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Ne manquez pas les deux derniers chapitres de Darkwatch, où s'affronteront Le Chevalier Noir et l'Empereur !

Clash of the Warriors & La Révolte

"Lors d'une rafle de la Ligue des Ombres, la Lignée décide d'intervenir et de massacrer les hommes de Ra's Al Ghul. Les habitants, excédés par la situation, décident de se révolter, avec le support de l'Empereur et ses troupes. Le G.C.P.D est dépassé et les justiciers n'ont d'autre choix que s'en mêler, Batman en tête."

(Petit aperçu des évènements en vidéo ici)


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©Les images utilisées appartiennent à leurs auteurs
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 À la sauce italienne [Galente]

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MessageSujet: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptyVen 4 Mai - 5:14

Les douleurs des instants passés s'estompaient et avaient presque disparues depuis. Les bons soins d'un certain médecin qui avait vu son salaire augmenter pour un temps et de l'infirmière en charge qui avait prit un congé de quelque jours dans un autre pays avaient aidés à cette guérison longue et fastidieuse. L'incident, malgré les murmures et le secret derrière la porte fermée, avait été oublié. Les ecchymoses avaient colorées sa peau à différents endroits, les coups enflés quelque muscles mais le reste demandaient le calme et le repos. Le contrat passé était d'une somme trop modeste pour ce qu'il avait payé en retour pour les soin. Annulant ce dernier, il se permettait de croire encore à une vengeance possible à libre prix contre l'humiliation qu'il s'était donné à cœur joie. Même ses yeux avaient dût s'habituer à la lumière même tamisée de sa chambre d'hôpital. Ses DG aux mains d'un stupides riches, il allait le payer. Ayant agit en parfait gentleman, il s'attendait à sorti indemne et surtout avoir du respect pour ne pas avoir causé d'effroi à la jeune policière. La personne, son client, avait agit par haine et n'avait pas vraiment d'influence au niveau de la société et de la politique. Faire tomber cette convention verbale avait été facile sous peine de représailles. Il ne cherchait pas les informations que sur ses cibles, les clients y passaient souvent aussi. Jamais il ne s'engageait dans quelque chose à demi aveugle, même si la dernière mission eu une surprise tout à fait inattendu. L'homme avait cité plusieurs fois d'être le héro de Gotham, soit Batman. Un doute avait semé dans l'esprit du mercenaire, l'obligeant à chercher plus loin.

À peine sorti et en pleine forme, il prit le peu de bien qu'il avait, payant grassement le propriétaire pour les inconvénients des autres choses qui trainaient et s'établit dans une chambre d'hôtel, deux semaines payées d'avance. Il défit le lit, plaça ses maigres mais pourtant chers bagages dans la penderie et fit couler l'eau de la douche. Prenant soin d'enlever la montre brillante de son poignet, il retira ses vêtements sauf un en regardant au travers du rideau transparent de la fenêtre. Logé à une bonne hauteur, il avait vu sur la rue et les environs. Valait mieux disparaître au vu et su de la plus part des gens durant un moment. Les rumeurs le faisaient sourire même si il était le premier concerner. Son exploit n'avait pas passé inaperçu, mais ce genre de gloire attirait aussi son lot de malheur. Ce qu'il était certain, était que personne ne connaissait l'identité, surtout pas la police. Il avait osé entrer dans les domiciles de deux d'entre eux, faisant oublier toute trace de sa présence par la disparition des vêtements et objets qui aurait pu être suspect. Sur la table où reposait la montre, se joignit un paquet de cigarette neuf, un briquet et de la petite monnaie. Il étira ses bras derrière son dos en appréciant de genre d'exercice. Son reflet dans le miroir laissait présager un homme de forte stature dont les nombreux dessins parcouraient son corps. Il n'y avait plus de traces des blessures causées par la rage de Jean-Paul Vallée Alias Batman pour le moment. Malgré les prétentions, il ne dissipait pas la possibilité du justicier. Le plus intéressant était de savoir ce que Miss Brogan en pensait. Son amant est un défenseur des droits et elle une flic dépossédée de ses titres. Malgré que les récentes nouvelles lui indiquaient maintenant le contraire.

Allen Bardsley passait régulièrement ses soirée à se prélasser tel un invité de marque dans les casinos internes de l'hôtel. Mais lasse de ce genre de pari et les clients trop distingués à son goût, il prit le chemin de la racailles un soir. Une cigarette à la bouche, il fouilla les bars puis les sous-sol à la recherche d'une compagnie parlante et surtout présente. Il aimait bien écouter mais pas parler et ses contacts le savaient. Il trouva quelque jeune homme dont un qu'il avait connu dans le temps du casino, avant la fermeture des murs d'Arkham qui s'ouvraient bientôt à la diversité. Il joua une partie et il perdu une petite fortune à une étranger de sa connaissance. Il n'en avait cure, trois autres valises qui totalisaient plus de cent fois la somme misée l'attendait quelque part. Il se leva, vidant ce qui restait de la boisson dans son verre et commença à quitter la pièce. Le jeune homme blond le rejoignit en le touchant au bras. Allen souri en le questionnant du regard.

«J'ai peut-être quelque chose pour toi si ça t'intéresse. Mais avant, tu as vraiment fait tout ça?»

Gédéon l'entraina vers l'extérieur. Il n'était pas nécessaire que tout le monde entend ce qui allait se dire surtout que ce gosse avait tendance à trop en dire. Il sorti de sa poche une cigarette tout en offrant une autre au jeune homme qui le suivait rempli d'extase.

«Dépend de ce que tu as entendu. Sinon oui. Mais maintenant parle. Qu'est-ce que tu as?»

Ses clients le rejoignait par contacts. Il acceptait rarement les papiers et ne se rendait jamais pour quêter un emploi. I lavait assez de mérite pour qu'on le cherche au moins. Son nom circulait ainsi plus dans la craintes que comme un simple mercenaire qu'on engageait pour le plaisir. Il était un meurtrier et maintenant l'homme qui avait enlever tant de personne dans l'espace de deux nuits. Certaines rumeurs disaient 6 personnes dans l'espace d'une nuit. Ils avaient beaux croire ce qu'ils voulaient, il avait ce pour quoi on l'avait payer sans dévoiler pour qui il travaillait directement. Daggett était ainsi sauf car on associait l'enleveur au fou qu'était Sonatine. Au moins il avait la compétence de cacher ses véritables clients. Chose qui aurait pu être mit en doute si Daggett aurait apparu un peu plus. Ses gestes avaient été imprudents et ses hommes trop peu informé. Il souriait car dans une de ses mallettes résidait encore quelque souvenir de ces soirées.

«Il faut que tu te présentes au Gotham Malls et disent au serveur une espèce de phrase en italien. Io sono il servitor dolla famiglia. Il devrait te conduire directement à la personne. On dirait une bonne affaire je te jure. J'ai le flair pour ce genre d'opportunité tu le sais.»

«Io sono il servitor della famiglia. Une heure et un montant? Un nom?»

«Demain à l'heure de pointe. Ça va dans l'ordre d'une valise pleine de billet. Et aucun nom, c'est privé.»

«Je m'y rendrai.»

Il reprit le chemin de l'hôtel à pied, poussa les grandes portes et prit l'ascenseur. Il avait tendance à vouloir y rentrer seul maintenant, la dernière fois les murs s'étaient rapidement rapprochés et avaient épousés ses formes. La pression le maintenait au sol pendant que la cage faisait son ascension vers l'étage demandée. La petite sonnerie habituelle lui indiqua le moment de débarquer. Il fit quelque pas dans le couloir et comme à cette heure, il n'y avait jamais personne. Il glissa la carte magnétique dans la fente et tourna la poignée tranquillement. Poussant la porte de son épaule, il entra dans son nouvel appartement pour un temps indéterminé. Il afficha occupé à sa poignée et s'engouffra dans la pièce. Repoussant tout l'inutile, il se traina jusqu'à son lit et s'endormi. Comme à son habitude, il se réveilla dans les bonnes grâces du soleil de midi. Il ne tira pas les rideaux mais prit tout de même le temps d'effacer les odeurs de cigarettes qui pouvaient encore lui coller à la peau. La douche fut longue. Il aimait s'y prélasser afin d'amasser ses idées et se préparer à une rencontre, qu'elle soit féminine ou masculine. Il n'avait pas de notion italienne ni connaissance de quelqu'un qui pouvait avoir assez d'influence pour avoir des serveurs dans un magasin à grande surface. Ça allait être une surprise. Il ferma l'eau en ébouriffant ses cheveux afin d'en enlever le surplus d'eau. Il prit un veston tout en gardant une paire de jeans et une chemise bien normale. Il ne fallait pas attirer l'attention dans un centre d'achat, surtout pas après ce qui s'était passé à l'hôpital. Si ses clients avaient de l'argent, Valley aussi en possédait.

Avant de partir, il se saisi d'une valise noire et vide. Il était moins étrange d'entrer avec une valise et d'en sortir avec celle-ci que d'entrer les mains vides et de ressortir avec quelque chose de particulier. Il agissait rarement sans avoir eu le montant devant ses yeux. Il entra par une porte quelconque du magasin et se dirigea vers les tables d'un restaurant italien. Il était l'heure de manger après tout et il mourrait de faim. Il n'appela pas tout de suite le serveur comme il lui était demander. Il garda ses lunettes à son front pour manger. Ce n'était plus réellement les siennes et ses yeux depuis s'étaient accoutumées à la lumière. Son corps s'était aussi assouvit des substances toxiques, une sorte de cure de désintoxe sans le vouloir. Mais le tout allait revenir rapidement, il le savait. Personne ne pouvait résister à la nicotine ni l'envie de ne plus être. Planer.

Une grande assiette de spaghettis lui fut servit avec les compliments du chef. Il enroula les pâtes autour de sa fourchette et mangea seul. Il observait autour de lui tout en prenant son temps. Il n'avait pas l'habitude de trainer dans un tel endroit. Il prit un café en surplus dont il en dégusta le goût amer et noir. Il rappela le serveur en levant la main et dicta les mots qu'on lui avait dit la veille.
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MessageSujet: Re: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptyVen 4 Mai - 13:13


Tout cela appartenait à Silvio Galente. Tout le Gotham Malls, tous ses magasins, tous ses restaurants, et même le petit casino qui s'y trouvait était à lui. Chaque vendeurs, chaque serveurs avaient été choisit par ses soins pour qu'ils lui obéissent lorsqu'il le fallait. Bien entendu, il ne se servait pas de toutes ses personnes, non. Tous les magasins ne faisaient pas parti du business familiale. Et heureusement. Sinon, il y a longtemps que la police aurait flairer l'embrouille et qu'elle s'en serait prise à Silvio. Une partie de ses magasins lui servaient à blanchir l'argent sale des divers trafics qu'il effectuait. Les autres étaient du commerce purement légal. La mafia fonctionnait avec trois types d'économie. L'économie illégal, légal et légal-mafieuse. Elles sont toutes liés entre elle. L'argent collecté grâce a l'économie illégal sert à l'investissement dans une nouvelle entreprise, celle-ci légal. C'est ce qui rendait la mafia si dure à déstabilisé, même pour les justiciers ou les policiers les plus chevronné. D'autant plus que Silvio Galente venait à peine d'arriver à la tête de la Cosa Nostra. Et ses méthodes étaient complètement différentes de celle de son père Pascale Junior Galente.

Le Don Galente était là, appuyer sur la rambarde du première étage, entre deux escalators. A ses côtés, son avocat et consigliere, c'est à dire son conseiller personnel dans les affaires, Matteo Balzaretti, ainsi que son soldato personnel et garde du corps, Clemenza Brazi. Ce dernier était un pyromane fort dangereux, et il était très fidèle au Don Galente. C'est pour cela que même s'il n'était qu'un simple soldato, le rang le plus bas dans la famille mafieuse, il avait le droit d'accompagner le Don. Il était habillé dans un étrange costume qui avait de quoi effrayer ou du moins interroger quelques gens. Si ils leur posaient des question, on leur disait que c'était la mascotte du centre commercial. D'ailleurs, plusieurs affiche du centre commercial confirmait cela car il montrait un dessin cartoon de Brazi, que l'on nommait Napalm. C'était d'ailleurs le surnom de Brazi. Le Don était très fier de ses performances.

À la sauce italienne [Galente] Napalm3-3430bb0

Quoi qu'il en soit, Galente avait fait convié un des mercenaires les plus efficace de Gotham City, le dénommé Gédéon. D'après les rumeurs, il avait kidnappé de nombreuses personnes pour le compte de Sonatine, et non des moindres, comme Batgirl ou le commissaire de l'époque, Harvey Bullock. Roland Daggett lui même disait beaucoup de bien du mercenaire lorsque Silvio lui a ''gentiment'' poser la question. Quoiqu'il en soit, c'était aujourd'hui une valeur sûre que le Don voulait dans son camp. Et c'était la raison pour laquelle il allait lui-même le recevoir, chose qui n'arrivait jamais en temps normal lorsque la mafia employait des mercenaires. Son avocat avait par ailleurs désapprouvé la méthode. Mais Silvio n'en faisait qu'à sa tête. Il n'y avait après tout aucune crainte à avoir. Le mercenaire était du genre discret et respectait une omerta envers ses clients. Ou ses employés. La question n'était donc pas de savoir si les mafieux pouvaient avoir confiance, mais si Gédéon allait accepter travailler avec eux. Et pour cela, seul le Don avait les bons arguments, notamment financier, pour le faire.

Un portable sonna dans le dos de Galente. Celui de Matteo sans doute.

« È arrivato? Eccellente, metto in guardia il Don.

Le Don Galente n'avait pas besoin d'être prévenu. Il savait avec cette phrase que le mercenaire était au final arrivé et qu'il venait de dire la bonne phrase, « Io sono il servitor della famigli », littéralement « je suis le serviteur de la famille », au serveur. Ce dernier avait donc immédiatement prévenu Matteo et avait sans doute conduit Gédéon dans la salle V.I.P. situé au fond du restaurant, et protégé par un énorme homme de main chauve aux lunettes et costume noires. Silvio jeta sa cigarette. Il était interdit de fumer dans le centre commercial, mais lui-même ne s'en privait pas. Il fit signe à Matteo et Napalm de le suivre. Ils descendirent les escalators et prirent une porte aux côtés des toilettes du centre avec la plaque « Private » pour dissuader les passants de l'utilisé. A l'intérieur, ils purent utilisé un passage qui passait derrière les magasins et le restaurant et qui leur permettait d'entrer partout sans se faire remarquer. Et notamment dans la salle V.I.P. du restaurant. Personne ne pourra savoir que Galente s'y trouvait.

Un homme brun et habillé correctement était déjà assis à la table. C'était sans aucun doute Gédéon. Matteo se dirigea directement vers lui et lui serra la main, tandis que le Don s'assit en face de son invité. Napalm resta planté debout à quelques mètres du Don. Silvio sortit une boîte de cigare cubain, normalement interdit à la vente depuis l'embargo sur Cuba, et en proposa un à son invité assit en face de lui. Matteo Balzaretti reconduisit le serveur, qui était toujours présent, dans le restaurant et disparu avec lui. Si le Don avait besoin de lui, il n'aurait qu'à le bipper et il apparaîtrait en quelques secondes. Seuls restaient donc Gédéon, Galente et Napalm.

« J’espérais grandement que vous viendriez. Vous n'êtes pas homme si facile à joindre. Vous avez déjà mangé, peut-être qu'un verre de vin faciliterais la digestion ?

Il fit un signe à Napalm, qui apporta deux verres et une bouteille de Marsaca, un excellent vin provenant de l'ouest de la Sicile, doux mais très fort en alcool. Napalm servit un verre et attendit la réponse de Gédéon en ce qui concernait le sien. Une fois la réponse obtenue et l'action qui en découlerait effectué – soit il sert soit il range le verre – Napalm reboucha la bouteille et retourna derrière le Don.
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MessageSujet: Re: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptyVen 4 Mai - 19:11

L'homme savait de quoi il parlait, sans doute encore plus que lui même. Son assiette était vide et on ne lui a pas demander de payer. C'était le genre de truc subtile qui le poussait des fois à accepter des contrats. Le monde pensait avoir le dessus sur vos pensées alors qu'il faisait exactement ce que vous vouliez, à commencer un repas gastronomique et délicieux. Il suivit cet homme dans un long couloir caché des clients normaux. Il prit la place désigner en observant un peu autour comme tout homme normal aurait fait. Il appuya son dos contre le dossier en laissant ses longues jambes devant lui. Ce n'était pas entrevue pour lui, mais pour celui ou celle qu'il verrait bientôt. Il laissa la valise vide sur le côté de son siège, posant les lunettes sur la table. Le mercenaire prenait ses aises.

Trois hommes entrèrent l'un après l'autre. Ce fut à ce moment qu'il releva les yeux. Deux d'entres eux avaient une allure d'homme d'affaires classiques qui allaient surement être les têtes dirigeantes de l'affaire. Il se redressa en voyant le troisième. L'idée d'un garde du corps semble à certains des criminels de la ville-prison le soulagea d'un poids. Il détestait jouer ce genre de rôle et les enlèvements commençaient sérieusement à être redondant. Ce n'était pas son premier contrat, ce ne serait pas le dernier. Depuis certain problème et surtout de rencontres étranges, il se donnait le loisir d'accepter ou refuser ce qu'on lui offrait. Étant patron de sa propre destinée, on ne pouvait abuser de sa personne puisque selon ses termes, il avait toujours le dernier mot. Un fusil accoté sur sa tempe devenait une habitude. Les gens détestait perdre le contrôle surtout après avoir payé cher, mais surtout quand la vie des gens autour d'eux était en danger. Il sous-estimait souvent le danger qui émanait de lui et celui qui les entourait. Il y avait souvent plus à craindre de ceux qui nous sont le plus proche que ceux qui détiennent une partie de votre argent en échange de services. L'Armure devait être un peu comme lui malgré la suspicion qui commençait à lui rappeler les propres termes qu'il avait prononcer. Il avait surement devant lui les gens qui n'avait pas main mise sur ses endroits préférés et qui dirigeaient la ville d'une manière transparentes mais dont quelque recherche vous permettait d'en trouver les sources de revenus.

Le premier se dirigea vers lui. Il se leva pour la présentation en lui serrant la main. Il regarda l'homme dans les yeux tout en serrant comme convenu. Il n'était pas fille, il n'était pas faible, il était sûr de lui. On dit que la poignée de main est souvent plus définitif que la première vue sur la personne. Les habits après ça ne sont plus nécessaire non plus que la coupe de cheveux ou le maquillage d'une femme, la main transparaissait tout de votre personnalité ou de votre confiance. Gédéon s'adapta à l'environnement qui commençait à s'installer, les conversations s'en suivraient plus fluides. L'autre homme prit place dans le fauteuil qui lui faisait face, le garde-du-corps en arrière. Il regarda ce dernier qui tendait des cigares. Sous l'ouverture de la boîte, l'odeur en décrit tout de suite la rareté et surtout leur provenance. Il ne pu s'empêcher de faire un comparaison avec ceux que lui avait proposer Daggett la dernière fois. C'était exactement les mêmes ou presque, surement pas du même lot. Il en prit un et le glissa doucement au dessus de ses lèvres. Il en respira l'odeur. Quelque chose de précieux ainsi devait être prit comme un cadeau et non pas telle une vulgaire cigarette comme il trainait toujours dans ses poches.

Il refusa gentiment la demande pour l'alcool. Le café et le vin allait faire mauvais mélange et il comptait garder ses sens pendant cette petite réunion cachée. Tout était méticuleux. Les hommes devant lui n'avaient pas à parler que tout était fait dans un ordre précis. Ses doutes commençaient à être réel sur la fonction du grand maître devant lui. Il n'était pas doute et loin d'un imbécile.

«Si mes services étaient à la portée de tout le monde, il y a surement longtemps que je serais mort ou pis encore. Pardonnez-moi mon ignorance mais j'ignore les mots que j'ai prononcés à votre serveur qui fut le mien l'espace d'un court moment.»

Si sortit de sa poche un briquet, le geste fut lent et calculé. Il ne voulait pas effrayer le grand gaillard derrière. Certain était souvent très prompt à attaquer directement si il y avait présence d'une menace. Surtout après l'omission de s'être fait fouiller, la prudence était de mise et la confiance envers un et l'autre des partis était des plus importante. de toute façon, il n'était pas très à l'aise en présence d'arme à feu, surtout dans ses propres mains. Il agissait de manières plus fines et subtiles. Et on ne se méfiait pas de quelqu'un qui ne portait pas une arme apparente et c'est pourtant les gens les plus dangereux qui en cache le moins commun. Il a connu des gens qui tiraient plus vite que leur ombre, qui avait des nombres incalculables de victimes à plus de cinq cent mètres. Il avait au moins le mérite de les avoir tenu dans ses bras lui. Le pouls qui dansait entre ses doigts qui peu à peu perdait de sa cadence pour finalement s'éteindre. Mais même le coeur arrêté, certain continuait de se battre jusqu'à la mort du cerveau.

Gédéon attendait les détails de la demande. Ce n'était pas lui qui avait demandé cette rencontre mais surement l'homme qui faisait les courbettes pour attirer ses faveurs. Il posera les questions le temps voulu, pour le moment il ne voulait qu'une réponse à sa question et l'explication de sa présence dans cet endroit.
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MessageSujet: Re: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptySam 5 Mai - 13:06

Gédéon refusa poliment le vin. Silvio n'en prit pas offense. Après tout, ils allaient tout deux être en négociation, et ce cher Gédéon ne voulait peut-être pas avoir l'esprit brouiller. Alors qu'il allumait tranquillement le cigare que le Don lui avait proposé, sans même proposé lui-même le feu à Galente, Silvio tendis son havane à Napalm. Celui-ci se retourna, régla les flammes de ses gantelets au minimum et fit feu pour allumer le cigare. C'était à la fois une manière pour le Don de montrer les capacités de son garde du corps, et aussi une façon classe d'allumer un simple cigare. Le Don n'était pas fait du même bois que les simples mortels. Il récupéra l'engin nocif pour la santé et commença donc à le fumer. L'odeur allait rapidement empester la petite pièce cloîtrer, mais cela n'était pas un problème. L'important était le confort des deux hommes. Silvio était peut-être un Don, mais c'était avant tout en gentleman. Il avait l'habitude de négocier des affaires, même si c'était la première fois qu'il négociait directement avec un mercenaire comme Gédéon.

« Dois-je vous appelez par un nom ? C'est que j'en ai entendu, à propos de votre personne, mais je préfère employer les bons à bon escient. Vous êtes le genre d'homme à vous faire appelez différemment aux différents endroits où vous vous trouvez. Quant à vous, vous pouvez m'appeler Monsieur. Cela devrait largement suffire pour cet entretiens. Que vous connaissiez mon nom m'importe peu, vous devriez d'ailleurs le découvrir d'ici quelques minutes, qu'il soit cité me dérange davantage.

Il fallait toujours prendre garde à ses arrières. Si ce Gédéon était si fiable qu'on le disait, il pouvait déjà être payé par autrui pour infiltrer et arrêter le Don Galente. Galente ne devait pas non plus lui demander de l'appeler « Don ». C'était un privilège de mafieux, et surtout cela risquait d'en dire beaucoup trop pour une première rencontre. Il ne fallait pas brûler les étapes.

Gédéon commença à parler. Il n'avait aucune connaissance de l'italien. Cela n'avait que peu d'importance. Ce qu'il avait dit n'était qu'un mot de passe. Silvio pris son verre à pied et le fit légèrement tournoyer. Il renifla les odeurs que son vin dégageait et l'amena jusqu'à ses lèvres. Excellent. Il ne c'était pas trompé en choisissant cette bouteille dans sa cave à vin pour cette entrevue. Le vin était mature, il était certes fortement alcoolisé, mais cela ne dérangeait pas le Don qui avait l'habitude de ce genre d'alcool. Gédéon ne savait décidément pas ce qu'il ratait. Silvio reposa donc son verre et entreprit de répondre à son interlocuteur.

« C'est une simple phrase qui permet au serveur qui vous a accompagné d'avoir l'autorisation de me prévenir. Je suis un homme prudent, croyez le bien. Si j'acceptais de voir tous ceux qui me demande, je perdrais beaucoup de temps. Ou plus... mais si vous voulez avoir une réponse, je pense que 'Google Traduction' vous la donnera.

Les attentats de familles adverses étaient nombreuses. Il était trop risqué de sortir à découvert sans raison valable. Son propre père avait faillit en mourir quand ce salop de Franco Bertinelli lui avait tiré dessus au court d'une fusillade. Il ne fallait pas réitéré les erreurs de ses aînés.

« Si j'ai fait appel à vous, c'est parce que j'ai entendu dire certaine chose. J'ai des oreilles un peu partout dans cette ville, et nous avons sans doute eu des collaborateurs commun. Comme ce cher Roland. Cela fait d'ailleurs quelques mois qu'on ne le vois plus trop. Sans doute déborder ce pauvre homme. C'est... dommage.

Mais Dagget était beaucoup trop impulsif pour rester trop longtemps en contact avec la Cosa Nostra. Silvio avait besoin d'allier plus réfléchis, plus mature dans leurs actions. Comme Bixby Rhodes ou Fine Sherman. Quoi qu'il en soit, il était temps d'arrêter de traîner cette conversation en longueur. Il fallait y aller plus directement.

« Et il se trouve, voyez vous, que j'ai besoin de vos services pour... disons... plusieurs affaires. Trois, pour être précis. Trois affaires qui me paraissent importante. La première d'entre elle concerne mon pauvre frère aîné... qui ne sait pas se tenir, à son âge.

Silvio Galente sortit un Ipad de l’intérieur de sa veste.
À la sauce italienne [Galente] Ipad-3438d62
Ce dernier était réglé sur une application Gotham Globe numérisé. Il affichait une nouvelle concernant le frère de Silvio, Davide.

« On a retrouvé mon imbécile de frère nu comme un verre écrasé ventre contre le sol, avec des pilules de viagra dans le sang. Il fait honte à ma famille. Je sais aussi qu'il cherche à me doubler. Je veux donc que vous vous occupiez de ses deux hommes de mains – Silvio fit passer sous pouce au travers de la gorge pour signifier qu'il les voulait morts – et que vous interrogiez mon frère pour savoir ce qu'il c'est passé. Les écarts ne sont pas permis dans ma famille.

Silvio planta soudainement un couteau sur la table. C'était un beau couteau, de belle facture. Fait en grande partie artisanale, en Sicile.

« Je veux que vous plantiez ceci dans sa main droite. Il comprendra ce que ça veut dire. Des questions pour cette première.. mission ?
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MessageSujet: Re: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptyMer 9 Mai - 17:47

Ses propres manières semblaient être conduites gauchement même si tout était fluide. Le négociateur était un peu plus surprenant mais il ne se laissait plus impressionné par les prestidigitations. La technologie démontrée dans ses yeux en ce moment faisait une avancée assez intéressante mais rien ne valait mieux que le subtile. Il n'avait jamais apprécié de qui était trop voyant ni trop élaboré. De même que les plans qui sombrait souvent dans l'échec par leur complexité et leur trop grand nombre d'option. Il avait appris avec le temps que seule une bonne préparation pour combler le plus d'éventualités tout en laissant place à l'improvisation pouvait donner l'emphase sur ses actions et mené à la réussite. Être gagnant dans toutes les situations. Il en était habituellement récompensé par plus que le nécessaire, ce qui rendait son succès plus grandiose encore qu'au départ. Il avait un certain art pour la cachette et l'artifice de tout faire disparaître. Ça empêchait le monde trop curieux ou assoiffé de vengeance de s'en prendre à sa vie. Ce qui était encore plus avantageux était qu'il n'avait aucune famille, le faisant surnommé l'orphelin des fois. Personne n'était vraiment assez précieuse dans sa vie. Mais même si quelqu'un en était, ça n'aurait pas fait grand chose à sa vision. Une cible ne changera pas avec quelqu'un devant. C'était faible que de se pencher pour des sentiments, une des raisons pourquoi il ne ferrait pas justiciers et resterait derrière les crimes.

«Gédéon vous sera suffisant. Je n'attends pas à recevoir d'autre nom que celui-là et ne chercher pas à faire l'inspecteur et venir jouer dans mes affaires Monsieur. Sachez que je déteste être la cible de fouille indiscrète et que ma vie ne regarde que moi, peu importe ce que vous êtes ou faites. Ce n'est pas dans mes habitudes de chercher à qui j'ai affaire non plus. Gardons un éloignement quant-à nos vies respectives.»

Il reprenait les paroles de l'homme devant lui pour lui montrer que lui non plus n'aimait pas se faire déranger ainsi. Ils étaient à égalité car peu lui importait qu'il soit prince ou mendiant. Le mercenaire savait comment agir en conséquence et surtout utiliser le ton de voix assez propice à couper court une argumentation. Il attendait la signification de la phrase prononcé, bien qu'il en ignorait la grammaire et la raison. Son client semblait prendre plaisir à se rire de son ignorance et il en retenu l'offense sans bronché. Il parlait comme si de nos jours tout le monde avait accès à un ordinateur. Cette méthode était facile d'utilisation pour le rejoindre c'était certain, mais encore plus facile de le retracer. Moins il faisait à faire avec la technologie de l'homme, plus il lui était facile de disparaître durant un moment et réapparaître des sous-sols aménagés pour de nouveaux emplois à son choix. Il glissa le cigare entre ses lèvres en continuant de regarder le jeu auquel se menait seul l'homme de la mafia. Gédéon était curieusement immobile, mais il attendait sa tâche pour pouvoir négocier à son avantage après.

L'homme se trompait. Il n'avait aucun collaborateur, seulement des clients fortunés ou pas qui avait à dilapidé leur argent dans l'ignoble tâche à faire disparaître de la circulation des gens dont il connaissait à peine leur vie pour en finir avec eux. C'était ainsi qu'il commençait se flirt avec la mort, cherchant informations sur ses prochaines victimes et les perçant au cœur afin de les évanouir dans l'au-delà. Il retenait la mention de Roland Daggett car si il avait parlé de son travail et surtout de qui il avait joué, ce Monsieur savait aussi pertinemment les actions avec la Biosyn Il fallait donc ce méfier de ses mots et surtout de cet homme. Il savait où chercher et comment le faire. Il ne croyait mot de ce qu'il disait sur ses désolations. Si l'homme d'affaires était occupé, c'était surement mieux pour cacher des preuves et faire rouler l'économie afin d'effacé quelque perte ou montants augmentés de façon faramineuse et sans raison. Il en venait enfin aux faits. Trois tâches pour lui seul. La dernière fois les trois tâches furent d'un niveau plus haut qu'il ne s'y attendait, recevant le nom de sa prochaine victime qu'après une première disparition dans les sous-sols de la cathédrale. La ville en était rempli et il s'en apercevait de plus en plus. Ce qu'on lisait dans les journaux n'étaient que les premiers pas des plus extravagants. Mais le crime saisissait encore plus dans son sol.

Le frère en premier. Il pouvait bien rire encore des gens qui supposait que la famille était la chose la plus fiable et surtout la plus proche. Mais dans sa vie il avait appris à mesurer l'honneur de ce terme; famille. Il prit dans ses mains l'espèce de téléphone et regarda le premier titre en continuant d'écouter d'une oreille attentive les informations de Galente. Ses soupçons se confirmèrent à la vue de ce nom pourtant tabous mais assez médiatisé pour faire ressortir ses souvenirs. Silvio Galente. Il retenu surtout les traits de ce dernier. La photo était assez explicite pour bien voir quel homme il était. Gédéon releva les yeux vers son interlocuteur en prenant soin de mesurer les paroles et les actes demandés. Il avança son postérieur de son siège pour glisser ses doigts contre le manche du couteau. Il prit la forme circulaire entre ses doigts et l'arracha de la table d'un coup, laissant le petit creux dans le bois. Il appuya la pointe de la lame dans son index gauche pour en mesuré la courbe et son effilement. Il continuait de regarder la lame en répondant à la question claire et précise du Don.

«Il y a toujours des questions à poser Monsieur. C'est un emploi aisé pour un quelconque membre de votre organisation. Faire appel à moi est quelque peu osé si vous me le permettez.»

Il ne rangea pas immédiatement le couteau dans sa veste, ni non plus le prit pour acquis. Le faire signifierait d'accepter la quête sans plus de question, mais rien n'était encore négocié. Il continua sans laissé le temps d'une réponse.

«Combien d'hommes a-t-il sous la main sauf les deux dont vous souhaitez la mort? Je n'aime pas me faire surprendre. Il faut savoir aussi si il a des soupçons quant-à sa prochaine menace qui défilera sous ses yeux et à l'intérieur de la peau. Je n'ai pas l'habitude non plus de laisser des cadavres sur le plancher, ça laisse trop d'indices sur son meurtrier.»

Il reposa le couteau à l'horizontal sur la table tout en continuant d'ignorer totalement l'homme de main à l'armure grotesque.

«Où habite-t-il, ses habitudes, ses contacts. Je veux connaître sa vie dans les 4 derniers mois. Combien êtes-vous près à offrir pour ce travail aussi?»

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MessageSujet: Re: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptyDim 13 Mai - 12:10

Gédéon semblait un peu fâché par la question de Galente. Silvio n'en pris pas offense et resta détendu, portant une nouvelle fois son verre de vin au lèvre tandis qu'il subissait quelques remontrances. Napalm surveillait du coin de l’œil que la situation ne dégénérait pas. En bon garde du corps, il ne sourcilla pas d'un pouce également, en grande parti parce que de toute façon on ne voyait pas ses yeux, caché derrière son casque métallique. Clemenza Brazi était un être défiguré par le feu. Il ne voulait pas montrer ses cicatrices qu'il préférait caché derrière ce casque.

Silvio entreprit de rassurer son invité.

« Oh mais ne vous inquiétez pas de cette manière, cher Gédéon. Vous êtes venu en civil, je ne suis pas au courant si vous employez en plus de cette identité fictive un autre faux non lorsque vous venez pour affaire tout en restant ainsi. En vous posant ainsi ma question je n'espérais en aucun cas recevoir votre véritable nom. De toute façon, comme vous venez de l'affirmer, je n'en ai rien à faire.

Et il n'en avait pas besoin. Pas pour le moment en tout cas. Tant que Gédéon ne l'avait pas trahis, Silvio Galente n'avait aucune raison de connaître son nom. Et cela lui éviterait bien des soucis. En effet, si un jour le nom de Gédéon venait pas être révélé à la police par un tiers anonyme, les soupçons pourraient être porter sur le parrain de la mafia et le mercenaire pourrait légitimement chercher vengeance. Ce genre de désagrément était bien entendu très évitable. Et le parrain de la Cosa Nostra se devait donc de les éviter au maximum. C'était dommage d'avoir un peu fâché son interlocuteur pour une question qui se voulait garante de l'identité de Gédéon au départ. Galente ne voulait pas prononcer un nom sans être sûr que ce soit le bon endroit et le bon moment.

« Je savais que vous étiez un homme précis et avide de détails. Mon frère possède au départ quelques hommes qu'il a recruté chez les familles décimés qui voudrait me voir mourir par vendetta. Pour prendre lui-même ce qui m'est dû de droit. Au départ il possède six hommes de mains proches, qui possèdent leurs propres hommes de mains mais qui ne voyent jamais Davide, donc qui ne seront pas présent dans le nightclub. Ils doivent surveiller des cargaisons ou autre. Seulement, le soir même où l'on a retrouvé mon frère ainsi, il se trouve que quatre de ses hommes se sont fait arrêter lors d'un petit échange commercial. Il ne reste donc que ces deux là. Le nightclub en lui-même comporte cinq autres personnes chargé de surveiller Davide. Ce qui fait sept hommes au total. L'un d'entre eux est fidèle à moi, c'est mon espion. Il se chargera de vous faire entrer par la porte de derrière normalement surveiller. Cela ne vous fera que six hommes à affronter. Vous pourrez choisir leurs sorts, mais je veux que les deux hommes qui l'accompagne sans arrêt.. hors d'état de nuire. Mon espion vous les montrera, mais ensuite vous devrez le blesser et l’assommer pour que sa couverture soit conserver.

Galente repris une bouffée de son cigare. Il avait remarqué que Gédéon n'avait toujours pas pris définitivement le couteau. Une méthode habile pour faire grimper les enchères et rendre le négociateur plus clément. Mais Gédéon en savait déjà trop, il n'avait pas tellement de choix.

« Ses habitudes sont assez simple : il ne quitte quasiment jamais ce nightclub, il est beaucoup trop paranoïaque depuis qu'on a tenté de le tuer il y a des années. Chaque personne qu'il ne connaît pas sera immédiatement considérer comme un danger de mort, je préfère vous prévenir. Il ne le montrera pas, il peut même vous servir un verre... mais c'est du vent, du poison. Il vous soupçonne dès que vous entrez dans sa bulle. Il ne sort de ce nightclub que le dimanche pour aller à l'église. Son appartement se situe au dernier étage du club, et son bureau au premier. Il reçoit souvent des personnes dans son bureau pour faire affaire, mais je ne peux pas vous dire à quelle fréquence, c'est assez variable. Je pense qu'il travail en accord avec d'anciens compatissants des Bertinelli et Cassamento. Mais comme je l'ai dit, c'est un paranoïaque, il n'a pas vraiment de contact fixe. En revanche, vous pourrez le trouver seul avec ses hommes vers 5h du matin. Si tout ce passe bien, mes hommes iront nettoyer la salle et aucune marque ni cadavre ne sera laissé, vous pourrez attacher les survivants, ainsi que mon frère, et les mettre dans une salle les yeux bandés si ça vous chante. Hormis les deux hommes que je vous ai signaler. Si vous voulez plus de détail, il faudra consulter mon espion.

On en venait donc à la somme demandé pour cette action. Silvio Galente et sa mafia possédait une fortune conséquente évidemment. Une partie de cette argent était sale, l'autre blanchit, un autre encore était complètement légal. Encore une fois, ce mix d'économie était ce qui rendait la mafia si dur à attraper.

« Je dis cinquante mille par têtes. Et cent mille pour le coup de couteau. Plus le service rendu, je vous offre 500 000$ pour celle-ci.
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MessageSujet: Re: À la sauce italienne [Galente]   À la sauce italienne [Galente] EmptyLun 28 Mai - 15:45

Certes il était venu en civil. Son masque et les dessins qui jouaient éternellement sur son corps ne serait pas passé inaperçu au milieu d'une foule telle que dans un magasin à grande surface. Il ne désirait pas se faire voir autrement mais surtout paraître le plus normal possible et se faire oublier. Son visage avait dû être capté par les écrans, mais en quelque sorte, il comptait sur la discrétion de son nouveau client afin que cette image ne soit pas divulguée outre mesure. Une information contre une autre. Maintenant qu'il savait exactement à qui il avait affaire, rien ne serait compliqué afin d'impliquer quelque problème si il y en avait de son propre côté. Si cette organisation aimait être crainte et respecté, il n'en était pas plus dangereux qu'un assassin dans la ville de Gotham qui pouvait avoir les appuis qu'il voulait, vouant sa fortune et son bon plaisir à des contacts imaginaires et puissants. Son état était lui-même confus. Rien de ses principes moraux, ni de son sens de la loyauté ne l'empêchait d'agir pour ou contre la mafia, qu'elle soit italienne, espagnol ou chinoise. Il était un homme, qu'on lui mette les qualificatifs dérirés, il n'en était pas moins un homme en premier et tous les hommes sont aisément corruptibles.

Les deux hommes se comprenaient, laissant les limites d'une personne normale ailleurs et gardant une distance respectable entre leur promesse. Gédéon se doutait qu'il en savait plus car on ne pouvait engager quelqu'un comme lui sans en avoir eu une preuve formelle de son obéissance et de ses exploits. Il ne serait pas surpris d'être épier dans sa propre nouvelle forteresse temporaire, comme l'est souvent tous ses appartements. c'était une des raisons pourquoi il était simplement lui. Aucune armure, aucune arme surprenante ni gadget ne l'accompagnait. Tout était trop dur à entretenir, à entreposer ou à réparer. Il n'avait pas la patience infini d'en faire collection. Ainsi il regarda la bête derrière son maître et le plaignait. Il ne sous-estimait pas la puissance de feu qu'il pouvait avoir, mais le poids d'une telle carapace devait ralentir les mouvements. Il écouta le porte-parole de sa quête en cherchant le plus d'informations possibles sur ce qui pouvait se trouver entre les lignes. Les gens avaient parfois tendance à cacher plus de renseignements dans la crainte de trop en dire ou ils n'ont simplement pas la conviction d'avoir sur les mains le sang du nom nommé. Ils se croyaient presque les assassins de leur propre mot. Il ne pouvait les blâmer. C'était lui qui voyait la mort même si il s'en délectait sur le moment. Tuer un semblable n'est jamais facile, même si l'argent vous sort par la bouche après.

Fermer les yeux aurait pu l'aider à analyser le plus de détail possible. Ses oreilles étaient toutes ouïe afin d'écouter les propos de son interlocuteur. Il avait un peu de liberté au niveau de la sécurité, deux hommes à tuer et un autre à assommer. Ces petits détails firent vibrer son esprit. Il devenait en quelque sorte la main de la mafia par contact externe. Il faisait les services surement donné aux nouveaux qui entre dans l'organisation. Il allait devoir mettre ce point au clair afin de ne rien promettre quant à son appartenance. Il était indépendant. Son contrat avec Daggett s'était trop allongé à son goût. Il avait pu quitter le service à son bon vouloir par la suite et participer à un autre genre de contrat. La vengeance ne le brulait pas, mais cet homme, ce Jean-Paul, avait un objet à lui très précieux qu'il désirait retrouver dans un délai respectable; ses lunettes fumées.

«Par têtes vous voulez dire mort ou attaché? Je veux être sûr que nous sommes sur la même voie puisque vous n'avez pas spécifier en final le détail précis qui permet à un homme de rester en vie ou de mourir. Si vous m'offrez plus pour un mort, je peux aisément faire en sorte que tout ce produise. Je demande 100 000$ de plus pour la fin. Votre entreprise me demande du matériel que je n'ai pas présentement en main et devrai me procurer. Vous n'avez pas spécifier de moment non plus. Dois-je en déduire que j'ai la voie libre pour exécuté au moment opportun?»

Il aimait observer, il aimait constater de ses propres yeux même si l'infiltration était à bannir dans ce cas là. Les informations étaient un peu trop flous et irait chercher lui-même tout ce dont il avait besoin pour agir seul. Il avait réagit trop vite et trop violemment pour les deux agents de police et la justicière. Pour lui une blessure causée ainsi était de trop, mais peu de personne était là pour confirmer sa faiblesse. Son bras était encore meurtri par la pince qu'il gardait dans ses bagages. Il espérait un jour revoir la justicière et lui remettre. Il n'espérait pas une bataille ni une amitié mais simplement voir réagir ce corps qui n'avait ni voix ni mouvements outre que ceux du combat. La maîtrise totale de cette femme l'avait surpris et éblouit à la fois car peu de personne savent garder un contrôle aussi précis dans un évènement où la pression devient toujours plus forte.

Jamais un prix ne devait être accepté ainsi. Si il pouvait facilement sortir son argent ainsi, il pouvait encore espéré un peu plus. Les rumeurs allaient bon cours sur le sort d'Arkham City et il désirait reprendre possession de ses biens qui étaient restés là à l'attendre. Il n'avait guère pu poser les pieds dan cet endroit infâme pour constater les dégâts qu'il y avait eu depuis tout ce temps. Il possédait lui-même un forte somme qu'il allait investir comme bon lui semblait dans les projets futurs. Il regarda l'homme en avant de lui, scrutant son regard dans un geste posé et sérieux. Les hommes pensaient avoir le pouvoir mais seuls les plus puissants avaient vraiment la force de pouvoir le démontrer.
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