«On a faim Quinn...»

«Moi aussi mon ventre est vide et je ne me plains pas. Mes pauvres petits bébés aussi sont affamés.»

Les deux hyènes s'agitèrent quand Harley se mit à leur parler. Elles ne comprenaient surement pas ce qu'elle disait mais bébé faisait trop souvent parti du vocabulaire dit a leur encontre. Elles étaient couché sur le sol froid et reposaient leurs pattes sur le plancher. Elles regardaient les hommes, repas régulier c'est temps-ci à cause du manque de nourriture distribués aux douanes, le sourire toujours pendu à leurs lèvres. C'est étonnant comment de pauvre animaux semblaient avoir des sentiments et ce genre de bestioles dans l'endroit faisaient peur à plus d'un. Harley était redoutable mais ses hyènes étaient plus sauvages encore. Les animaux n'étaient pas comptés dans le calcul à la distribution et ces mangeurs de charognes se faisaient un régal des cadavres qui jonchaient le sol faisant des rues un théâtre macabres à la hauteur des visions des plus dérangés des fous qui trainaient encore dans le quartier.

L'humour du Joker lui manquait terriblement. Ça faisait presqu'un an qu'elle vivait auprès de lui dans ce paysage désolé et entouré de hauts murs. Un an qu'elle se battait pour sa survie en mettant sur le sol des prisonniers de Blackgate qui s'étaient mélangés à leur univers d'Arkham City. Une année complète de guerre auxquels ces hommes étaient mélangés en suivant aveuglement le Joker. Son rôle maintenant était de garder ce rôle intact mais agir en son propre nom. Les funérailles étaient passées. Harley Quinn regrettait cette mort qui fut son lien depuis son entrée à Arkham Asylum après ses études qui ne furent pas très concluante. Elle était tombée amoureuse. Ivy aussi lui manquait déjà même si elle veniat à peine de quitté ce refuge accueillant mais trop verdoyant.

Ce n'était pas si plaisant d'être la Reine d'Arkham sans les blagues du Joker ni rien savoir commander. Il fallait toujours régler les différentes situations pour faire de lbonheur de tous mais aux vues du premiers avertissement, elle hésitait à se présenter aux douanes surtout si le Pingouin s'y présentait aussi. Si il avait tué son poussin, il pouvait faire la même chose avec elle dès que son dos serait tourné.

«Quinn? Le Joker...»

«Le Joker n'est plus là! Et on n'est pas à l'Asile d'Arkham pour avoir de délicieux petits plateaux de nourriture en conserve réchauffé...conserve...»

La jeune femme au costume bicolore se leva d'un coup et regarda Gaggy qui continuait de dire son point mais elle ne l'écoutait pas. Elle savait qu'il n'était pas pour ses gestes et surtout s'amusait à parler contre elle. Il faut dire qu'il a toujours jalousé la place qu'elle avait eu peu après sa rencontre avec le Joker. Elle oublia ce comique de petit nain et repensa à l'idée qu'elle venait de sortir bêtement. Il y avait dans les murs de l'asile assez de conserves encore pour plusieurs années si personne n'y avait encore touché après cette longue année. Les prisonniers n'étaient pas au courant d'une telle source de nourriture. Elle avait été employé dans cet asile pendant un court moment, suffisant pour analyser plusieurs détenue et de faire le tour de tout ce qui existait. Elle n'avait pas abuser des systèmes en tant que détenu, étant plus facile de quitter la prison en étant sage et ayant un comportement exemplaire.

«Qui s'occupe de l'asile? L'épouvantail et Black Mask? Je pourrais peut-être m'arranger et ramener plus de nourriture qu'il nous en faut! Toi et toi! Vous venez avec moi...prenez vos nouveaux masques, on va rendre visite à de vieux copains.»

Elle désigna deux de ses hommes qui allèrent chercher les masques plats peinturé bleu d'un côté et rouge de l'autre. Ils étaient simples et surtout facile à fabriquer pour les nouvelles troupes qu'elle se constituait. Elle prit son sac et sa masse et partit en direction de l'asile. C'était peu à dire mais le chemin était quand même long si en plus ils voulaient éviter les troupes du Pingouin. Ils étaient trop pour qu'elle puisse avoir un quelconque avantage sur eux et surtout qu'ils avaient vidé les coffres des armes de la biosyn. La dame avait donc eu raison sur ce point, elle avait négocié avec le Joker contre Pandora.

Elle arriva devant les grilles de l'île. Le système de caméra marchait surement encore. Infiltrer l'endroit serait difficile et utilisa le moyen le plus simple qui lui vienne à l'esprit.

«Hey! Il y a quelqu'un là dedans?»

Elle faisait signe partout en espérant que quelqu'un réponde un jour. Les deux hommes qui l'accompagnaient attendaient un peu plus loin question de ne pas se faire tirer à vue.

Cela fessait un certains nombres de jours que les hommes de Max Shrek étaient venus me jeter dans une cellule de l’asile d’Akham city. Pendant ces quelques jours passés dans la cellule, j’ai eu le temps de penser à mon plan d’évasion. J’ai observé chaque recoin de ma cellule, mais en vain. Les idées me manquaient. Après deux jours enfermés, j’ai remarqué qu’il y avait une fuite d’eau au plafond et grâce à celle-ci, j’ai pu boire et ainsi survivre plus longtemps que je ne le pensais.

Je ne peux pas rester ici indefiniment….il faut que je sorte le plus rapidement, mais comment….

Une bonne journée où je commençais à perdre confiance, une brique qui était un peu décollé par le temps à fait en sorte que je repris confiance. Je l’ai enlevée et je remarquai un trou qui menait à un système de ventilation. J’ai donc utilisé ma queue que j’ai rentrée dans le trou et tirée pour ainsi faire tomber le mur qui me séparait de la liberté. J’ai donc emprunté le passage. Il devenait de plus en plus petit et se mettait à monter. En utilisant mes habiletés de contorsionniste, je pu poursuivre mon chemin vers une liberté. Pendant mon chemin, j’entendais une voix au loin qui demandait s’il y avait quelqu’un. J’ai donc suivi la voix. En regardant pas la grille j’ai remarqué une fille avec deux gardes du corps.

Devrais-je allé la voir ou continuer mon chemin, car je l’admets, je ne sais pas où je suis….

J’ai pris quelques secondes pour observer ce que je pourrais faire de plus pour avancer dans ma recherche de nourriture, je vois un rat qui bouge dans la conduite de ventilation et je fonce dessus pour le mordre, une fois qu’il ne bouge plus et je décide de le manger. Je reviens sur mes pas et je vois encore la femme qui est au même endroit. Après quelques secondes, j’ai décidé d’ouvrir la grille, car je ne sais pourquoi je sentais une certaine confiance en cette personne. Elle pourrait peut-être aussi m’aider à trouver de la nourriture. Qui plus est-elle à l’air à bien connaître le coin. Je savais que je prenais un risque en me montrant à un étranger, mais rendu où j’en étais je n’avais plus de choix.

Elle attendait tranquillement en fixant toujours la caméras dont elle ignorait si elle marchait ou pas. Les deux bras dans le dos qui tenait l'énorme masse, elle se balançait tranquillement sur ses talons puis la pointe de ses pieds et de retour sur ses talons. Les deux hommes continuaient à surveiller les environs. Il n'était pas rare de se faire surprendre et ce nouveau motif devait intriguer un peu. Même le costume d'Harley Quinn était différent. Elle était revenue complètement changée depuis sa brève disparition de la ville-prison. En bien ou en mal, l'heureux hôte de l'asile allait bientôt le découvrir. Elle souri quand les grilles de l'établissement s'ouvrirent. Elle lança un petit cri bouche fermée de contentement et commença sa démarche déhanchée quand elles eurent totalement ouvertes. La masse revint sur son épaule et les deux hommes ne demandèrent pas leur reste et entrèrent entre les grilles eux aussi. À peine eut-elle entrepris son avancé que deux points rouge vinrent se lover contre son corps. Harley s'arrêta pour regarder autour et savoir leur provenance. Elle fit un pas sur le côté et parti à rire. Elle s'en fichait totalement. Elle recommença sa marche mais en sautillant et gambadant au désespoir de ses hommes de mains qui trainaient en arrière. Elle prenait de l'avance mais si il y avait du danger, ce ne serait pas eux qui prendrait les premières balles.

«Hey! Qui es-tu! Plus un geste ou je tire!»

Un de hommes avait remarqué la silhouette sinueuse qui les suivait. Il braqua son arme semi-automatique vers l'homme-serpent en lui demandant d'arrêter. Harley se retourna pour observer ce qui avait causer tout ce stress à ses hommes. Entre cet homme étrange et elle, il fallait choisir son camp. La Reine d'Arkham s'avança vers l'inconnu en se plaçant entre les deux hommes qui étaient au qui-vive. Elle revint se placer face à l'asile pou voir si les deux points la suivait encore. C'était le cas. Elle approcha sa main de sa bouche, envoya un baiser sonore vers nul part et refit face au serpent.

«Oh! le petit chien chien de l'épouvantail vient voir les invités.»

L'Arlequine se pencha pour frapper sur ses cuisses comme pour faire venir une bête docile et gentille. Elle était habituée à faire face à des gens étranges et le ridicule ne l'effrayait plus. Son état était complètement plongé dans la folie où de petit moment de lucidité lui donnait des idées telles que sa mission de ce soir. Malgré que personne de sensé serait venu déranger les quelconques possesseurs de l'établissement surtout après avoir entendu les quelques rumeurs qui en sortaient. Mais les lois de la ville étaient dures et elle s'était déjà fait attraper après le couvre-feu. Sa situation allait seulement s'empirer. Mais pour avoir vu son dossier plus d'une fois, c'était peine perdue pour se retrouver libre de l'autre côté sans se faire achaler. Alors tous les coups étaient permis.

«J'ai la permission d'entrer moi! Ah! Mais je te donne une chance. Donne-moi une bonne raison, non en fait 3 très bonnes raisons pour que tu puisses continuer de me suivre et je te laisse entrer avec moi. Sinon...»

Elle passe le doigt sous sa gorge comme pour simuler un égorgement et continua le mouvement jusqu'à pointer le malheureux comme si elle tenait un fusil. C'était dur de savoir ce qui était le plus meurtrier entre l'énorme masse ou les fusils de ses deux gardes du corps. Ce qui était encore plus drôle était qu'elle se foutait des raisons. Mais comme les gens avait l'habitude c'est temps-ci de se dévoiler à elle et donner les raisons de leur visite sans qu'elle le demande, elle le laissa parler. Si il la rejoignait, c'était un homme de plus à sa boote. Dans le cas contraire, il était un joujou des criminels de l'asile et elle le laisserait en paix. Harley Quinn était armée plus qu'il ne le fallait en plus de détenir une incroyable flexibilité. Ce n'était ni celle de Ragdoll ni non plus celle de Jester, mais la gymnastique l'avait aider à développer sa dextérité et elle maintenait la condition à son corps depuis tout ce temps.

[HRP : J'attend la réponse de Copperhead et on entre te rendre visite mon choux!]

Je regardais la fille qui elle aussi me regardait, je voyais aussi ses hommes qui me pointais une arme dessus. J’ai dus réagir vite en voyant cela je me suis ainsi mit dans un coin s’ombre, où les hommes me verraient difficilement. En voulant prendre le risque de me faire voir j’ai du compromettre l’avantage que j’avais de ne pas être vue. J’ai passé plusieurs secondes dans le noir pour trouver une solution à cette situation délicate. En l’observant, j’ai remarqué que la fille était nerveuse. J’ai donc continué à la suivre pendant qu’elle avançait avec ses deux gardes du corps. Ils essayais de désespérément de me trouver dans la pénombre qui me servait de seul avantage tactique pour le moment. Une de mes craintes étais qu'il décide de me tiré dessus sans avoir reçu les ordres de la fille qui les accompagnait. Mais, je l’ai vue se retourné une autre fois. Soudain, de loin je l’entendis :

«J'ai la permission d'entrer moi! Ah! Mais je te donne une chance. Donne-moi une bonne raison, non en fait 3 très bonnes raisons pour que tu puisses continuer de me suivre et je te laisse entrer avec moi. Sinon...»

En entendant cela, il me fallait trouver une solution au plus vite pour me sortir de cette situation.

Si je réponds à sa question je pourrais rester avec elle et voir ce qui va se passer, je n’ai plus le choix, il faut que je réponde.

J’ai dû donc prendre quelques secondes pour y répondre, car je n’avais pas préparé ce genre de situation. Qui plus est je n’ai pas le choix sinon, je cours à ma perte, surtout dans l’état que je suis en ce moment. Aussi, il faut que je donne de bonnes raisons, car la situation peut vite devenir un massacre entre nos deux partis. Je continus d’attendre quelques secondes pour être sûr que le tout va bien se dérouler, car si mon plan échoue elle pourrait le prendre mal et ainsi dire à ses hommes d'ouvrir le feu sur moi. Je donc décidé de foncer et de voir ce qui va se passé, alors je sortis de la noirceur et je me trouvais maintenant nez à nez avec cette fille et je lui dis :

«Je vais répondre à votre question, car une alliance serai plus que profitable entre nos deux partis, premièrement je peux vous apportez beaucoup de soutien, deuxièmement je peux être fort utile dans ce que vous ferez et troisièmement je suis qui est très discret, comme vous avez pu le constater.»

L'homme déguisé en serpent semblait vouloir disparaître du champ de vision de ses hommes. Il devait être effrayé le pauvre petit. Le temps passait et il ne désignait pas répondre à sa question non plus que de lui donner de bonnes raisons pour qu'elle ne l'abatte pas sur le champ. C'était simple en fait dans Arkham City, si tu étais intelligent, montre que tu peux servir à quelque chose. Si tu es fort, fait le stupide pour survivre en compagnie des plus forts. Harley appuya sa main contre le canon de l'arme d'un des hommes. Elle s'avança un peu en cherchant du regard l'homme qui avait un certain dont pour disparaitre de la vue. Harley allait se retourner et le laisser à sa place mais il apparu devant ses yeux. Elle recula un peu surprise.

Personne n'avait l'habitude de l'approcher aussi prêt. On avait tendance à s'éloigner d'elle quand elle commençait de grand discours distordus ou commençait a promener un peu trop sa masse. Elle était trop imprévisible pour les gens. Alors qu'on pensait qu'elle allait vous balancer la masse dans le visage, c'était son pied qui heurtait les cordes sensibles. D'un genre sadique mais imbécile, la reine du crime avait l'art de se faire passer pour une bonne à rien mais qui en fait pouvait faire des exploits. On ne s'attendait à rien d'elle, ce qui constituait sa plus grande force.

«Je vais répondre à votre question, car une alliance serai plus que profitable entre nos deux partis, premièrement je peux vous apportez beaucoup de soutien, deuxièmement je peux être fort utile dans ce que vous ferez et troisièmement je suis qui est très discret, comme vous avez pu le constater.»

«Ha! Voilà! Ce n'était pas si difficile de répondre! Et c'est assez convainquant je dois dire! J'accepte ta compagnie mais je ne suis pas clémente si tu me tournes le dos, n'est-ce pas les gars? Alors on commence par l'asile. Il y a quelque chose que je veux à l'intérieur des murs. Tu sais ce que c'est?»

Elle le regarda dans le fond des yeux, le sourire béant gratifiant son petit visage dévasté par le maquillage et les produits multiples. Le Joker n'existait plus dans son monde, mais son style restait et quelque plan de son cru continuait. La jeune femme se leva sur la pointe des pieds tant que c'était encore possible. Elle approcha ses lèvres d'où on pourrait normalement trouver des oreilles. Harley ouvrit tranquillement les lèvres sous l'oeil inquiet de ses hommes de mains qui se cachaient derrière leur masque de métal bleu et rouge. Ils visaient encore la forme fluide de l'homme-serpent mais les hanches d'Harley cachaient une bonne partie de la visé.

«Une cachette secrète!»

Elle recula en riant. Elle n'allait quand même pas dévoiler tout de suite la surprise de ce qu'il y aurait. Et des passages, salles et trucs cachés dans cet endroit on ne pouvait plus les compter sur le bout des doigts.

«Allez les gars!»

Elle prit un grand respire, fit un pas militaire et tourna le dos au nouveau criminel. Il n'en fallait pas plus pour convaincre cette jeune femme. Elle n'avait jamais été reconnue pour sa grande intelligence ni sa présence d'esprit. Elle sautilla sur le chemin, jouant avec ses couettes et cherchant à atteindre le plus vite possible les bâtiments. Ses pas ralentirent en vue des bâtisses, plus très certaine de son geste. Elle n'avait pas que de bons souvenirs dans cet endroit et l'ambiance semblait de moins en moins joyeuses. Ses yeux fouillaient chaque endroit en espérant que les deux points laser rouge la lâche un peu.

«Il y a quelqu'un ici sauf les petits points rouge?»

Pendant ce temps à l'intérieur de l'asile, une alarme retenti comme une sirène de police. Cela a pour effet d'agiter les malades et d'inquiéter les mafiosos qui profitaient des lieux à leur avantage. Un des infirmiers de l'asile, cour jusqu'au bureau de Sionis et entre sans prendre la peine de frapper. Le parrain de Gotham est surpris par l'entrer brusque du vieil homme. L'infirmer reprend son souffle et prend son courage à deux mains pour lui annoncer la mauvaise nouvelle... « Monsieur, nous avons perdu un des patients. » La nouvelle n'inquiète pas Black Mask qui finit tranquillement de boutonner sa chemise et d'attacher une cravate en se dirigeant vers l'infirmier. Il est difficile pour l'homme de décrire les émotions du masque en cet instant, car son masque en tête de mort empêche quiconque de pouvoir lire ses émotions, car au contraire, son visage inspire l'intimidation, pourtant il s'exprime doucement avec un air serein. « Qui s'est enfui ? » L'infirmier ne tarde pas à répondre. « Un assassin complètement psychotique, on le surnomme Cooperhead.» Black Mask a déjà entendu ce nom, mais il ne se souvenait pas à quel visage possède ce nom.

Soudain, un des sbires du Black Mask entre aussi sans frapper. « Patron, les snipers ont retrouvé le fugitif. Il est avec Harley Quinn... » Sionis visualise la scène dans sa tête et conclut qu'il a été doublé, cela s'explique que le parrain est un vrai paranoïaque. « Comment est-ce possible ?! Ramenez-moi les deux bouffons faces à moi... Aller les chercher bande de crétins ! » Le sbire s'exécute en hochant de la tête puis ferme la porte... Il se dirige vers le grand hall et il appelle plusieurs gars pour aller l'accompagner dehors. Bien entendu, ils prennent leurs armes et leur gilet par balle, ils savent qu'il ne risque pas d'être très coopératif, donc ils prennent les mesures nécessaires...

Le groupe de gangsters s’avance vers Harley Quinn avec leur flingue à la main et leur gilet par balle, tout le monde s’arrête et commence à la viser à une distance de 10 mètres. « Harley Quinn et Cooperhead, venez tout nus avec nous sans faire d’histoire. » Le mafioso hurle un ordre en direction des intrus. Leur choix est donc limité… (Vous pouvez tout de même les battre)

Son sourire diminua, autant que ses couettes semblaient suivre la grimace de peur. Elle s'attendait à de la visite mais quelque peu plus courtoise et moins armée. Encore qu'il faut dire que les points rouges semblaient encore la viser. Ses propres hommes avaient aussi les armes levées, mais voyant la mine déconfite de leur supposée chef, ils les descendirent en attendant une meilleur option ou un ordre d'attaquer. Suivre Harley Quinn dans le domaine de la Nightmare Trinity était du suicide, mais ils ne poussaient pas à bout cette option. Ils n'étaient pas assez payé, sinon pas du tout, pour oser faire quelque chose. Amorcer l'attaque était du suicide pur et simple. On pouvait dire que la survie devenait le point le plus important à suivre à cet instant précis, que la reine aille au diable. Elle était folle et manquait de jugement, mais elle était douée pour rester en vie.

Harley les regarda, un peu abasourdis encore de se trouver entourer. L'accueil n'était pas de tout repos mais il faut dire que l'asile était vraiment une grande forteresse. Elle y avait travaillé, puis été patiente suite à la fuite du Joker. Depuis ce temps il était sa dépendance mais l'asile restait quand même son terrain de repos où elle pouvait toujours se ressourcer. C'est dans cette pensée qu'elle s'était approché impudemment des grilles pour faire valoir son droit sur les caves, dans l'espérance que personne ne les avait encore ouvertes. Si il y avait encore de la nourriture, elle pouvait reculer son temps pour aller visiter les douanes et encore se faire coché comme un numéro. Et de plus, elle détestait y aller. Croiser d'autre personne et avoir l'air d'une pauvre mendiante ne l'enchantait pas. Elle espérait aussi que le Joker aurait fait de même.

«Hey! On ne me donne pas d'ordre comme ça!»

Elle croisa les bras, reprenant le peu de confiance qu'elle aurait pu avoir en ce moment. Un de ses hommes se rapprocha mais l'arme toujours descendue.

«Et du coup! Faites moi rentrer! J'ai quelque chose que je dois aller chercher! Emmenez-moi! Aller! Plus vite que cela!»

Harley changeait les mots comme si c'était elle qui commandait mais en fait, les hommes de Black Mask avait toujours l'influence sur ses actions. Elle se retourna vers son nouveau petit compagnon. Il n'avait toujours pas accepté la nouvelle quête ni son but qu'elle s'était fixé.

«Alors, tu me suis toujours à l'intérieur?»

Qu'il dise oui ou non, elle allait quand même entrer et aller discuter avec le maître des lieux. Elle ignorait encore a qui elle aurait à faire, malgré que l'allure et les armes lui dictaient forcément le plus physique des trois.

Par cette nuit de pleine lune Tim devait se rendre a l'asile d'Arkham. Selon quelques détenus, interrogés subtilement, Harley se rendait a l'asile pour on ne sait quel raison. Cependant il était tenu par Black Mask, plusieurs détenus s'y trouvaient et cela risquait de dégénérer. Faisant un détour par la maison d'Anarky et y tenant une discussion musclée, Tim était parti a toute vitesse sur sa moto vers l'asile.

Roulant à toute vitesse dans Arkham, le justicier pourpre se trouvait sur le chemin de l’île, il allait faire une grande diversion, bruyante et agressive pour pouvoir s'infiltrer. A l'entrée de la porte de l'asile se trouvait une grande grille. Plongeant au dernier moment Tim envoya sa moto pour attirer les caméras et, à l'aide de son grappin monta en haut de la grille. Il pouvait voir Harley, toujours aussi folle, dans sa tenue d'arlequine. Elle était accompagné de Copperhead, dans son grand costume imitation serpent. Plusieurs hommes la suivaient. Ils étaient à l'entrée du batiment.. Tim remarqua également un conduit d'aération. Il avait trouvé sa voie d'entrée. Se glissant discretement au sol, le justicier pourpre marchait dans l'ombre vers le conduit. Tombant à l'intérieur, le justicier pourpre activa son scanner et remarqua qu'il était juste en dessous d'Harley. Parfait.

Cela fessait plusieurs que je marchais avec Harley Quinn. Je me sentais de plus en plus en confiance face à cette jeune fille que je suis depuis un certain temps. Alors que nous marchions, des hommes ont apparus de nulle part. Ils étaient tous armés, je fus surpris car je ne m’attendais pas à autant d’hostilité. Les attaquants mon pris par surprise, alors que je baisais ma garde, pour cause de faire confiance à Harley. Je remarquai que les homes ont une tenue différente à celle que j’ai vue. C’est à ce moment-là que je me suis dit que cet endroit ne pouvait pas appartenir à Harley.

Mais, à qui cet endroit appartient-il?...

De plus les hommes étaient très bien équipés, alors je me suis dit que ce qui se passait ici était une bonne organisation. Que le propriétaire de cette place à bien choisi son endroit pour faire ses opérations. En entendant Harley parlé je pensais que c’est elle qui commandait, mais en voyant que les hommes ne bougeaient pas, je me suis dit qu’il se pourrait qu’il y ait une bagarre et qu’elle allait être de courte durée. En remarquant que les hommes ne faisaient rien, je me suis dit que nous allions pouvoir entrer dans cet endroit. Harley se retourna vers moi.

«Alors, tu me suis toujours à l'intérieur?»

En me demanda cela, je me suis remis un peu en question, car je manquais toujours d’énergie et je ne veux pas le montrer, car mes ennemis auront tôt fait de me tuer s’il le savait. Alors, je me suis dit qu’il fallait que je continue avec Harley, si je voulais survivre dans cet environnement qui est fort hostile.

« Je suis derrière toi et je te suis pour rentrer à l’intérieur. »

C’est à ce moment-là que je me suis dit que je ne savais pas ce qu’il y avait derrière cette porte, mais je vais le savoir bien assez vite.. Une fois que les portes seront ouvertes, je vais pouvoir voir ce qu’il y a de si fascinant entre ces murs.