(H.R.P. Je propose comme ordre : Zsasz ; Alice ; Double-Face. Dac ?)


Le nouveau couple de criminels avançait dans la noirceur et la froideur qui étaient si propres à Arkham City. La jeune fille ne semblait pas rassurée. Zsasz ne lui adressa pas un seul regard mais senti sa peur au fur et à mesure qu’ils marchaient. Sa main se crispait de plus en plus.
Toujours sans la regarder Victor brisa le silence :

« N’ai pas peur. La peur n’est pas faite pour nous. Nous ne pouvons pas la ressentir. La peur n’est ressentie que par les faibles. »

Soudain, le psychopathe s’arrêta. Une silhouette venait d’apparaître dans cette ruelle plus sombre que jamais. Zsasz recula en lâchant la main d’Alice. Son but était de rester caché pour observer la réaction qu’elle allait avoir face à ce criminel sorti de nulle part. Ce dernier ne semblait pas avoir vu Victor qui, en recul, était maintenant totalement caché par l’obscurité. Il adressa quelques mots à la demoiselle :

« Salut ma mignonne. C’est pas prudent de se promener toute seule dans le noir. Allez viens voir papa. »

Il s’avançait vers Alice qui était un peu déboussolée, non pas qu’elle craignait le criminel, mais car elle se demandait si l’homme aux cicatrices l’avait abandonné à son sort. Le détenu, aux pensées malsaines s’approchait doucement de la jeune fille puis il s’arrêtât net. Son visage avait changé, il était comme immobilisé par la peur, son corps entier se mît à trembler, et pour cause, Zsasz venait de sortir de l’obscurité.
L’homme réussit à bafouiller :

« Zs…Zsasz….Je…Je ne savais pas…Pitié… »

Puis, il se mît à courir dans la direction opposée. Rapidement, Victor sortit sa lame et la projeta en direction de l’autre détenu. Le couteau atteignit le haut du dos de l’homme qui s’écroula à terre. Il gisait, il n’était pas mort. Le psychopathe se mit à marcher en sa direction, sous le regard de la jeune fille. Arrivé au niveau de l’homme, il lui tira les cheveux d’une manière très brutale afin de lui faire face.
L’homme aux cicatrices fixa le « pauvre » tolard et lui dit d’un ton des plus calme et inquiétant :

« Dis-moi…Est-ce que tu es perdu ? »

L’homme savait qu’il était condamné. Il était rare que Zsasz laisse filer une victime. Alors, sans répondre à la question, il tenta de se raisonner, et de se convaincre que c’était fini. Il supplia Victor, en pleurs :

« Vite…Je vous en supplie… »

Il craignait les tortures qui avaient fait la réputation du monstre qui se tenait prêt à l’abattre. C'est pour cela qu'il souhaitait accélérer la procédure. il ne voulait pas souffrir. Zsasz, un peu surpris par cette demande, le regarda puis lui chuchota :

« Ta dernière volonté sera respectée. »

Puis, devant les yeux de la jeune fille. Il lui trancha la gorge et le laissa tomber. Après avoir pris soin de nettoyer sa lame sur le dos du détenu, il s’adossa à un mur, et sans perdre de temps, il retroussa sa manche et il enfonça sa lame dans son avant-bras gauche. Il s’offrait un nouveau souvenir, une nouvelle pensée.
Tout en continuant son automutilation, il s’adressa à Alice :

« Le prochain, c’est toi qui le tuera. Là, je voulais juste m’assurer que tu ne trembles pas devant un moins que rien comme celui-là…Et tu ne m’as pas déçu. J’ai vraiment hâte de te voir à l’œuvre…De toutes façons, ce ne sont pas les occasions qui manquent ici. »

Victor se dirigea ensuite vers le cadavre. Il le saisi par le col de son vêtement déchiré puis le traina derrière lui. Ensuite, il retendit sa main vers la jeune fille. Puis ils se remirent en chemin.
Zsasz, rassurant, lui dis :

« Ne t’inquiète pas, nous y sommes bientôt. »

Et en effet, après quelques minutes, seulement de marche, ils arrivèrent devant le tribunal, le tribunal où se trouvait Double-Face.
Zsasz monta les marches tout en continuant de trainer le cadavre, comme on traîne un sac un peu trop lourd, derrière lui de la main droite, et toujours avec Alice qui le tenait par l’autre main. Les gardes d’Harvey avaient pris l’habitude de voir entrer et sortir Victor, c’est pour cela qu’ils le laissèrent passer sans soucis. Ils se rendirent dans la salle principale ou quelques hommes de Dent s’approchèrent d’eux, un large sourire aux lèvres, ce qui était sans doute dû à la vue d’une jeune fille…Ici. Zsasz prit les devants :

« Pas touche…Allez plutôt me chercher Harvey, et en vitesse…Dites-lui, que j’ai une surprise pour lui. »

Les hommes s’exécutèrent et s’éloignèrent de Victor qui attendait dans la salle. Le psychopathe libéra ses deux mains. Le cadavre avait coloré le sol du tribunal de son sang. Victor le mît sur le dos. Puis il demanda discrètement à Alice de s’éloigner un peu et d’attendre qu’on l’appelle.

Harvey descendit les marches lentement tout en contemplant, le cadavre qui souillait de son sang, les dalles de son tribunal. Le courroux sanguinaire de Victor, semblait avoir fait une nouvelle victime.Il était plaisant de voir que le tueur au couteau venait de reprendre du service.Dent avait douté de ses capacités au cours des derniers jours, suite à l'affaire Brogan. Visiblement, il pouvait dès à présent, retirer ses pensées négatives.

Il marcha en direction de son acolyte et put voir du coin de l’œil, qu'une jeune femme se tenait en retrait. Que faisait-elle ici ? Avait-elle un rapport quelconque avec leurs affaires ? Il n'allait pas tarder à connaitre la vérité, pour son plus grand plaisir.

" Victor. " Dit le Juge Fou sur un ton rauque mais néanmoins respectueux.

Sans rien dire de plus, il invita son invité à le suivre et lui fit comprendre d'une façon amusante, que sa victime ne bougerait pas d'endroit et qu'il attendrait son retour. L'étrange groupe avança à travers le minuscule tribunal, jusqu'à atteindre le centre de la bâtisse.
Un homme était suspendu la tête vers le bas, tout en étant au dessus de la cuve d'acide. Harvey lui adressa un sourire des plus sadiques, avant d'entamer les présentations.

" Ne faites pas attention à lui. Ce n'est qu'un vulgaire cloporte qui travaille pour Cobblepot. Il trainait dans le coin, surement à la recherche d'information croustillante sur nos prochaines actions .... "

" Non c'est pas vrai, je vous le jure m'sieur !!! "

" Ne jure pas, sale enfoiré ! "Enfin passons ... Que fais tu ici Victor ?

Puis il détourna son attention envers la jeune femme qui avait suivi sans dire un bout les deux hommes.

" C'est qui ? "

Il l'observa de la tête au pied. Cette nana semblait être dans un monde psychédélique. Elle se prenait visiblement pour Alice du conte du même nom. Que faisait-elle ici ? Sa place serait aux côtés du Chapelier ...

La paranoïa de Double-Face se mit une nouvelle fois sur le devant de la scène.

L’homme au double visage descendit les marches en fixant le cadavre et les traces laissés derrière celui-ci. Il tenta de masquer une certaine satisfaction, mais Zsasz la devina. Avait-il reconquis la confiance d’Harvey ? Il était bien trop tôt pour le dire. Cependant, grâce à Alice, il était sur le bon chemin.

Double Face invita Victor et la jeune fille à le suivre. Tous deux s’exécutèrent. Alice, bien que perdue dans son monde, semblait vraiment perturbée. On pouvait ressentir une certaine peur s’échapper de son comportement.
Les trois protagonistes passèrent alors devant un homme suspendu par les pieds, retenu par une large corde, au-dessus d’une cuve d’acide. De l’acide…un composé chimique que Dent avait appris à apprécier…Le même qui l’avait rendu…Comme ça. Il s’en servait à présent comme un sort destiné à ses ennemis pour se venger.

" Ne faites pas attention à lui. Ce n'est qu'un vulgaire cloporte qui travaille pour Cobblepot. Il trainait dans le coin, surement à la recherche d'information croustillante sur nos prochaines actions .... "

Un homme de Cobblepot…. Cet enfoiré !! S’il n’en tenait qu’à Zsasz il l’étriperait là maintenant, devant Harvey et sans aucune forme de pitié. Mais il ne voulait pas manquer de politesse devant le procureur fou. Ce dernier, quelque peu, intrigué par l’invité de Victor le questionna.

« Que fais-tu ici Victor ? C'est qui ? "

Zsasz s’empressa de répondre avec une certaine sureté. Il avait hâte de présenter cette nouvelle personne.

« Elle s’appelle Alice. C’est peut-être la clé Harvey. La clé qui nous permettra d’ouvrir la porte de la vengeance…Cette vengeance que l’on veut prendre toi et moi sur Cobblepot. Mais pour l’atteindre, nous en avons déjà parlé…Il faut d’abord faire tomber ses alliés…N’as-tu rien remarqué chez elle Harvey ? Hormis son prénom, Alice, c’est le sosie parfait de la petite fille du conte des merveilles. De plus, elle croit vraiment être l’héroïne de ce conte…Tu sais ce que ça signifie ? Le jouet parfait pour Jervis. Nous pouvons nous en servir pour mettre à genoux ce chien. »

Zsasz souriait, puis, il mît sa main autour du cou de Dent puis continua à vanter les mérites de sa partenaire.

« De plus, je peux te promettre que cette fille est dotée d’une adresse exceptionnelle. Alice…Tu ne veux pas montrer à Mr Dent ce que tu sais faire. »

Victor indiqua de son regard terrifiant l’homme suspendu au-dessus de la cuve. Alice comprit son maître et sans plus attendre prît sa fameuse lame, et l’envoya en direction du détenu. Le couteau, lancé avec une agilité extrême vint trancher la corde qui retenait l’espion de Cobblepot. Ce dernier fit un plongeon mortel. Il ne remonta pas à la surface, mais tout le monde avait compris qu’il venait de se dissoudre entièrement.
Alice, après avoir jeté un fier coup d’œil à son maître partit récupérer son couteau planté dans le mur derrière la cuve. Elle tournait le dos aux deux criminels.
Victor, quand à lui, se tourna vers Double Face et, un peu avec orgueil, lui dit :

« Alors, dis-moi Harvey. Qu’allons-nous faire de la gamine ? Elle est géniale n’est-ce pas ? »

Contre toute attente Dent ne paraissait ni étonné, ni emballé par l’idée de Zsasz et par Alice. Il ne détournait pas le regard de la jeune fille. Victor était perdu. Il avait tout bien fait. Qu’est ce qu’il voulait ? Le regard du juge fou laissait imaginer le pire.

Comme il fallait si attendre, Victor s'empressa de présenter avec un plaisir non-dissimulé, la jeune femme. Il s'agissait d'une pauvre malheureuse qui croyait coute que coute, qu'elle était l'héroïne du conte de Lewis Caroll. Une sorte de Jervis Tetch au féminin. Bref un atout non-négligeable dans le jeu de Harvey.

Dent put lire dans les yeux de son allié un certain plaisir. Une soif de reconnaissance. Victor prit même le risque de prendre son ami par le cou, afin de continuer son monologue des plus intéressants.

« De plus, je peux te promettre que cette fille est dotée d’une adresse exceptionnelle. Alice…Tu ne veux pas montrer à Mr Dent ce que tu sais faire. »

La jeune femme approuva de la tête la proposition de son patron qui montrait du doigt le prisonnier du Juge Fou. La jeune Alice sortit de sa robe bleu pâle, une lame. Elle observa l'espace de quelques secondes son arme et la jeta soudainement et avec une certaine habilité en direction de sa proie. Le couteau taillada avec une certaine élégance la corde, obligeant sa victime à piquer une tête dans la cuve d'acide.

L'homme hurla comme un pauvre diable ... cela ne dura que l'espace d'une ou deux secondes, puis le silence total. La démonstration était des plus impressionnantes. Harvey resta néanmoins de marbre face à la prouesse de cette psychopathe. Zsasz profita de la situation pour revenir à la "charge".

« Alors, dis-moi Harvey. Qu’allons-nous faire de la gamine ? Elle est géniale n’est-ce pas ? »

" Intéressant en effet ... "

L'homme au double-visage se gratta le menton, réfléchissant à " comment tirer profit " de la situation actuelle. Au bout d'un certain moment, il détourna son attention de la jeune femme et fit face au tueur au couteau. Il afficha son regard le plus sadique, faisant comprendre à son acolyte qu'il avait des pensées d'ordres malsaines. Il plongea sa main dans une des poches de son veston et en ressortit sa fameuse pièce. Comme à l'accoutumé il lança le morceau de métal qui afficha une réponse rapide et morbide. Dent pouffa légèrement de rire et regarda droit dans les yeux son ami.

" Tu sais, ce que tu as à faire pour rester dans nos rangs ... Victor ! "

Sans rien dire de plus, il attendit droit comme un " i ", espérant voir ses rêves, réalités.

Il ne pouvait y avoir qu'un seul tueur au couteau et Harvey souhaitait que ce titre revienne à Zsasz.

Il ne souhaitait pas faire d'affaire avec Alice ... il se méfiait de cette dernière comme de la peste. Qui sait, peu-être travaillée t'elle pour le Chapelier Fou ! Allez savoir !!!

« Intéressant en effet »

C’est tout, ce sont les seuls mots que Dent a trouvé à répondre à l’exploit de la jeune fille. Zsasz était abasourdi. Que pouvait-il faire de plus ? Victor n’allait pas tarder à le savoir. En effet, Double-Face se mit à le fixer d’un regard terrifiant…Même pour Zsasz… Il le surpassait totalement, pire, il se moquait de lui, de ses tentatives vaines pour tenter d’impressionner le procureur fou. Visiblement, ce nouvel essai fût un échec cuisant.

« Tu sais ce que tu as à faire pour rester dans nos rangs Victor » continua Harvey.

Victor qui pensait ouvrir une porte en amenant la fille, lui qui pensait reconquérir la confiance de Dent facilement vît le contraire se produire. Non seulement il n’avait pas du tout réussi à intimider Harvey mais en plus ce dernier commençait doucement à lui fermer ses portes. En fait, Victor avait oublié une chose, il avait besoin de Double-Face plus que Dent avait besoin de lui.

Néanmoins, il lui restait une chance de continuer à travailler pour Harvey et même si c’était un sous-entendu, Victor le comprit assez rapidement.
Alors, sans adresser un regard à l’homme au double visage, le psychopathe s’avança, les yeux fixant le sol…Alice, elle, était toujours de dos, occupée à contempler ce qu’elle venait de réaliser. La pauvre…Elle pensait surement avoir impressionné son maitre et le pire…C’est que c’était le cas. Zsasz, qui s’était alors placé en silence juste derrière Alice, agrippa sa fameuse lame et l’enfonça à l’arrière de la nuque de la fillette. Elle s’écroula au sol, avant que Victor ne la soulève et ne la jette à son tour dans la cuve d’acide.

L’homme resta un moment, réfléchissant ce qu’il venait de se passer. Il venait d’assassiner une personne avec laquelle il commençait à créer des liens. Et en fait, c’était ça que Harvey Dent refusait. Il ne voulait pas que Zsasz commence à avoir des sentiments, peu importe lesquels…Le fait que Victor se soit prouvé à lui-même était un test. Il l’a réussi. Maintenant rien n’empêchera Dent de croire qu’il pouvait de nouveau lui faire confiance et que cette histoire avec Lulla n’était que des mauvais souvenirs. D’ailleurs, si ils venaient à se revoir, Zsasz pourrait la tuer. Il l’a démontré ce soir. Cet homme n’a pas de sentiments.

Après ces quelques minutes de réflexion, Zsasz s’approcha de Dent, le fixa dans les yeux. Après avoir retroussé sa manche, il commença à respecter sa fameuse tradition. Toujours plongé dans les yeux du procureur il entama une nouvelle cicatrice. Puis il se mit à parler :

« Mon problème, Dent, c’est que je ne sais pas m’arrêter…Alors, comme tu me l’as ordonné…Je m’en vais trouver Holiday, et lui faire la peau. Tu es toujours d’accord ? »




(H.R.P. C'est tout pour moi Merci énormément, ça fait avancer mon perso, et désolé, même si je n'y suis pour rien, pour Alice)

Zsasz observa l'espace de quelques secondes son ami mais néanmoins associé. Victor semblait être surpris par ce rebondissement. Il quitta du regard le Juge Fou et avança à pas de loup en direction de Alice. Harvey quant-à lui souriait d'avance, se réjouissant de la futur scène à venir.

Puis les choses allèrent très vite.

Sans aucune pitié, le psychopathe prit sans réelle le difficulté l'arme de la jeune femme. Puis avec une aisance certaine, il enfonça sans regret la lame froide dans la peau tendre et chaude de sa victime. Cette dernière hurla puis finit par être noyé dans son propre sang. La mort avait été rapide et radicale. Zsasz retira le couteau, se qui eut pour effet d'activer une sorte de fontaine de sang se mêlant petit à petit avec sa chevelure. Même la robe bleu pâle prit une teinte plus sombre. Le corps de cette trainée baignait dans son propre sang. C'était à la fois affreux à observer mais aussi très excitant.

Le tueur au téléphone récupéra le corps et le jeta cette fois-ci dans la cuve d'acide. Un bruit de crépitement se fit entendre, suivi dans la foulée d'une odeur fortement désagréable. La peau de la morte fondait à vue d’œil avant de disparaitre totalement. Justice était faites, il ne restait plus qu'un seul tueur au couteau à Arkham à présent !

Zsasz descendit de l'estrade et retourna auprès de Double-Face. Il retroussa ensuite sa manche tout en fixant l'ancien procureur droit dans les yeux. Soudainement et sans aucune hésitation, il plongea la lame dans son avant-bras créant ainsi une nouvelle balafre. Il continuait de "peindre" son corps à son image. Il entretenait son œuvre d'art !

« Mon problème, Dent, c’est que je ne sais pas m’arrêter…Alors, comme tu me l’as ordonné…Je m’en vais trouver Holiday, et lui faire la peau. Tu es toujours d’accord ? »

Dent afficha son habituel sourire sadique, visiblement ravi de retrouver " enfin " le Victor Zsasz qu'il connaissait.

" Bien entendu que nous sommes toujours d'accord, Victor. Cet ordure dois payer pour les méfaits de sa famille. "

Comme à l'accoutumée, les deux hommes burent un verre pour fête leur accord. Arkham serait à eux d'ici peu ... seulement on ne sait jamais de quoi le destin sera fait !

Harvey allait en faire la triste expérience dans quelques semaines...

The End.