vous écoute comme je vous trouve divertissant. Vous vous appelez comment démon angélique ?
Il sourit de plus belle, de ce même sourire carnassier.
- Moi c'est Ketsueki.

Ketsueki avait relâché son attention vis-à-vis de la jeune femme car cet homme l'impressionnait par sa bravoure.

-LACHEZ VOTRE ARME !

D'un seul coup je me retourne et vois Marc mon ancien patient , lui avec qui je suis aller au restaurant . Mais pourquoi est-il là , il m'a suivit ?? Plein de question dans ma tête , il tenais une arme . Je commençais juste a avoir moins peur , mais elle était toujours là malheureusement .Le femme lacha sa tronçonneuse au sol , mais ne voulait pas qu'on s'en n'approche ce qui était normal pour elle .

-[color=red]Konbawa san. Vous voulez que je vous prête un mouchoir pour essuyer la sueur sur votre front ?lor=blue]-Ecoutez, la tuer ne vous apportera rien ! Discutez, je suis sur qu'on peut négocier.

Ce qu'il faisait et ce qu'il disait était brave . Je ne pensais pas qu'un homme comme sa pouvait être aussi courageux .

-Rien ? Vous en êtes vraiment sûr ? Je pourrais en retirer du plaisir et de la satisfaction personnelle. Je hais ces femmes qui se pavanent et qui ont toutes un avantage sur moi. Elles m'ont toujours refusées car je n'étais pas une vraie femme selon elles. Je vous écoute comme je vous trouve divertissant. Vous vous appelez comment démon angélique ?

Elle sourit de plus belle .

-Moi c'est Ketsueki.

Elle avait làcher son intention envers moi , car Marc l'intéressait beaucoup . C'était le moment de prendre la tronçonneuse mais je me posais des questions et puis Zut . D'un geste brusque je pris la tronçonneuse et dit .

- Bouge plus maintenant . !!

-Mister Y, pour vous servir. C'est mon nom quand je suis en guerre avec quelqu'un. Tu devrais ne pas la tuer parce qu'elle est innocente, qu'elle ne mérite pas de mourir. Et c'est pas un objet, comme ça doit l'être pour toi. C'est une femme, si gentille, et si belle... si tu pouvais voir avec des vrais yeux, et pas avec des yeux de tueurs. Mais peut être en seras-tu capable un jour, pourquoi pas maintenant ? Allez l'ami, abandonne ton projet de meurtre, je m'engage à te laisser partir.
- Quelle délicate attention. C'est digne d'un homme avec un grand coeur. Je suis surprise mais vraiment surprise de croiser un homme comme vous dans de telles circonstances.
Cet homme agaçait néanmoins Ketsueki vu qu'il parlait de lui au masculin.

- Bouge plus maintenant . !!
Ketsueki émit un petit grognement en voyant que la blonde avait pris sa tronçonneuse.
- Et tu compte faire quoi avec ma tronçonneuse ? Me découper en morceaux ?
Ketsueki jeta un dernier sourire malsain à Mister Y avant de donner un coup de talon dans la jambe de la jeune femme. Elle avait dû relâché sa prise sur la tronçonneuse et Ketsueki s'était réfugié derrière elle en glissant la lame de la tronçonneuse sous son cou.
- Et maintenant que comptez-vous faire ?
Il chuchota ces quelques mots dans l'oreille de la jeune femme.
- Personne ne me prend ma tronçonneuse. Personne.
La voix de Ketsueki était sifflante car il était en colère que quelqu'un ait pu toucher à son jouet favori.
- Alors que me proposez-vous cher ami ? Vous savez qu'une lady comme moi a des goûts bien particuliers.

J'avais la tronçonneuse en main . Je ne savais même pas comment sa marche . Ketsueki me donna un coup de talon dans ma jambe ce qui me fit lâchais la tronçonneuse . Il m'avait fait trop mal , j'avais compris que c'était un homme maintenant . Ketsueki c'est réfugié derrière moi avec sa tronçonneuse dans mon coup , mon sang se glaça , ma peur était la je sentais plus mes membres .

- Et maintenant que comptez-vous faire ?

Je n'osais plus parler . Je réfléchissait pour m'en sortir car je en pensais pas que Marc pourrait tout seul même si il était tellement courageux . Il risquait sa vie pour moi , une jeune fille qui en fait qu'a sa tête .

- Personne ne me prend ma tronçonneuse. Personne.

Sa vois était sifflante , signe de colére

-Mais lachez moi , déposez moi !!

Je criais , j'avais des larmes qui coulait sur mes joues . Je voulais me débattais mais sa tronçonneuse était trop prêt de moi , je ne voulais quand même pas risquer quelque chose quoi que si j'aurai une chance de m'en sortir je le ferai .

-Alors que me proposez-vous cher ami ? Vous savez qu'une lady comme moi a des goûts bien particuliers.

F*** !!!

il s'était emparé de Jessica et il lui suffisait de faire un geste pour la découper en deux. Marc cria :

-Non ! Ne lui faites pas mal !

Mais qu'est ce qu'elle avait foutu, qu'est ce qu'elle avait foutu... ils s'en seraient tirés sinon. Il lui restait encore une dernière chance, cependant.

-Alors que me proposez-vous cher ami ? Vous savez qu'une lady comme moi a des goûts bien particuliers.


-Attendez Ketsueki, répondit-il, je vous connais. Je connais des amis à vous. Miss Nazo et... Kagi, votre propre chef. Je dois les aider à libérer Franck Morand, un ami de miss Nazo. J'ai des affaires avec eux ! Alors il vaudrait mieux que vous n'me déplaisiez pas ! Non ?

Glacé d'horreur, il se demandait si le mieux à faire était de déposer son arme, au risque de ne plus avoir d'emprise sur le tueur, ou de la garder, au risque de le voir tuer l'otage sous l'énervement d'être pris pour cible.

-Je vous en prie, ne faites pas ça...

L'humiliation lui comprima la gorge, mais il resta droit.

-Non ! Ne lui faites pas mal !
Ce jeune homme attendrirait presque Ketsueki.

-Mais lachez moi , déposez moi !!
- Vous voir ainsi me fait rire et je ne compte pas vous tuer pour le simple plaisir de lire la peur dans vos yeux.


-Attendez Ketsueki, je vous connais. Je connais des amis à vous. Miss Nazo et... Kagi, votre propre chef. Je dois les aider à libérer Franck Morand, un ami de miss Nazo. J'ai des affaires avec eux ! Alors il vaudrait mieux que vous n'me déplaisiez pas ! Non ?
- Kagi et Miss Nazo. Kagi est mon sama que je respecte plus que tout au monde mais je n'aime guère cette Miss Nazo. Lâchez votre arme, vous m'intriguez et dans le cas contraire, je vous aurais déjà tué.
Il baissa tout doucement sa tronçonneuse et recula à une distance respectable.
- Je vous laisse en vie pour le moment et je retourne voir Kagi sama. Si j'apprends que vous avez menti, vous ne perdez rien pour attendre.

- Je suis sûre que l'on peut s'arranger. Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée.

Ketsueki fit un baiser de la main avant de disparaître en courant. Sa rapidité en étonnait plus d'un.
Mister Y allait revoir Ketsueki et ils allaient devoir oublier cette nuit pour mieux combattre leur ennemi commun.

-Vous voir ainsi me fait rire et je ne compte pas vous tuer pour le simple plaisir de lire la peur dans vos yeux.

-Attendez Ketsueki, je vous connais. Je connais des amis à vous. Miss Nazo et... Kagi, votre propre chef. Je dois les aider à libérer Franck Morand, un ami de miss Nazo. J'ai des affaires avec eux ! Alors il vaudrait mieux que vous n'me déplaisiez pas ! Non ?


- Kagi et Miss Nazo. Kagi est mon sama que je respecte plus que tout au monde mais je n'aime guère cette Miss Nazo. Lâchez votre arme, vous m'intriguez et dans le cas contraire, je vous aurais déjà tué.

Je les écouter attentivement , pour essayer de comprendre . C'est vrai je suis très curieuse mais bon dé fois sa sert a quelque chose . Mais la j'étais un peu troubler je ne connaissait personne de nom A PART mon frère , quoi il va le délivrer . Faut que j'en sache plus sur cette histoire .

Ketsueki baissa sa tronçonneuse et recula a une distance respectable . Je tremblait toujours autant et alla me réfugier dans les bras de Marc en laissant les larmes coulaient .


- Je vous laisse en vie pour le moment et je retourne voir Kagi sama. Si j'apprends que vous avez menti, vous ne perdez rien pour attendre.

- Je suis sûre que l'on peut s'arranger. Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée.

- Marc je suis désolé . Merci pour tout .

Elle s'était réfugié dans ses bras. à ce moment Marc avait eu un choc et il lui sembla qu'il avait de la chanced'avoir tenu debout. Il comptait la prendre dans ses bras une fois Ketsueki éloigné, autant parce que ce moment avait été aussi terrifiant pour lui que pour elle que parce qu'il en ressentait un désir fort. Et elle y était allée elle même, il n'en attendait pas autant ! L'émotion le serrait comme un étau, c'était trop beau pour être vrai. Maintenant qu'allait-il faire ?

La jeune femme pleurait. Marc se sentait gêné, il ignorait comment la consoler... à vrai dire il ne lui était jamais arrivé une telle situation, jamais il n'avait eu l'occasion de consoler une femme. Il la serra bien fort contre lui.

- Marc je suis désolé . Merci pour tout .

-C'est rien, répondit-il. Il arrive à Gotham qu'on fasse de telles rencontres... ne soyez désolée de rien. Pardon, ne sois désolée de rien, je pense que maintenant j'ai le droit de te tutoyer. Jessica...

Il l'éloigna de quelques centimètres d'elle, essuya de deux doigts les larmes qui coulaient sur son visage.

-Ecoute Jessica...

Les mots n'arrivaient pas à sortir. Il se força :

-Jessica, je crois que je... Je... Je...

Mais il n'y arrivait pas, ça lui était impossible. Il avait trop peur et à la dernière fraction de seconde sa gorge bloquait la phrase, l'empêchant de sortir. Putain, il crévait d'envie qu'elle le sache... Mais il resterait toujours trop lâche pour le lui dire en face. Comme il se haissait, il n'était qu'un sinstre crétin. Il ouvrit une dernière fois la bouche mais cette fois celle ci resta totalement muette.

-C'est rien, Il arrive à Gotham qu'on fasse de telles rencontres... ne soyez désolée de rien. Pardon, ne sois désolée de rien, je pense que maintenant j'ai le droit de te tutoyer. Jessica...

J'hocha la tete pour lui dire " Oui" , j'avais maintenant juste quelque larmes qui coulait sur mon visage . il s'éloigna de quelque centimétre de moi , m'essuya de deux doigt le reste de larmes sur mon visage .

--Ecoute Jessica...

Je le regardait attentivement , car sa a l'air important pour lui ce qu'il a me dire .


-Jessica, je crois que je... Je... Je...

Il n'y arrivais pas , c'était assez étrange . Je voulais savoir .

- Quesqu'il y a Marc , regardait moi et disez moi ..

-Jessica, je t'... je t'aime.

Hoow c'était si mignion , mais la question c'est esque je ressent quelque chose pour lui . Je le regardait , il avait l'air foutu comme si directement j'allais lui dire non .

- Tu c'est Marc , tu est un homme formidable . Je préfére pas dire que je t'aime car c'est un peu trop tot . J'aimerai a apprendre a mieux de connaitre .

Je me rapprochais de lui et lui déposa un baiser au coin de ses lèvres .

Marc se sentit à la fois blessé et incroyablement soulagé et joyeux. Blessé car elle n'avait pas ses sentiments, quand lui était sûr d'en avoir, oui, sur... finirait elle par changer ? Et soulagé et heureux parce que... pas besoin de vous expliquer ! Elle l'avait embrassé.

Il la serra à nouveau fort contre lui, et répondit par de nouvelles embrassades. Cette scène était tellement belle... Quand enfin sa fougue fut satisfaite, il lui répondit :

-D'accord. Apprenons à nous connaitre. On prendra le temps qu'il faudra. Et je serais patient, t'en vaux largement le coup... alllez, je te ramène chez toi. Pour les prochaines fois où tu sortiras je te fournirai un de mes hommes, pour que tu sois protégée des dangers.

Il me réembrassa . Je ne sais pas ce qu'il m'arrivait mais j'aimais sa . Je n'était pas sur de mes sentiments , je le voyait qu'il était un peu blesser mais je n'y peut rien . Peut que plus tard cela pourra se faire .

-D'accord. Apprenons à nous connaitre. On prendra le temps qu'il faudra. Et je serais patient, t'en vaux largement le coup... allez, je te ramène chez toi. Pour les prochaines fois où tu sortiras je te fournirai un de mes hommes, pour que tu sois protégée des dangers.

J'hocha la tête avec un petit sourire en guise de réponse . Je pris sa main est on partîmes chez moi . J'était contente de cette révélation , mais moi j'étais un peu troublé ..