Je savais bien que marcher dans les rues de Gotham la nuit n'était pas sur (d'autant que je portais mon costume)-déjà la journée personne n'était totalement à l'abris du danger, alors la nuit, autant dire que c'était à peu près équivalent à s'offrir, si on était un citoyen lambda, à une tentative de vol, de viol ou d'agression, voire meurtre. Dans le cas contraire, cela venait à avouer être un criminel, un justicier, un flic, une proie...
Donc le fait que je me promène un peu partout en pleine nuit, bah...c'était un peu du suicide, d'autant plus que je traînais autour du repère du Joker-et après sa déclaration de guerre ouverte à toute personne qui ne le suivrait pas. Bien évidemment, je faisais attention à être discret et silencieux comme un ectoplasme. Tout en avançant vers le bâtiment, j'effleurais du doigt la lame d'un des couteaux qui pendait à ma ceinture. C'était rassurant, et cela me calma. En effet, j'étais assez nerveux : je risquais ma peau, à traîner ici. Et pour des prunes, en plus.

Je n'étais pas venu pour tuer qui que se soit ni voler quelque chose ou pour revendre ensuite des infos à qui que se soit sur une possible manœuvre que je pourrais apercevoir; j'étais juste là par curiosité : ça crevait l’œil que le roi de la farce et de la folie avait un plan prévu, autre chose que le massacre pur et simple de tout le monde dont j'avais vaguement entendu parlé à cause du remue ménage que cela avait provoqué à tous les étages. C'était quelqu'un de plus compliqué que ça, même si faire couler le sang était pour lui un jeu éclatant. Bon, certes j'avais des soupçons, mais je ne comptais pas non plus tenter de savoir à tout prix ce qu'il mijotait, tant que cela ne me concernait pas, vue ma sœur et moi n'étions que des petits criminels de basse volée qui n'avions rien fait de marquant, et Laureline était au courant qu'elle devait être encore plus méfiante que d'habitude avec tout ce qu'il se passait, on était près à répondre à la moindre attaque que l'on recevrait.

Toujours silencieusement, je me rapprochais du bâtiment en évitant les clowns montant la garde et je regardais les murs sales. L'ambiance qui se détachait de l'usine était un mélange de la présence palpable du danger et de la folie de son habitant principal, celui que tout le monde avait cru mort pendant un long moment. Personnellement, j'avais été ravis d'apprendre qu'il était toujours vivant.

Un bruit me sortit de mes pensées et j'eus tout juste le temps de me cacher qu'une clownesque sentinelle passait; heureusement elle ne m'avait pas aperçu. Je décidais que j'étais suffisamment resté et observait autour de moi pour m'assurer que je pourrais repartir sans problème.

Laurelinne se trouvait juste derrière son frère. Elle regarda à gauche, à droite, de part et d'autre, mais il n'y avait plus de sentinelle. Elle rapprocha donc ses lèvres de l'oreille de son aîné et lui chuchota.

-Tu crois que c'est bon, parce que j'aimerais bien faire un tour l'intérieur ? C'est pas tout les jours qu'on arrive à s'approcher aussi près de l'antre du Joker.

Elle sorti de leur cachette et s'avança parmi les débris. Soudainement, un homme, un des larbins du Roi des Fou, fit son apparition et surgit comme un fantôme face à elle. Presque guidée par ses réflexes, elle lui décocha une belle droite. Sonné, il tituba et manqua de s'étaler mais il se releva, près à riposter au coûte que coûte. Sans se dégonfler, Laurelinne sorti son Desert Eagle et l’assomma avec la crosse.

Quand il fut par terre, elle lui envoya son pied dans la tronche et se tourna vers son frère :

-Un petit souvenir''sourit-elle 'Bref, j’ai un plan : on va taper l'incruste chez le Joker en se déguisant en clowns. Génial non ? Simple mais efficace. Je te couvre en hauteur, chéri.

Elle s'éloigna et monta en hauteur, à la Assassin's Creed. Une fois là-haut, elle analysa les possibilités offertes par le site, sous la lumière de la lune. Sortant une carte de son sac, elle se mit à fomenter un plan de secours-on sait jamais, prudence est mère de sûreté. Elle continua jusqu'à repérer une proie et se faufila comme une anguille jusqu'à sa future victime. Quand elle fut proche de lui, elle sorti une seringue et la lui planta dans la jugulaire. Elle chuchota au creux de son oreille

-Bonne chance au paradis mon pote.

Il s'écroula comme une masse dans la poussière et elle lui taxa ses fringues.

Ensuite, elle redescendit comme si de rien n'était et rejoignit son frère, parfaitement sereine. Elle le reconnut au premier coup d’œil par son attitude nonchalante.Néanmoins, pour qu'il la reconnaisse, elle lui donna discrètement une tape au cul

-Hmm, ça c’est renforcé''dit-elle suavement.

Avant qu'li ne réponde ou fasse quoi que se soit elle prit les devants car c'était la meneuse, que se soit au dessus ou en dessous :

-Let's rock !

Ils pénétrèrent enfin dans la tanière du Roi des Fous. L'appréhension leur nouait les entrailles. Ils étaient aussi excités que des puce mais devaient se retenir, car il ne faut pas l'oublier Jack était fan du Joker.

-Pas mal le coin....''siffla t-elle d'admiration ''Il a de bons goûts ton chouchou, j'vais être jalouse''railla t-elle.

-Hmm, ça c’est renforcé là !

...

Laurelinne...Si on se fait chopper à cause de toi...
Cependant, je ne répondis rien et la suivit jusque dans le bâtiment crasseux. C'était lugubre, et pourtant...Avec toute cette folie, il y avait un air de fête. Il n'y avait pas beaucoup d'hommes, donc les rumeurs selon lesquelles le Joker n'avait plus beaucoup de sbires étaient vraies, don cil y avait forcément des postes libres étaient aussi véridiques. Qu'on ne se méprenne pas : je ne comptais pas m'engager en tant que Clown, je ne pouvais tout simplement pas à cause de Laurelinne-et de toute manière je ne l'aurais pas fait, hors de question que je l'abandonne. D'ailleurs, j'évitais de trop m'éloigner d'elle.

-Pas mal le coin....''siffla t-elle d'admiration ''Il a de bons goûts ton chouchou, j'vais être jalouse''railla t-elle.

Je souris et me rapprochais, de manière à pouvoir lui susurrer dans l'oreille :
-Tu n'as pas de quoi <3

Après cela, on nous força à avancer, et on s'enfonça plus encore dans l'antre du Fou.Les murs étaient tagués et sales, il y avait parfois de la pourriture sur les coins du plafond. L'odeur était pire que nauséabonde ou pestilentielle, des relents de chair brûlée et de sang.
Il y avait du bruit plus à l'avant, des cris plus à 'avant, il me semblait, on aurait dit que quelqu'un, ou plutôt plusieurs personnes, arranguaient des gens. La voix du maître des lieux se fit entendre :

- "Bienvenue truands de la pire espèce, soyez les bienvenus parmi nous. Vous le regretterez surement. Vous êtes dix et il n'y a de la place que pour cinq personnes. Vous savez ce qu'il vous reste a faire pas vrai les p'tits gars."

La voix s'était amplifiée au fur et à mesure que ma sœur et moi nous avancions, toujours prudents et déguisés en clowns. Plus que jamais, il fallait qu'on reste discret. Et malgré ma curiosité, il valait mieux qu'on se tire de là la plus vite possible, avant de risquer trop gros. Nous nous postâmes en hauteur, veillant à être prés d'une sortie au as où. De là où on était postés, on pouvait voir qu'il y avait effectivement un groupe d'hommes, des voleurs à la tire ou agresseurs, une dizaine semblait-il. Et étant donné la personnalité du Joker, c'était sur qu'ils allaient devoir s'entretuer. Ce qui ne manqua pas :

- "Soyons généreux, et offrons leur de quoi s'amuser, hein les gars ?"

Un sourire apparut sur mon visage. J'étais certes prudent mais le sang...Aaaaah, j'aimais bien. Les dix hommes commencèrent à s'entretuer, c'était barbare et sans aucune qualité mais les cinq pauvres hommes qui s'en sortiraient ne seraient que de la chair à canon, en quelque sorte. Des sacrifiés en attente. Je surveillais Laurelinne, en même temps, prêt à réagir si elle faisait une boulette-ce qui n'était pas à excluren, la connaissant. Tout comme ceux qui criaient, je sentais l'excitation qui vibrait ici, même malsaine.

-Tu n'as pas de quoi <3

Laureline se tourna face à Jack.

- Ah bon ? Vraiment ? Tu me donneras la preuve à la maison ? Si tu en as le cran.

L'odeur était presque insoutenable et parfois la jeune femme avait des nausées. Elle serra les poing et les dents. Dans son esprit ne raisonnait qu'une seule phrase ** ça craint ** , elle se tourna vers Jack et dans ses yeux se refléta une légère peur... Mais elle s'effaça bien vite car... Elle avait un plan!
Cheshire désigna d'un léger mouvement de tête en endroit situé en hauteur, près d'une sortie de secours. Elle se positionna un peu à l'écart pour ne pas éveiller les soupçons tout en profitent du spectacle offert par Joker.

Elle eu un rictus !

- Combien tu parie qu'il ne laissera aucun survivants... C'est une arène, Jack, une putain d'arène dont le seule maître et César est Joker!

Laureline croisa ses bras. Le sang giclait à foison et des hurlements se faisaient entendre, petit à petit mais, surement! La jeune femme s'installa sur le rebord, les pieds dans le vide.

- Dommage il n'y a pas de pop-corn... Sa tête bascula en arrière, c'est ce que tu te dis Jack, n'est ce pas? Où sont ces foutus pop-corns!
Elle sortit une mini longue vue et poussa un long gémissement d'ennui...
- Où est notre petit Joker? C'est vrai quoi... Tu ne voudrais pas partir sans autographe ... Comme ce serait dommage, toi, son plus grand fan, toi qui est si joyeux quand-il commet une de ses fabuleuses farces?

La jeune criminelle inspira à fond.
- Tu voudrais faire partie de la prochaine BOOM de monsieur Joke? Elle savait déjà la réponse... Oui.

Elle ramena ses pieds sur le béton et eu un petit rire. Fixant son frère, la jeune femme le regarda de haut en bas.
- Ma foi, le costume de dindon de la farce de te sied à merveille, chéri.
Bha mince alors, Laureline était en colère... Elle voyait bien toute l'admiration que portait son petit frère sur le Joker... Là à l'instant même... Les yeux de Jack brillé devant la scène... était-il ému ?


Elle haussa des épaules... Peut-être ...

Puis son attention fut captée par un combat plutôt sanglant... Juteux à souhait ! Elle se désintéressa de son petit frère et lui tourna le dos, comme si ce léger début de dispute n'avait jamais eu lieux.

Deadshot, posté en hauteur près de l'aciérie depuis quelques heures maintenant, attendait de localiser sa cible.
Il tenait entre ses mains son fusil sniper et scrutait chaque entrées et chaque sorties du bâtiment.

Il y a quelques jours, Deadshot avait signé un contrat avec un grand trafiquant de drogue de la ville pour éliminer un lieutenant du Joker : Matt Spyler. Il ignorait pourquoi ce trafiquant voulait s'en débarrasser, mais peu importe. Tout ce qui comptait pour le tireur, c'était éliminer sa cible et toucher la prime.

Après trois heures d'attente, l'assassin vit dans son viseur deux ombres se dépaçantent le long des murs ; il venait de répérer Jack Ledger et sa soeur Laureline. Il les ignora jugeant qu'il devait rester concentré sur son objectif. Peu de temps après que Laureline Ledger ai neutralisé un garde, il vit un homme sortant du bâtiment un takie-walkie dans la main droite et un Python 357 Magnum dans la main gauche; Deadshot identifia aussitôt l'homme. Un homme âgé d'une quarantaine d'années, d'un mètre quatre vingt-dix et baraqué à la Stallone. Une cicatrice au visage, commençait au milieu du front, descendait le long de l'arête du nez et qui s'arrêtait sur la joue gauche confirmait automatiquement que le tireur avait repéré sa cible. l'homme était énervé. Ses brusques mouvements de bras dans les airs et sa façon de crier dans le takie-walkie ne trompait pas. Le lieutenant du Joker attendait une réponse de celui à qui il communiquait.

Soudain, d'un coup de pied, il renversa une poubelle et lança plusieurs jurons. Puis, il s'immobilisa quelques secondes et se dirigea dans une autre direction. Deadshot aurait facilement pu l'éliminer d'une balle dans la tête, mais il y avait beaucoup trop de surveillance autour de Matt Spyler. Le tueur à gages décida donc de suivre son plan initial et d'attendre que Matt se dirige dans une zone éloignée de toute surveillance.
Deadshot constata alors que le Lieutenant du Joker se dirigeait dans la direction du garde que Laureline avait neutralisé plus tôt.

- Merde ! lança Deadshot.

Je me faufilais à la suite de ma sœur, veillant à ne pas attirer l'attention quand je lui parlais :

- Combien tu parie qu'il ne laissera aucun survivants... C'est une arène, Jack, une putain d'arène dont le seule maître et César est Joker! - Dommage il n'y a pas de pop-corn... c'est ce que tu te dis Jack, n'est ce pas? Où sont ces foutus pop-corns!

Je ne répondis, me contentant de sourire. Vu le ton qu'elle prenait peu à peu, les railleries et remarques acerbes n'allaient pas tarder, sur à cent pourcent. Et je ne me trompais pas, peu après elle reprit la parole ;

- Où est notre petit Joker? C'est vrai quoi... Tu ne voudrais pas partir sans autographe ... Comme ce serait dommage, toi, son plus grand fan, toi qui est si joyeux quand-il commet une de ses fabuleuses farces? - Ma foi, le costume de dindon de la farce de te sied à merveille, chéri.

..Ok j'avoue que je ne m'étais pas attendu à ça. D'habitude, quand on risque à ce point notre peau, elle pense d'abord à notre survie puis a clasher. Je soupirais, comme chaque fois qu'elle s'engageait sur ce terrain là, me rapprochant indiciblement en affectant l'impassibilité qui semblait animer tous les autres clowns près de nous-dont aucun heureusement ne nous prêtait attention.

-Tu te rends compte que tu me fais une crise de jalousie inutile et ridicule alors qu'on risque nos peaux ma vieille ? Je te le répète encore une fois, non je ne me laisserais pas enrôler parmi ses hommes je sais aussi bien que toi  qu'ils sont quasiment condamnés dès qu'ils acceptent de bosser pour lui. Donc pas de quoi t'inquiéter à ce niveau là, mais si tu y tiens on en discutera à la maison, j'ai pas vraiment envie qu'on nous remarque

Je veillais à être discret et inaudible de toute personne à part Laureline, avant d'observer les visages alentours, sans me faire voir, afin de savoir jusqu'à quel point nous pouvions rester ici sans danger. Bon ok, je voulais dire les regards. Mais ça n’empêchait pas que je ne remarquais personne nous surveillant, toute l'attention était tournée vers les protagonistes au centre de la pièce.

Ils s'agitaient toujours dans des flots de sang, mais même s'ils y mettaient plus de vigueur ce n'était que de la crainte maintenant que l'homme de main du maître des lieux était arrivé, aussi menaçant que l'arrivée de la mort elle même.
Pour être franc, il me flanqua des frissons. C'était vertes un numéro destiné à forcé les participants à réagir et se bouger mais quand même, quand on savait de quoi il était capable...Ça sentait vraiment mauvais, ça puait même dangereusement.

Le problème, c'est que partir maintenant serait louche, donc nous voila coincés ici, en jouant nos rôles de sbires du mieux possible. Alors je me mis à crier avec les autres clowns quand un autre des hommes tomba au sol, se faisant littéralement exploser

Matt Spyler, ayant découvert le corps de son subordonné, appela trois gardes en renfort :
"Ici Matt, j'ai un homme à terre, j'ai besoin de renforts dans la cour. D'urgence !"

Deadshot vit un trio d'hommes armés de fusils d'assaut débarquer dans la cour. Il avait déjà réfléchit à ce problème et savait parfaitement ce qu'il devait faire.

"Changement de plan" murmura Deadshot.

Le plan du mercenaire était simple : il devait attendre que les quatres larbins du Joker se séparent pour pouvoir supprimer sa cible et finir son contrat.
Mais dans son dur métier, rien n'est simple...
Les trois hommes restèrent groupés pendant une dizaine de minutes le temps de chercher et de neutraliser l'intrus.
Le temps passait et les hommes était passé de létat de stress à l'état de panique. Un des gardes lança :

"- Aller, on rentre, on expliquera la situation au Joker.

- Il a raison, c'est certainement un cinglé qui a fait le coup !Qui oserais s'attaquer au Joker ? lança un second.

- Non, la façon dont le garde a été neutralisé est pas normal , déclara Matt, on a un intrus, déclenchez l'alerte."


Matt envoya deux gardes avertir le Joker pendant que lui et le troisième homme surveilla les alentours.
Le lieutenant ordonna :

" - Vous deux, allez avertir le Joker qu'on a un intrus. Toi, viens avec moi."

Les deux gardes partis alerter le Joker, sortir de la Cour et de la surveillance des caméras. Les deux larbins courraient et étaient loin de se douter qu'ils étaient surveiller par le meilleur tireur d'élite.
Soudain, une balle traversa la cour, filant a plus de ???km/h traversa le crâne du premier garde et fini sa course dans un mur. En moins d'une fraction de seconde, une deuxième balle sortit du canon du sniper de Deadshot pour emprunter le même itinéraire que la balle précédente.
Les corps sans vie des deux hommes s'affalèrent par terre sans que personne ne s'en aperçoive.

"- Plus que deux." murmura Deadshot.

Le tueur se tourna pour tuer sa cible. Il posa son sniper, pencha sa tête en avant, regarda dans son viseur, inclina une dernière fois l'arme en direction de Matt Spyler, puis posa son doigt sur la détente.
En moins d'une seconde, son boulot sera fini. Deadshot visa le lieutenant, et pressa la gâchette. La balle qui lui rapportera sa prime fendit les airs pour éclater l'arrière de la tête de sa cible pour l'envoyer en Enfer. Il tua aussi le garde posté aux côtés du cadavre : son contrat était rempli.

Le tueur à gages qui s'apprétait à quitter les lieux reçu un appel de son commanditaire.Deadshot plaqua le téléphone à son oreille.

"- J'ai un second service à te donner, expliqua le trafiquant, il s'agirait de...mmmmh...tuer une quinzaine d'hommes du Joker, de mettre un peu la merde dans son aciérie; tu voit ce que je veux dire.En plus du fait que je double ta prime, tu auras l'éternel reconnaissance de la mafia Ukrainienne."

La liaison coupée, Deadshot éteigna le téléphone. Il devait s'infiltrer dans l'aciérie, tuer une quinzaine d'hommes, puis repartir.Il n'avait pas prévu le coup de fil du trafiquant de drogue. Il lui fallait donc élaborer un plan.

Deadshot se leva, pris son matériel, et avança sur les toits en direction du bâtiment central de l'aciérie. Le mercenaire tira à l'aide d'un pistolet grappin sur le toit du bâtiment principal. Il atteignit le toit de l'aciérie, fixa une corde à sa ceinture qui le reliait avec le toit et descendit en rappel.
Il brisa une vitre grâce à son matériel et s'infiltra dicretement dans l'aciérie.